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Julie – Une nouvelle vie – Chapitre 2




Ça fait donc deux mois que Julie attend des nouvelles d’Hector au sujet d’un appartement qu’elle pourrait louer en ville. Elle s’ennuie, elle est en maque d’une bonne queue, et profite des codes qu’elle a piqué à son père pour se branler devant des vidéos de jeunes filles se faisant bien défoncer et avalant de belles quantités de sperme. Sa mère, qui a failli la surprendre un doigt dans le cul et un gros gode dans la chatte, lui annonce l’arrivée d’Hector. Ce dernier, porteur de bonne nouvelles, s’apprête à les lui annoncer.

Elle se souvient encore du grand gars baraqué qui venait souvent voir sa mère à la maison, mais c’était avant le clash avec son père il y a bien 8 ans. Julie n’a jamais su ce qui s’était passé entre eux. Elle fut très surprise en ouvrant la porte, de se retrouver nez à nez avec un quinqua bedonnant. Il était, certes, toujours aussi grand, et on devinait encore l’homme qu’il avait été, mais le temps ne l’avait pas épargné. Julie reconnaissait pourtant bien ce regard dur et ces mains très fortes, elle lui sauta au cou comme si les années n’avaient pas fait leurs ravages.

— He ben, quel accueil dis-moi ! Mais c’est pas possible, regarde-moi ça comme tu as bien grandi. Et y a tout s’ki faut là où y faut en plus.

— ça va, n’en fait pas trop quand même ! Maman, Hector est arrivé.

— Salut ma belle.

— Bonjour charmeur.

Julie sent bien à ce moment la relation qui a pu lier cet homme à sa mère par le passé. Mais pour l’instant, tout ce qui l’intéresse c’est de savoir si Hector a pu lui trouver un logement. Et en effet, il lui a bien dégoté une petite chambre en ville et dans son budget. Il la met en relation avec Marco, un de ses vieux potes antillais, quinquagénaire comme lui. Folle d’excitation, Julie s’empresse de contacter Marco :

— … Oui, allo ?

— Bonjour monsieur, je m’appelle Julie et je vous contacte de la part d’Hector qui me dit que vous avez peut-être un petit logement à me proposer ?

— Ah oui, la p’tite Julie. En effet, Hector m’a parlé de toi. Est-ce que tu es disponible cet après-midi pour une visite ?

— Oui, oui pas de problème.

— Bon tu vas voir, ça paye pas de mine, mais c’est salubre et c’est pas cher.

— Et le quartier ? C’est comment ?

— Ben c’est sûr que c’est pas le 16ème, hahahaha. Mais bon, en plus de mon PMU au rez de chaussé tu trouveras tous les services à proximité.

— Super, à tout à l’heure alors.

— Sache tout de même que j’ai pas mal de monde sur le coup. Mais Hector est un bon pote alors je vais quand même te faire visiter et tu me donneras ta réponse ensuite, OK ?

Merde, ça c’était un coup dur. Premier obstacle à passer, y a déjà de la concurrence juste pour se loger. Qu’à cela ne tienne, elle ne va pas se démoraliser si vite.

— Très bien, je vous retrouve à votre adresse pour 16H00 ?

— Oui 16H00 c’est bien. Noé s’occupera du bar, ça devrait l’faire.

Julie raccroche alors et retrouve les adultes, mais avec un air un peu renfrogné à l’idée de devoir se battre pour un malheureux logement à deux balles.

Sa mère se lève alors et se rend à la cuisine pour préparer un café. Julie s’assoit à côté d’Hector qui se rend compte de son désarroi.

— Qu’est-ce qui s’passe ? Marco a pas été cool ?

— Nan, c’est pas ça ! Mais v’là qu’y m’dit qu’y a déjà pas mal de monde sur le coup. Bon, il a bien noté que je venais de ta part, mais j’voudrais pas que cet appart’ me passe sous le nez.

— Oh, ça c’est rien, t’inquiète. Mignone comme t’es t’auras aucun problème à avoir l’appart’ !

— Comment ça ?

— Ben c’est simple, Marco il aime bien les belles poulettes, tu vois ? Il te suffit de mettre tes beaux atouts en valeur, et j’te garantis que l’appart’ il est pour toi.

— Nan mais t’es pas net, maman acceptera jamais que j’montre mon cul pour obtenir c’que j’veux!

— D’abord elle a pas besoin de l’savoir (Hector souligne sa remarque d’un petit clin d’il). Ensuite, dans la vie il faut te battre pour obtenir ce que tu veux. Et là t’utilises toutes les cartes que t’as en main, y a pas de pitié.

Julie se perd alors dans ses pensées. C’est vrai qu’en général, les mecs aiment bien la mater. Elle sait qu’elle est bien foutue, et c’est pour ne pas se faire emmerder par tous les lourdauds qu’elle cache ses formes. Du coup elle ne sait pas vraiment comment se mettre en valeur et il ne lui reste pas énormément de temps pour se préparer.

— Est-ce qu’au moins tu as des trucs un peu sexy à te mettre ?

— Ben j’ai bien un slim et quelques débardeurs mais je n’ai que des soutifs et des culottes banals.

