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Vaginite d'irritation A consommer avec modération – Chapitre 3




Irritation vaginale 3

Vagin impraticable

A vrai dire, jaurais tort dintervenir immédiatement. Le traitement infligé à ma femme par René et Henri laissera des traces et des souvenirs. Ils viennent de se montrer sadiques en abusant dun vagin en mauvais état. Pendant que les trois protagonistes dorment, ma femme gémit dans son sommeil et des sanglots secouent son corps rose pâle affalé entre les deux corps poilus et bronzés des mâles écroulés sur le lit. René a promis à son comparse que son tour viendrait: la nuit sera longue et le meneur tient à tirer profit de mon absence provoquée pour asseoir définitivement son emprise sur Monique. Les festivités reprendront après un temps de repos.

Je sors et appelle sur mon portable. La sonnerie du téléphone retentit dans la maison. Je méloigne et laisse sonner 3 coups. Je raccroche. Quelques minutes plus tard je renouvelle lappel. Je ne vais pas les laisser dormir. La sonnerie doit secouer les neurones fatigués et résonner horriblement dans les crânes.

Je mamuse donc à envoyer des appels courts à intervalles irréguliers. Enfin la voix pâteuse de Moni répond, traîne un allo épuisé.

-Ma chérie, cest moi. Tu es déjà couchée? Es-tu malade, il est encore tôt.

Jentends un soupir.

-Non, je mennuie quand tu nes pas là. Jétais descendue à la cave. Doù mappelles-tu?

-De lhôtel. Jai cherché toute la journée une entreprise.

Jentends pouffer, quelquun sétrangle en essayant détouffer un fou rire.

-Ma chérie, je tiens absolument à prouver au directeur que je réussirai. Donc je vais continuer à chercher demain. Il est possible que je rentre très tard, après avoir conclu. Ca te fait rire?

-Non mon amour. Fais vite, ne me laisse pas trop longtemps seule.

-Je te rappellerai avant de reprendre la route.

Je peux retourner écouter.

Comme prévu, réveillés, les deux gaillards reprennent louvrage sur mon lit. Ils ont de la suite dans les idées. Moni a reçu lordre de redonner vigueur aux membres ramollis. Ils sont allongés sur le dos. Elle est entre eux, à genoux, penchée tantôt à droite, tantôt à gauche, elle astique lun dune main, tient lautre et le suce. Ils lencouragent en palpant un sein flottant, la croupe, le pubis qui veut se dérober. A chaque instant des mains la pincent, la chatouillent, parcourent les flancs ou le dos, pressent la tête penchée sur les deux queues. Elle change de bite mais avec la même méthode elle suce et branle. Des mains vont de la tête aux fesses par-dessus son dos courbé. Un majeur sattarde sur le petit cratère de son anus, le travaille et la fait grogner. Ils ont repris forme. René lattire sur son ventre, soulève la croupe, dirige son dard vers la cible et pique, tête de nud en avant, dans la voie la moins douloureuse, passe lanneau comme un suppositoire

Les mains sur les hanches il dirige le mouvement, la soulève ou la rabaisse, imprime un roulis, la fait tanguer. Autour de la queue le ventre décrit des ovales ou des balancements selon la fantaisie de son enculeur. Cependant Monique émet un râle de déplaisir.

-Non, ne recommencez pas. Lâche-moi, René. Oh! Aïe, nooon!

-Tiens bois un coup au goulot.

Je jette un il, ils sont trop affairés pour me voir. René a plaqué ses grosses pattes sur les seins et maintient contre lui le dos de Moni. Elle bat des pieds, retarde avec ses bras lapproche de linstrument de torture de lautre salopard. La vulve est étalée, baîlle rougie par la première charge .Henri tient un mollet, puis lautre et se présente devant la crevasse, ses fesses avancent, son gland se pose à lentrée, cherche sa voie, se lubrifie au contact des muqueuses irritées. Commence une longue plainte tirée en longueur, un cri de désespoir, puis viennent les invectives et les injures. En vain: ils ont décidé de lui faire une double pénétration, anale et vaginale, ils ne céderont pas aux pleurs, aux cris. Le pieu progresse, force le passage, écorche encore mais avance, gagne du terrain et crée une souffrance accrue. Quand elle jouira, elle cessera ses lamentations. Chacun sefforce de senfoncer et de bouger comme il se doit. René bien engoncé laisse à Henri le soin dimprimer le rythme et de fournir les poussées les plus fortes avec sa hampe huilée à la cyprine. Henri pilonne indéfiniment, mécanique réglée, inlassable, régulière, fonce ou ralentit, mais assurément défonce cette vulve devenue plaie béante. Monique est vaincue par la douleur du frottement rugueux dans son vagin dévasté. Elle geint, se fatigue de brailler, ahane sous les coups mais pince les lèvres et serre les poings. Ils font durer leur plaisir. Laccouplement séternise. Ils nobtiennent pas lorgasme de la femme. Fatigués, ils se jettent dans la recherche de leur seule jouissance, grognent en éjaculant hors les murs sur le ventre et dans le drap.

