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Adeline petite soeur – Chapitre 7




Une petite semaine s’était écoulée, et que le temps passait vite. Notre mère était pour sa part revenue de ses montagnes et en pleine forme. De notre côté, nous avions pris de belles couleurs et Adeline était encore plus belle le teint ainsi hâlé. Sa chevelure s’était même un peu éclaircie ce qui, en plus de la rendre davantage désirable, attisait les regards pleins de convoitise au point qu’ils en deviennent insistants. Ce soir-là, le camping organisait une sorte de fête avec un bal et diverses petites activités sympas. Bien que ce fût en soirée, la chaleur du Sud-Est se faisait encore sentir et la tenue de ma bien-aimée s’en fut portée en conséquence. Elle avait revêtu une petite jupe aux couleurs chatoyantes, et un petit haut assorti qu’elle avait choisi moulant à souhait. J’avais préféré opter pour un bermuda bien ample histoire de masquer un éventuel effet difficilement contrôlable.

Assis tous les deux à siroter un cocktail, je regardais Adeline se trémousser sur sa chaise. Elle savait que je n’aimais pas danser (ce qui est toujours le cas), et restait sans doute avec moi par peur de me laisser ou juste d’aller danser seule. Je l’y encourageais toutefois : « pourquoi ne vas-tu pas danser ? Je suis sûr que tu en meures d’envie.

— Non, ça va t’inquiète.

— Je vois bien que ça te démange. Allez, va donc faire bouger cette belle petite paire de fesses. »

Sans pour autant regretter mes paroles, je ne pus que constater qu’Adeline mit le feu à la piste. Elle avait rejoint un petit groupe de filles relativement de son âge et la lumière des projecteurs aurait pu se braquer sur elles sans problème. Mais quand on sort un bijou de son écrin, il attire forcément les regards, et les jeunes femmes ne restèrent pas seules très longtemps. Tout un groupe de jeunes mâles se joignit à elles. S’ils s’étaient contentés de danser, je ne serais certainement pas intervenu, mais quelques mains me parurent un peu trop baladeuses et particulièrement déplacées. Adeline gérait ça tranquillement, me faisant signe que tout allait bien, mais un regard de sa part la seconde suivante me montra clairement que je devais aussi entrer dans la danse, ce que je fis au sens propre comme au sens figuré. Me rapprochant doucement d’elle, innocemment, je parvins derrière le malotru qui pensait qu’une fille en jupe est forcément une fille facile. Adeline lui lança alors gentiment : « je t’ai dit de laisser tomber, mais si tu insistes, il y a mon copain derrière toi, arrange-toi avec lui ! » Il se retourna et l’histoire s’arrêta heureusement de cette façon. Mais pour dissuader tout autre contrevenant, j’embrassais Adeline, fis quelques pas de danse avec elle avant de retourner à ma place.

Elle revint s’asseoir sur mes genoux un peu plus tard et me demanda : « Si on allait se balader sur la plage ? ». L’idée me parut excellente et parfaitement en accord avec le cadre de notre histoire. Même si la lune n’était pas pleine, il n’y avait pas un seul nuage, ni dans le ciel, ni dans notre vie, et cette balade au bord de l’eau calme, limpide fut tout simplement des plus romantiques. Étonnamment, la plage était déserte, pas âme qui vive, rien ni personne. Je tenais Adeline tout contre moi, la main posée sur son épaule et l’autre croisant nos doigts dans notre dos. J’avais déjà été amoureux, je m’étais déjà promené de cette façon, mais je n’avais jamais eu cette sensation de plénitude, d’un bonheur si parfait qu’on aurait pu se demander s’il en exista autre ailleurs. M’arrêtant soudain avec une irrépressible envie d’embrasser ce trésor qui illuminait ma vie, je posais un petit baiser sur ses lèvres l’entourant de mes grands bras. Un baiser langoureux s’en suivit alors qu’elle mit les siens autour de mon cou avant de me dire : « Fais-moi l’amour comme la première fois grand frère. » Elle ne m’avait plus appelé de cette façon depuis bien longtemps mais cela ne changea rien à la situation. Je retirais mon tee-shirt, et l’effeuillais à son tour délicatement. Une fois nus, nous nous allongeâmes sur le sable dont la texture fraîche donna quelques frissons à Adeline. Je n’eus pas l’indélicatesse de tenter un rappel de mes souvenirs sur cette première fois, sur cette soirée où elle m’avait donné le plus précieux cadeau du monde qu’est celui d’une femme vierge, fait don de ce trésor si convoité dont j’avais été le plus heureux des conquérants. Mon sexe entra en elle doucement, et chacun de mes gestes fut reproduit en parfaite harmonie avec chacun des mouvements de son corps. Sans rien forcer à l’acte en lui-même, nous revivions une seconde première fois ensemble. Là encore, le monde aurait pu disparaître, nous pouvions mourir heureux. (Fort heureusement ce ne fut pas le cas).

Hélas, toutes les bonnes choses ont une fin comme dit ce proverbe si paradoxal dans ses termes, et s’il nous fallut quitter cette plage, nous fûmes forcés de mettre fin à notre séjour et de rentrer chez nous, laissant dans le sillage du train nombre de souvenirs aussi beaux qu’intenses. Adeline versa quelques larmes le temps que la mer disparût de notre vision, mais je lui promis que nous reviendrions un jour pour nous en créer de nouveaux.