— Bon le slim et le débardeur c’est déjà pas mal, mais prends un truc bien décolleté, j’le connais le Marco, il aime bien les grosses loches. Par contre pour les sous-vêtements, je te dirais bien d’y aller en mode commando si tu vois s’que j’veux dire (et encore un petit clin d’il pour appuyer l’allusion).

— Tu veux dire sans rien en dessous (chuchotant au cas où sa mère l’entende) ? Je sais pas si je peux, c’est un peu gênant quand même !

— En même temps tu fais comme tu veux, c’est pas moi qui ai envie de cet appart’ après tout.

— Ouais, bon j’vais voir.

— Bon, il faudrait peut-être te préparer ma puce. Lui lance sa mère en entrant le pot de café et deux tasses à la main.

Julie fait un bisou à sa mère et se dirige vers sa chambre pour se préparer. Elle fouille dans ses placards et en sort un slim blanc de coton fin et quelques débardeurs qu’elle étale sur son lit pour mieux faire son choix. Elle en sélectionne un blanc, moulant à fines bretelles mais relativement long et un autre modèle blanc aussi, en mousseline très fine et dos nu, un peu plus court et bien décolleté, que sa cousine lui avait donné l’été dernier au grand dam de sa mère.

Elle commence par enfiler son pantalon puis essaye le premier débardeur. Elle se dirige alors vers son grand miroir et l’image qu’il lui retourne et celle d’une jolie fille, certes, mais un peu banale. C’est vrai que sa culotte est bien voyante et que son soutien-gorge est bien trop visible dans ce débardeur. Julie prend une grande respiration et se décide à suivre les conseils d’Hector. Elle se déshabille de nouveau, mais cette fois c’est complètement nue qu’elle remet son slim blanc et qu’elle passe le dos nu. Elle enfile une paire de bottines à talons fins qui lui allongent la silhouette et retourne s’observer. Finalement, elle se plait bien dans cette tenue, c’est vrai qu’on voit bien la courbure de son petit cul, le beau galbe de ses jambes. Elle kiffe aussi ce petit haut en dos nu, mais elle se demande quand même si ce n’est pas un peu trop. En effet ses gros seins font remonter le fin tissu plissé bien au-dessus de son nombril, et la profondeur du V l’empêche de trop se pencher. Il faut dire que sa cousine n’avait pas ce genre de problèmes avec le peu de poitrine qu’elle a. Encore un moment d’hésitation puis elle se remémore les paroles d’Hector. C’est qu’elle en a envie de cet appartement. De toute façon, ça y est, elle est à la bourre, elle décide donc de couvrir un peu ses jolies formes avec une petite veste en jean’s fine, attrape un petit sac dans lequel elle glisse ses papiers et son phone et c’est parti. Plus question de faire marche arrière.

Comme à son habitude, elle descend à toute vitesse les marches d’escalier, à la différence près qu’elle ne porte plus de soutien-gorge. Résultat, ses gros seins sont secoués de bas en haut au rythme de la descente d’escalier. Heureusement sa mère et Hector sont encore dans le salon, ils n’assistent donc pas au ballet de ses grosses miches secouées dans leur carcan de tissu. Ne voulant absolument pas être en retard, elle fait vite salut de la main aux deux adultes bien trop pris dans leur conversation pour faire attention à elle.

— Bisou m’man, à tout’ ! Bise Hector.

— Bon courage lui répondent-ils en cur, avant d’éclater de rire.

Elle se rend alors compte à quel point ils ont dû être complices dans le passé, mais pour l’heure son avenir à elle est en jeu. Elle doit appuyer le pas si elle ne veut pas louper le bus. Mais ce n’est pas si facile d’avancer vite avec les miches qui se baladent dans tous les sens dans son joli décolleté. C’est sympa pour obtenir ce qu’elle veut, mais pas super pratique. De plus elle sent bien que son slim commence à lui rentrer dans la raie du cul. "Comment elles font celles qui ne portent que des strings ?". Julie arrive enfin à l’arrêt de bus, réajuste un peu son haut qui a tendance à laisser sortir ses gros seins. Merde ça à l’air désert, elle espère ne pas l’avoir loupé, nan c’est bon elle l’entend arriver derrière elle. Ouf, juste à temps. Confiante dans son avenir elle constate que tout s’enchaîne bien, sa mère la soutien, Hector lui donne de bons conseils, elle va même être à l’heure pour sa première visite. "Pourvu que tout continue aussi bien !".

