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Tendre colonie – Chapitre 1




Je m’appelle Fanny, j’ai 20 ans, brune aux yeux bleus et relativement mignonne. Je vais donc vous raconter une petite histoire de vacances. A l’époque des faits j’avais 18 ans et déjà un goût prononcer pour l’exhib. J’étais partie dans une sorte de camp de vacances pour jeunes dans le centre de la France.

Rien de très excitant mis à part que l’on dormait dans des dortoirs mixtes de 12 personnes. Les lits étaient superposés, je dormais sur celui du bas et ma meilleure amie sur celui du haut. La première nuit, il faisait une chaleur à crever et j’étais obligée de dormir sur les draps. Puis une respiration rapide sur le lit voisin me réveilla. Je comprenais rapidement que mon voisin se branlait tout simplement au beau milieu de la nuit. J’étais allongée sur le côté lui tournant le dos et je compris que ma tenue devait l’exciter un peu. En effet ; j’ai l’habitude de porter des nuisettes relativement courtes et sans culottes ce qui excite les hommes d’après mes expériences passées. J’étais prise dans un sentiment de honte de me faire mater comme çà et j’ai failli me retourner pour couper court à son excitation mais mon côté exhib gagne toujours et je décidais de m’amuser un peu.

Je me suis mise à bouger sur mon lit pour faire remonter un peu le bas de ma nuisette. Le tissu découvrait maintenant jusqu’à la naissance de mes fesses. L’effet se fit tout de suite ressentir par sa respiration qui s’accéléra. Assez fier de moi de l’effet que je lui faisait, par jeu et par excitation je décidais d’aller plus loin. Je mimais donc d’être dans un rêve je gesticulais encore plus et me mis sur le ventre. J’écartais les cuisses et maintenant il avait un total loisir de contempler la totalité de mes fesses. Il devait se branler comme un fou et mon excitation ne faisait qu’augmenter. Je n’en pouvais plus et j’ai donc glissée ma main en direction de mon entre cuisses. Il devait toujours croire que je rêvais mais j’étais carrément en train de me caresser devant lui. Ma chatte dégoulinait de liqueur vaginale et mon clito était déjà au garde à vous, sensible au moindre attouchement. J’entendais à sa respiration qu’il étais proche de la jouissance et je voulais l’accompagner dans le plaisir. J’ai donc pincé mon clito et jouit devant lui et en même temps. J’ai du complètement inonder mon drap mais quel plaisir. Je me suis remise sous les draps pour cacher mes fesses au petit matin.

Le lendemain, j’ai été lui parler comme si de rien n’était et je le sentis un peu gêné mais j’ai appris que mon petit voyeur s’appelait Julien et avait 18 ans. Tout au long de la journée il ne faisait que de me suivre, épiant mes moindres geste et espérant me surprendre une fois de plus. J’adorais çà et je me suis promise d’en profiter.

J’avais remarqué qu’une douche avait une porte qui se refermait mal et laissait un jour. J’adorais prendre ma douche avec le risque d’être vue nue à tout moment. Je me débrouillais toujours pour avoir cette douche ce qui était chose facile puisque personne ne la voulait.

Evidemment, le soir même, je restais un peu plus longtemps que les autres dans la douche. A un moment je me sentais complètement épiée et discrètement en ramassant mon gel douche je glissais un ?il vers la porte. Je voyais Julien qui me matait par l’entrebâillement de la porte. Humm ! quel plaisir de se sentir aussi désirée. Je restais dos tourné, cambrée pour me mettre en valeur et utilisant le gel douche pour me caresser chaque partie de mon corps. Je l’imaginais excité comme un âne avec un désir fou d’ouvrir la porte pour venir me faire l’amour. Mais il devait être trop timide. Dommage ! Je devais donc prendre les choses en main largement aidée par mon excitation. Posant le gel douche à terre, je me cambrais très largement, les jambes légèrement écartées pour lui permettre de voir mes lèvres écartée par l’excitation. Je ne savais pas si il était toujours là mais je m’en doutait. Pourquoi serait-il parti avec un spectacle pareil. Puis un petit gémissement me confirma sa présence. Je réalisai que le pauvre Julien n’avait pu voir que mon côté pile. J’attrape donc le shampoing pour me laver les cheveux. Une fois que la mousse fut assez dense, je restais les yeux fermés pour faire demi tour. Il avait tout le loisir de mater mes seins biens ronds et fermes et ma chatte légèrement rasée en V comme une flèche indiquant le lieu de tous mes désirs. J’étais au comble de l’excitation, sentant son lourd regard sur mon corps. Ma mouille dégoulinait sur mes cuisses mais heureusement l’eau la cachait et mes seins, dont les tétons étaient tendus à l’extrême, me faisaient terriblement mal. Je n’en pouvais plus, j’avais trop envie qu’il me prenne sous la douche et maintenant. J’ouvris donc subitement mes yeux pour le surprendre et l’inviter mais il était déjà parti, sûrement déjà satisfait. Encore dommage !