Deux heures que nous étions partis. Notre mère était prévenue de notre arrivée et trépignait d’impatience. Elle m’envoyait des messages toutes les dix minutes pour savoir où nous en étions de notre voyage, si tout allait bien. J’avoue que malgré toute l’affection que j’avais pour elle, je commençais à saturer. Adeline sentit bien qu’il fallait calmer les choses et me reparla de quelques soirées vécues, de moments chauds, tant et si bien qu’elle parvint à se mettre le feu elle-même. Elle attrapa ma main et me dit le plus discrètement possible : « j’ai envie de toi. » Mais où aller ? Elle pouvait être surprenante parfois, mais dans un train, il n’y avait aucun lieu autre que les toilettes, et cela n’avait rien de glamour du tout. Elle en prit donc le chemin et me demanda de la rejoindre cinq minutes après en frappant un gros coup sur la porte. La voyant dandiner ses jolies fesses, je ne trouvais aucune raison de résister et me contentais de la satisfaire. Au-delà de l’endroit en lui-même, c’est surtout son exiguïté qui ne facilita pas les choses. Adeline souleva sa jupe, et je vis qu’elle avait déjà retiré son string. Elle se baissa en se tenant au mieux, cambrant ses reins tant que possible et achevant mes dernières réticences, fussent-elles vraiment existantes d’ailleurs. Je sortis rapidement ma hampe que la petite chatte de ma petite sur appelait désespérément et la lui rentrais aussi sec. Non pas que ce moment coquin durât longtemps, mais suffisamment pour que par trois fois on tentât d’ouvrir la porte. J’accélérais la cadence ce qui eut comme effet de mettre Adeline en état de grâce quand son orgasme arriva. Elle remit son string en se contorsionnant tant qu’elle put, et sortit la première. Quel jeu amusant de vérifier que personne ne soupçonnât une double présence, et heureusement pour nous, ce fut le cas.

Notre mère nous attendait à la descente du train, et je n’aurais su définir si c’était plus le soulagement de nous savoir revenus sans incident que de nous retrouver qui lui donna ce sourire éclatant. Folle de joie, elle serrait Adeline dans ses bras en la complimentant sur son teint magnifique, son bronzage (que je savais intégral…). Je souriais forcément et nous rentrâmes chez nous. Adeline dit à notre mère qu’on repartirait en vacances là-bas un jour, et je me rappelle d’ailleurs ce qu’elle nous a répondu: « D’ici là vous aurez peut-être enfin trouvé quelqu’un pour faire votre vie et vous irez tous ensemble ! » Si elle avait su à cet instant que c’était déjà le cas, elle aurait été sans doute aussi heureuse que nous.

Nous écoutâmes notre mère nous raconter ses propres vacances en croisant avec nos propres souvenirs. Le jeu pour nous consistait surtout à ne jamais trahir le secret, à ne pas dévoiler ce qui s’était vraiment passé, et c’était bien plus difficile que prévu. Ma mère voulait tout savoir, et nous ne pouvions tout raconter. Je faillis gaffer autant que ma sur, mais nous rattrapions nos petites bévues inlassablement pour l’autre. Au sortir de cette soirée, nous tous fûmes ravis et allâmes nous coucher. Comme à son habitude, Adeline vint me rejoindre, mais cette fois, ce fut pour parler : « je voulais encore te remercier pour tout ça, je suis heureuse.

— Moi aussi, et c’est en grande partie grâce à toi ma chérie.

— On en a fait des choses hein ? Tu ne trouves pas qu’on a été un peu loin ?

— Non, enfin pas vraiment, sauf une fois peut-être. Je t’avoue que si tu n’avais pas été là, j’aurais encore du mal à réaliser que ça soit arrivé.

— Ah, tu parles de cette fois où j’ai été vulgaire ?

— Oui, je ne t’ai pas demandé depuis, mais qu’est-ce qui t’a pris ?

— Je ne sais pas, une pulsion, un truc en moi qui a explosé. C’est de ta faute aussi, si tu ne me mettais pas dans tous mes états, je serais restée sage. »

Elle prononça cette dernière phrase toutefois avec un regard plein de vice. Je l’embrassais et, clairement trop fatigué par le voyage, je préférais m’endormir en la tenant dans mes bras.

Le lendemain matin, Adeline ouvrit les yeux vers moi. Je la regardais dormir depuis mon propre réveil quelques minutes auparavant, caressant ses cheveux, et réalisant toute la chance qu’était mienne à avoir une telle femme à mes côtés, quand bien même ce fut ma propre sur. Elle se colla contre moi et me demanda : « Ça te dérange si on reparle de cette soirée un peu spéciale ? Je t’avoue que je me sens un peu mal à l’aise maintenant.

— Et pour quelle raison ma chérie, il n’y a rien de malsain. Nous nous sommes lâchés, c’est aussi simple que ça. Pourquoi voudrais-tu trouver une explication.

— Pour être honnête, c’est que j’aurais bien envie de recommencer. Je ne suis pas devenu masochiste, mais c’était tellement puissant, tellement fort que j’en tremblerais presque rien qu’à y penser. Tu ne voudrais pas qu’on recommence ?

— Ça ne s’improvise pas tu sais, surtout de cette façon. Je ne me vois pas arriver un soir, te jeter sur le lit et la jouer bestiale. » Mais je m’arrêtais dans ma réflexion et me disant qu’il existait bien une solution finalement. « Quoi que, j’ai peut-être une idée, mais j’ai besoin d’y réfléchir un peu.

— Dis-moi !!!

— Non, justement. Et je te demande de ne pas insister. Laisse-moi le temps et le moment venu, je te promets un vrai feu d’artifice. »

Adeline me sourit avec ravissement, et respecta sans condition ce que je lui avais demandé. Ses attentes, même si elles prirent du temps, s’en trouvèrent pourtant comblées.

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