Le trajet en bus est relativement long, elle en a pour une bonne heure quarante-cinq. Ce qui est bien en soit puisqu’elle sera obligée de se débrouiller seule. Ses parents adoptifs n’étant pas véhiculés, ils ne pourront pas lui venir en aide aussi facilement que lorsqu’elle était à la maison. Les portes battantes s’ouvrent et avec son plus joli sourire, elle demande un billet au chauffeur qui lui retourne son sourire et sa monnaie, mais elle constate tout de même que le regard de ce grand black ne cesse de faire des allés et retours entre ses yeux et sa poitrine. Un peu mal à l’aise, Julie essaye de réajuster les pans de sa veste sur sa poitrine, mais ses gros nichons l’empêchent de mieux la couvrir. Mais ce n’est pas tout, elle comprend ce qui attire tant le regard du conducteur. Dans sa course, le mouvement de ses seins, ou peut-être le contact quasi direct avec l’air ambiant, a faire grossir les pointes de ses mamelles. Déjà bien gros en général, ses tétons n’ont jamais été aussi volumineux à part peut-être lorsqu’elle se masturbe en se pinçant les seins. Mais là, elle voulait juste prendre le bus ! Merde, merci du conseil Hector. Ça ne fait pas cinq minutes qu’elle est dehors qu’un mec lui reluque déjà les nichons. Il faut dire qu’avec le plongeant du décolleté, la finesse du tissu, et la dureté que prenait ses mamelons, ce grand black avait de quoi se rincer l’il. C’est donc avec un petit sourire gêné qu’elle le remercie et se dirige au plus vite vers le fond du bus. Ce dernier redémarre avec un soubresaut, ce qui oblige notre jeune candide à se caler contre une des rambardes latérales, et sa poitrine d’osciller de nouveau au gré des bosses, des à-coups et des dos d’âne. Heureusement pour Julie, à cette heure de la journée le bus est vide, elle décide donc de rester appuyée à la rambarde, et attend l’arrêt suivant pour trouver une place assise. Dos à la vitre, les seins bondissant à chaque bosse et nid de poule de la route, elle offre un très joli spectacle au chauffeur qui, smartphone à l’oreille, l’observe dans son rétroviseur avec un sourire ravi.

Au bout de quelques minutes, qui lui semblèrent très longues, elle aperçoit enfin un arrêt de bus. N’attendant pas l’arrêt du véhicule, elle se dirige tant bien que mal vers le fond pour au moins avoir un peu de tranquillité pour le restant du trajet. Elle se trouve une place sur la banquette du fond, au moment où le chauffeur stoppe son véhicule et ouvre les portes battantes. Comme c’est le dernier arrêt avant l’autoroute, une quinzaine de passagers entrent chacun leur tour et prennent place sans trop prêter attention à la jeune fille bien calée dans son coin. Le chauffeur met un certain temps avant de redémarrer, ce qui inquiète un peu Julie puisqu’elle doit se trouver chez Marco dans moins de deux heures. Mais elle se dit que le chauffeur doit avoir des consignes pour assurer un meilleur service à ses usagers. Perdue dans ses pensées et ses inquiétudes, elle remarque à peine le groupe de jeunes d’une petite vingtaine d’années qui vient de prendre place bruyamment dans le fond du bus. Ils se charrient les uns les autres mais personne ne leur fait la moindre réflexion. De toute façon ce serait peine perdu, à cet âge ils jouent tous les petits caïds et de toute façon ils ne peuvent pas faire beaucoup de mal. De nouveau le soubresaut du départ, de nouveau ses gros seins qui oscillent dans son décolleté, de nouveau le plaisir de se rapprocher de son indépendance, seule l’ambiance a changé. L’attention du groupe de jeunes commence à se porter sur elle, en effet, elle croyait reconnaître vaguement certains d’entre eux.

— Eh, mais j’te connais toi ! T’étais au lycée c’t’année, non ?

Oh merde c’est bien ce qu’elle pensait aussi, celui qui vient de l’interpeler s’appelle Karim. Elle se rappelle bien de cette classe de Bac Pro qui emmerdait pas mal les filles un peu trop belles du bahut. C’est à cause de ce genre de petits cons qu’elle ne se mettait jamais en valeur. C’est bien son jour, tiens. Alors qu’elle sort un peu de sa coquille, la réalité la rattrape. Bon ce n’est pas grave, il suffit de l’ignorer et ça devrait se calmer tout seul.

— Vas-y, tu pourrais au moins nous dire bonjour au lieu de faire ta belle.

Boum boum, merde encore un maudit dos d’âne.

— Roooo la vache de paire de loches qu’elle a ta copine !

Ça c’est Michel un grand black qui traînait en dehors du lycée.

— Mais t’as vu comment ça bouge là-dessous. Vas-y fait voir !

Karim vient s’asseoir juste à côté d’elle sur la banquette, alors que Michel s’installe en face d’elle à genou sur la banquette de devant. Il reluque sans gêne les magnifiques obus qui bougent au gré des mouvements du bus.

— Salut les gars. Leur répond Julie, ne sachant pas trop quoi faire d’autre.

Les autres mecs commencent alors à se placer autour d’elle, formant un rempart avec le reste du bus. Plus personne ne doit vraiment l’apercevoir, perdue au milieu de tous ces mecs.

— Fais nous au moins la bise, tu vas pas nous snober non plus ?

Karim lui tend la joue lui faisant signe de l’embrasser. Elle ne veut pas d’emmerdes, pas aujourd’hui, c’est trop important ! Il faut qu’elle affronte le moindre obstacle. Elle approche alors ses lèvres de la joue tendue de Karim, et là, mouvement de tête, il lui bloque le visage de ses gandes mains, plaque ses lèvres contre celles de la belle, et lui roule une grosse galoche. Sa langue forçant les deux belles lèvres charnues de Julie, il l’embrasse goulument. Ses potes se mettent à hurler autour d’eux pour saluer cette belle victoire. Il continue de l’embrasser à pleine bouche. Boum boum, encore un putain de dos d’âne, c’est vraiment pas le moment !

