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Un oncle bienveillant – Chapitre 3




Dimanche matin… Traîner enfin un peu au lit, et récupérer de toutes ces histoires de cul d’hier. Ça avait été sacrément chaud et dans mon demi-sommeil j’y repense, et me demande si au fond j’en suis vraiment content. Jusque là je n’avais jamais été très porté sur le sexe. Avant de rencontrer Brigitte j’avais bien fricoté quelques fois avec des jeunes femmes de mon âge, mais franchement la baise n’avait jamais remplacé l’intérêt et les sentiments, peut-être qu’à chaque fois j’étais mal tombé ? Bon… Et puis tout de même ces soucis de découvrir une Brigitte quasiment nymphomane, mais qui n’en parle pas, et mon excitation démesurée de la voir tripotée, branlée, par ce Serge. Nom d’une pipe, quel bazar dans ma tête !

Déjà 10 heures, faut que je me lève, envie de café et d’une clope. Ça fait un moment que Brigitte s’est levée sans bruit. Elle doit prendre son petit-déjeuner. J’enfile mon jeans et un t-shirt, le couloir des chambres, à gauche le couloir vers la cuisine… J’entends les rires enfantins de Brigitte et la voix de Serge. Je m’arrête sans le moindre bruit. La porte donnant sur la cuisine est restée entrebâillée, je m’approche un peu pour écouter. Je ne vois que Serge, de profil, assis devant la table ronde, Brigitte cachée par la porte. Ils se racontent des souvenirs de son adolescence, et blaguent à qui mieux mieux. Je vais pour les rejoindre et participer quand j’entends Brigitte se lever, «Bon, je vais réveiller Marc et m’habiller». Elle passe dans mon champ de vision, débarrassant son assiette, ah ! elle est en nuisette.., sa nuisette sage mais si courte..

Je ne bouge pas. Cachée par le mur, Brigitte réapparaît en passant à côté de Serge. Je m’y attendais : il la retient en la prenant par la main, et l’attire vers lui sans qu’elle ne résiste. C’est tout de même un vieux salaud, elle une petite allumeuse, et moi un sale pervers, vu mon érection instantanée. Du coup je ne vois plus Serge, resté assis, masqué par Brigitte debout devant lui, de dos à moi. Mais si je ne vois plus le visage de ce vieux cochon, je vois bien ses mains, ses sales pattes baladeuses, tripotant le creux des genoux de ma fiancée, remontant doucement le long de ses cuisses pour empoigner ses fesses qu’il pétrit à pleines mains, la courte nuisette ne cachant plus rien, du tout.

Il est habile ce Serge : de ses larges mains il presse fermement les fesses de Brigitte puis les écarte largement, dévoilant son petit trou du cul, les grandes lèvres de sa vulve s’ouvrant chaque fois un peu plus. Puis il les comprime à nouveau l’une contre l’autre.. Pour le moment ce gros malin se garde bien de lui effleurer la chatte, il se contente de la faire mouiller, ce qu’il me semble distinguer, à moins que je ne fantasme, tout en me tripotant la bite au travers de mon jeans. Enfin, moment attendu par tout le monde, Serge retire sa main droite, pour la ramener par devant entre les cuisses de Brigitte qui, la salope, les écarte plus sans qu’on le lui ait demandé. En même temps sa main gauche a lâché l’autre fesse pour lui empaumer un sein, en tout cas c’est ce que j’imagine, ne voyant que son coude s’agiter.

Et je vois ce majeur lissant la fente déjà bien mouillée, de bas en haut, revenant au clitoris en le caressant en tournant, et redescendre encore. Je manque d’éjaculer en le voyant pénétrer entre les lèvres, une phalange, deux phalanges, le doigt entier.. et le voilà qui ressort rentre à nouveau.. Ma jeune femme explose, se cambre, geint.. Je n’en peux plus, fou de jalousie, honteux d’être excité à ce point. Je fais demi-tour sans bruit, m’éloignant des halètements, des gémissements de ma petite.. non, je ne veux pas me le dire. Mais je le pense.

Je sors par devant, fais le tour de la maison, et réapparaît de l’autre côté, un peu éloigné, de la piscine, tirant sur ma cigarette. Je sais qu’on m’aura vu par la porte-fenêtre de la cuisine, mais de toutes façons plus aucun son d’excitation sexuelle ne me parvient. C’est Serge qui me hèle «Hé ! Marc ! Un café ?» – «Ouais..». Il a beau être sympa, c’est un enfoiré ce type.

Les deux fauteuils au bord de la piscine, le café est bon, le cendrier encore vide, Serge affable, moi furieux, contre lui, contre elle, contre moi :

— Calmos Marco !

— Tes diminutifs tu te les gardes, Tonton !

— C’était juste pour que tu comprennes..

— Quoi ?? Tu me l’as déjà dit hier soir, ça va !

