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Un jeu très dangereux – Chapitre 3




Éric se remit, dès le lendemain, au boulot. Il avait mis au point plusieurs stratagèmes pour pouvoir épier l’entrejambe de sa mère dans plusieurs lieux. Ainsi, il mit une mini-caméra sous le bureau d’Isabelle ou même dans sa voiture, vers les pédales. Il les enlevait, de temps à autres, pour pas que sa mère s’en aperçoive.

Quatre jours plus tard, Éric rajouta donc 2 vidéos sur le site, pour le plaisir des autres membres et en outre, pour son meilleur ami, Laurent. Les commentaires fusaient et en demandaient toujours plus. Chaque soir de ces 4 jours, Éric s’était branlé sur ses fameuses vidéos, passant de moins en moins de temps avec Isabelle.

Celle-ci s’inquiétait. Elle trouvait qu’il devenait plus distant, et se posait des questions. En effet, Éric mangeait le soir avec elle, puis montait dans sa chambre pendant toute la soirée. Un soir, dans la semaine, juste après manger, Isabelle a décidé de lui parler. Mais à peine le souper fini, il disparaissait dans sa chambre. Isabelle dut finir de débarrasser toute seule et monta pour se coucher.

Elle se changea et mit une nuisette transparente comme elle avait coutume de porter chaque nuit.

Une fois dans son lit, Isabelle continua à lire son bouquin qu’elle suivait, bout par bout, chaque soir avant d’aller se coucher. Mais le comportement de son fils l’empêchait de suivre sa lecture. Plusieurs pensées lui venaient en tête. « Est-ce que c’est à cause de son père? Se drogue-t-il ? Ou, a-t-il un problème à l’école? ». Isabelle, n’en pouvant plus, décida d’aller lui parler maintenant. Elle se leva et sortit de sa chambre sans être consciente de sa tenue. Après avoir traversé le couloir, elle frappa à la porte de la chambre de son fils. Éric, qui était devant ses vidéos, fut tout à coup, surpris.

« Chéri…, je peux renter? »

« Euh…, oui…, attends une minute! »

Éric se déconnecta d’Internet, éteignit son PC et se mit au lit en ouvrant un livre de français pour faire style qu’il révisait.

« C’est bon, maman, rentre! »

Isabelle rentra et lui, plongea la tête dans son livre, jouant son rôle du parfait élève jusqu’au bout. Sa mère traversa la pièce pour voir si les volets étaient fermés. À ce moment-là, Eric leva la tête pour regarder sa mère et là, ce fut le choc. Isabelle était dos à lui, la nuisette blanche et transparente de haut en bas ne cachait rien de son dos nu. La culotte blanche en soie lui arrivant à mi-fesse, dévoilant la moitié de sa raie fessière qui se voyait parfaitement à travers le tissu de la nuisette.

Éric ne pouvait pas en croire ses yeux. Se sachant déjà pervers à faire ce qu’il faisait, voilà que sa mère lui offrait, sur un plateau, un encore plus joli spectacle. Éric, déjà impatient, attendait de voir la suite du show de sa mère. Il devina que le devant de la nuisette devait être pareil et que vu le dos nu, elle ne devait pas porter de soutien-gorge, il pourrait, enfin, avoir l’occasion inespérée de voir ses énormes seins. Isabelle, quant à elle, était loin de savoir qu’elle choquait son fils chéri dans cette tenue, même, si pourtant, elle ne s’était jamais vêtue comme ça devant lui. Elle se déshabille toujours avant de se coucher, Éric n’a pas vraiment eu l’occasion de la voir comme ça.

Celle-ci se retourna pour s’installer prés de son fils, sur le lit. La bite d’Eric ne fit qu’un bond sous les draps. De voir ses gros seins lourds, aux larges aréoles, dandiner sous ce tissu qui les rendait si sexy, fit mettre Éric dans tous ses états. Impossible de se calmer. Ses yeux ne se détachaient pas de ses tétons qui pointaient contre la nuisette. Isabelle sans s’en apercevoir s’installa prés d’Eric.