— Putain les mecs, matez cette paire de insses, ça bouge sévère !

— Vas-y soupèse un peu pour voir.

La tête bloquée dans l’étau de chair de Karim, elle sent les mains baladeuses de Michel passer sous la mousseline fine de son débardeur. Il lui empoigne les deux loches à pleine main et commence à les peloter fermement.

— Merde, montre-nous, on voit rien.

Michel soulève alors un pan de tissu et tout le monde peut admirer les énormes tétons qui commencenet à bander sous les caresses sauvages du grand black.

— Allez-y les mecs profitez-en, c’est pas tous les jours qu’on pourra p’loter un morceau pareil.

En effet, de toute la cité où ils sévissent, le groupe de Karim est le plus faible. Ils ne récoltent donc que les boudins dont les autres bandes ne veulent pas. Alors se partager un beau petit lot comme Julie, c’est une aubaine qu’ils ne vont pas laisser passer. Ces paroles à peine prononcées, Karim repart à l’assaut de la bouche pulpeuse de notre malheureuse.

Michel s’occupe alors de sortir le deuxième nichon et en suce la pointe qui elle aussi se met à durcir. Il la mordille, et une deuxième main vient le peloter à son tour. Deux autres mains s’attaquent alors au premier nichon, le malaxant, pinçant et roulant entre les doigts la pointe qui bandait bien maintenant.

— Oh putain, y font au moins deux centimètres de long ses mamelons !

Contre toute attente Julie commence à éprouver un certain plaisir à se faire maltraiter de la sorte. Elle se remémore la petite asiatique de la vidéo de ce matin, est-ce qu’elle serait en train de vivre ce que subissent les meufs de « jesaisplusquoi-galons-de-sperme.com » ? Mais elle ne veut rien laisser paraître pour le moment, ce serait trop facile ! Elle se laisse aller à imaginer leurs queues et leur sperme lui remplir la bouche au moment où un autre mec lui mordille le deuxième téton. Et là elle ne peut plus se retenir, elle laisse échapper un petit râle de plaisir. Karim lui libère alors le visage, surpris de la voir prendre son pied.

— La chienne, putain, elle aime ça en plus. Attends, on va essayer un autre truc.

Il l’observe avec satisfaction rejeter la tête en arrière, les yeux mi-clos, se pinçant la lèvre inférieure, en train d’apprécier le pelotage de ses seins. Ses bourreaux alternent entre malaxage, succion, pinçage, mordillage. Karim se décale alors d’elle, la soulève un peu pour lui faire subrepticement changer de siège. Perdue dans son extase, Julie se laisse faire. Il change alors de place avec elle et un deuxième mec vient se placer à côté d’elle. Lui, elle ne le connaît pas, mais elle s’en fout. Il lui prend aussi le visage entre ses grosses mains de black et lui roule à son tour une grosse pelle bien baveuse. Alors que ses potes s’occupent des grosses loches et de la bouche de la belle, Karim lui prend la main droite et la dirige vers son entre-jambe. Il vient de dégrafer et de baisser son pantalon pour faire apparaître sa queue à moitié bandée. Julie laisse docilement Karim lui diriger la main vers son gros morceau de chair, elle commence à le masser de haut en bas, et le sent en train de bien durcir sous ses caresses. Toujours en prise avec la grosse langue du black, elle ne peut que deviner la taille de la queue qui grossit dans sa main. Elle a d’ailleurs bien du mal à en faire le tour avec ses petites mains fines. Elle semble être assez courte, mais bien grosse par contre. Il lui impose alors un mouvement de vas et vient le long de sa hampe puis décide de lui lâcher la main.

— Eh regardez les gars, elle me branle elle-même. On a tiré le gros lot cette fois je crois. Merci pour le tuyau Moussa, crie-t-il en direction du chauffeur.

C’était donc ça que tramait le chauffeur à téléphoner en conduisant et à attendre plus longtemps à l’arrêt de bus. Il avait prévenu ses potes ! Bon en même temps elle doit bien s’avouer qu’elle commence à aimer l’attention qu’ils lui portent. Elle n’a jamais ressenti ça, même en se branlant ce matin devant les pornos de son père adoptif. Cette sensation de ne plus rien contrôler la galvanise, l’excite ! L’anticipation de bouffer ces grosses queues, et peut-être sentir leur sperme chaud.

Et ce n’est pas son ex avec sa petite bite qui lui procurait le moindre plaisir. Il la sautait, se vidait en quelques minutes et pouf dodo. "Quand je pense que je lui ai donné ma virginité à ce bâtard !". Le deuxième black lâche un peu sa bouche pour, lui aussi, baisser son froc et la laisser le branler.

— Elle se débrouille bien c’te chienne, hein Mimi?

