"J’veux du cuir"

Tiffanny me réveilla en collant son corps chaud contre le mien.

— Je peux te demander un service, Sam?

— Bien sûr, vas-y.

— Est-ce que tu voudrais bien préparer le petit déj’ en sortant de la salle de bains. Je voudrais récompenser Marie-Thérèse des efforts qu’elle a faits pour se racheter.

— D’accord, c’est vrai qu’elle a droit à une compensation…

Je l’embrassai sur la bouche, lui fit un clin d’il et les laissai tous les deux.

Une demi-heure plus tard, je regardais Philippe à la dérobée tout en finissant mon café : il avait le sourire aux lèvres et ne semblait pas marqué par la nuit qu’il venait de passer.

Tiffanny nous laissa seuls un moment pour passer à son tour par la salle de bains.

— Ça va Philippe?

— Oui. Pourquoi ça n’irait pas?

— Je… Je trouve que tu as une sacrée force de caractère !

— Bah ! C’est une question d’habitude, tu sais. Enfin, pour dormir comme ça, je veux dire. Par contre, voir quelqu’un d’autre faire l’amour avec sa femme, ça c’était la première fois. … Et, très honnêtement, c’est un peu dur ! Surtout que vous avez manifestement pris un vrai plaisir à le faire tous les deux. Pour continuer à être tout à fait franc avec toi, j’avais déjà un peu les boules de te voir aussi facilement mettre ses bottes et ses vêtements. Ils te vont, tu prends ton pied dedans, et en plus, elle, ça la fait "toute chose" comme elle dit de te voir ainsi. Elle me l’a demandé, tu sais, je veux dire, elle m’a demandé si je serais d’accord pour que les choses aillent plus loin entre nous trois. Et moi, j’ai dit oui. D’abord parce que je l’aime et que je veux, enfin, j’essaye de satisfaire tous ses désirs, et puis certainement aussi en partie à cause de ce vieux fantasme de voir sa femme baiser avec quelqu’un d’autre ! Enfin, bon, globalement, ça va, Sam, ça va…

— Merci Philippe.

— Pas de quoi.

— Je veux juste que tu saches que je vous respecte beaucoup Tiffanny et toi. Ça peut te paraître idiot comme réaction, mais moi aussi, je veux être honnête avec toi.

Elle réapparut quelques minutes plus tard, plus belle et sexy que jamais. Elle avait choisi un pantalon taille basse en cuir marron orné en guise de ceinture d’une chaînette fermée par un mousqueton. Une trentaine de centimètres de métal doré pendait négligemment sur l’intérieur de sa cuisse. L’agneau moulait ses fesses et mettait en valeur son ventre plat et sa taille fine. Elle portait dessous ses bottes couleur sable à talons droits.

Un pull beige à col en V et son manteau en cuir noir parachevait sa tenue. Il était très souple, descendait à mi- mollets avec une fente dans le dos qui remontait jusqu’en bas des fesses.

— Hé Sam ! Tu n’es pas habillé? Hurry up, on va être à la bourre, mon vieux…

— Je fonce ! Le temps de te piquer une culotte et d’enfiler mon jean et j’arrive. Fais chauffer le moteur !

Elle ouvrit la bouche, mais avant qu’elle n’ait eu le temps de répondre, j’avais quitté la cuisine.

Je la rejoignis. Elle s’était installée au volant et nous démarrâmes aussitôt.

— C’est quoi cette histoire?

— De quoi?

— Ne fais pas l’idiot, Sam,  tu sais très bien de quoi je veux parler. Tu m’as vraiment pris un slip?

— Ben oui.

— T’es fou, t’es complètement fou…

— Peut-être, n’empêche que c’est toi qui as commencé.

— Comment ça?

— Ben oui, c’est bien toi qui m’a dit que ça t’excitait d’être la seule à me savoir en talons aiguilles derrière mon bureau, c’est bien toi aussi qui m’a dit que ça mettait du pep’s, qu’il fallait que je joue avec le feu. Et ben là, c’est pareil, tu seras la seule à savoir…

— OK, OK, tu as raison, c’est bien moi qui ai dit tout ça.

Elle conduisit en silence un moment puis reprit :

— Tu as mis quoi? Un string?

— Non, j’ai pris une culotte noire avec de la dentelle grise sur l’entrejambe. Je pense que "ça le fera"…

Sa main se détacha un instant du levier de vitesses et frôla mon entrejambe, comme pour sentir sous ses doigts ma culotte, puis elle la reposa sur le volant. Je lui souris et caressai à mon tour son genou, puis sa cuisse gainée de cuir souple.