« Écoute, mon chéri…, tu sais, je te trouve bizarre en ce moment! »

« Ah…, ah bon…, pourquoi tu dis ça? »

Éric commence à avoir peur, « peut-être qu’elle se doute de quelque chose? », se dit-t-il. Il essaya de cacher son érection qui n’en finissait plus de s’accroitre et en même temps, de ne pas se faire voir en train de lorgner cette énorme poitrine.

« Je te vois de moins en moins, dès que tu arrives à la maison, tu montes aussitôt dans ta chambre. Mais que t’arrive-t-il, tu es malade? Cest par rapport à l’absence ton père? »

« Mais…, mais non, maman t’inquiète pas…, c’est…, c’est que j’ai juste un peu plus de devoirs, ne t’en fais pas, tu sais très bien que je ne pourrais rien te cacher, voyons! »

« Oui je sais…, excuse-moi mon chéri. Mais, maman s’inquiète, c’est tout…, bon, je vais me coucher! »

Isabelle se pencha contre son fils pour lui donner un baiser au front. Éric fixait ses seins qui s’approchaient contre son torse, pour finalement, s’écraser contre. Étant torse nu, il put sentir les tétons s’appuyer contre lui. Il paniqua et en devint tout rouge. Après le baiser, Isabelle se leva face à lui. Une chose retint l’attention d’Éric. La petite culotte cachait à peine le triangle pubien, la rendant encore plus sexy. Maintenant aux anges, Éric regardait sa mère sortir de sa chambre.

Après 5 minutes, il revint à lui et se dit qu’il devait jouer de prudence, elle commençait à se poser des questions.

Il éteignit la lampe et se branla en revoyant cette scène inédite dans la tête. Sans le vouloir, Isabelle avait remis le défi voyeur de son fils à zéro, lui demandant d’aller encore plus loin dans sa perversité. Maintenant qu’il avait vu ses seins, Éric allait sans doute vouloir aller plus loin. Sa soif de voyeur ne va, sans doute, plus être rassasiée par de simples vidéos d’entrejambes. Le lendemain, Éric prit soin de récupérer les gadgets, en attendant que le calme revienne. Il prit ensuite le car, avec Laurent, pour se rendre en cours. Eric était curieux de savoir les réactions de son collègue sur ses vidéos qu’ils avait mises sur le site.

« Alors, quoi de neuf sur ton site, tu t’éclates toujours? »

« Tu parles, ouais y a un type qui nous dévoile les cuisses de sa mère! »

« De sa mère??? Tu rigoles…, et qu’en penses-tu? Elle est bien? »

« Si elle est bien?? Tu parles, bien-sûr…, waouh la salope, elle porte souvent des bas et tout…, franchement, il risque sa peau, mais il assure grave. Tu t’imagines si sa mère s’en aperçoit…, oooh le savon qu’il risque de prendre! »

« Oui, je m’en doute, et toi que ferais-tu à sa place? »

« Moi???? Moi, si j’avais une mère comme ça, j’irais plus loin! »

« Plus loin??? Comment ça?? »

« Ben, je sais pas…, j’irais sentir l’odeur de sa lingerie, etc…, hahaha! »

« Oui, je vois ça, t’es un vrai malade, mon lolo! »

La discussion prit fin, mais curieusement, Éric repensa à ce que Laurent voulait dire "aller plus loin". Le soir en rentrant, il passa à la cuisine faire un bisou à sa mère. Éric changea sa façon d’être avec elle, il ne voulait surtout pas éveiller les soupçons comme hier soir. Isabelle, quant à elle, fut ravie de son geste.

Il monta se laver. Après son bain, il se sécha ses cheveux, se regardant dans la grande glace de la salle de bain. Puis, lui revinrent les mots de Laurent. Éric se tourna vers le bac à linge. Son corps tremblait, mais il était comme attiré vers ce coffre qui cachait bien des trésors. Il avala sa salive et se dirigea vers le bac. Sa main retira le couvercle et comme par miracle, il tomba nez à nez avec un string en dentelle rouge.

