La chienne n’a pas tenu très longtemps. A peine son ventre était-il rempli et arrondi qu’elle a commencé à gémir, à se plaindre, à dire qu’elle ne pourrait plus en endurer davantage ni serrer plus fort les fesses et qu’elle sentait que le liquide allait sortir.
Comme il devenait urgent d’intervenir, j’ai paré au plus pressé et ai pris ce qui me tombait sous la main dans cette cuisine : une bouteille de champagne vide (vidée il y quelques jours avec une jeune femme des plus agréables).
C’est donc sans douceur que j’ai retiré de son anus la canule qui a fait un « ploc » sonore, et que je l’ai remplacée par l’extrémité de la bouteille. Je lui ai enfoncé le goulot jusqu’à mi-longueur, lui dilatant son anneau culière de façon excitante et impressionnante.
Elle a dû commencer à se vider dans la bouteille vide, mais je ne me suis pas attardé à regarder : je l’ai relevée énergiquement par le poignet et l’ai emmenée jusqu’à la porte des toilettes, l’obligeant à tenir la bouteille enfoncée dans son cul ! :
Va et vide-toi, catin ! Prends le temps qu’il faut, mais reviens vidée et propre…
Jenna, les yeux baissés, a l’air dépité comme une petite chienne qui vient de faire une bêtise. Elle ne s’est pas fait prier. Elle avait l’air tellement ridicule en se contorsionnant pour tenir la bouteille en place.
Et ne me salis rien ! Si tu souilles mes sanitaires, tu nettoieras… et à quatre pattes… et à coups de ceinture sur ta croupe ! lui crié-je à travers la porte.
Je sais vraiment comment dresser une chienne et la rendre bien docile, moi.
Quand elle ressort, en sueur, titubant sur ses bottes, je la prends par la main et la guide vers la porte de la cave :
Nous allons passer aux choses sérieuses, Jenna. Il est tant pour vous, après avoir été initiée, d’être éduquée.
Elle descend à côté de moi les marches en brique, grossières et humides. L’atmosphère est glauque et sinistre, la lumière est blafarde. Elle frissonne, plutôt de crainte que de froid.
Mon sous-sol est grand, mais bien ordonné. Je la guide vers la porte d’une salle que j’ai aménagée pour le dressage des salopes, jeunes ou vieilles. Contrastant avec le reste de la cave, bien qu’elle n’ait pas de fenêtres, cette pièce est claire et semble presque lumineuse. Mais le mobilier et l’équipement qui y sont présents ont tout pour lui faire immédiatement comprendre que je ne suis pas un amateur. Il y a du matériel et de quoi immobiliser, contraindre, soumettre les femelles de toutes sortes et de toutes catégories : tout est réglable.
Elle proteste en voyant toutes mes installations, la peur la fait parler… à moins que ce ne soit qu’un jeu (elle adore minauder, jouer à l’innocente pucelle, encore vierge de partout qui va se faire avilir… mais ne souhaite que ça !)
Elle promet de me servir, d’accéder à tous mes désirs, mais me prie de ne pas lui faire mal.
Je ris :
De toute façon, tu vas être soumise à tous mes désirs, tous mes fantasmes, toutes mes envies. Tu vas être mon jouet sexuel à présent…
Je la fais s’allonger sur le dos sur un banc étroit bourrelé de cuir noir, et équipé de montants en V.
Ses longues jambes bottées y sont attachées à la verticale. Ses poignets sont liés près du sol par des bracelets en cuir à des barres d’acier.
Elle pousse un cri : j’ai actionné un mécanisme électrique, et le banc, réglable, monte lentement.
Voici ainsi ses orifices à la bonne hauteur, prêts à être utilisés.
Voilà. Ton cul et ta bouche sont à mon service, Jenna.
Je n’ai effectivement qu’à tendre la main (et la queue) pour prendre possession de ses orifices.
Une cravache de cuir à la main, je pose mon membre raide sur les lèvres closes de sa bouche, et tout en tripotant méchamment ses tétons érigés, je fais quelques va-et-vient, histoire de bien lui montrer qui est son maître. Quelques coups de cravache bien secs en travers de ses belles loches étalées sur sur sa poitrine finissent de la rendre docile : elle supplie, crie, promet qu’elle obéira, qu’elle fera tout ce que je lui demanderai.
J’y compte bien ! dis-je. Et j’ajoute : « De toute façon, je ne m’abaisse pas à demander, moi : je prends ! Et j’ordonne ! »
Puis je vais dans mon meuble, l’ouvre et choisis une belle paire de pinces. Ce ne sont pas des pinces pour femmelettes, mais elles ne sont pas trop puissantes pour une débutante.
Je reviens, pince son téton droit entre pouce et index, l’étire vers le haut, puis referme la petite mâchoire d’acier sur son mamelon. Elle se met à pousser des cris lancinants d’orfraie.
