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Une première fois « bi »en singulière – Chapitre 1




Ce récit étant mon premier et ma vie sexuelle découlant entre autre de cette première expérience, j’ai pensé judicieux de vous la décrire précisément. Etant de nature libertine et n’ayant peu de tabous, ce ne sera certainement pas mon dernier récit.

Merci de votre clémence. Histoire vécu, dans les moindres détails, seuls les prénoms changent.

Les personnages :

Nadine, la cinquantaine, petite femme douce et rieuse d’un embonpoint certain, plutôt de petite taille, une crinière rousse et longue.

Robert, le mari de Nadine, Pré retraité bourru, grosse barbe grise, un homme d’une répugnance sans équivoque qui n’a d’égal que l’absence de sa sympathie et la taille 56 de son pantalon.

Magalie, leur fille, femme d’Henri mon demi-frère, une ménagère de 35 ans environ, grassouillette à souhait et à l’hygiène apparente peu flatteuse.

Johan, un jeune adulte qui découvre le monde sexuel, ou du moins qui va le découvrir, pas très grand, pas très beau, pas vraiment sportif, moi tout simplement.

Je m’appelle Johan et depuis aussi longtemps que je m’en souvienne, la séduction a toujours été un problème sensible dans ma jeune vie. J’ai grandi à la campagne, loin de toutes commodités au sein d’un foyer chaleureux, baigné d’amour et de respect. Le départ du collège trois ans auparavant marqua sans aucun doute possible un virage important de mon existence. J’étais ce que l’on pourrait appeler une boule, je roulais mieux que je ne courais : 1.45m un bon 80kg, un visage quelconque, pas du tout le profil d’un ado qui ferait des ravages dans un établissement scolaire au sein de la gent féminine qui découvre de leur anatomie. Et lorsque l’on sait toute la méchanceté et les moqueries qui peuvent régner en maitres à cette période entre camarades de classe, mon expérience de jeune étudiant peut être qualifiée de mitigée.

Mes parents ont 15 ans de différence, ma mère étant au départ une amie de la première fille de mon père, à l’époque marié avec quatre enfants, ce qui explique peut-être en partie que les relations intergénérationnelles m’ont toujours attiré ou tout du moins interpellé.

D’ailleurs ce n’était pas rare que lorsque la cousine de ma mère, une femme de 50 ans très ronde dormait à la maison, je m’arrangeai pour lui dérober une de ses culottes. C’était une femme très surfaite, trop maquillée, des bijoux de pacotille en trop grand nombre, une poitrine énorme, elle transpirait le sexe cette femme, à chaque regard ou chaque fois qu’elle ouvrait la bouche, je prenais cela pour une invitation au viol. Je m’attardais donc dans mon bain en compagnie du doux tissu récemment dérobé. S’en suivaient de longues masturbations intenses et abondantes et venaient inévitablement souiller davantage les dessous de cette tante si spéciale pour moi. Je remettais ses culottes nouvellement immaculées dans son sac et attendait patiemment sa prochaine venue. Mais cela donnera surement l’occasion d’écrire une nouvelle histoire.

De l’union de mes parents sont nés deux enfants, ma sur Aurélie et moi donc, dernier d’une famille recomposée de six enfants. Les quatre premiers étant déjà adultes, je n’ai jamais vécu qu’avec Aurélie, mon ainée de quatre ans. L’un de mes demi-frères s’appelle Henri, il est en couple avec Magalie et ce jour-là, un samedi de juin comme nous les apprécions tous, c’est l’anniversaire du père de Magalie, Robert…

Robert est à mon père ce que la nuit est au soleil, il ne partage rien si ce n’est leur année de naissance. Mon père est d’une gentillesse sans limites, généreux, travailleur, ambitieux, patron d’une entreprise familiale qui marche bien, un homme moderne qui a toujours aidé ma mère aux tâches du foyer. Robert lui est son alter ego, un carreleur à « son compte » qui en vérité, il faut bien l’avouer faisait plus de travaux détournés de la main à la main que développer son entreprise. C’est bien simple, je pense que je l’ai toujours connu en arrêt de travail ! Et bien souvent, lors de réunion de famille ces deux-là se chamaillaient sur le sujet du patronat. Il est de nature très macho, je genre de mari qui restera assis à la table laissant s’activer toute existence féminine autour de lui pour ne pas remuer son corps lourd, massif et gras. C’est bien simple si certains hommes sont taillés en A d’autres en H ou bien pour les plus rebondis en B, alors Robert serait taillé en un B majuscule gargantuesque.