Je me suis donc satisfaite sous la douce et seule. Ce ne fut pas long vu dans l’état d’excitation où j’étais. Ma main gauche glissa sur mon sein durci par m’excitation tandis que ma main droite alla vers ma chatte pour y enfoncer deux doigts directement. Je jouis immédiatement, mais j’étais frustrée de ne toujours pas l’avoir vu nu en train de se branler. Je me suis lancée le défit de lui faire l’amour avant la fin des vacances.

En sortant de la douche je vais voir mon amie Marion, 18 ans, rousse avec une très belle poitrine. Je lui raconte mes petits jeux avec Julien : 1 le voir se branler et 2 le baiser. Elle me révèle qu’elle était au courant du voyeurisme de Julien car la nuit précédente elle avait, elle aussi été réveillée par les gémissements de Julien et mater à loisir son éjaculation mais sans se douter de se que je faisait dans mon lit. Au départ elle croyait que s’était un petit pervers qui me matait en train de dormir. Maintenant que je lui ai révélée mes petites exhibitions, elle comprend mieux son excitation et elle même semble très excitée par mon récit.

On décide donc de tendre un petit piège à notre petit voyeur. Le soir, on échange de place dans nos lits : elle en bas pour exciter Julien et moi sur le lit superposé pour le mater en train de se branler. Immédiatement le plan mis en place, Marion toute excitée retire sa culotte pour dormir seulement en nuisette. Comme elle retire la culotte devant moi, j’aperçois sa petite chatte bien taillée et rousse.

Elle se glisse dans son lit et je monte sur le mien. L’excitation m’empêche de dormir et une heure après, quand tout le monde, ou presque, dort, j’entend Julien bouger sur son lit. Je me glisse sur le lit pour pouvoir voir et la vue est parfaite. J’ai pleine vue sur Julien en train de se branler énergiquement. Il a un sexe d’une très bonne taille et imaginer me faire pénétrer par lui provoque une boule de chaleur dans mon bas ventre. Je ne peux m’empêcher de glisser ma main entre mes cuisses. Je ne peux malheureusement pas voir Marion mais l’excitation de Julien me révèle que Marion doit très bien jouer son rôle.

Au bout de quelques minutes, Julien ferme les yeux, signe précurseur de son éjaculation proche. De même je ne suis plus très loin de la jouissance. Il suffit de peu pour voir un long filé de sperme partir et s’écraser sur ses draps. Cette vison provoque ma jouissance. Fatiguée par l’effort, je m’endort rapidement.

Le lendemain matin, je m’empresse de demander à Marion ses impressions et ce qu’elle a pu faire. Elle me révèle qu’elle a adorée et qu’elle aimerait aussi aller plus loin. On a donc élaboré un nouveau piège pour arriver à nos fins.

Tout le groupe partait pour une visite quelconque et on a toutes les deux prétextées qu’on voulait faire du shoping pour ne pas y aller. On se doutait que Julien resterait aussi pour nous suivre.

Dès que tout le monde fut parti, j’allai prendre ma douche (évidemment toujours dans la même). Sous la douche, je vérifiait bien que Julien me matait mais cette fois il n’allait pas s’en tirer comme çà. C’est là que Marion rentre en jeu. Elle fait mine de rentrer par pur hasard dans les vestiaires et surprend, toujours par pur hasard, Julien en train de se branler. Bonne comédienne, elle se met à crier et l’insulter. Je sors de ma douche à ce moment et découvre Julien rouge comme un tomate avec son sexe tout mou dans une main. Un regard complice s’installe entre Marion et moi et surtout un sourire de satisfaction. En sortant de la douche, je n’ai même pas pris la peine de mettre une serviette et apparaît donc toute nue devant Julien. Apeuré, Julien s’excuse et supplie de ne rien dire aux monos. Profitant de son état de peur, Marion lui donne des ordres. ’ on ne va rien dire mais ta punition sera de te doucher devant nous ’ J’acquiesce folle d’excitation de pouvoir l’avoir à notre merci et je rajoute : ’ met toi à poils qu’on puisse voir tout çà ! ’ il se déshabille devant nous et rentre dans la douche. Notre regard insistant le gêne et il nous tourne le dos.

Je l’oblige à se mettre de face et je lui tends du gel douche. Je ne sais pas si c’est la situation ou de me voir nue en trais de le regarder mais son sexe commence à grossir sous nos yeux. Moi aussi je me sens de plus en plus excitée. Je me tourne vers Marion et dis à voie haute : ’ regarde Marion, il se met au garde à vous rien que pour nous ’ et sur ces mots je rentre dans la douche et saisis son sexe. Il palpitait dans ma main et je ne pu me retenir de me mettre à genoux pour y goûter. Le temps de se déshabiller, Marion nous rejoint et l’embrasse. Nous avons fait l’amour dans la douche et finis sur nos lits pendant plus d’une heure. Le pauvre Julien était épuisé et Marion et moi satisfaites. La fin des vacances terriblement fatigant pour Julien mais quel bonheur.

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FANNY

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