Ça devait être le nom du deuxième black. Oh la vache, ça c’est de la queue ! un peu plus fine que celle de Karim mais encore plus longue. Alors qu’elle imprime une bonne cadence à la branlette de ces deux belles queues, Karim se retire contre toute attente et apparemment laisse sa place à Michel qui lui aussi présente une bonne grosse bite aux caresses de la belle. Quelques instants plus tard, et dans un mouvement de contorsion, Karim enjambe la tête renversée de Julie, qui lui offre une belle bouche bien pulpeuse entre-ouverte. Il lui présente alors son gros gland bien gonflé que Julie aspire dans un gros bruit de succion.

— Merde ! Ça c’est vraiment de la chienne. On a bien fait de laisser tomber l’autre. Celle-là est bien plus docile que notre grande zabette.

Quoi, la grande zabette ? Mais ce serait pas sa cousine ça par hasard ? Mais pas le temps de tergiverser, Karim se met à lui pénétrer la bouche doucement pour commencer, afin de juger jusqu’à quelle profondeur il peut espérer entrer. Julie, elle, aspire ce gros dard, tente de bouger sa langue le long de ce vît de chair. La tête bien rejetée en arrière elle ouvre encore plus la bouche, détend sa gorge au maximum pour le laisser glisser toujours plus loin. Lui, semble bien profiter de cette position pour bien la posséder à fond et lui faire une bonne gorge profonde. Il arrive enfin à la garde, ses poils pubiens chatouillent le petit nez de la belle qui, la bouche bien ouverte, arrive encore à sortir sa langue pour lui lécher les balloches.

Bien excité par les capacités de Julie à lui aspirer la bite, il commence à lui baiser la bouche bien à fond et de plus en plus fort. Il lui burine la bouche comme un marteau pilon. Quant à Julie, c’est bien la première fois qu’on lui baisse la bouche aussi fort et aussi profond.

C’est donc, en public dans un bus, les seins exposés aux bouches de deux gros noirs et un arabe, une grande bite de black dans chaque main, et dans des bruits de succion et le "GUAH GUAH" de cette pipe bien baveuse que Julie entame sa nouvelle vie d’autonomie. Après de longues minutes à lui baiser la gorge, Karim ressort de la bouche de notre belle ingénue et branle cette queue bien baveuse avec vigueur à l’orée de sa bouche ouverte. Julie, en manque de cette belle queue essaye d’en aspirer le gland. La bouche grande ouverte, elle tire la langue et lui titille le frein. Il rapproche alors son gland tout gonflé de cette petite goulotte de chair et éjacule 4, 5, 6 bonnes doses de sperme au fond de la bouche et sur la langue. Julie est surprise par les deux premiers jets qui sont venu exploser au fond de sa gorge, puis elle sent la jute épaisse et visqueuse sortir doucement de cette bite, tapisser sa langue, et se rependre doucement dans sa belle bouche.

— N’avale pas surtout ! T’as compris ?

Il sort un smartphone et commence à filmer cette bouche ouverte, la langue bien tendue pleine de foutre. Michel prend alors la place de Karim à l’orée des lèvres encore pleines du foutre de son pote.

— T’as compris ? Tu avales pas encore.

Il pose lui aussi son gland violacé sur la langue toujours sortie de Julie. Elle redresse un peu la tête, et les yeux fermés emprisonne le chibre entre ses lèvres en l’aspirant doucement. Il commence à rentrer lui aussi sa grosse bite dans cette bouche chaude et gourmande, mais se contente de limer l’entrée de la bouche. Il attrape la main libre de Julie et la positionne pour qu’elle le branle pendant qu’il lui baise les lèvres. Julie sent son cur accélérer dans sa poitrine, une autre queue à vider, elle lui pompe ardemment le bout, accélère le mouvement de sa main, le ralentit. Elle joue avec cette queue comme elle jouait avec sa chatte ce matin. Les joues gonflées, et la bouche toujours pleine du foutre rance et gluant de Karim, elle donne des tout petit coup de langue à cette bite, l’enserre bien fort entre ses grosses lèvres pulpeuses. Après quelques minutes de ce traitement, elle sent le gland se gonfler sur sa langue, et un nouveau flot de jute vient se mélanger au foutre encore chaud de Karim qui ne perd rien du spectacle sur son phone.

Michel se retire, en appuyant bien sur son gland pour en extraire les dernières gouttes de sperme, puis cède la place à Mimi. A l’instar de son pote, il présente son gros gland violacé à l’entrée de la bouche de Julie et la laisse le branler pour vider, lui aussi, ses couilles au fond de la gorge de la belle. Cette fois la jeune pipeuse se contente de plaquer le sexe bien dur sur sa langue toujours sortie. Elle n’a plus la place dans la bouche pour recevoir cette queue. Elle le branle quelques minutes, tente tout de même de l’aspirer, mais se contente de sucer le gland entre ses lèvres. L’odeur du sperme dans sa bouche lui monte au nez, ça l’excite même. Elle sent sa chatte la titiller, réclamer ces queues qui lui baisent la gorge depuis le dernier départ. Mais elle ne peut pas se faire baiser en public, c’est déjà assez humiliant de sucer tous ces mecs ! Et si quelqu’un la reconnaissait et allait tout raconter à sa mère, ou à son père ! Non, ce serait la honte ultime !  Ça y est, elle sent de nouveau ce gland qui se gonfle, signe qu’il va bientôt cracher la purée.