Nous sommes donc en avance, mes parents me déposent chez Robert et Nadine pour que je les aide à quelques préparatifs pendant que le reste de ma famille part en direction d’une pâtisserie ne souhaitant pas attendre encore de longues minutes en voiture et m’imaginant rester bien tranquillement chez nos hôtes du jour à profiter de cette belle journée qui s’annonce.

Il est environ 10h, et je passe le portail, c’est un vieux corps de ferme sommairement rénové, un jardin plutôt bien agencé et fleuri avec gout, et au bout du terrain se trouve une remise pas des plus rassurantes qui sert de débarrât et de garage. Dans la cour j’aperçois la voiture de mon frère Henri.

J’entre dans la maison et j’entends la femme de Robert s’activer dans la cuisine :

« – Nadine !? C’est Jo

Salut Jo, entre vite je suis dans la cuisine »

Je pénètre dans la pièce, la petite ménagère grassouillette s’agite dans tous les sens, je reste sans voix devant l’énergie déployée sous mes yeux. Cette fureur s’oppose à la bonne odeur qui se diffuse au rythme de sa chevelure de feu qui semble nager dans l’air.

« – Bonjour Nadine, les parents m’ont posé sur leur chemin, sans doute pour vous filer un petit coup de main. » riais-je.

Elle s’approche expressément, et m’embrasse chaleureusement, je sens sa poitrine lourde et qui semble être à l’étroit sous ce tablier venir s’écraser sur mon jeune torse. Mon regard lubrique ne peut s’empêcher de réaliser un matage en règle sur cette vision qui se crée sous mes yeux d’innocent puceau.

« – Formidable attention de leur part, cette idée leur ressemble beaucoup, toujours là pour mettre la main à la pâte

Oui c’est vrai, ils sont comme çà les parents.

Ecoutes pour être toute à fait franche, tu ne peux pas m’aider ici, la cuisine est déjà presque trop petite pour moi ! » comme son tablier me dis-je dans un éclair de répartie.

— – Mais va donc voir Robert, je crois qu’il doit être dans la grange à essayer de sortir les tables et les chaises pour le repas de ce midi, sinon tu peux rejoindre ton frère, il est en train de pêcher à la rivière.

En effet nous serions une tablée d’une quarantaine de convives et je me doute de ce qui m’attend. Je ne suis pas très emballé mais j’y vais quand même en pensant que mon frère a senti le coup venir en s’expatriant du côté du cours d’eau qui se trouve à quelques centaines de mètres de la maison.

Je m’approche de la grange et passe devant la voiture de mon frère, et j’hésite franchement à le rejoindre. J’entends alors geindre dans la grange, je me dis alors que Robert doit franchement s’embêter seul à désencombrer la remise pour atteindre des tables et des chaises qui doivent pliées sont le poids d’une poussière propriétaire de ce genre de lieu. Je ne l’apprécie pas vraiment mais étant de nature prévenant, je me dirige vers l’imposante double porte en bois entrebâillée pour l’épauler dans cette tâche. Je me souviens avoir eu la réflexion qu’il était idiot d’avoir de la sorte refermé les portes de ce bâtiment, empêchant le peu de lueur disponible de s’infiltrer à l’intérieur de cet immense foutoir.

Plus je m’approche de l’entrebâillement et plus les plaintes sonores me semblent être véritablement des gémissements, je me surprends même à distinguer deux sons différents, deux tonalités vocales étranges mais très facilement différenciables.

