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Belle-mère exhibitionniste et beau-fils voyeur – Chapitre 8




Nous sommes vendredi soir. Une semaine s’est passée depuis l’orgie familiale. Je me suis décidé à rappeler Janice et l’on doit se voir ce soir. C’est étrange de lui parler comme si l’on ne se connaissait pas alors que je l’ai vue nue, se faire jouir dessus par trois hommes. Quand elle arrive, elle est magnifique. Elle a un minimum de maquillage, des cheveux ondulants à tomber, porte une jupe courte sexy à souhait et un haut pas très décolleté. On se fait les bises et je l’invite dans un bar où je sais ne pas rencontrer mes copains qui seraient trop lourds. J’ai besoin d’être seul avec elle. Comme si je voulais me l’accaparer, à moi seul après l’avoir vue avec trois hommes en même temps. Je veux cet instant rien que pour moi, pour nous.

J’entame la conversation par des banalités. Les boissons commandées arrivent. Une bière pour moi, un cocktail pour elle. Ses doigts…

Des ongles longs à la perfection. Ils sont naturels, mais bien entretenus. Ce sont eux qui font que sa féminité me fascine. Ses yeux brillent. On n’a qu’une envie : de s’y noyer. Sa bouche, petite avec une dentition parfaite. Un rouge à lèvres subtil qui la met en valeur. Tout est parfait en elle sauf que je la vois encore sortir la langue pour lécher le sperme qu’elle a sur le visage. Ce samedi me hante et m’empêche de trouver une ouverture avec elle. Je décide d’aller aux toilettes. Elle se targue en me disant que ce sont les filles qui y vont d’habitude. Je prétexte que la bière agit. A-t-elle remarqué mon embarras ? Une fois dans les toilettes, je me passe de l’eau dans le visage. Il faut que je me rafraîchisse les idées et que je chasse ces images de mon esprit. Pourquoi ai-je décidé de revoir les films cet après-midi ? Surtout celui où elle se fait gicler dessus ? Voici le côté pervers de la perversion…

Je m’isole dans des w.c. et je tente de faire le vide en moi. Je reprends ma respiration calmement par de grandes inspirations et une longue expiration. Je le fais durant une minute ou deux. Cela me soulage et me permet de reprendre mes esprits même si le lieu ne s’y prête guère. Je ressors, me repasse un coup d’eau sur la figure et vais la rejoindre. Je m’excuse du temps mis prétextant la réception d’un coup de fil. On commence à s’amuser de la situation. On recommande une tournée. Cela va, j’arrive à la faire rire. On passe un très agréable moment, mes idées noires sont parties pour le moment et l’on profite de ces instants. Je l’observe triturer son verre avec les doigts, passer sa main dans ses cheveux…Pleins de petits signes qui me disent que je l’intéresse. On décide de bouger et c’est elle qui va aux toilettes avant de quitter le bar. Je la regarde de derrière. Tout est parfait chez elle. J’envoie mon père balader. Je veux tenter ma chance avec elle.

Je l’attends dehors. Elle revient avec le sourire et me propose de marcher. Il fait bon malgré la nuit tomber. Alors, on déambule. Elle me prend le bras, je la laisse s’y accrocher. Je sens la chaleur de son corps tout contre le mien. D’habitude, mon bras serait déjà parti l’enlacer pour marcher plus facilement, mais quelque chose me retient. Je ne veux pas gâcher ce moment. Alors on se promène. Nos pas nous mènent sur un banc en face d’un petit lac. On continue de discuter, je la charrie de temps en temps, elle me répond par des taquineries. J’ai l’impression de la connaître par cur. Je lui propose mon gilet, car elle frissonne un peu. Cela fait bien 1h30 que l’on est sur ce banc. Elle me demande de la raccompagner. On repart. Ce coup-ci, je l’enlace en prétextant que c’est pour la réchauffer. Elle ne se débat pas et se laisse faire. Sentir sa peau à travers sa petite jupe me fait frissonner de plaisir.

