JULIE ET LE SEXE

En discutant avec ma petite nièce Julie, jai voulu savoir, comment elle était devenue aussi accroc au sexe.

Elle vous raconte son histoire .

Mes parents assez souvent absents de la maison : mon père toujours en déplacement pour son travail, ma mère, son travail et ses amants.

Eh oui, une jeune et jolie blonde aux yeux bleus, comme ma mère, ne laisse pas les hommes indifférents, surtout quand cette jeune femme est assez disponible, et surtout en manque de sexe, du fait que mon père est très souvent absent.

Nous sommes donc, avec ma sur aînée, très fréquemment toutes les deux à la maison.

Nous dormons bien presque toujours ensemble, elle aime bien me caresser, cest elle qui ma tout appris sur le cul, au début, cétait des bisous, puis des attouchements, pour arriver à des pénétrations, avec les jouets de maman.

Jai tout de suite adoré ces parties de touche pipi avant de nous endormir.

Bien sûr, jai eu des petits copains, lors danniversaires, ou nous nous embrassons, et les filles, se laissent peloter.

Il ny a pas bien longtemps, lors dune boum, un garçon plus âgé que moi, en samusant, il ma fait boire de lalcool, quand jai été à point, il ma entraîné dans les toilettes, et a voulu que je lui fasse une pipe.

Sous lemprise de lalcool, et nosant refuser, de peur de passer pour une gourde, je lai pompé pendant vingt bonne minutes avant quil ne menvoie une bonne dose de sperme dans la bouche et sur mes seins quil avait dénudés pour les caresser pendant que je le suçais.

Depuis quelques temps, jadore me donner du plaisir en me masturbant, quand lenvie sen fait sentir, il est impératif que je succombe aux attouchements de mes parties sensibles.

Ce jour, après avoir déjeuné à la cantine du lycée, je prétexte auprès de mes copines un mal au ventre, et rejoint les toilettes.

Vous laurez compris, point de mal, mais surtout ma minette qui crie famine, je menferme dans les WC, baisse mon pantalon et mon slip, et plonge mon index dans mon abricot.

Mon minou, est déjà bien humide, jastique mon petit bouton en écartant les cuisses, ce qui ne fait qu’accroitre le plaisir, et la venue de la jouissance.

Pour mamener à jouir, il est bien souvent nécessaire que je me pénètre avec un gode, je regarde autour de moi, mes yeux sont attirés par le manche de la ventouse qui sert à déboucher les toilettes.

Je pense que ce manche en bois devrait faire laffaire et me procurer leuphorie que je recherche.

Je lessuie, le positionne sur le sol, jouvre bien mes cuisses, et descend lentement, en écartant les lèvres de ma minette avec mes mains à la rencontre de ce phallus de fortune, la pénétration, se fait assez facilement, vu mon état dexcitation.

Ainsi enfilée, je le fais coulisser dans mon intimité, en même temps, mon doigt sactive sur mon clitoris, le plaisir monte, monte, je sens ma mouille qui descend le long de mes cuisses.

Il me faut quelque chose de plus fort je décide de me lintroduire dans mon petit trou, ce que je fais en maccroupissant sur ce gode empreint de ma jouissance.

Prise par derrière, mes doigts sactivant dans ma chatte, ainsi que sur mon bouton, je sens très vite des vagues de chaleur menvahir.

Quelle belle salope je fais, dans mon état second, jentends du bruit derrière la cloison, mais la tête est concentré sur ce que je fais, le plaisir venant, je ny prête pas attention.

Ce qui mimporte, cest de menvoyer en lair, jai trois doigts qui sont plantés dans mon vagin, tandis que le phallus en bois coulisse assez profondément dans mes intestins.

Ainsi enfilée, et doigtée, je ne suis pas longue à exploser, ma tête tourne, ma jouissance coule le long de mes cuisses, quel pied je viens de prendre, je reprends doucement mes esprits.

Maintenant, jentends des rires et des chuchotements, qui proviennent de derrière la cloison, cest bizarre, cela semble être des voix de garçons, alors que nous sommes dans des toilettes de filles.

Je ny prête pas plus attention, je messuie, remet mon petit slip un peu humide, et rajuste mon pantalon, puis arrange ma chevelure qui a été mise à rude épreuve.

Je sors en titubant légèrement, quand je vois surgir trois garçons de type maghrébin, ils sont devant moi, et rient, le plus âgé, me présente son portable, sur lécran des photos défilent.

En regardant de plus prés, je suis stupéfaite, de voir que cest moi, entièrement nue, entrain de me masturber, le gode enfoncé dans mon intimité.

Je me sens perdue, je fais celle qui sen moque, et continu mon chemin pour rejoindre mes camarades.

Le plus âgé, que je connais de vue et qui se nomme Ahmed, se plante devant moi en me disant quils mattendront ce soir à la sortie, il est dit il dans mon intérêt de faire ce quil dit, sinon, ces photos circuleront dès demain dans le lycée, et seront envoyées sur des portables.

Jai déjà vue ce genre de photos circuler, je reprends les cours, tout cela me laisse pensive, que dois je faire, leur céder, ou me hasarder de voir ces clichés circuler dans létablissement.

Après avoir bien réfléchie, je ne peux pas prendre ce risque, et devenir la risée de mes camarades, cest décidé, je me plierai à leurs désirs.

Dans mon idée, je pense que quelques fellations et attouchements les calmeront et quils me laisseront tranquille.

Si ce récit vous a plus, et si vous souhaitez connaître la suite, faites en part.

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