Je passe mes doigts sur le battant de porte et agrandit le passage pour me glisser dans l’antre. Des colonnes de cartons et des piles de boites s’entremêlent tels des immeubles de fortunes prêts à succomber au charme de la gravité se dressent devant moi, mais je n’y prête guère d’attention, mon esprit ne retenant que la mélodie disgracieuse entendue précédemment qui s’est intensifiée maintenant, il me semble même avoir distingué un cri. Celui-ci n’est pas très franc ni net, comme étouffé.

Je contourne le rempart qui m’empêche de mettre une image sur les sons que j’entends avec une certaine appréhension de ce qui apparaitra dans mon champ de vision.

Les bras m’en tombent, l’image tant redoutée m’apparait :

Je reconnais facilement Robert, il est de dos, torse nu ou ventre à l’air plutôt, le pantalon à terre sur ses pieds, se mêlant à la poussière au sol. Je ne vois pas ses mains mais je les devine guidant un va et viens certain. Il gémit. Je suis mélangé entre la honte et la peur, mais aussi par l’excitation que cette vue m’apporte…

J’en oublie presque de m’attarder à ma découverte naissante et à vérifier l’identité du second protagoniste de cette irréaliste scène qui git sous mes yeux.

Je me penche, et m’accroupis de façon à pouvoir observer attentivement qui se cache derrière les énormes paluches de Robert. La stupeur m’envahit quand je reconnais Magalie ! Je suis figé ! Ma bouche s’ouvre d’instinct devant l’horrible et terrifiant secret qui se libère à moi. Je ne peux me retenir malgré la tension malsaine à succomber à l’envie dévorante d’en voir davantage : j’approche silencieusement de ce duo cauchemardesque qui se lie en ma présence indésirable. Les gémissements s’intensifient encore, je peux à présent mettre des mots et même des phrases sur ces sons qui ils y a encore quelques secondes me paraissait quelconques :

R : « Allez ma grosse salope de fille, félicite papa pour son cinquante-cinquième anniversaire, oui voilà comme çà, mange la bien la bite à papa ».

Mes oreilles entendent mais je n’ose écouter, cela ne peut être réel !? Comment ? Pourquoi ? Comment l’inimaginable peut-il être si concret maintenant !?

Je décide d’enfouir ce secret en moi et rebrousse chemin avec hâte. Mon pied rencontre maladroitement le monticule de paquets que je venais de contourner et ma discrétion jusqu’alors si pertinente s’évapore subitement.

R : « Arrête, arrête !!!! Il y a quelqu’un !! »

M : « Quoi ? Impossible ! » Répond Magalie

Le vacarme engendré par ma maladresse les sorts immédiatement de leur incestueux ébat. Elle se relève, essuie sa bouche du revers de sa main et lui remonte énergiquement son pantalon, ils s’éloignent l’un de l’autre et Robert regarde dans ma direction pendant que ma belle-sur se tourne et s’enfuie dans le fond de la grange.

Robert me reconnait rapidement malgré le peu de lumière de l’enfer que je venais de pénétrer.

R : « Jo !? Que fais-tu là ? Merde alors ! »

Je n’en reviens pas, il baise la bouche de sa fille et c’est lui qui m’engueule pensais-je alors. Je n’arrive pas à parler

R : « réponds-moi !? Que fais-tu ici ? Où sont tes parents ? Où est Nadine ? Ton frère ? Qu’-as-tu vu ? Qu’as-tu entendu ? »

Je ne dis toujours rien, Magalie se retourne et réponds à son père :

M : « tu as vu sa tête ? Il a forcément tout vu ! (elle sanglote et se prend la tête entre ses mains) Mon Dieu ! Qu’allons-nous faire… »

R : « Viens ici Johan ! Dépêche-toi ! »

Robert vient à moi devant mon incompréhension, il me passe devant et sors la tête dehors, scrutant sans doute une quelconque présence supplémentaire. Après un bref instant et ayant condamnée la porte, il m’attrape le bras et me force à rejoindre Magalie toujours en état de chocs.