Respirez, Jenna, vous allez vous habituez.
Elle se calme jusqu’à ce que je pose la seconde sur l’extrémité de son sein gauche, et elle se remet à beugler de plus belle.
Elle est terriblement excitante ainsi.
Je relie les deux pinces par une longue chaîne.
Pour la calmer, je choisis un petit gode vibrant et je me mets à le passer entre ses lèvres corail qui bâillent. Les pétales, toujours humides, se mettent à couler de plus belle.
Elle se met à donner de la voix. Je joue avec l’instrument sur ses muqueuses, du haut en bas, jusqu’à l’anus, de bas en haut jusqu’au bourgeon qui est tout gonflé, et ses vocalises montent en intensité.
J’attrape la chaînette de l’autre main et la lève jusqu’à la tendre de plus en plus, l’extrémité de ses seins monte et elle pousse des petits cris où douleur, tension, se mêlent à des pics orgasmiques.
Finalement, le jouet vient se ficher dans sa chatte bien ouverte, et tout son corps est rapidement secoué par des violentes ondes de plaisir.
Je ne perds pas mon temps, et prenant une bonne dose de gel sur mon index, je lui doigte direct son petit orifice borgne. Elle s’ouvre délicieusement et je me mets à la fouiller avec délectation.
Cette intrusion et ce massage profond la font décoller : elle se met à crier comme une hystérique !
° ° °
J’en oublie presque le traitement bizarre et humiliant que j’ai subi en hors-d’uvre.
La stimulation électrique et physique a eu raison de ma résistance. Je reprends à peine mes esprits et regarde entre mes jambes et le vois en train de préparer sa queue. Une queue surdimensionnée qui va bientôt me sodomiser.
Je commence à me plaindre, mais cela ne fait que l’exciter… Je sens le gland qui écarte mon anus lentement. Il souhaite savourer ma douleur, mon humiliation.
Oh non pas par là, vous êtes trop gros…
Poussant un peu plus, il me pénètre et me fait me tendre en criant.
Voilà ma belle pouliche, vous allez être prise par votre maître comme il se doit. Vous vouliez que je vous fasse jouir en prenant votre chatte ?
Il se recule pour enfoncer d’un coup de reins son pieu dans mon petit trou tabou. Je râle longuement. Le visage crispé, je tremble, mes pieds se tordent dans les bottes. Sa queue entière est en moi. Ayant vaincu les résistances du petit anneau, il commence un va-et-vient brutal :
Prends ça salope, ha ha tu aimes ça hein ?! Tu es à moi maintenant, Rrrahhhh…
Je suis secouée par les coups de reins qu’il me donne.
Mon cul est ravagé par sa grosse queue et la violence de sa possession. Il se réjouit de la douleur et de l’humiliation qu’il m’occasionne. Je ne suis plus qu’une poupée qui dit des mots sans aucun sens.
Il attend que je reprenne mes esprits tout en me ramonant de toute la longueur de son gourdin.
Avant de reprendre sa destruction, sa possession, il me dit :
Ta chatte de prétentieuse sera pour mes amis qui voudront payer.
° ° °
Avant de lui faire à nouveau goûter aux plaisirs de Sodome, j’ai relié la chaînette qui tend ses mamelons à une petite poulie qui tombe du plafond. J’ai bien entendu tendu les cordelettes au maximum… si bien qu’à chaque fois que ses bottes seront secouées par un coup de boutoir, ses mamelons qui pointent au maximum vers le haut seront étirés encore plus.
La caméra 360° bien placée au plafond n’a pas non plus échappé à son sens aigu de l’observation.
Dans un quasi-gémissement, elle ose demander :
Vous filmez… ? Vous n’enregistrez pas les images, n’est-ce pas… ?
Mais bien sûr que si, Jenna. J’archiverai cette séance dans ma collection de vidéos numériques, ma collection de salopes en action. C’est une collection privée… mais pour anticiper sur la question qui vous brûle les lèvres : bien entendu que je montre ces vidéos à mes amis ! Je peux vous dire que quand j’aurais montré celle-ci à certains de ces vicelards, ils me tanneront pour vous rencontrer… et vous faire subir la même chose… voire pire ! Si vous saviez combien certains sont vicieux et sadiques… Je suis un angelot à leurs côtés…
Oh nooon gémit-elle, « pas çaaa… Ne me donnez pas en pâture à ces… à n’importe qui… à ces hommes que je ne connais même pas.
Mais ils ne sont pas n’importe qui, petite catin bourgeoise ! Ce sont tous des gens très en vue, qui occupent des postes à très haute responsabilité. Vous, vous n’êtes qu’une petite merdeuse à côté… et ils n’auront qu’une envie, celle de vous souiller… D’ailleurs, à propos de merdeuse… ah oui, c’est vrai, j’oubliais presque : je vous ai bien « lavée » » ironisé-je.