Se méprenant, elle me propose de reprendre mon gilet ce que je refuse bien évidemment. Nos pas vont dans la même direction et l’on s’en amuse. Elle ne connaît pas mon nom de famille et ne devine donc rien de suspect. Mais sa maison est avant la mienne. Je lui dis qu’elle est beaucoup plus loin. Elle me redonne mon gilet, et au moment de se faire les bises, m’embrasse sur la bouche. Je réponds à son baiser. Mais au contact de sa langue, l’image de son visage blanc du foutre de mon père et de sa langue qui va le récupérer me fait reculer. Elle se méprend une seconde fois en bafouillant « excuse-moi…Je ne voulais pas… » Et elle franchit son portail. Je la rappelle « Non. Attends ! Ce n’est pas ce que tu crois ! » Mais trop tard, elle rentre chez elle.

Et merde ! Saloperie ! Comment vais-je récupérer cela maintenant. Le plus dur était fait, j’avais juste à emballer…Fais ch…!

Je rentre chez moi. Il faut que je solutionne cela, et vite. Une fois dans ma chambre, je prends mon portable et veux lui envoyer un texto. Rien ne va plus, plus de batterie. Le temps de le mettre en charge et je m’endors avant d’avoir pu faire quoi que ce soit.

Je me réveille la tête dans le c…Non pas parce que j’ai trop bu, mais parce que je me hais. Avoir gâché une fin de soirée comme celle-là me dégoûte.

Il est neuf heures. Je prends mon portable et envoie un texto à Janice. Je m’excuse une nouvelle fois. Je bassine une prétendue rupture difficile avec une ex et que ne voulais pas brusquer les choses. Je lui demande de la revoir dans l’après-midi. Après une longue heure d’attente et alors que j’étais prêt à la relancer, elle me répond d’accord. Rendez-vous à quatorze heures au même bar que la veille. Ouf ! Ce coup-ci, pas de dérapage, il faut que j’assure au maximum. Pas question de la décevoir une seconde fois.

Alors je me lève et pars courir. Je n’ai pas vu : ni mon père ni Louise. Tant mieux. Je cours longtemps. Je fais entre douze et quinze km. Cela me permet de faire le vide, de ne penser à rien. Une fois rentré, je prends une douche et un déjeuner frugal. Toujours personne dans la maison. Bizarre. Je regarde l’heure. Treize heures. Une idée se précise dans ma tête…Et si…

Je veux en avoir le cur net. Comme je suis prêt, je vais chez Janice directement. 13h15, je sonne. Pas de réponse. Seconde sonnerie. Après quelques instants, j’entends quelqu’un arriver.

C’est Janice qui m’ouvre :

Ben vous en avez mis du temps.

Elle est en maillot de bain et en me remarquant enfin, elle devient blême. Je n’hésite pas, je rentre et l’embrasse fougueusement sur la bouche en l’enlaçant. Elle est surprise et reste tétanisée en se laissant faire. C’est alors que j’entends 2 bruits venant de deux endroits différents : de derrière moi, j’entends quelqu’un arriver en s’exclamant : « Ouahh Janice, tu as enfin ramené quelqu’un ? » Je reconnais la voix de sa sur. Mais surtout, j’entends de derrière Janice à l’intérieur de la maison, des soupirs et des gémissements qui ne laissent aucun doute sur ce qui est en train de se passer à l’intérieur. Je libère Janice de mon embrassade.

Elle est toujours immobile. Sa surprise est en train de tourner en panique. Sa sur est accompagnée de Kevin. Ils me saluent sur le perron de la maison en se présentant. C’est alors que Louise (que je reconnus facilement) se mit à hurler de jouissance. Enora comprit que quelque chose n’allait pas à la figure de sa sur alors qu’Erine, à son tour, exprimait son plaisir à haute voix.

Janice ? demanda Enora. « ça va ? » De mon côté, je jouais les mecs surpris de ce qu’il entendait. Kevin, comprenant certainement la situation, lança :

Ce doit être encore tes parents qui sont en train de regarder un porno.

Janice voulut sauter sur cette solution « oui, certainement, avec le volume un peu fort comme d’habitude…»

C’était sans compter que les deux couples sortirent de la pièce, nus comme des vers, mon père et Mathias avec une semi-bandaison, et Louise et Erine avec du jus qui avait coulé sur leurs cuisses.

Mon père se figea en me voyant.

Louise me regardait d’un air amusé.