R : « Nous n’avons plus le choix Mag, nous devons nous assurer de ce qu’il sait ce petit con de voyeur ! » Je baisse les yeux, et devant la nervosité de Robert, la peur de m’en prendre une sévère aidant sans doute, je leur avoue tout…

R : « Impossible d’acheter son silence, on est mal… A moins que… Magalie où tu en étais ? »

M : « Quoi ? Ca ne va pas ? Tu n’y songes pas !? Tu es fou ! »

R : « Ta gueule salope et fait ce que je te dis ! A genoux de suite ! »

Je n’en reviens pas, plus le temps passe et plus les horreurs se multiplient

Robert déboucle sa ceinture, son pantalon s’écroulant au sol, Magalie pleure toujours, son père lui appuie sur ses épaules et la force à se mettre à terre.

J’ai une vue incroyable et délicieuse à la fois qui se présente dorénavant.

Je découvre l’anatomie tu père de mon demi-frère, chaque détail de son corps me frappe, son visage sévère et tranquille à la fois, un genre de père Noël agacé, sa large barbe grise couvrant les contours de son visage rond et rubicond. Ses yeux noirs, son front plissé dont le haut marque la naissance de sa calvitie qui se prononce un peu plus de jour en jour.

Robert retire maintenant son haut, il laisse apparaitre un torse semblable à celui d’un ours polaire, son corps est gras, très gras, une bonbonne prête à exploser recouverte d’un pelage poivre et sel dont le dernier entretient devait dater d’avant ma naissance à n’en point douter. Son dos tout aussi velu ne dénotait en rien avec le reste de son corps massif, aucune démarcation, tout était bossé, poilu, gonflé.

Les jambes étaient un peu moins touffues mais tout autant charnues et grasses.

J’imaginai alors découvrir un sexe ridicule, collant parfaitement à l’imagine que l’on se fait du petit bidochon, une petite anatomie masquée sous une toison abondante… Il n’en fut rien quand mes yeux se sont ébahis devant le membre boursoufflé du mâle dominant se tenant fièrement à ma portée.

Un manche de pioche, c’est bien cela, une érection imposante d’environ 19 ou 20 cm peut être toute raidie, un gland monstrueux semblable à un kiwi. Son sexe magnifique (je me surpris à le penser, que m’arrivait-il ?) mettait en porte à faux le mien qui se cachait encore de mon côté malgré une excitation bien présente.

Robert s’en rendit compte.

R : « Voilà ce que c’est un homme mon petit, t’as pas dû encore en voir des vrais hein ? Regardes bien à quoi ça ressemble une bonne queue de male. Allez Magalie montre lui comment on suce une bonne bite ! »

M : « Quoi ? Tu es fou ? »

Il l’interrompt et profite de la bouche largement ouverture de sa fille pestant pour s’engouffrer d’un trait. La surprise de Magalie m’envahit tout aussi subitement, une vague d’excitation jusqu’alors jamais ressentie s’empara de moi et raidit instantanément mon frêle outil. Le regard de la salope qui se trouve devant moi se dirige dans ma direction, les larmes lui remplissent les yeux, ses joues prennent feu, les miennes aussi quand je me rends compte du plaisir qui m’imprègne dorénavant.

J’observe ce membre de chair disparaitre maintenant dans la bouche de ma belle-sur au rythme des râles de Robert qui ne parait pas plus dérangé que cela par ma présence, j’ai la sensation qu’elle attise encore un peu plus sa domination naturelle.

Dans un élan bestial il attrape d’une main les cheveux de sa fille et de l’autre il tient fermement sa gorge. Il pénètre d’un grand coup sec sa virile raideur jusqu’à la garde, rendant écarlate la pauvre petite grosse ménagère qui subit la frénésie paternelle. Il me regarde…

R : « Regarde-moi çà Johan comme elle aime sa ma salope de fille, regardes comme il faut la gaver la femme de ton frère ! » je réalise alors que cette sublime trainée est effectivement la femme de mon frère Henri. Que mon frangin est cocu, que je vais devoir vivre avec ce secret sous peine de m’attirer les foudres de Robert…

R : « Regardes encore, ne baisse pas le regard te dis-je ! » la bête de chair est toujours implantée dans la gorge de Magalie. Et quand enfin il se retire tout aussi rapidement, de longs filets de bave à n’en plus finir coulent des lèvres de cette bouche, les liants à leur sexe géniteur.