Isabelle avait dû prendre sa douche en arrivant du boulot. Éric fixait, avec de gros yeux, ce tissu qui l’appelait de plus en plus fort. Comme forcé à le faire, il prit le string et le porta au nez. Une certaine odeur, inconnue, lui vint…, son cerveau ne se souvenait pas d’avoir, un jour, senti une odeur comme cela. Cétait nouveau pour lui. Éric s’emporta sans plus trop savoir ce qu’il faisait. Il sentait encore et encore, sa tête s’enivrait de cette odeur de femme mûre. Il porta sa main à sa queue et commença une branlette qui restera gravée dans sa mémoire.

Collé au mur, regardant vers le plafond sans faire attention, l’autre main avait rejoint celle qui le masturbait et, inconsciemment, Éric se branlait avec le string de sa mère.

« Oooh, ma…, mamannnn, mmmmm! »

Sa tête tournait à en perdre presque l’équilibre et ce qui devait arriver, arriva, Éric déchargea des flots de sperme qui inonda les dessous de sa maman. Cest après quelques minutes, qu’il aperçut le résultat de son geste. Le string en dentelle rouge était noyé de sperme.

« Éric…, chéri, dépêche-toi, le dîner est servi, ça va être froid! »

Eric regarda la porte, écoutant sa mère parler d’en bas des escaliers. Elle était loin d’imaginer ce qu’était en train de faire son fils adoré.

« Bon…, bon, pas de panique…, il…, il faut juste la remettre au milieu des autres affaires sales…, de toute façon, elle va pas s’en apercevoir, puisque ça va passer à la machine…, donc, pas de soucis! »

Éric remit la culotte, bien au milieu, de façon que sa mère en prenant le tas de linge n’ait pas la possibilité de voir son string souillé de son jus. Il s’habilla et descendit manger.

Nous sommes samedi, le lendemain matin, Eric partit avec Laurent traîner dans la ville comme de coutume. Antonio avait appelé Isabelle pour la prévenir qu’il rentrerait ce soir. Isabelle, ravie, de pouvoir se retrouver en famille, commença la matinée par faire une tournée de linges à la machine. Comme Eric lavait prévu, isabelle ne s’aperçut de rien pour le string et la journée se passa rapidement.

Eric rentra vers 18h00 pour accueillir son père. Tous les trois, ils passèrent la soirée ensemble devant la télé à manger des gaufres et pendant qu’il aidait à débarrasser avec sa mère, celle-ci vint vers son fils.

« Chéri, j’ai lavé le linge, ce matin! »

En entendant ces mots, Éric arrêta d’un coup d’essuyer la vaisselle, regardant sa mère.

« Le…, le linge, ouais, mais pourquoi tu me dis ça? »

« Pour te dire que tu as oublié un billet de 5 euros dans une poche de ton jeans, gros beta, fais attention, la prochaine fois, l’argent ne vient pas du ciel! »

« Oui…, oui maman, désolé! »

Éric, soulagé, regarda sa mère lui tourner le dos pour continuer la vaisselle. il est tellement soulagé qu’elle ne se soit aperçue de rien qu’il s’approche d’elle et la prend dans ses bras.

« Ben mon chéri, qu’est-ce qui te prends? »

« Maman, je suis tellement content que l’on soit tous réunis à la maison! »

Éric était derrière sa mère, la serrant dans ses bras, au niveau de la taille. Isabelle en était émue et elle posa ses mains sur celles de son fils devant elle. Eric lui fit un baiser dans le cou.

« Oh mon chéri, comme tu es gentil! »

Éric lui refit plusieurs bisous et Isabelle pencha son cou de l’autre côté, comme pour en demander d’autres. Éric comprit sur-le-champ et continua. Mais à force d’être comme ça avec elle, il se mit à bander. Isabelle lui disait des mots gentils comme " je suis fière de toi etc.".