Mathias fut simplement étonné de ma présence.

Janice se trouva une nouvelle fois blême.

Enora ne savait pas quoi dire.

Kevin regardait ses pieds.

Et moi, je ne savais pas quoi faire, car je ne pensais pas me retrouver dans cette situation ubuesque.

Erine lança simplement : « Ah ! Mais il est quand même venu ! Tu es un petit cachottier » lança-t-elle à mon père en venant vers moi.

Là, ce fut une surprise pour beaucoup de monde. Janice et Enora furent interloquées quand Erine me fit les bises toujours dans le plus simple appareil. A son contact, ma virilité se dressa instantanément, car sa poitrine vint s’écraser sur mon torse juste recouvert d’un tee-shirt.

Janice nous regarda semblant défaillir.

Pour donner le change, je lançais juste : « heu…Il se passe quoi, là ?? » En regardant mon père en totale débandaison. Louise ne s’était pas recouverte et Mathias voyant des explications à venir la prit par la main et ils firent tout simplement demi-tour pour retourner dans la pièce d’où ils venaient, laissant mon père décomposé.

Janice finit par lancer : « Vous…Vous vous connaissez ? » à sa mère :

Eh bien oui.

Et tu savais que…se retournant vers moi.

Je jouais les innocents : « je ne savais rien du tout. Je n’ai pas remarqué que c’était la maison de tes parents qu’une fois que je suis parti, vu qu’il faisait noir hier et que j’avais d’autres pensées en tête… »

Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ? demanda Erine.

Maman, je crois qu’en fait, c’est le petit ami de Janice.

Erine regarda Janice. « Mais alors, il ne…» dit-elle, en commençant à se couvrir les seins. Janice fit un non en remuant légèrement la tête pour lui confirmer que je n’étais pas censé être au courant de leur sauterie.

Eh bien, maintenant, il est au courant ! lança-t-elle à mon père. « Et on pourra espérer jouer tous ensemble dorénavant » susurra-t-elle à l’oreille de Janice

Maman ! répondit Janice offusquée pendant que sa mère s’en retournait, suivie de Enora et Kevin. Mon père leur emboîta le pas, voulant certainement éviter toute confrontation avec moi. De là où ils se rendaient, s’entendait Louise que Mathias, visiblement, ne voulait pas laisser en plan ainsi que le claquement de leurs fesses l’une contre l’autre. De la part de Louise, cela voulait certainement dire :« alors ? Tu viens ? »

Mais avant, il y avait le moment de vérité. Janice aura-t-elle le courage de me dire la vérité ? Si c’est le cas, cela voudra dire qu’elle tient à moi et qu’elle veut bâtir une relation de confiance. Et dans ce cas, il faudra que moi aussi je lui dise que j’étais au courant de tout ce qui s’était passé la semaine d’avant. Et là, c’est moi qui n’en menais pas large pour le moment.

Janice, gênée par les râles de Louise, me prit par la main et me fit sortir.

On s’est assis sur les marches. Elle ne savait pas où se mettre ni quoi dire. Je la laissais lentement reprendre ses esprits.

Ecoute. Après ce que tu viens de voir, je ne vais pas te mentir. Mais ne me juge pas, ne NOUS juge pas s’il te plaît. C’est comme ça, c’est la vie que nous menons et qui nous plaît. Et je n’y changerais rien, parce que c’est la vie que j’aime. Nous sommes une famille très unie, comme tu as pu le constater. En fait, nous sommes plus qu’unis. Nous nous aimons tous. Au point de nous aimer au niveau charnel. Nous exprimons notre amour en nous donnant nos corps. Je sais que cela peut paraître odieux, mais c’est comme ça. J’aime mes parents et ma sur et c’est réciproque. Et nous apprécions quand un couple s’immisce dans notre amour comme tes parents aujourd’hui.

Si je te raconte ça aujourd’hui, c’est parce que je tiens à toi. J’ai passé une agréable soirée hier. Et j’aurais volontiers continué à flirter avec toi. Si on avait été plus loin, il est certain que je t’aurai parlé de ce côté de ma vie et t’aurais préparé à ce que tu viens de voir. Là, tout est fichu.