R : « Dis-lui Magalie !? Dis-lui que t’aimes ça !? »

M : « Ouiiiii, j’adore ça ! J’aime me faire démolir la gueule !!! Oh putain c’est trop bon papa ! »

Je n’en revenais pas, c’est impossible ! Comment peut-elle aimer cela ? Comment peut-elle l’avouer, l’avouer devant moi ? Le petit frère innocent du père de ses enfants ?

R : « Allez maintenant Magalie tu va faire exactement tout ce que je vais dire, comme avec Marco ! »

Marco ? Me dis-je… Le seul Marco que je puisse connaitre ayant un lien avec cette famille est Marc le frère de Magalie… Je n’ose y songer, mais après ces dernières minutes plus rien ne me parait impossible.

R : « Caresse-lui la queue à ce p’tit jeune, je vois a son short qu’il ne demande que cela… »

Elle s’exécute, par réflexe et dégout malgré mon érection, je recule.

R : « Restes là petit con ! »

Je suis tétanisé. La main de Magalie avance inévitablement vers mon entrejambe pendant que Robert a repris la délicieuse torture de la gorge de sa fille.

Le premier contact est maladroit, je la sens tremblante, hésitante, réticente, mais sous l’emprise du mâle en présence, elle y alla plus franchement, je gémis sous le divin toucher.

Robert lui ordonna de ne pas faire sa timide et pendant qu’il lâchait ses ordres il abaissa mon short de sa main gauche, libérant instantanément ma verge pré pubère qui venait à l’encontre des doigts gonflés de Magalie.

R : « Haaaaa Haaaaa ! Quelle petite chose ridicule ! Que comptes-tu faire avec cela dans la vie ? »

Ses moqueries n’en finissaient pas et je dois avouer qu’intérieurement je lui donnais raison. Mon sexe était bandé à mort et pourtant la simple main de ma récente masseuse suffisait à la faire disparaitre. Seul un gland enfantin et non décalotté surgissait de l’étreinte des doigts de ma maitresse. Mes petites couilles très hautes, légères et lisses souffraient de la comparaison avec la gigantesque sacoche velue qui se balançait au rythme des clapotis que celle-ci créait à chaque rencontre avec le visage de notre divine salope.

La situation m’excitait de plus en plus, j’ignorais maintenant volontairement les préjugés qui étaient miens en rentrant dans ce lieu et n’avais aucune notion du temps qui s’écoulait.

Même la peur d’être découvert avait disparu et je compris aisément qu’eux aussi n’en avaient plus conscience quand je les ai surpris. C’était décidé, je ne ferai rien pour arrêter cette spirale qui indéniablement allait me conduire à mon premier plaisir charnel.

R : « Maintenant suce-lui sa petite bite, mais vas-y doucement, c’est sans doute sa première fois, faudrait pas qu’il lâche tout maintenant le puceau hahaaa ! »

Magalie tend sa langue en direction de mon gland toujours noyé sous ses doigts. Je ferme les yeux, m’abandonnant d’avance au plaisir qui m’attend. Je découvre enfin la douceur humide de cet organe qui rencontre le mien… Mon dieu… C’est si bon.

Sa main s’ouvre en tirant ma peau vers ma hampe, libérant l’intégralité de mon sexe.

Après un bref regard vers son père qui riait discrètement et ne perdait pas une miette de ce qu’il se passait à présent, Magalie ouvrit sa bouche et descendit centimètre par centimètre sur mon membre, avec une retenue sans doute calculée me permettant divinement d’apprécier chaque étape de ma première pipe jusqu’à ce que ma petite queue ne disparaisse totalement, laissant place à l’image du visage de Magalie s’écrasant sur mes bourrelets imberbes.