Elle le ressort de sa bouche, continue de le branler, tire la langue en faisant bien gaffe de na pas faire couler de jute sur son débardeur. Mimi retire la main de Julie de sa tige, se masturbe et éjacule alors dans la bouche grande ouverte de sa petite victime. La bouche prête à déborder, Julie ne se rend pas vraiment compte de combien de gicler Mimi vient de l’arroser, mais ça a l’air pas mal.

Elle a maintenant la bouche pleine de sperme gluant, chaud, et rance, et a beaucoup de mal à la garder ouverte. Elle ressent le besoin de déglutir. Karim a dû s’en rendre compte puisqu’il lui intime l’ordre de bien tout avaler. Julie essaye tant bien que mal d’engloutir les trois grosses doses de foutre visqueux mais ce n’est pas facile. Après un ultime effort, elle parvient enfin à tout avaler et pense enfin être libérée de cette première épreuve. Mais c’était sans compter le deuxième trio de pervers qui avait fini par arrêter de maltraiter ses gros tétons, pour eux aussi filmer la scène de pipe sur leurs phones.

Julie, notre héroïne, est enfin en route pour visiter un appartement. Sous les conseils "avisés" d’Hector, elle a enfilé une tenue sexy et un peu provoquante pour mettre toutes les chances de son côté avec Marco. En route vers son avenir, elle est confrontée à une bande de six jeunes de la cité voisine qui profitent delle. Le premier trio s’est bien vidé les couilles dans la gorge de notre jeune eurasienne, et c’est maintenant l’heure pour une deuxième passe.

Les deux gros blacks l’encadrent pour la porter sur la banquette où ils avaient pu profiter de ces belles mamelles. Lun deux soulève le fin tissu qui protège encore un peu son intimité, pour exposer les deux grosses mamelles bien fermes et les tétons toujours bien durs et gonflés. Et c’est maintenant, allongée les seins à lair, la tête dans le vide, qu’elle sent l’arabe se placer à califourchon au-dessus de ces deux gros obus, qui maintenant pointent vers le plafond du bus.

Il lui crache un gros molard entre les deux seins, badigeonne sa longue bite de salive, et bien calé entre les deux mamelles, entreprend une bonne branlette espagnole. Julie n’a pas le temps de protester qu’un des deux blacks lui prend la tête entre ses deux mains, la lui bascule bien en arrière et lui présente à son tour son gros barreau de chair. Aussi large que celle de Karim mais plus longue, lui aussi entame une gorge profonde. Seulement là ce n’est pas le même morceau ! Après quelques essais infructueux, et beaucoup defforts de Julie à détendre sa gorge, il se cale bien à fond dans cette étroite gangue chaude et baveuse. Julie, la grosse bite plantée au fond de la gorge, et les grosses balloches pendantes sur le nez, ne peut plus respirer. Mais de nouveau, les vidéos de ce matin lui ont appris qu’il ne faut pas paniquer, il vaut mieux se laisser faire. Elle va bien arriver à reprendre sa respiration à un moment donné. Karim en profite pour faire un gros plan sur la bosse qui dépasse de la gorge de la belle, preuve que son pote est bien au fond. Le black se met alors à lui marteler la bouche, beaucoup plus violemment que Karim ou Michel, en prenant bien soin de se retirer entièrement régulièrement pour laisser à Julie l’occasion de reprendre sa respiration. De nouveau les bruits de gargouillis et de succions alternent avec les "HAN HAN" de plaisir de son bourreau. Il se retire une ultime fois pour lui éjaculer lui aussi dans la bouche. Elle peut cette fois l’avaler d’un trait.

Son répit est de courte durée puisque le cinquième larron vient prendre la place de son pote. Celui-là est plus dans la norme de ce qu’elle connait, alors après ce que venait de subir sa bouche et sa gorge, elle peut enfin prendre son pied en aspirant bien ce nouveau morceau de chair. De sa main droite elle lui caresse le dessous des couilles, lui malaxe les burnes, titille son périnée. Comme pour Karim, elle attrape la queue de son autre main, et commence à la branler. Ceci a pour effet dempêcher la bite de rentrer entièrement dans sa bouche, et permet à Julie de focaliser son attention sur le gland quelle samuse à aspirer, et à titiller avec la langue. Entre les bruits de succion on peut lentendre gémir de plaisir.

-Elle aime vraiment ça cte chienne. Moi qui la prenait pour une intello, cest une vraie nympho en fait !

Une bite entre les deux seins, et une deuxième dans la bouche, elle sent maintenant deux paires de mains lui attraper les chevilles et larrière des genoux pour bien écarter ces belles cuisses charnues.

-Eh mec, je crois quen plus elle a même pas de string ! Vient filmer ça, on voit trop bien son abricot.

-HUUUUUUMMMM !!!!!!!

La bouche pleine, Julie se cambre et gémit de plaisir au moment où la couture de son slim rentre entre ses grandes lèvres et appuie sur son clito.

-Hahahaha, regarde je crois même quelle mouille cte pute !

Un gros doigt sinsinue maintenant entre ses lèvres bien gonflées de plaisir. Seul le fin tissu de son futal la protège encore. Elle sent bien ce doigt appuyer le long de sa chatte, puis remonter jusquà son clito. Il la caresse, faire rouler son petit bouton contre son pubis, elle jouit comme une folle dans cette position.