Je la sentais prête à se mettre à pleurer. Alors, je décidais, moi aussi, à tout lui avouer :

Non. Rien n’est fichu. Moi aussi, je ne voulais pas que ça se passe comme cela. Et c’est pareil. S’il te plaît, ne me juge pas non plus. Moi aussi, j’ai fait quelque chose d’immoral à t’avouer.

Elle me regarda d’un air intrigué, visiblement en totale incompréhension.

Je lui racontais alors toute ma machinerie de caméra, le fait d’avoir enregistré régulièrement les ébats de mon père et Louise, celle-ci sachant la présence des caméras, mais aussi les avoirs enregistrés le week-end d’avant.

Si tu savais comme je regrette ce que j’ai fait. Dès que je t’ai vu, j’aurais dû couper les caméras. Je m’en suis voulu toute la semaine, mais je voulais te revoir. C’est ce qui m’a mis mal à l’aise hier soir. Quand tu m’as embrassé, je me suis senti te trahir. Vous avez un côté incestueux, moi j’ai un côté voyeur. Mais je ne voudrais pas que cela ternisse ce qui est en train de naître entre nous deux. Moi aussi, j’ai beaucoup apprécié notre soirée et connaissant ton secret, je suis malgré tout prêt à aller plus loin avec toi. Si seulement tu arrives à me pardonner.

Janice resta sans voix après ce que je venais de lui avouer. Et après un moment de ressaisissement, elle se décida à m’embrasser. Ce fut un long baiser ou nos langues tournoyèrent ensemble. Un baiser, comme pour sceller nos secrets à jamais dans l’oubli et recommencer à zéro. Elle me regarda ensuite dans les yeux : « Viens, suis-moi. »

Alors, elle me prit par la main et nous rentrâmes de nouveau dans la maison. Une fois la porte fermée, on entendit les halètements des trois couples dans la pièce d’à côté. Elle me guida par des escaliers dans sa chambre, ou, sans retenue, elle se retourna pour m’embrasser de nouveau. Je lui rendis son baiser en l’enlaçant. Mes mains parcoururent son dos, mes doigts défirent les lacets de son haut de maillot pour le faire tomber. Je n’eus pas le temps de lui prendre les seins qu’elle s’était agenouillée pour baisser mes vêtements, et saisir ma hampe droite. Elle la branla trois ou quatre fois en me regardant dans les yeux avant de plonger la tête pour la prendre en bouche.

Oh mon Dieu ! Je reçus une décharge de plaisir lorsque je sentis sa langue sur mon sexe. Cela faisait tellement longtemps…Je la regardais me faire une fellation d’enfer en lui caressant les cheveux. Elle s’y prenait tellement bien, ou alors justement, cela faisait trop longtemps, qu’elle me fit monter la sauce très rapidement. Je lui signalais que c’était trop bon, que j’allais venir si elle continuait ainsi, mais elle ne se démonta pas et continua son talentueux massage buccal. Trop content de cet instant, je me laissais aller et la regardais me garder le sexe en bouche pendant que je déchargeais ma semence avec violence au fond de sa gorge. Elle ne se défila nullement et garda mon sexe jusqu’à ce que je me fus vidé entièrement. Elle me fixa dans les yeux en avalant la dernière gorgée et entreprit de me remettre en forme sans lâcher le moins du monde mon sexe. J’étais aux anges.

Elle avait vraiment du savoir-faire, car elle me remit d’aplomb rapidement. Ne voulant pas la laisser en reste, je la relevais et la fis s’allonger sur le lit. Je lui retirais sans ménagement le bas de son maillot et à mon tour, ma langue entra en action dans son antre. Elle partit elle aussi au quart de tour et prit rapidement ma tête entre ses deux mains pour me guider. Ma langue jouait avec son clito et descendait ensuite récolter son jus d’amour qui coulait. Elle haletait rapidement sous mes coups de langue et finit, elle aussi, à jouir très rapidement. Je crois que je n’avais jamais fait jouir une fille de la sorte avec autant d’intensité. Elle me releva la tête et m’invita à la pénétrer. Je n’eus qu’à me mettre sur elle, mon sexe trouvant son entrée brûlante s’y engouffra entièrement. Elle jouit quasiment à mon intromission.