Éric l’écoutait à peine, il pensait à sa verge qui était maintenant collée au cul de sa mère.

Ce soir-là, Isabelle portait un jeans et ses fesses étaient bien séparées en deux, permettant au membre de son fils de se placer au milieu. Isabelle sentit quelque chose, mais elle n’allait pas assez loin dans ses pensées, pour s’imaginer que ce serait une telle chose. Mais, toute les bonnes choses ont une fin, Antonio appela Isabelle.

Tout de suite elle vint le voir et Éric se retrouva seul, dans la cuisine, avec le pantalon de survêt, déformé par son érection. Éric en voulait presque à son père de lui avoir volé ce moment d’intimité. Éric partit les rejoindre dans le salon. Il pouvait voir son père, debout devant la télé, avec sa mère contre lui, en train de regarder une émission. Antonio posa une main sur le cul de sa femme. Éric, sans savoir pourquoi, en était jaloux.

Il leur souhaita une bonne nuit et partit dans sa chambre sans montrer sa haine. Ayant l’habitude d’avoir sa mère toute la semaine, rien que pour lui, il n’avait pas l’habitude de la voir s’occuper de quelqu’un d’autre, comme ça. Sa mère lui manquait curieusement. Son odeur, lorsquil l’avait serrée contre lui tout à l’heure, l’avait enivré. Il lui fallait quelque chose pour l’aider dans ses pensées et Eric pensa tout de suite à sa lingerie. Il partit dans la salle de bain et ouvrit le bac à linge. Il fouilla et tomba sur une culotte noire transparente. Éric regardait le tissu comme sil avait trouvé un trésor.

Ni une, ni deux, il retourna dans sa chambre et commença à se branler avec la culotte pour en sentir toute la douceur. Léjaculation ne tarda pas, tellement il était excité. Il déchargea en donnant de gros coups de reins. Mais d’un coup, il entendit quelqu’un monter les escaliers. Dans la panique, Éric balança la culotte souillée sous le lit. On frappa à la porte.

« Chéri, c’est moi, je peux entrer? »

« Oui…, oui, vas-y, maman ! »

Isabelle rentra, son fils l’attendait au milieu de la pièce, l’air de rien.

« Qu’est-ce qui se passe, maman? »

« Tu es tellement parti vite, que je n’ai pas eu le temps de te dire bonne nuit. Ça va? »

« Oui…, oui, ça va! »

« Bon, je te laisse, mon grand! »

Isabelle lui fit un bisou sur le front, loin d’imaginer qu’à quelques centimètres de ses pieds, il y avait sa culotte du jour, souillée du sperme de son fils. Elle sortit de la chambre. Aussitôt, Éric récupéra la culotte et repartit, sans bruit, dans la salle de bain pour y remettre la complice de sa jouissance dans le bac à linge.

Le lendemain matin, Antonio dut se rendre au Japon et risquait de ne pas revenir pendant au moins 2 semaines. Contrairement à avant, le départ de son père ne le chagrina pas plus que ça. Si avant, il trouvait que rester avec sa mère était ennuyeux, maintenant, c’était pour lui, un réel plaisir.

Lundi soir, mardi soir, mercredi soir, Éric se régalait de bonnes branlettes dans les culottes de sa mère. Celle-ci ne s’apercevait de rien, mais le jeudi soir, lorsqu’Isabelle prit le linge pour le mettre dans la machine, quelque chose sortit du tas de linge et tomba à terre. Isabelle mit le tout dans la cuve du lave linge et se retourna pour récupérer le vêtement au sol. Cétait son string rose en dentelle. Elle se pencha pour le récupérer, mais quelque chose la surprit lorsque ses doigts entrèrent en contact de la culotte. Aussitôt Isabelle se redressa et regarda ses doigts. Ils étaient enduit dun liquide épais et blanchâtre, elle frotta les doigts entre eux pour pouvoir déterminer ce que cela était.