-Allez, nettoie nos queues, va te laver. Tu as mérité un repos bien gagné.

Je les laisse se fatiguer et redescends à mon poste découte. Dans une heure je téléphonerai, pour les inciter à ne pas perdre de temps et à jouir au maximum. Monique en gardera des traces et un souvenir cuisant ou cest à désespérer: pour moi ce sera compté comme le prix de son long silence. Elle navait quà me faire confiance et elle naurait pas à endurer le supplice. Demain je la renverrai chez le médecin et demanderai lavis du gynécologue ou dun urologue: létat de son vagin devra trouver une explication. On nest pas aussi mal en point sans cause. Jhésite encore sur la suite à donner. Je laisse passer ou je dois stopper le massacre en me montrant?

Hélas je me suis endormi, jai oublié le téléphone. Une nouvelle explosion de cris de douleur me réveille dans la chaufferie. En haut, ils ont repris leurs ébats.

Jobserve, René est seul en place derrière les fesses arrondies. Elle est maintenue à quatre pattes. Le buste, plus bas que les fesses, écrase ses seins sur la le ventre dHenri.

-Mets lui ta pine dans la bouche pour loccuper et la faire taire et mets lui un doigt dans le con. Jadore bombarder son petit cul de grands coups de bite.

-Si elle ne la ferme pas, change de trou.

-Ah! Non, plus ça. Plus aujourdhui.

-Daccord si tu promets quon recommencera dans quinze jours. Evite de recevoir le chibre de Paul, tu guériras plus vite. Sinon, tant pis pour ton ventre.

Ainsi donc, René va dicter la conduite de ma femme. Elle devra me repousser pour être en mesure de sunir à lui. Cest révoltant et insupportable. Sils se rendorment, plus dhésitation, je vais compenser linfériorité numérique par leffet de surprise. En attendant, il lime comme un forcené, se tend sur ses jambes pour attaquer par le haut, ses cuisses serrent le dessus des fesses, sa verge descend presque à la verticale, en piquée et il fait claquer son ventre contre lamortisseur des fesses. La bouche remplie du vit dHenri, ma femme ne peut émettre que des sons étouffés qui battent avec un tout petit retard les chocs et lintrusion répétée. Au train, René nobtient pas les cris de bonheur escomptés. Il va à la manuvre plus sèchement, la course de sa lance est plus courte mais plus rapide. Cest à peine si je vois sortir un tronçon de son tampon. Il appuie de toutes ses forces, comme si un centimètre de plus allait produire le plaisir dont il serait le pourvoyeur. La fatigue le terrasse. Les abuseurs permutent. Le harcèlement du rectum revient à la trique dHenri. Cest reparti pour un tour. Sans plus de résultat à larrivée. Monique semble désormais tout à fait incapable déprouver le moindre plaisir. Laccouplement se défait péniblement. Il envoie une giclée blanche sur le bas du dos. René vide la dernière larme de whisky, pousse un juron, tente de se relever. Je menfuis au bas de lescalier, lorgne sa sortie de la chambre et son retour avec une bouteille dalcool blanc, ma dernière mirabelle! Il entre dans la chambre goulot entre les lèvres.

-Tiens Henri, nettoie ta bouche, avale une rasade. Monique, toi aussi tu dois avoir soif. Tiens. Mais si, ça chassera les relents de foutre! Et glou et glou

Ils ronflent comme des tuyaux dorgue. Entre eux, tête-bêche, couchée sur le ventre, Monique cuve et fait des cauchemars. Eux se sont endormis le dos tourné à leur proie, face tournée vers lextérieur du lit.