Elle releva ses jambes sur mon dos, m’emprisonnant quasiment, et je me mis à la labourer. Les sensations étaient divines, son sexe enveloppant le mien à la perfection. A chaque poussée, elle m’encourageait par des : « Oh oui ! Oh ouui ! Encore ! Encore ! …» Je la regardais jouir sous mes coups et cela me donnait encore plus de vigueur. Elle finit par jouir encore plus fort. Je ne lui laissai pas le temps de se ressaisir et la retournai. Je lui soulevai le bassin et la pris en levrette. Son sexe luisant de cyprine facilitait mon intromission et je me remis à la besogner. Le fait de m’avoir fait juter une première fois faisait que j’arrivais à tenir la cadence. Janice s’était remise à haleter sous mes coups profonds. Elle semblait ne plus avoir de force et finit par crier une nouvelle fois sa jouissance alors que les contractions de son vagin eurent raison de moi et que j’explosais au fond de ses entrailles. Je restais enfiché en elle pendant un long moment avant de me retirer.

Je regardais son sexe expulser une partie de ma semence qui coula sur son lit.

Elle s’avachit quasi inerte, tentant de reprendre ses esprits quand j’entendis quelqu’un applaudir derrière-nous. Nos deux têtes se retournèrent et je vis Erine qui se tenait debout, nue.

Eh bien ! Bravo jeune homme. Je crois que je n’ai jamais entendu ma fille jouir avec autant d’intensité. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé.

Maman ! S’il te plaît ! répondit Janice.

Quoi ? Il faut bien dire ce qu’il en est. Ne dis-je pas la vérité ?

Si maman, c’était super génial ce qu’il m’a fait.

Et alors ? Es-tu prête à partager maintenant que tu l’as étrennée ?

Maman, on vient à peine de se mettre ensemble…

C’est pas un souci. A ce que je vois, il a de la réserve.

En effet, cette discussion irréaliste entre la mère et sa fille, nue toutes les deux devant moi, faisait que mon sexe s’était remis en semi-bandaison.

Elle s’approchait de moi alors que je regardais Janice. Je sentis une main sur mon sexe encore maculé de sperme et de cyprine. Janice laissa sa mère faire et me fit comprendre que cela ne dépendait que de moi. Le temps de me retourner, sa mère s’était déjà penchée pour me sucer. Elle était aussi experte que sa fille. On devinait qui avait appris à l’autre. Mon sexe ne mit pas longtemps à durcir sous ses coups de langue malgré le fait d’être venu deux fois rapidement. Ma main droite partie à la recherche de ses seins qui pendaient, pendant que la gauche flattait les fesses de Janice. Les seins étaient fermes et naturels. Les tétons durs faisaient frissonner Erine quand je les pinçais légèrement.

Elle finit par se relever. « Je peux essayer ? » demanda-t-elle à Janice. Celle-ci haussa les épaules comme si cela lui était égal. On avait l’impression que je n’étais qu’un jouet qu’elles se partageaient.

Mais bon, avoir la possibilité de baiser la mère après la fille était un fantasme de beaucoup d’hommes et qui ne se refusait pas.

Qu’en dit le jeune homme ? Au vu de sa forme, il a l’air tout à fait partant. Je n’arrivais pas à dire un mot et ne pus qu’acquiescer.

Alors, elle me poussa sur le lit. Janice se redressa pour me faire de la place. Je me retrouvais ainsi sur le dos avec ma bite en l’air. Erine monta sur le lit et sur moi pour m’enfourcher. Son antre était chaud, mais visiblement tout poisseux. Mon sexe se retrouva couvert d’une mixture blanche et le bruit de notre accouplement au niveau de son sexe était bizarre. Janice s’était redressée sur les genoux et s’approcha de sa mère pour l’embrasser sur la bouche. C’est la première fois que je les voyais ainsi. Puis, Janice descendit pour sucer les tétons tendus, ce qui fit haleter Erine. Cette scène me revigora encore plus que la fellation précédente. Je me sentais remplir le vagin d’Erine. Mais elle finit par sortir mon sexe.

Je veux essayer maintenant, dit-elle.