La journée se déroula sans événement notable jusqu’à 15 heures. Tiffanny pénétra dans mon bureau et me déclara que depuis le début de la matinée, elle voulait voir la culotte que je portais. A ce moment, mon téléphone se mit à sonner. Elle s’approcha de moi et, profitant de ce que j’étais occupé à répondre à mon correspondant, défit ma braguette et le bouton de mon jean avant de faire glisser celui-ci sur mes chevilles. Ensuite, elle s’agenouilla et embrassa mon sexe à travers le nylon. Je me laissai tomber dans mon fauteuil et tentai tant bien que mal de terminer ma  conversation.

Je venais à peine de raccrocher que quelqu’un frappa à la porte. Elle plongea aussitôt sous mon bureau. C’était Guillaume, un collègue de travail.

— Excuse-moi, Sam, je cherche Tiffanny. Tu ne l’aurais pas vue, par hasard?

— Tu es allé voir dans son bureau?

— Oui, elle n’y est pas.

— Alors attends, je vérifie un truc…

Brutalement excité par la situation, je me penchai pour regarder sous mon bureau. Je me redressai et tâtonnai à la recherche des cheveux de Tiffanny. J’approchai sa tête de mon bas-ventre. A ma grande surprise, elle n’hésita que quelques secondes et je sentis qu’elle commençait à déposer de petits baisers sur l’intérieur de ma cuisse.

— Non, elle n’est pas là !

— Sacré Sam, tu sais que tu es une vedette, toi ! Bon, ben OK, je vais voir ailleurs.

Il sortit du bureau, mais elle n’arrêta pas pour autant de me sucer. Je la fis cesser avant d’atteindre le point de non-retour…

Elle se releva, le sourire aux lèvres. Je me levai et remontai mon pantalon.

— Tu sais quoi, on m’a parfois dit que j’étais barje, mais toi, tu es au moins aussi folle que moi !

— Confidence pour confidence, c’est la première fois de ma vie que je fais un truc aussi dingue.

Je la serrai contre moi en caressant ses fesses.

— De toute façon, comment veux-tu que je puisse te résister? Tu es trop craquante !

— Je te plais?

— Un max ! Tu me mets dans un état pas possible… Et encore, je ne te dis pas tout !

— C’est gentil ça. Bon, allez, j’y retourne…

Je l’embrassai juste avant qu’elle ne tourne la poignée de la porte, puis je me remis au travail.

J’avais énormément de mal à me concentrer, je repensais sans cesse à ce qui venait de se passer, à la soirée de la veille, et je me demandais comment allait se dérouler celle qui venait.

Vers dix-sept heures trente, n’y tenant plus, je traversai le couloir pour aller la voir.

— C’est l’heure où tu viens chercher mes bottes, c’est ça?

— Pas que tes bottes, ma belle, pas que tes bottes… Ce soir, c’est la totale.

Après avoir verrouillé la porte, je m’approchai de son bureau, fis pivoter son fauteuil et le poussai lentement contre le mur.

— Je vais te faire monter au ciel, là, maintenant, et après, seulement, on rentrera chez toi, mais c’est moi qui porterai tous tes vêtements, je dis bien tous…

— Alors là, ça y est ! Comme dirait Phil, "il a pété un boulon". Ça ne te suffit plus de porter mes bottes? Et puis, tu m’as déjà piqué ma petite culotte, non?

— Non, Tiffanny, rien ne me suffit plus. Je t’ai emprunté un slip ce matin, c’est vrai, mais ce que je veux, c’est mettre pour rentrer celui que tu auras porté toute la journée.

"Celui-ci" ajoutai-je en posant ma main à plat sur son pubis.

— Je suis peut-être devenu fou, va savoir. Je veux "devenir toi", je veux dire, je voudrais pouvoir devenir la femme à la fois classe et sexy que tu es. C’est pour ça que je veux rentrer chez toi avec tes habits sur moi. Parce que je veux croire à mon fantasme…

— Et pour ce qui est du ciel?

— Pour ça, tu vas voir tout de suite…

Je me mis à genoux et léchai longuement son pantalon au niveau du mollet, tout en lui caressant des mains l’intérieur des cuisses. Ma bouche descendit jusqu’à ses bottes et s’y attarda un long moment, puis je l’incitai à  écarter les jambes. Je fis glisser ma langue sur toute leur hauteur et arrivai au niveau de son pubis. Elle leva alors ses cuisses pour venir les poser sur mes épaules.

Elle prenait manifestement autant de plaisir que moi à ces attouchements et se cambrait de plus en plus sur son fauteuil. Tout en continuant mes mouvements, je me déshabillai petit à petit. Elle avait incliné le dossier de son siège et était maintenant presque complètement allongée. Je me relevai pour finir d’enlever mon pantalon, puis, me couchant sur elle, je frottai mon sexe contre son bas-ventre. Le contact du cuir contre mon gland provoquait en moi une sensation à la limite du supportable. Tiffanny, elle, semblait apprécier, car elle gémit un peu plus fort et planta ses ongles dans mon dos.