Isabelle se demandait ce que pouvait bien faire cette texture dans son string. Elle prit le string à terre et le regarda. Le dessous était plein de ce liquide, Isabelle le porta au nez pour en sentir l’odeur. Elle fut scotchée!

« Non, ça ne peut pas être ça! »

Il y a tellement longtemps qu’Isabelle n’avait pas ressenti une odeur comme celle qu’elle vient de deviner. Il fallait qu’elle en soit sûre, car si c’est bien ce qu’elle imagine, ce liquide ne pouvait venir que d’un mâle. Hormis son mari qui n’est pas là, seul son fils pouvait en être l’auteur. Pour Isabelle, cette déduction fut un choc.

« Eric se masturbe dans mes culottes…, non c’est pas possible! », se disait-elle.

Mais pourtant, il fallait bien admettre que c’était bien du sperme qui se trouvait dans son string. Isabelle en fut toute retournée. Elle posa le string dans la machine en se disant qu’il devait y avoir une erreur.

Le soir même, lors du dîner, Isabelle regarda son fils en se posant des tas de questions, étant, même, mal à l’aise devant lui. Mais curieusement, l’image qu’elle avait en tête, était de l’imaginer en train de se masturber dans ses culottes. Elle sentit son bas-ventre lui jouer des tours. Il y a tellement longtemps qu’elle ne s’était pas retrouvée comme ça. Isabelle se maudit d’avoir de telles pensées.

« Oh mon Dieu, mais je suis folle, que m’arrive-t-il? », se disait-elle, en regardant son fils, la bouche ouverte.

Eric s’aperçut que quelque chose n’allait pas.

« Maman…, maman, ça va pas? »

« Je…, je, non, pas trop, je suis très fatiguée! »

« Ben écoute, va te coucher, moi je rangerai tout! »

Isabelle le remercia et partit dans sa chambre se coucher. Une fois dans le lit, elle repensait encore et toujours à son string, à son fils.

« Non, non, je suis folle…, que m’arrive-t-il? »

Elle a beau essayer de se battre contre ces pensées, mais rien n’y faisait. Limage de son fils était là, il se masturbait encore et encore. Ses lèvres intimes commençaient à la trahir et distillaient quelques gouttes de mouille. Sen était trop, sa chatte exigeait une caresse et Isabelle, contre son gré et avec honte, se laissa aller à un plaisir de doigtage d’une divinité absolue. Elle ne mit pas longtemps à jouir, avec la main devant la bouche pour couvrir les râles de jouissance. Elle sendormit en se promettant de ne plus jamais refaire une telle chose avec de telles pensées, aussi incestueuses que perverses.

Le lendemain, Isabelle se leva la première, comme d’habitude. Elle prépara le déjeuner, mais bizarrement, elle se sentait comme neuve et plus légère. Serait-ce cette masturbation d’hier soir qui lui aurait fait tant de bien? Il est vrai qu’il y a plus de 3 ans qu’elle n’avait pas joui, mais maintenant, il fallait oublier ce qui s’était passé hier soir.

Éric descendit à son tour et Isabelle recommença à jouer son rôle de mère comme elle avait l’habitude de le faire. Éric partit à l’école et Isabelle, étant le vendredi, fit le ménage, puis les courses.

Le soir même, Eric rentra des cours et courut prendre son bain. Il devait faire une virée en boîte de nuit avec Laurent et d’autres potes. Après son bain, ayant maintenant l’habitude, Eric fouillait le bac pour prendre un string de sa mère pour la branlette quotidienne. Cette fois-ci, c’était un string en dentelle noire. Éric, comme à chaque séance de masturbation, prit son pied. Après son affaire, il partit avec ses collègues.