Robert m’encouragea à mettre mes mains d’adolescent sur le crâne de la suceuse, celle-ci restant parfaitement ancrée sur ma hampe. En me disant cela, il me mimait l’action dans le vide en donnant des coups de reins dans l’air pour me dire comment faire.

Je m’exécutai provoquant la surprise de Magalie. Elle leva les yeux, me regarda et me fit un clin d’il en guise d’approbation.

N’y retenant plus, j’essayais d’appliquer les consignes de Robert. Il m’a félicité et j’ai ressenti une connexion entre lui et moi, comme si le secret jusqu’alors défendu nous liait à présent.

R : « Maintenant relève-toi grosse salope, il va te baiser, retires ce qui te sert de robe et mets-toi à quatre pattes comme la chienne que tu es ma fille »

C’était invraisemblable, sous ses mots durs, directifs et dominants, j’arrivais à ressentir une certaine bienveillance, comme un amour. Mon excitation était à son apogée, je n’y pouvais plus, l’emprise de mes mains sur le crane de Magalie s’intensifia, et je déchargeai dans sa gorge. Elle recracha en rigolant, Robert rit aussi. Elle s’excusa en me disant qu’elle ne s’y attendait pas. Robert lui ordonnant de réussir à me faire rebander rapidement, elle me reprenait en bouche en me suçant avec beaucoup de pression, me massant les couilles, et appliquant un vas et viens très rythmé. Je repris forme au bout de seulement quelques secondes. Incroyable !

Robert rit de nouveau, puis secoua la tête.

R : « ahhhh la jeunesse….. Profites-en mon petit, un jour bientôt tu devras te contrôler pour garder ton plaisir au maximum car il te faudra plus de temps pour récupérer une quelconque vigueur ! »

Magalie se mit à quatre pattes comme demandé par son père, elle reprit à le sucer pour que le sexe paternel reprenne vie devant cette dernière agitation.

R : « Jo, tu vas te mettre derrière Mag, et mettre tes doigts un à un dans sa chatte, tu comprends ce que je te dis ? »

J’acquiesçai et me suis également mis à quatre pattes, commençant timidement à fouiller l’entrejambe disgracieux de Magalie. C’était une femme peu ragoutante, petite, aucunement apprêtée, grasse comme son père. Sa peau boursoufflée et marbrée par la cellulite ne m’inspirait aucun désir. Et pourtant…

Dans ma quête d’orifice potentiellement fécondable, je trouvais enfin où loger la première phalange de mon index. Elle gémit timidement et s’empala immédiatement sur mon doigt maintenant souillé de ses sécrétions intimes. Je lâchai un « quelle salope ! » tout aussi surprenant que bienvenue vue les circonstances qui décrochait un sourire d’affection de Robert à mon égard, m’encourageant à me débrider un peu plus encore.

Ce n’est plus un mais maintenant deux puis rapidement trois doigts qui fouillaient l’antre en feu de ma belle-sur : Elle se baisait toute seule sur ma petite main qui disparaissait totalement en elle. Je me surpris même à imprégner un certain mouvement à chacun de ses mouvements de bassin.

R : « Doigte-lui le cul aussi, n’hésite pas c’est son p’tit péché mignon »

J’avançais, incontrôlable, et tendis timidement l’index ma main libre vers ce petit orifice dont je n’imaginais pas une quelconque fonction orgasmique.

Robert me conseilla de cracher dessus. Constatant ma trop grande délicatesse à son gout, il se recula, laissant la bouche de Magalie béante, cracha sur deux de ses doigts et pilonna violemment le trou de cul de sa propre fille, lui arrachant au passage un cri n’évoquant que douleur.

Stupéfait, je le regardais d’un air des plus interrogatifs sur ce qu’il venait de faire.

R : « ne t’inquiètes pas elle crie de douleur maintenant mais dans deux secondes elle va couiner de plaisir ha haaaa ! »

Et effectivement c’était à présent elle qui s’empala sur ce boudin épais que formaient l’index et le majeur de Robert.