En retroussant son pull, je constatai qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Je me mis à mordiller et caresser ses seins sans arrêter pour autant les va et vient de mon bassin. Elle agitait la tête de gauche à droite en soupirant de plus en plus fort.

Après avoir fait voler son pull sur le bureau, je lui demandai de se relever et me plaçai face à elle. Je passai une main derrière ses reins pour saisir entre ses jambes la chaînette qui ceinturait son pantalon et saisit l’autre extrémité de ma main droite. Je me mis alors à tirer alternativement chacune d’elles, accentuant ainsi les gémissements de ma belle anglaise. Lâchant ensuite la chaînette, je la masturbai carrément à travers son pantalon et la fis jouir.

Tout en dégrafant sa ceinture et en faisant lentement glisser la fermeture éclair qui fermait son pantalon, je lui demandai :

— Qu’est-ce que tu ferais si maintenant, là, tout de suite, quelqu’un frappait à ta porte?

— Pour quoi faire?

— Pour te dire bonsoir, par exemple. Je sais pas, moi, imagines que Guillaume vienne te dire au-revoir. Tu imagines sa tête s’il nous voyait comme ça, moi à poil mais avec des bottes à talons, et toi, les seins à l’air et le falzar baissé…

— Mais tu as bien fermé la porte, non?

— Euh… Je crois, enfin,… Je pensais que tu l’avais fait.

— Sam, tu déconnes, hein, dis-moi…

— Oui, je déconne, je voulais juste augmenter un peu la dose de pep’s…

— Tu es un vrai salaud, tu profites de la situation, tu…

Je la fis taire en l’embrassant à pleine bouche. Je lui ôtai ensuite ses bottes afin de pouvoir lui enlever son pantalon, puis son string. Je constatai non sans plaisir qu’il était trempé.

Je me relevai et allai décrocher son manteau de la patère, puis me plaçant derrière elle, je l’aidai à l’enfiler. Je fis courir mes mains sur la peausserie pour recommencer à caresser son corps, m’attardant particulièrement sur sa poitrine. En même temps, je frottai mon corps nu contre son dos, je mordillai son oreille, l’embrassai dans le cou ou bien léchai le cuir sur son épaule.

Descendant mes mains sur ses hanches, puis sur ses fesses, j’écartais juste un peu les pans du manteau et insérai mon sexe. Au bout d’un moment, elle écarta un peu les jambes et mon sexe se mit à coulisser dans son entrejambe. Elle mouillait tellement qu’il glissait sans difficulté aucune. Je m’accrochai à ses épaules en essayant de maîtriser mon excitation. Il faut dire que du fait qu’elle ne portait plus ses bottes alors que j’étais toujours sur quelques centimètres de talon, il y avait entre nous une différence de taille qui mettait ma queue à l’équerre et décuplait les sensations.

— Oh Sam ! C’est bon… Tu as de drôles d’idées, mais c’est si… exciting !

— Ça te plaît?

— Oui, Sam… Oui… Et toi? Tu aimes te frotter contre mon cuir?

— Devine…

Elle se retourna, m’embrassa et me demanda de la prendre "right now". Elle s’assit sur le rebord du bureau. Je m’approchai et la fis basculer sur le dos le plus délicatement possible avant de m’introduire en elle. Je poussai un gémissement de plaisir au moment où mon sexe s’enfonça sans rencontrer la moindre résistance. Sa respiration s’accéléra et elle recommença à soupirer doucement.

— Oh, Sam ! Oui, c’est bon…

— Tu la sens bien?

— Oh oui. Oh, Sam, viens… Yes, come on ! Now !

Elle était en fait tellement excitée qu’elle atteint l’orgasme encore plus vite que moi ! Elle se raidit en laissant échapper un cri de plaisir. Sentant que j’allais bientôt éjaculer, j’accélérai mes mouvements en essayant de retarder l’échéance. Mais moins de trente secondes après, j’inondais son vagin de mon plaisir.

— C’est maintenant qu’il faudrait que Guillaume vienne !

— Ah oui, et tu dirais quoi?

— Je lui dirais que je suis heureuse. Que tu as fait ce que tu avais dit, que tu m’as fait monter au ciel. Je lui dirais aussi que je sais qu’ils sont un certain nombre dans la boite qui voudraient être à la place que tu occupes là, maintenant, mais que pour ça, ils peuvent se brosser. Je ne suis pas, et je ne serai jamais une fille facile.