-Regardez comme elle est trempée !

Un deuxième doigt lui caresse la chatte alors que le premier accentue la pression sur son clito et le branle de plus en plus vite. Ces attouchements accentuent son plaisir, elle accélère le mouvement de sa main le long de la queue qui lui fouille la bouche, laspire encore plus avidement.

-Han, han, putain la chienne, quest-ce quelle suce bien !

-Matez moi son falzar, elle mouille de plus en plus.

Son arabe empoigne fermement les deux roberts entre lesquels il accélère lui aussi son mouvement. Quelquun lui pince ses deux gros tétons qui ont encore gonflés, les roulent entre les doigts. Elle se cambre encore plus, écarte les jambes sous la pression des caresses vaginales.

-HUM, HUM, SLURP, SLURP, elle astique bien le manche quelle a en bouche, le branle, laspire, lavale …

Quand soudain son black lui attrape le visage, cale sa queue bien au fond de sa gorge, écrasant ses deux grosses balloches poilues sur son nez, et explose dans un long râle de plaisir. Larabe lui aussi se retire dentre ses seins, écarte tout le monde et vient appuyer son gros gland turgescent sur le fin tissu blanc de son slim entre les deux petits lobes de ses grandes lèvres. Appuyant bien son gland sur le clito, il se branle et inonde le pubis de Julie de son sperme chaud et gluant. Le chibre mollissant du black se retire de la belle bouche dans un grand bruit de succion. Un grand filet de bave et de sperme mélangé sétale sur le joli visage de Julie. Larabe lenjambe à son tour et vient lui aussi finir de se vider dans la bouche de la belle qui encore sous lemprise de lexcitation lui nettoie goulument la queue. Elle déglutit et avale les dernières gouttes de sperme qui lui reste dans la bouche. Et tout ça sous lobjectif de Karim qui na absolument rien perdu de cette scène digne dun bon porno.

Epuisée, la mâchoire endolorie, le goût et lodeur de sperme se dégageant delle, Julie reprend peu à peu conscience delle-même et de ce qui vient de lui arriver.

-Ben dit donc ma salope, tu cachais bien ton jeu. Maintenant on sait ce que tu vaux, preuves à lappui.

Ils lui montrent vite fait les séquences quils ont chacun enregistré. Bizarrement, elle se sent bien. Ils ne lont même pas sautée mais elle a quand même joui. Cest bien la première fois quelle avalait du foutre, et quelle quantité en plus, mais ça ne la gêne même pas. Ce nest pas terrible au niveau goût, mais les odeurs, le plaisir, la soumission, toutes ces sensations mélangées, cest ça qui lavait fait jouir. Elle arrive enfin à se redresser, réalise que le bus sort de lautoroute pour entrer en ville, mais prend ensuite conscience du sperme gluant mélangé à sa propre cyprine en train de refroidir sur son taille basse.

-Putain, merde les gars, comment je vais faire maintenant ? Jai un entretien en ville dans un quart dheure ! Jpeux pas me présenter comme ça ?

-Ah ça, on peut pas faire la salope et espérer restée présentable sans prendre de précaution ! Lui retourne Karim.

-Sans déconner les gars ! Jviens de vous vider les couilles, vous pourriez au moins me filer un coup de main.

Au supplice de ne pas vouloir rater sa première visite, elle lâche sans peser les conséquences de sa proposition :

-Jvous promets de vous laisser me faire ce qui vous plaira si vous me sortez de cette merde.

Les tours de la banlieue se profilent maintenant aux alentours. Elle descend au prochain arrêt et na toujours pas de solution de repli. « Merci encore Hector ! », elle le maudit intérieurement et sen veut de sêtre laissée aller à jouer la belle. Quand tout à coup Michel fait une proposition :

-Bon javoue, tes une bonne chienne, et si en plus on peut encore soccuper de toi moi jsuis preneur. Jai un pote dans le coin qui bosse dans un ptit business et ma sur va sfringuer là-bas quand elle doit trouver un nouveau taf, genre se faire le chef pour avoir le job, tu vois ?

Tout sera mieux à prendre que de se présenter dans un accoutrement qui pue le foutre et la chatte.

-OK jaccepte tout ce que vous voulez, mais sil vous plait mlaisser pas dans la merde !

-Ou dans lfoutre ! Eclate tout à coup larabe qui lui avait arrosé la chatte de sa jute.

Karim interpelle alors le chauffeur :

-Hey Moussa tu peux nous lâcher là, on a un truc à faire. Tu nous diras quand tu repasses ? On rentre avec la ptite tout à lheure !

-Pas de problème mec. Jai au moins une tournée à faire dans le coin.