Je rampe au pied du lit. Aux pieds inférieurs je noue des fils électriques souples. Leur sommeil est profond. Ils ne remarquent pas mes déplacements. Des fils sont glissés sous la tête, font le tour complet de chaque cou puis accrochés court aux barreaux de la tête de lit. Henri a tenté de rejeter le sien, mais il na pas insisté. Les bouteilles vides gisent sur la descente de lit. Je lie pieds et poings. Comme les autres je noue les membres de ma malheureuse épouse épuisée par lalcool et les excès sexuels auxquels elle a été soumise, je limmobilise et lassujettis aux barreaux du lit. A plusieurs reprises jai eu peur que les plaintes de Monique ne les réveillent. Le visage de Monique est méconnaissable, le rimmel y dessine de longues traînées qui souillent le drap. Entre ses cuisses, sous elle une large tache marque le drap, par les orifices une partie des charges de sperme est ressortie et sest étalée. Les brutes ont fait rougir le sexe et ses abords restent tuméfiés. Je vérifie que les liens sont solides et tendus de manière à empêcher les mouvements. A leur réveil, les deux bougres seront dos tournés à leur victime, ne se verront pas, sentiront la chaleur du corps malmené mais ne pourront plus le toucher.

La boisson et la fureur de la baise les ont assommés, je les ai neutralisés sans les réveiller! Pour achever ce bel ouvrage, je découpe trois bandes de toile collante que japplique délicatement sur les trois bouches, ainsi ne sont-ils plus absolument nus. Les deux sexes pendouillent défaits sur la cuisse inférieure. Je ferme la porte de la chambre et je vais à mon tour me coucher sur le canapé du salon.

Je mendors satisfait. Quand je me réveille il fait jour. Jentends des grognements. Le bâillon est efficace. Depuis combien de temps se posent-ils des questions? « Qui les a surpris, qui les a immobilisés. Qui, Où Comment? Pourquoi? » Ils ne peuvent pas discuter, émettre des hypothèses ou se rassurer. Pour accroître langoisse je lance un appel téléphonique avec mon téléphone portable. Comme hier soir je les laisse mariner dans leur jus et je réitère mes appels, ils peuvent supposer que le mari cherche à joindre sa femme. Comment expliqueront-ils leur absence au travail. Rien ne presse pour moi, je ne bouge pas. Ils vont avoir soif, faim, ils ont peur: je savoure leurs incertitudes. Javale un café et un casse-croûte et je laisse passer le temps. Leurs appels étouffés par le collant me distraient. Dehors les écoliers reviennent, il est midi. Puis il est deux heures. Je fais sonner le téléphone. Le moment de mon retour approche. Comment vais-je réagir en découvrant les trois corps nus dans mon lit? Ils ont de quoi se faire du mauvais sang. Chacun à sa manière doit y réfléchir. Surtout Monique!

Soudain une voix sexprime. Henri a détaché son bâillon.

-Hé! Y a quelquun. Ho René, qui a fait ça, tu mentends?

–HOUM, heu.

-Cest quoi cette embrouille. Il est tard. Qui va nous détacher? Gare quand lautre va revenir. Hé, au secours! Au secours.

Les doubles vitrages jouent leur rôle. Quil ségosille. Monique pleure, jentends ses sanglots.

Quatre heures, les gamins crient dans la rue. Henri appelle inutilement les secours. Jai jeté un il. Ils gigotent, les liens tiennent bien. Une odeur durine flotte dans la chambre. A pas feutrés, je sors par le garage, jappelle mon patron pour signaler mon retour. Une secrétaire répond, veut bien me communiquer le numéro de téléphone fixe de René et me dit « A lundi. » Cest jeudi soir.

Le vendredi matin, de lextérieur jappelle Laetitia, la femme de René et lui demande de passer chez moi.

-Mon mari est revenu avec vous? Vous avez obtenu le contrat quil avait préparé?

Je comprends, il a prétendu à sa femme que nous nous déplacions ensemble.

-Oui, tout a bien marché, mais il est très fatigué et souhaite que vous veniez le chercher

-Jarrive dans une ou deux heures, jai de la visite. Quil patiente. A deux vous ne verrez pas passer le temps.

Depuis trente-six heures ils sont couchés nus sans pouvoir bouger. Jachèterai un autre matelas, ils nont pas mangé, mais ont pissé au lit. Henri na plus de voix. Ils ont mijoté à petit feu, nont vu personne, me croient loin dici, se tourmentent dans la plus complète incertitude sur le sort qui les attend, ils ont faim et soif, ils jouxtent une femme nue près de leur peau nue. Ils lont désirée, ils lont prise par tous les trous, baisée, enculée, ils ont éjaculé dans sa bouche, ils lui ont badigeonné les seins et le ventre avec leur semence, ils lont martyrisée en lenconnant à tour de rôle malgré les horribles souffrances consécutives à une vaginite aiguë. Ils sont restés sourds à ses cris de protestation et à ses hurlements de souffrance. Et voilà quun mystérieux vengeur les a ligotés, saucissonnés et les laisse supposer quun châtiment ne va pas tarder ou que le mari va revenir et découvrir le tableau. Aux questions angoissées du complice, René ou Monique ne peuvent pas donner de réponse. La terreur qui le prend est contagieuse, cest pour moi une douce vengeance.