Isabelle le regarda partir à travers la fenêtre de la salle à manger. Une fois encore, elle allait être inquiète toute la nuit. Elle monta lescalier pour regagner sa chambre, mais son regard fut attiré vers la salle de bain. En effet, Éric, tellement pressé, avait complètement oublié d’éteindre la pièce. Isabelle sy dirigea pour éteindre. Mais lorsqu’elle ouvra la porte, son attention fut attirée vers le bac à linge dont le couvercle n’était pas refermé. Tout de suite, Isabelle repensa à son string.

Elle tremblait, son cur battait beaucoup plus vite, comme aimantée par ce maudit bac, Isabelle s’en rapprocha.

« Mais…, mais qu’est-ce que je fais, moi…, je suis folle! »

Isabelle fit un tour sur elle-même pour sortir de cette pièce, mais lorsquelle arriva au pas de la porte elle se retourna pour regarder le bac.

« Bon, je vais juste voir…, juste pour m’assurer que je me trompe! », se dit-elle, en se trouvant une excuse.

Elle retourna alors près du bac et fouilla et là, Isabelle ne fit qu’un bond. Elle se retrouva face à face, les mains sur son string barbouillé d’un épais sperme. Isabelle ne savait pas comment réagir. Maintenant, c’était une évidence, son fils se masturbait tous les soirs dans ses strings portés le jour même.

C’était fou, c’était irréaliste…, mais bien vrai, pourtant! Elle lâcha son dessous et ferma le bac en claquant le couvercle et partit dans sa chambre.

« Je n’ai rien vu…, je n’ai rien vu! », se disait-elle.

Elle se coucha, prit même un somnifère, ne voulant surtout pas refaire la même bêtise qu’ hier soir et s’endormit.

Le lendemain matin, Isabelle prépara le déjeuner, Eric était rentré à 6h00. Il ne risquait donc pas de se lever tôt. Isabelle prit son déjeuner, elle devait, ce matin, faire tourner une machine. Ce qu’elle redoutait, c’était de retomber sur le string d’hier soir. Malheureusement pour elle, plus elle pensait à ça, plus elle sentait son bas-ventre lui demander des caresses.

« Non, stop…, il faut que ça cesse, arrête de penser à ça!

Elle prit son courage à deux mains, partit à la salle de bain et lança cette maudite machine. Isabelle ne s’est pas attardée sur le linge, essayant de combattre l’envie que lui demandait son corps.

« Voilà qui est fait! »

Isabelle sortit de la pièce en passant devant la chambre de son fils, elle l’ouvrit pour voir s’il dormait toujours. À peine la porte ouverte, elle entendit le ronflement de son fils. Elle sourit et passa la tête par lentrebâillement de la porte pour le voir dormir. Mais quelle surprise pour Isabelle de retrouver son fils en t-shirt et rien à la taille! Le sexe d’Eric se tenait droit vers le plafond. Isabelle ouvrit grand la porte d’un coup, fixant, sans retenue, cette verge qui semblait la narguer.

« Mais elle est énorme!!!! », se disait-elle, en silence.

Le sexe d’Eric devait bien faire 25 cm, mais c’était surtout la grosseur qui impressionna Isabelle. Elle s’approcha, oubliant toute morale, fixant ardemment ce sexe impressionnant. Éric était devenu bel et bien un homme, doté d’un sexe beaucoup plus gros que celui de son propre père.

Sans bruit, en jupe tailleur rouge avec des bas gris et pantoufle, Isabelle se mit sur les genoux, à côté du lit de son fils.

Elle regardait ce sexe, cette énorme queue, celle de son fils. Éric dormait comme un loir. Le bas-ventre de la femme jouait à nouveau avec elle. Son cerveau se battait avec son désir de toucher cette verge. Oui une verge, ce membre qui sert à faire l’amour, chose qu’il ne lui était plus arrivée depuis longtemps.

Le bien lui disait: " non je ne dois pas, c’est mon fils "!

Le mal lui disait : " juste le toucher, juste un peu et je m’en vais "!

Que pouvait choisir Isabelle? Le mal ou le bien?

Historikito

Bientôt la suite

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