Une fois en dehors du bus, lambiance nest plus la même, fini la jouissance des mains baladeuses sur ses seins et sa chatte. Fini aussi les queues qui lui baisent la bouche et la gorge. Fini les odeurs mélangées de sperme et de cyprine qui lont tellement excitée, maintenant ces mêmes odeurs laissent un sentiment déchec. Seule reste linquiétude de son entretien avec Marco qui acceptera ou non de lui louer son appart. Entourée de ses cinq nouveaux « potes », elle attend anxieuse le retour de Michel qui doit lui trouver une nouvelle tenue. Cest en effet au coin de la rue que va se jouer son avenir. Le PMU de Marco est à deux minutes à pied, elle doit le rencontrer dans moins dun quart dheure, et toujours pas de Michel en vue. En plus quest-ce quil entendait par « se faire le chef pour avoir le job » ? Julie avait peur de connaître la réponse à cette question. Mais pas question dabandonner, pas maintenant, alors quelle est si près de son but.

Elle aperçoit enfin Michel qui arrive un petit sac à la main. Quest-ce quil a bien pu lui trouver en si peu de temps ? En tout cas le sac ne lui paraît pas très gros pour du shopping. Mais plus le temps de tergiverser, pieds nus sur la veste de Karim, et cachée par le mur humain qui lentoure, elle retire son débardeur et son slim tout poisseux de sperme. Elle attrape le sac que lui tend Michel qui, en effet, est bien léger. Elle en sort deux petites boîtes blanches et une troisième encore plus petite.

-Tu es sûr quil y a vraiment des vêtements là-dedans ?

-Mais oui tinquiètes pas ! Et jte garantis quils tiront comme un gant.

Lheure tourne de toute façon, plus moyen de faire machine arrière, en plus maintenant elle est complètement nue au milieu de la rue. Heureusement il ny a pas trop de monde dans cette partie de la ville. Elle ouvre les deux plus « grosses » boîtes et en sort un mini débardeur blanc très court mais aussi très élastique, puis une micro jupe, blanche elle aussi, et taillée dans le même tissu. Elle passe tant bien que mal le débardeur qui en effet lui va comme un gant, très serré. Bien que la matière soit très agréable, le bas du débardeur couvre à peine les deux tiers de ses seins. Mettant bien en évidence sa proéminente poitrine, on distingue presque la base de ses aréoles. Elle passe ensuite sa nouvelle « jupe », qui ressemble plus à un bandeau arrivant tout juste au-dessous de sa chatte mais ne cachant que la moitié supérieure de son cul.

-Mais tes pas dingue ? Je srais à poil que ce srait moins provoquant !

-Mais attends, jy ai bien pensé, et tas pas encore ouvert la dernière boîte !

Tout de même curieuse elle ouvre la dernière boîte et en extrait un micro string, blanc lui aussi, dont la face ne présente quun tout petit triangle transparent.

-Cest une blague non ?

-Jte promets que si tu déroches pas ce pourquoi tu es là avec tout ça, on te laisse tranquille. Mais si ça marche tas plutôt intérêt à tenir ta promesse.

Elle consent donc à compléter sa tenue avec ce tout petit accessoire et sapprête donc à rencontrer Marco ainsi « vêtue ». Alors quelle enfile ses petites bottines et sa petite veste, Karim lui retire son sac à main, ramasse sa veste et les vêtements souillés de sa pouliche, et dajouter :

-Ça, cest pour être sûr que tu te défiles pas !

Puis il lattire à lui et lui roule une nouvelle galoche bien baveuse, quelle lui retourne, de nouveau excitée par lanticipation de se faire baiser par ce petit gang. Michel quant à lui se plaque derrière elle, sa grosse queue toute dure calée entre ses deux fesses. Dun doigt il soulève le tissu de son nouveau débardeur, libérant sa poitrine rebondie. Il lui attrape ses gros seins, et en titille les tétons pour les faire bien durcir en les roulant entre ses doigts. Ils la relâchent de leur étreinte commune, tous les six séclipsent et elle se retrouve seule sur le trottoir les seins et les tétons bien durs à lair. Julie tente alors de réajuster ses nouveaux vêtements mais le tissu de son top est tellement fin quon distingue parfaitement le volume et la couleur de ses mamelles bien dures.

Bon tant pis cest lheure de toute façon, il faut y aller. Elle avance alors dun pas déterminé vers son destin. Elle se rapproche alors de lavenue où se trouve le PMU de Marco, elle en aperçoit la foule beaucoup plus dense que dans la petite rue sombre où elle sest changée. Chaque pas quelle fait pour enfin rencontrer Marco est un supplice, loscillation permanente de ses gros nichons manque de découvrir ces derniers à tout instant. Et comme si cela ne suffisait pas, à chaque enjambée, la jupe elle-même se relève, révélant toujours un peu plus la base de ses fesses. Encore quelques pas, ça y est la foule de lavenue, elle tourne sur sa droite et enfin elle aperçoit lenseigne tout près.

Elle na que quelques mètres à faire, mais elle sent bien sa jupe qui remonte inexorablement le long de ses cuisses, découvrant toujours plus ses fesses et son pubis. Loscillation de ses gros seins dans leur léger carcan de tissu attire lil, les mecs se retournent sur son passage, les autres meufs la regardent avec mépris. Mais elle sen fout, de cet entretien dépend son indépendance, « alors rien à foutre de ces connes ! ». Elle se présente devant la porte vitrée, retire sa veste, réajuste un peu sa jupe et son top, inspire un grand coup

-« Ding ding » – Bonjour, je mappelle Julie, et je viens voir Marco !

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