Mon sexe était encore planté en elle mais je commençais à débander doucement. Elle se tût un instant et reprit avec un grand sourire, comme pour répondre à la question que je n’avais pas posée.

— Toi, c’est pas pareil…

— Arrête, Tiffanny. Arrête ou je vais réellement tomber amoureux de toi…

Nous nous embrassâmes pendant que je me retirais d’elle. Elle posa une main sur mes fesses et l’autre sur ma nuque. Je sentais sa langue fouiller ma bouche tandis qu’elle entortillait ses doigts dans mes cheveux avec tendresse. Nous étions tous les deux comme sur un petit nuage.

— On se rhabille et on rentre?

— OK !

Elle se baissa pour ramasser son string et son pantalon, mais je l’arrêtai :

— Non, non, non ! Je te l’ai dit, c’est moi qui mets ça ce soir.

— Sam !

— Il n’y a pas de Sam qui tienne, je t’ai dit que je mettrai tous tes vêtements après t’avoir fait l’amour, et c’est ce que je vais faire.

J’enlevai mes bottes noires. J’enfilai ensuite le string et me glissai dans le pantalon en faisant attention à bien savourer les sensations "so exciting" (comme elle disait) que je découvrais.

Je pris plaisir à constater que la fine bande de tissu entre mes jambes était encore moite de sa jouissance précédente; je découvris avec surprise en mettant le pantalon "boot cut" qu’il était très resserré au niveau des genoux et très moulant au niveau des cuisses, tout en constatant la douceur de la doublure en pure soie. Ma queue se remettait au garde à vous, et je ne pus m’empêcher de faire glisser mes mains sur mes hanches avant d’agrafer la chaînette dorée et de terminer de m’habiller avec son pull beige et ses bottes à talons droits. Tiffanny ne m’avait pas quitté des yeux un instant lors de ce strip-tease inversé; elle vint plaquer sa main sur mes testicules et me caressa comme je l’avais fait pour elle auparavant. Je couvrais son cou et son épaule de baisers. Elle se dégagea, ôta son manteau et me le tendit avant de se rhabiller en mettant successivement la petite culotte noire et grise, mon jean, mon polo bleu ciel et les bottes noires. Tout en la matant sans retenue, j’embrassais le col de cuir en respirant les effluves de son parfum accrochées dessus.

— Tu es prêt?

— Oui, je suis prêt. Allez, on y va.

Depuis le début de la semaine, nous n’avions jamais croisé âme qui vive en quittant l’entreprise, mais ce soir-là, le concierge discutait au milieu du hall avec l’une des jeunes femmes chargées de l’entretien des locaux.

Je ressentis une soudaine envie de faire demi-tour sur place, mais Tiffanny m’en empêcha. Je me plaçai à sa gauche, essayant de me faire le plus discret possible et en espérant passer inaperçu.

C’était oublier à quel point Tiffanny aimait mettre du "pep’s" en toute chose : elle s’arrêta carrément pour les saluer et échanger quelques mots avec eux. J’avais une trouille folle que l’un ou l’autre ne fasse attention à mes bottes, c’est pourquoi je m’arrangeais pour toujours rester masqué par ma compagne. Le manteau et le pantalon en agneau pouvaient à la rigueur passer sur moi, à condition toutefois de ne pas regarder de trop près la coupe et surtout la ceinture du pantalon.

Je découvrais en même temps à quel point elle avait raison : c’était très excitant de jouer comme ça avec le feu. Cela commençait même à devenir visible en ce qui me concernait !

Mais je savais aussi que le pire restait à venir : au moment où il nous faudrait nous éloigner d’eux, ils seraient forcés d’entendre le cliquetis de mes talons hauts sur le carrelage, et alors, naturellement, ils se retourneraient pour regarder et alors, obligatoirement, ils verraient mes talons, et …

J’en étais là de mes inquiétudes quand j’entendis Tiffanny leur dire en riant :

— Bon, allez, c’est pas le tout, hein ! Allez vite vous mettre au boulot ou je fais illico un rapport à la Direction. Non mais, qu’est-ce que vous croyez !

— Tout de suite, chef, on y va.

— Ah là là, les patrons ! Tous les mêmes…

— Dépêchez-vous tous les deux, je vous surveille.

Ils s’éloignèrent chacun vers leur poste en éclatant de rire. Tiffanny se tourna vers moi.

— Tu avais peur qu’ils ne remarquent tes talons quand on partirait, je parie.

— C’est vrai, comment tu le sais?

— Je commence à te connaître mon petit Sam. Et je suis même prête à parier que ça t’excitait autant que ça te faisait flipper. Je me trompe?

Avant que je n’aie eu le temps de lui répondre, elle avait posé sa main à plat sur ma braguette. "Je le savais bien" murmura t’elle……

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