Jentre, une bouteille de vin rouge et un entonnoir dans une main. Henri sétrangle en me voyant. Il ouvre la bouche pour crier, lentonnoir lenvahit et faute de cognac ou de whisky je calme sa soif, longuement, patiemment jusquà épuisement du litron et dans lintervalle jobtiens le numéro dappel de Virginie, sa compagne. Il va pouvoir pioncer comme ses voisins de lit, muet pour des heures. Monique ne ma pas vu, René non plus. Henri ronfle.

On sonne.

Jaccueille une jolie jeune-femme. Dans lentrée elle me salue à voix haute. Là-haut René doit reconnaître cette voix; il est certainement surpris dentendre sa chère épouse! Je doute quil en soit ravi. Jengage la conversation avec Laetitia. Nous arrivons devant la chambre, je désigne le lit. La brave femme na pas besoin de longues explications devant létrange tableau. Elle pâlit, serre les mâchoires, minterroge du regard et dit

-Cest votre femme?

Cest tout, elle vacille. Je la conduis au salon et lassieds avant quelle ne sévanouisse. Cest une exquise créature, je ne comprends pas lattitude de René. Que trouve-t-il de plus à ma femme, sinon le plaisir de remuer une déception ou de me cocufier. Sil en était amoureux, il aurait évité de la blesser en lui imposant des rapports douloureux et il ne laurait pas offerte à son associé.

Jexpose ce que je sais. La dame reprend des forces, écoute attentivement mon récit, sèche ses larmes. Elle me prend la main et me ramène au pied du lit, dans ma chambre.

-Paul, prends-moi, clame la femme outragée.

A mon grand étonnement Laetitia relève sa robe, baisse sa minuscule culotte rouge à mi-jambe.

Elle pose ses deux mains sur la barre du lit, se courbe, présente, jambes écartées, sa croupe et sa fente, me tend son sexe. Le ton est déterminé, lordre parfaitement articulé. René baisse les yeux. Au contraire, Monique tend son visage vers moi. Un fessier adorable me provoque, deux hémisphères potelés séparés par une ligne profonde sébrouent sous mes yeux, présentent sous la raie du cul un fruit fendu plus que désirable; et la voix mapostrophe:

-Pourquoi se gêner, rendons leur la pareille. Viens

Malgré la fascination de ce sexe offert, malgré la révolution dans mon slip, je réussis à lever les yeux et rencontre le regard de ma femme. Ce quil exprime est indéfinissable.

-Alors, ça vient, tu es encore habillé?

-Un instant, je veux laisser parler ma pauvre épouse. Elle a eu tout le temps de réfléchir à ce quelle me dirait.

Jenlève son bâillon. Elle explose:

-Mais vas-y, prends-la puisquelle te le demande, que ce porc connaisse lui aussi ce que ça fait de voir sa femme emmanchée et collée à un autre homme. Venge-nous, punis ce salaud. Venge-la aussi.

Je pose une main sur le dos de Laetitia, ouvre ma braguette, tente dextraire un gourdin enflé par la vue du sexe à prendre. Je regarde encore Monique. Elle attend, sa colère est évidente, mais je lis dans ses yeux une sorte dinterrogation.

-Quoi, tu es impuissant, tu nas rien dans la culotte? Ta femme doit débaucher mon mari pour jouir?

Laetitia sest relevée, se retourne, main en avant, ouvre de grands yeux en découvrant mon érection: je suis privé de rapports complets en raison de lirritation de Monique, mon envie décuple mes moyens, ma bite réclame son plaisir et la délicieuse jeune femme qui lempoigne perd ses doutes sur mes capacités à la faire jouir. Elle se jette sur mon serpent, le porte à la bouche, lenduit de salive. Je vais me laisser faire.

-Non, Paul, pas toi, sil te plaît.

Monique a changé davis. Elle le crie. Cela me bloque, je repousse la bouche de la tentatrice.

-Tu nas jamais trompé ta femme? Elle a bien de la chance. Cest bon. Pardon.

Délivrez-nous pleurniche Henri de sa voix cassée et avinée.

-Que je vous dise. Il y a quelques mois mon mari aurait voulu organiser une partouze avec ce zigoto et sa copine. Jai refusé. Elle serait intéressée de voir quils se sont passés delle pour coucher à trois avec ta femme.

-Jy ai pensé et jai laissé un message sur son téléphone.