Il retira ses doigts et me lançait :

R : « mets-y donc ta p’tite queue de puceau avant que ce se referme petit malin ! »

Ne comprenant pas tout de suite, c’est Magalie qui, dans un équilibre que je ne soupçonnais pas, prit ma jeune tige à jus et la guida vers le sanctuaire des enfers.

Elle poussa fort mais lentement pour m’insérer au maximum dans son divin fourreau.

Mon Dieu que c’était bon… Comment pouvais-je ignorer pareil plaisir quelques minutes auparavant et maintenant je me demandais comment pourrais-je survivre à son absence.

Robert m’ordonna d’initier des coups de reins francs et directs, me demandant également de mettre mes mains derrière la tête de Magalie. Robert ayant repris place dans la gorge de sa descendance, les élans de mes coups de reins de plus en plus violents arrachant des gémissements à ma belle-sur permettaient à Robert de pilonner au mieux le gosier de la cochonne qui nous servait à présent corps et âme.

Après quelques minutes, Robert nous fit se relever tous les deux, disposant sa fille telle une marionnette ventre à plat sur un établi qui nous faisait face. Son cul offert, il lui demandant d’ouvrir ses larges fesses avec ses propres mains. La vision était saisissante : Magalie, les seins écrasés sous son propre poids sur un étal poussiéreux, la tête posée sur un tissu que Robert avait pris soin de déposé, son cul ouvert comme jamais je n’aurais cru possible, aidé par ses deux mains forçant de chaque côté ce globe vers l’extérieur.

Robert m’invita avec ironie à reprendre ma place :

R : « Allé au boulot Jo, sinon je prends ta place mais crois-moi après mon passage tu ne seras plus d’aucune utilité pour son cul »

Je ne dis rien mais approuvais intérieurement sa moquerie orientée sur les faibles proportions de mon sexe d’adolescent.

Je repris ma toute nouvelle occupation favorite, me délectant à chaque secousse prodiguée de la sonorité de mon ventre claquant sur des grosses fesses de la femme de mon frère, je que cocufiait une nouvelle fois au passage.

Robert vint se placer derrière moi, me murmurant à l’oreille des encouragements paternels.

R : « C’est bien mon petit père, tu te débrouilles bien, regarde comme elle aime ce que tu lui fais ma chienne. Tu t’en sors très bien, tu ne dois pas regretter d’être venu dans cette grange, tu m’en dois une belle tu ne crois pas ? »

Et à ce moment très précis, sans que je naie encore eu le temps de répondre, Robert prit ma main, et la posa sur sa queue bien bandée…

Un mélange de torpeur, d’ivresse et de dégout me faisait perdre d’un coup l’équilibre, Robert me rattrapa et me tenait maintenant fermement par le bassin, guidant chaque coup de reins avec les siens.

Ce n’était plus ma main qui sentait maintenant la chaleur de son membre masculin mais mon sillon qui rencontrait la raideur et l’humidité de son épaisse virilité à chaque élan de plaisir que je donnais à Magalie. Comme si c’était le prix à payer : pour chaque entrée dans le cul de cette salope, je devais entrer en contact avec la queue de Robert.

Je me surpris à y prendre gout et il s’en aperçut.

Il se recula et je sentis son doigt se frayant un passage douloureux dans mon petit trou vierge de toute visite extérieure. Ayant constaté la virulence de Robert plusieurs fois aujourd’hui j’appréhendais fortement ce qu’il pourrait se passer. Mais le plaisir de baiser Magalie était trop fort et je succombais au chantage qui se proposait silencieusement à moi.

Un premier doigt m’arracha une vive douleur qui me freina dans mon exploration des orifices de Magalie qui m’avait invité à fouiller son vagin depuis quelques secondes.

Robert me demanda de me détendre, que c’était parfaitement normal d’avoir mal, comme j’avais pu le voir tout à l’heure avec Magali me dit-il et comme son fils avait eu mal aussi. J’avais donc eu confirmation de lidentité du Marco en question.