— Je veux juste que tu piges que Brigitte n’a pas 18 ans, mais qu’elle a le feu au cul.

— Encore une insulte et je te démonte la tête, ta baraque et le reste..

— Bon.. Tu ne veux pas le voir c’est tout. Ou bien tu le vois et ça t’emmerde que ça te fasse bander.

— T’es un sale pervers Serge. Tu baises ma fiancée devant moi. T’es dégueulasse.

— Je l’ai pas baisée.

— Ah bon ? T’as fait quoi à la cuisine, comme hier ici au bord de la piscine ?

— Je l’ai faite jouir.

— Et ça, c’est pas baiser ?

— Non !

— Tu te fous ma gueule ! C’est quoi la différence ?

— Je l’ai pas pénétrée et j’ai pas joui, moi..

Aïe.. Mes pensées s’embrouillent.. Je suis largué, je pige plus rien à la sexualité, la mienne, celle de Brigitte, celle de Serge. C’est quoi ce bazar ? L’amour, le cul, la bite ? Jouir, pas jouir ? Serge me ressert un café, je fume clope sur clope. Il est cool, il la boucle. Je me m’apaise. Bon, en fait tout ça me fait sacrément bander, et pour l’amour on verra plus tard.

— Bon, Marc. L’heure tourne, Brigitte va nous rejoindre.. À mon avis elle va être un peu distante à ton égard, ne le prends pas mal, sois gentil avec elle.

— Tu crois ?

— Mais oui, elle sait que tu sais d’hier et de ce matin, quand je l’ai branlée et qu’elle a joui, et elle doit craindre que tu lui en veuilles. Heureusement tu l’as bien baisée en fin d’après-midi.

— Tu crois vraiment ?

— Mais oui ! Si elle se laisse aller comme ça c’est qu’elle est en confiance avec nous deux. Avec moi qui l’ai dépucelée ça va faire un an, et l’ai baisée à tour de bite près d’une semaine, et toi qu’elle aime et qui la rassure dans son existence, ne m’en veux pas de te parler comme ça.

— …

— Je te l’ai dit hier Marc : le vrai souci que tu as c’est pas que ça te fasse bander de la voir branlée par moi, c’est qu’un salaud pige qu’elle est facile, s’en serve, et que tu ne contrôles plus rien. C’est pour ça que je te l’ai montré deux fois en la faisant jouir devant toi, petit planqué ! Et t’inquiète, je me suis bagarré avec moi pour ne pas la prendre et jouir dans son ventre.. Ça te fait bander que je te raconte ça, hein ?

— …

— Tiens ! Voilà notre princesse d’amour.. «Coucou Brigitte !».

Elle vient d’apparaître sur la terrasse par la porte-fenêtre de la salle, à quelques mètres, en peignoir, nous salue de la main, d’un petit sourire amical, sans plus, et va se poser à l’autre bout de la piscine. Serge me fait signe de la tête, et nous rentrons dans la cuisine – «Laissons-la tranquille..», et il reprend :

— Je vois bien que tu es chamboulé Marc, mais crois-moi. J’ai pas mal d’expérience, je ne me suis jamais marié pour être libre avec les femmes, et j’en profite bien. Et aussi, pour ne pas être cocufié.. Tu voudrais pas être cocu non plus, hein ?

— Ben non..

— Tu vois.. Mais si un type lui met la main dessus et en fait sa maîtresse sans que tu le saches, là tu seras cocu. Par contre si tu fais, toi, ce qu’il faut pour qu’elle apaise sa soif de sexe devant toi, alors elle te restera. Tu comprends ?

Oui, en effet, je comprends. Mais punaise, ça ne me serait jamais venu à l’esprit, pas du tout mon style. On me l’aurait annoncé hier matin, j’aurais bien rigolé. Maintenant, je me dis que vu le charme et la sensualité naturelle de Brigitte, ça pourrait bien m’arriver ce genre de conneries.

— Oui Serge. Crédible ton analyse..

— Bon.. En même temps ça dépendra comment tu t’y prendras et dans quelles situations tu la mettras. Je suis sûr qu’elle se donnera à fond, mais après il faudra que tu sois très attentif avec elle et la rassurer avec tendresse.

— Oui, bien sûr..

— Et si tu la gaves de sexe, ça risque bien qu’elle en attende moins de toi. Faudra pas que tu sois frustré.

Oui.. Pas facile d’imaginer ça, mais comme notre relation sexuelle fonctionne sans fantaisie, ça ne devrait pas trop me déranger, au fond.

— Pas simple ton affaire Serge !

— C’est à toi de voir Marc. T’as envie d’essayer ?

— oui…

— Je te l’ai proposé hier, tu veux que j’invite mon voisin pour déjeuner ? Pas de souci, il est chaud mais sait se tenir. Tu seras le seul maître d’uvre, à ton rythme.

— Allez.. Ok..

— Bon ! Je l’appelle..

(à suivre)

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