-Au fait, Monique, raconte-moi comment vous vous êtes retrouvés dans ce lit.

Monique, toujours attachée, avec gêne reprend la parole et confirme ce que jai déjà raconté à Laetitia. Celle-ci la cuisine habilement. Elle sest placée à côté de René. Jassiste alors à un spectacle inattendu. Des deux mains elle masturbe son mari, sans ménagement, elle tire sur le tube, repousse le prépuce, gifle le gland, y dépose la trace dun ongle, secoue, agite, branle, astique. Après 36 heures de repos forcé René a repris des forces. Il nargue lépouse cocufiée en dressant un étendard bien raide. Elle enrage, accélère les mouvements des poignets, serre, baisse, lève, tord. Ses mains montent et descendent sur la hampe inlassablement.

-Ah! Mon salaud, tu vas cracher. Allez, allez. Je vais te vider les couilles, tu foutras la paix aux femmes.

Elle sécarte, le sperme jaillit en jets puissants qui tombent sur le sol.

René est soulagé, mais se repent aussitôt. Lépouse furieuse reprend immédiatement la manipulation du pénis sans lui laisser le temps de baisser la tête. Elle me fixe:

-Je vais le vider et lui faire passer lenvie de papillonner dans le jardin des autres. Alors mon chéri, tu aimes? Non? Dommage pour toi. Nous navons pas fini.

La branlette devant témoins saccentue. La torture manuelle a raison de lentêtement. Jappelle la donzelle dHenri, cette fois elle répond. Son ami Henri veut lui offrir un plaisir nouveau. Bouche dégagée René reçoit à son tour lentonnoir et ingurgite un litre de gros rouge. Monique déliée quitte le lit. Toujours pieds et poings liés les deux cochons sont couchés sur le dos. Je demande à la victime de faire à son tour avec ses mains les gestes quelle a accomplis sous la contrainte, mais cette fois cest différent, je le souhaite. Quand un zizi atteint son maximum dextension, Laetitia serre à la base un lacet de chaussures. Monique sacharne sur lautre. Elle a lart et la manière et Laetitia serre un lacet sur ce manche dressé. Les verges restent gonflées.

-Je peux me doucher?

Pendant le bain de Monique, nous préparons de quoi nous restaurer.

-Ces deux pourris mont enculée lun après lautre, ils mont rabotée et mont détruit le vagin, je souffre comme une folle. Jai envie de les tuer.

-Contente -toi de les traire régulièrement, quils crachent jusquau sang!

Virginie est arrivée. Virginie a demandé pourquoi les deux chéris étaient liés. Virginie a compris. Virginie en colère cest une tornade. Elle nest pas très jolie, mais elle a de la poigne. Virginie sest gentiment posée sur les membres défaits et a vaillamment exécuté sur chacun une danse effrénée du popotin. Trois femmes se relaient pour les faire jouir, les veinards, seule Monique nutilise que ses doigts, les deux« légitimes » tiennent à user de toutes leurs possibilités. Laetitia sest payé Henri, a fait savoir à son mari René que cétait le début dune longue série de rencontres masculines. Il na pas pu râler, Il avait la chatte de Virginie sur la bouche et avalait un jet durine. Quand lun sendort il est aussitôt pris en main. Nous avons un week-end complet devant nous pour mesurer leur résistance et connaître leurs limites. Ils ne protestent plus. Les trois femmes font cause commune, se montrent solidaires et infligent la punition méritée aux infidèles. Je vois mal Laetitia rentrer chez elle, la tête haute, le sourire aux lèvres dans le sillage de son mari volage et violeur.

Nouveau revirement de Monique

-Mon amour mon sexe est actuellement impropre à la consommation par la faute de ces deux énergumènes. Je men veux de ne pas pouvoir munir à toi. Ta frustration mest insupportable. Si javais été plus courageuse nous nen serions pas là. A la réflexion tu devrais accepter la proposition de Laetitia. Vu létat de délabrement de la bistouquette de René, elle sera également privée damour. Il me semble juste que vous fassiez lamour avec mes encouragements. Je veux introduire moi-même ta verge dans sa foufoune, elle sera ma remplaçante, fera lamour par procuration. Je ten prie, pour lamour de moi, unissez-vous. Votre plaisir sera le mien. Je te promets que je ne serai pas jalouse.

Je suis bouleversé par autant dabnégation. Mais Monique me pousse vers une rivale avec trop de conviction. Elle na pas prévu la suite

-Et moi, dit Virginie, qui va me faire jouir?

Un sexe impraticable, deux en manque! Qui dit mieux?

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