Elle avança son bassin légèrement et s’affaissa pour faire entrer mon sexe dans son cul. Mon sexe luisant de lubrification diverse n’eut presque pas de mal à entrer dans son fourreau étroit. Je n’en revenais pas d’enculer aussi vite la mère de Janice. Celle-ci la regardait faire. Le cul plus étroit d’Erine me procurait plus de sensations que son vagin. Janice bougea et vint se mettre à califourchon sur ma bouche m’invitant à lui lécher son sexe d’où s’échappaient encore quelques gouttes de mon sperme. J’étais plus qu’aux anges, j’étais au paradis. J’entendais la mère et la fille s’embrasser et je sentis devant ma bouche une main s’agiter certainement sur le clitoris de Janice. Je sentais aussi une main à proximité de mon sexe qui devait également caresser le clito d’Erine pendant qu’elle montait et descendait sur mon sexe. Les sensations étaient incroyables, son cul était parfois étroit et parfois s’élargissait pour me laisser entrer dans toute la profondeur de mon sexe.

Plus je sentais les mains s’agiter, plus les 2 femmes émettaient des râles de plaisir.

Ce fut Janice qui vint en premier sous mes coups de langue ou victimes de la main baladeuse. Elle s’écroula de côté pour se ressaisir. Je pus ainsi me concentrer sur Erine et son petit trou. Je la saisis par les hanches alors qu’elle se pencha en arrière me dévoilant sa chatte béante pendant que mon sexe pilonnait son fondement. Elle se suréleva un petit peu me laissant tout loisir de la pistonner à ma convenance. J’étais déjà venu deux fois, mais mon sexe paraissait au summum de sa forme et Erine commença à crier son plaisir lorsque jaillit de son sexe le liquide tant convoité qui exprimait sa jouissance. Elle lâcha trois ou quatre saccades m’inondant le torse jusqu’à mon visage et les contractions qui en résultèrent pour expulser ce liquide me firent exploser au fond de ses entrailles. Je sentis mon sexe s’envelopper de la chaleur de mon sperme dans son fondement redevenu subitement étroit.

J’avais l’impression d’être aspiré et de ne plus finir d’éjaculer ainsi jusqu’à la dernière goutte de ma semence. Erine s’écroula sur moi, encore profondément soudé ensemble.

Oh mon Dieu ! Que c’était bon ! Oh mon Dieu ! Y a pas à dire, les petites queues ont parfois du bon.

Je fus estomaqué par cette phrase. Ayant senti ma réaction, elle se rattrapa.

Mais non, rassure-toi, c’est pas ce que je voulais dire.

En tout cas, pour mon deuxième enculage, tu m’as fait chavirer.

Je jouais les innocents : « Comment ça, deuxième ? »

Pour tout t’avouer, mon mari m’a seulement sodomisée la semaine dernière. J’avais trop peur de la chose vu la taille de son sexe et je n’ai jamais voulu essayer autrement. Et là, rien de tel qu’un sexe de la bonne taille. Janice, je pense que tu vas bien t’amuser de ce côté-là. Ta sur aussi d’ailleurs; même si elle aussi a tenté l’expérience tout à l’heure. Non sans difficulté.

Maman s’il te plaît, il vient juste d’arriver.

Et alors ? On s’est bien amusé non ? Allez, venez. Ne faites donc pas chambre à part. Venez vous joindre à nous.

Ce faisant, elle se releva pour libérer mon sexe devenu flasque et poisseux à son tour.

Je vais faire un brin de toilette avant si vous le permettez, dis-je.

AH ! Mais au fait, c’est ce que j’étais venu faire avant que je ne vous entende par la porte. Donc j’y file. A tout de suite.

Je la regardai partir et vis mon sperme s’échapper de son cul et s’écouler le long de sa cuisse.

Je me redressai le torse encore trempé et le lit humide des sécrétions d’Erine.

Voilà ! Bienvenu dans la famille.

Je lui pris la main et l’attirai vers moi. « Si cela te convient, cela me convient aussi. » Et je l’embrassai.

On retourna, après s’être douché, dans le salon où l’on retrouva les trois autres couples à qui l’on se mélangea. Je pus ainsi honorer les deux trous de Louise sous les yeux jaloux de mon père; et commença pour moi une nouvelle vie.

FIN

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