Et tout en prononçant ces mots, je ressors le plug bien fiché dans son anneau culière, l’inspecte avec circonspection, l’envoie balader au loin, puis je remets du gel sur le gros gland de mon gourdin et, tenant ce dernier bien en main comme je tiendrais un manche, je le colle contre l’orifice qui est resté entrouvert et l’enfonce sans pitié !
Jenna pousse un râle paresseux qui me semble plus lascif que douloureux, et je sens dans ce « HAAA » expiré plutôt un cri de contentement et de soulagement (le plaisir trop longtemps attendu) qu’une réprobation pénible. Décidément, elle adore se faire enculer cette salope !
Je plaque mes mains contre le dos de ses cuisses et attire son bassin à moi, empalant son petit trou toujours serré et m’enfonce jusqu’au tréfonds de ses entrailles avec délectation : elle est brûlante !
Je ne tarde pas à la larder de coups de pine. Ses chevilles toujours enfermées dans ses bottes sont agitées de secousses, qui tirent cruellement à chaque trémulation vers le haut ses tétons pris dans les petites mâchoires d’acier.
Il me tarde de les libérer pour qu’elle ressente la douleur aiguë provoquée par le retour du sang et de l’influx nerveux dans ces parties si sensibles, et les livrer à un cinglage vengeur de mon martinet.
Elle m’excite terriblement cette quadra si salope en bottes, je me lâche en lui défonçant le fondement à coups de reins de plus en plus forts et de plus en plus rapides :
Ah, grosse putain snob, espèce de chiennasse qui se la pète avec ses bottes de bourge… tu vas voir, je vais te partouzer… mes amis paieront très cher pour te salir, pour t’élargir ton cul étroit et ta chatte toute serrée de bourgeoise mûre et pudibonde !
Jenna ne répond même plus, elle semble un peu partie, ses yeux presque révulsés, la tête en arrière. Je vois sa mouille qui dégouline de sa chatte, les pétales rose vif toutes gonflées et brillantes.
Je prends le sex-toy et tout en continuant de la sodomiser à un rythme soutenu je lui passe le jouet qui vibre sur les lèvres de sa vulve et son bourgeon.
Elle perd toute retenue et se met à pousser des cris puissants et désespérés : l’orgasme la saisit et ne la lâche plus ! Tout son corps est ravagé par des salves de plaisir.
Soudainement, je tends la main et ouvre les pinces, libérant ses tétons : la sensation est aiguë et lui arrache à chaque fois un cri atroce.
Je prends mon martinet et commence à lui cingler par petits coups vachards le bout de ses seins qui dressent encore et la tendre chair de ses glandes : elle m’implore, me supplie d’en finir ; je sens son petit anneau culier qui me serre convulsivement comme s’il voulait ponctuer mes coups de bélier que je lui assène avec force.
Je sens que mon plaisir monte lentement mais sûrement… je ne vais pas pouvoir tenir encore bien longtemps à ce rythme.
° ° °
Je suis allongée et ligotée à une étrange table en cuir et vêtue uniquement de mon porte-jarretelles, mes bas et mes bottes, je suis en train de me faire sodomiser brutalement.
Une sodomie qui est plus douloureuse et humiliante, car elle est accomplie avec ardeur par mon maître et son gros sexe.
Cette grosse et longue verge bien lubrifiée me démolit mon petit trou. Je crie, je me démène, je râle.
En vain.
Mon cul de bourgeoise prétentieuse est investi par ce sexe bien plus gros que celui des hommes que j’ai connus avant. Inexorablement il le pousse en moi. Je sens ma rondelle distendue et dilatée. Je sens ce membre aller buter tout au fond en moi. Son bassin claque contre mes fesses à chaque coup de reins.
À ma surprise, et avec honte je constate qu’être ainsi sodomisée est douloureux, mais que cela commence à me donner du plaisir. Pas le même plaisir que je ressentais en me faisant baiser plus conventionnellement, mais un plaisir tout de même.
Râlant et grognant de plus en plus fort il semble que me faire crier l’excite encore plus.
La possession de fait de plus en plus violente. C’est de la destruction, de la vengeance, de la punition.
Je ne crie plus, mais pousse un râle à chaque pénétration comme si chacun de ses coups de bite puissants poussait lui-même l’air hors de mes poumons.
Après ce qui semble être une heure, ses râles de plaisir, ses invectives deviennent de plus en plus fortes. Un long cri de « Salooooppppe !!! » surgit juste avant son orgasme. Je sens ce liquide tiède gicler en moi.
Brisée et humiliée je reprends mes esprits alors qu’il se nettoie avec ma bouche puis sort. Quelques instants plus tard il revient, À ma surprise j’entends la voix d’un autre homme…
(A suivre)