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Suis je normale? – Chapitre 2




Suite de mon histoire Tirée dun fait réel je préfère signaler quelle est très romancée. Jespère que cela vous plaira encore

A peine arrivés, nous sommes accueillis par les amis de mon oncle et ma tante. Léa et Marc sont un couple de cinquantenaires, exploitant une entreprise artisanale spécialisée dans les produits bio. Leur maison est immense, avec un beau terrain et une superbe piscine qui égaille mes pensées.

Léa nest pas grande, elle mesure environ 1m60, elle est brune, élancée, de type méditerranéen avec une poitrine très grosse, 95D. Les miens à côté font pâle figure !! Marc, lui, est aussi grand que mon oncle, massif aussi mais avec des longs cheveux blancs toujours coiffés en queue de cheval.

Ils ont des vaches, des lapins, des poules. Ils produisent du lait, du fromage, des gâteaux, des pâtes fraiches. Ce sont des fermiers mais ils nen ont pas lapparence.

Généralement, leur maison fait gîte détape mais cette année ce nest pas le cas, ce qui marrange, je vais pouvoir profiter du confort seule ! Je vais pouvoir lézarder tranquillement au soleil pendant ces quelques semaines.

Après avoir déchargé la voiture, ranger nos affaires, Marc nous invite à nous relaxer dans la piscine. Il ne faut pas me le dire deux fois ! Je monte dans ma chambre (joccupe la chambre voisine à celle de Vincent et Alice, nous partageons un balcon). Je me déshabille très rapidement, je sors mon maillot, le passe et lajuste. Cest un nouveau maillot de bain, je lai acheté aux USA, il est trop beau ! Je prends mon paréo et je sors de ma chambre .La tête ailleurs, je ne vois pas Vincent et le percute de plein fouet. Toute maladroite que je suis-je mexcuse, il en fait de même et alors que je file dans lescalier je remarque son regard sur ma poitrine, sur mon paréo et je sens surtout son malaise puisquil bredouille quelques mots incompréhensibles. Je méloigne amusée et un peu fière aussi de le déstabiliser ainsi

Jarrive sur la terrasse, jétale la serviette sur un transat, je massois et prend dans mon petit sac de la crème solaire que je commence à appliquer sur mes bras, ma nuque, mes jambes Jen mets aussi sur mon ventre, le haut de ma poitrine, mon visage Je tente aussi den étaler sur mon dos, mes hanches et mes fesses (puisque mon maillot est échancré) mais je ny arrive pas. Dommage que Vincent ne soit pas en bas, il aurait pu maider. Je suis trop impatiente alors hop ! Je plonge dans leau. Elle est tellement bonne, tellement rafraichissante. Je nage quelques longueurs puis ressors et minstalle sur le transat. La piscine cest agréable mais cest mieux à plusieurs, là, je mennuie un peu ! Jai cru comprendre que ma tante était en train de faire une sieste et mon oncle doit sûrement être parti avec Marc et Léa faire un tour en ville. Du coup, mon IPod va me tenir compagnie.

Les musiques senchainent, le soleil tape sur ma peau. Je sens une légère bise qui me permet de ne pas me liquéfier sur place. Je suis couchée sur le ventre, les bras au-dessus de ma tête, lunettes de soleil sur le nez. Mon petit mètre soixante est confortablement installé, tellement bien que jai ôté mon haut et jai rentré un peu plus ma culotte dans mes fesses car je déteste les marques de bronzage. Petit à petit, dans ce coin de Paradis, je mendors

Jaurai aimé rêvé de Vincent mappliquant de la crème sur le dos, sur mes reins puis sur mes hanches et enfin sur mes fesses. Jaurai senti mes mains dhomme fort sur mon petit cul ferme mais menu, jaurai ensuite senti sa bouche dessus car il naurait pas pu résister à lenvie de lembrasser, de la caresser, de le malaxer. Jaurai senti mon corps petit à petit lui appartenir sans aucune résistance malgré linterdit et jaurai enfin senti son sexe en moi et nous naurions fait quun dans toutes les positions possibles Il maurait prise, fort, par derrière, sur le transat Hummmm Jaurai aimé Mais non ! Le rêve, si rêve il y a eu na pas dû être intéressant puisque je ne men souviens pas.

Cest en revanche le son des voix qui me sont familières qui me réveille. Jouvre péniblement les yeux sans bouger et je distingue les silhouettes dAlice, Léa, Marc et de Vincent. Ils sont installés autour dune table de jardin, à quelques légers mètres de moi et discutent de choses et dautres. Jentends que Bénédicte doit venir passer quelques jours avec nous. Béné, cest la fille de Léa et de Marc. Ils ont aussi un fils, Paul, mais il vit avec sa femme et ses enfants à Nouméa. Béné a la vingtaine, elle est plus grande que moi, environ 1m70. Elle est hôtesse dans une dintérim à Paris, elle suit en parallèle des cours à la fac de droit, elle est belle, très belle. Un pur produit du sud-ouest, une jolie brune aux yeux bleus verts, un sourire coquin et un accent chantant. Pour ne rien gâcher, cest une fille adorable et qui ne se prend pas la tête. Je ladore. On se connait depuis quelques années, on se voit lors de grandes soirées festives. Je passe toujours de bonnes soirées en sa compagnie. Même si au départ la différence dâge se ressentait, à présent on est un peu plus proche.

Bref, japprends quelle doit venir et jen suis très contente. Non pas parce que jai peur de mennuyer ici, mais ce sera toujours plus agréable avec elle.