Il ressortit son doigt s’accroupit et je senti sa langue sur mon orifice. C’était étrange, chaud, doux, humide, c’était comme sil me roulait une pelle à mon cul. J’appréciais chaque seconde de ce traitement qui s’opposait à la douleur du premier contact.

Il cracha abondamment sur mon trou de cul, je sentais que de la bave coulait.

Il se releva et plaça ce qui me semblait être son gland sur ma rondelle, ondulant et faisant de petits ronds avec pour attendrir la fine peau qui peinait à s’entrouvrir.

Puis, dans un éclair, il me prit, sans crier gare, sans retenue. Une violente décharge m’électrisa, m’arrachant un hurlement aussitôt étouffé par la grosse paluche de Robert.

R : « tais-toi ! On va t’entendre ! Laisse-toi faire, tu me dois bien ça, grâce à moi tu t’es dépucelé aujourd’hui, tu me dois bien ça… »

Il répétait sans cesse ces mots et au fur et à mesure que sa pénétration devenait de plus en plus soutenue, elle avait réamorcé celle que j’entreprenais avec Magalie.

Il n’avait plus aucun frein, juste l’envie frénétique de m’arracher le plus de gémissement possible. Il me baisa fort, si fort…

Magalie se releva, puis s’accroupit devant moi pour me sucer.

Quelle étrange sensation d’être partagé d’un côté entre une étreinte si douce dans la gorge de Magalie et me sentant léger sous les caresses de sa langue experte de salope et de l’autre côté être culbuté violemment part un homme qui pourrait être mon père, bedonnant, en rien l’image que l’on pourrait se faire d’une bête de sexe… Et pourtant… Quelle vigueur ! Je ne cache plus à présent le plaisir qui a pris place à la douleur, un plaisir inconnu qui déclenche ma jouissance dans la gorge de Magalie qui cette fois-ci devait s’y attendre. Elle avale tout mon jus pendant que Robert me pilonne encore plus fort que tout à l’heure ! Comment est-ce possible ?!

Les bras m’en tombe, Robert se retire, je me mets à genoux pour retrouver mes esprits :

R : « Et p’tite salope, ce n’est pas fini, je n’ai pas eu mon compte moi ! »

Je regarde en direction de Magalie qui ne bronche pas.

R : « c’est à toi que je parle petite chienne, viens me sucer et m’offrir ta gorge en guise de remerciements »

Je reste quoi, il s’avance, et le voilà qu’il force l’accès à ma bouche, me délivrant une grande claque au passage pour je le cite « avoir cru que ce serait Magalie qui me vidangerait les couilles »

J’ai l’impression que je vais vomir à chacun de ses assauts. Néanmoins, je commence à me sentir salope, je m’imagine être Magalie à qui je viens d’offrir mon pucelage… Je me sens possédé, presque femelle.

Robert me lime littéralement la gorge à fond, de la même façon que je l’ai vu faire avec sa fille il y a quelques instants avant que tout cela ne dérape.

Il grogne de plus en plus, je sens son incroyable sexe gonfler encore, je n’en reviens pas, et dans un dernier élan, il plaque ma tête sur son ventre, ses 20cm entièrement dans mon cou, m’empêchant toute respiration, mon divin supplice touche à sa fin.

Robert tremble et je sens énormément de liquide qui se déverse avec force et pression dans ma gorge et s’écoulant jusqu’à mon ventre pendant que je fais le maximum pour ne pas vomir.

Il se retire enfin au bout de quelques secondes.

Je m’imagine être rouge, presque bleu devant un tel traitement.

Robert rit, félicitant ses deux salopes pendant qu’il reprend son pantalon poussiéreux.

Nous entendons une voiture s’approcher, et reconnaissons la voix de Nadine accueillant mes parents.

Nous sortons salis, transpirants mais détendus.

La journée continua son cours comme si rien ne c’était réellement passé, et j’avoue maintenant que j’ai mis plusieurs années à réaliser ce qu’il s’était passé dans cette grange tout en sachant depuis ce jour précis, tout serait différent.

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