En les écoutant, je constate que mon oncle est assis dans ma direction, plutôt, dans la direction de mon profil et de mes petites fesses rougies par le soleil. Je remarque quil laisse échapper un regard furtif sur moi. Je ne sais pas comment le prendre. Car sil est évident que je sois quelques peu perturbée par mon oncle (allez dire ça à mes strings !), ce dernier semble ambigu envers moi et je ne sais comment interpréter ses gestes. Jaime quand il me regarde, quand il est là, près de moi, dans la même pièce .Jaime le regarder et ladmirer.

Mais lui ?

Ses mots à laéroport, ses multiples regards, ses attentions Tout cela pourrait vouloir dire quil est attiré par moi mais à côté de ça il lui arrive aussi dêtre distant, parfois froid. Il peut aussi mignorer alors que je lui parle Je ne comprends pas. Je ne le connaissais pas aussi lunatique. Tout cela me perturbe. Mais quand même, quest-ce quil est sexy !!!

Je nose bouger, jai limpression quils nont pas remarqué que jétais réveillée. Il faut dire quavec mes lunettes fashion, il est difficile de dire si mes yeux sont ouverts ou fermés. Je le regarde et plus je le regarde plus je me rends compte que je le scrute, de haut en bas Je limagine Je nous imagine Dans la piscine, à nous chamailler, on séclabousse, on se poursuit, il me coule, je magrippe à lui… Je suis dans son dos, mes seins sont contre lui je regarde sa nuque je lembrasse doucement, des petits baisers il se retourne, je reste accrochée à son cou nous nous regardons ses lèvres se rapprochent des miennes je ferme les yeux Haaaaaaaaaaaa !!! Je suis trempée ! Marc vient de plonger et ma submergé deau ! Frustration ! Mais peut-être est-ce mieux ainsi. Je commençais à perdre la notion des choses et ma culotte devenait très, très humide.

Première soirée en Agenais. Petit barbecue préparé par les hommes, nous les femmes, nous préparons le programme de la semaine. Il est majoritairement constitué de farniente et de piscine avec quelques sorties dans les villages voisins pour les festivités locales et de saison.

Nous passons cette première soirée tranquillement, la viande est parfaite, la salade de Léa aussi, le temps est doux. Vers minuit, Léa propose une petite baignade nocturne avant daller dormir pour nous rafraichir. Cette proposition est acceptée à lunanimité et en moins de 10 minutes nous nous retrouvons tous dans leau. Cest quand même bien plus sympa que lorsque jétais seule !

Nous nageons, jouons au ballon, nous chahutons. Je mamuse à éclabousser mes camarades. Soudain, Vinent et Marc arrivent par derrière et me coulent plusieurs fois daffilée. Jarrive à mextraire de mes « agresseurs » et me propulse sur le bord de la piscine. Cest en voyant le regard médusé de mon oncle que jai compris que javais quelque chose « de travers ». Mon sein droit sétait délogé de mon maillot. Dans laction, jai du bouger, ou peut-être quune main ma malencontreusement déshabillé (volontairement ou non) et je ne men étais pas aperçu. Mon sein était là, sorti de son cache, ruisselant de gouttes deau, éclairé par les lumières des lampadaires extérieurs se trouvant autour de la piscine. Mon téton était dur, dressé, le petit vent frais de minuit faisait que mon tout mon sein était parsemé dune texture de « chair de poule ».

Je men suis rendu compte très rapidement mais mon oncle a eu le temps aussi de le voir, de le mater, de ladmirer de le désirer ?

Un coup de poignet et mon sein disparut à nouveau dans mon maillot. Je retournai dans leau mais les chahuts cessèrent et mon oncle quitta la piscine rapidement, me laissant seule sur ma faim.

Cet incident minime mavait amusé, mais avait renforcé mon questionnement au sujet de Vincent. Il lavait vu, admiré. Peut-être lavait-il imaginé dans sa bouche, mes mains sur son corps, sur ses cheveux lencourageant dans son action. Peut-être simaginait-il en train de me caresser partout, tout partout Peut-être avait-il envie de moi Ou peut-être pas. Il sétait détourné si vite

Au moment daller me coucher, jai fait le tour des pièces, des chambres pour dire bonne nuit à tout le monde et les embrasser. En arrivant à Vincent, je fus surprise par sa distance. Elle était sans méchanceté mais elle était là. Javais limpression quil sempêchait de quelque chose

Une fois dans mon lit, je me suis dit quil fallait que jen ai le cur net et décidai que le lendemain jallais tenter dêtre plus entreprenante. Après tout, je me sens réellement attirée par lui et même si mes 18 ans ne seront là que dans un mois, je devais enfin agir comme une vraie femme Comme une adulte !

En imaginant les différentes manières de faire, je me suis plongée malgré moi dans une excitation douce et chaude ma main descendit rapidement sur mon shorty. Dabord dessus, puis dessous. Mes doigts encore frais de leau de la piscine titillaient mon petit bouton tout dur. Une main sur mon sein. Celui qui avait été vu, admiré, désiré( ?) lautre en bas Des petits gémissements, des visions de Vincent nu sur moi, me prenant par les hanches, senfonçant dans ma vulve trempée. Son sexe dur, puissant et viril en moi. Je limaginais en me caressant et en menfonçant trois doigts en moi Je me masturbais fort, profondément, je ressortais mes doigts, les léchais, les réinsérais

Il ne me fallut que quelques petites minutes pour jouir puissamment. Lâchant mon plaisir dans mon oreiller que je mordais. Javais de plus en plus envie de lui.

Cest en pensant à lui, à nous, à nos éventuels ébats, à son sexe, que je mendormais, épuisée de désir

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