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Béné et les inconnus du club – Chapitre 1




Depuis que j’ai rencontré ma ravissante compagne, Bénédicte, nous avons vécu quelques aventures plutôt piquantes. Celle-ci est l’une des toutes premières. Bénédicte aime que je l’exhibe, j’aime la montrer, mais je suis aussi très voyeur. Nous avions décidé d’aller passer un week-end à Paris. Je voulais emmener Béné dans une boîte connue, réservée aux couples, où exhibitionnisme et voyeurisme sont de mise.

Après avoir dîné, nous sommes repassés à l’hôtel. Béné voulait se changer et avait amené dans son sac une tenue qui devait me plaire, m’avait-elle assuré. Elle est sortie de la salle de bain, éblouissante ! Petite jupe plissée jaune, très courte, chaussures jaunes à légers talons, chemisier jaune déboutonné jusqu’entre ses superbes seins nus. Elle m’a fait découvrir un ravissant slip jaune, tout en dentelles, pratiquement transparent. Un vrai petit Canari !

J’ai voulu l’allonger tout de suite sur le lit, mais elle a résisté en riant

— Non, plus tard ! Sois patient.

Nous sommes arrivés en boîte un peu avant minuit, quelque peu intimidés. Un homme charmant nous a accompagnés à une table. Le spectacle était saisissant : une vingtaine de couples étaient présents, certains assis, d’autres évoluant sur la piste en partie faite de miroirs. On apercevait le dessous des jupes des femmes ; l’une avait la chatte nue, une autre dansait chemisier ouvert ! Sur les canapés et dans les boxes, d’autres flirtaient, mais plutôt sagement.

Nous étions parmi les plus jeunes, assez émus. Après un cocktail bu en caressant les jambes de ma compagne, je lui ai proposé d’aller faire un tour sur la piste. Nous avons d’abord choisi un endroit sans miroirs au sol. Je sentais sur elle beaucoup de regards. L’alcool du dîner et celui que nous venions de boire nous a lentement désinhibé. Béné ondulait, la tête nichée au creux de mon épaule. Je l’ai progressivement entraînée sur la partie miroir, lui caressant les fesses sur sa jupe.

J’avais du mal à détacher mon regard de la femme qui dansait chemisier ouvert. Ses seins lourds apparaissaient par instant, très beaux. Elle devait avoir environ 45 ans et semblait un peu allumée. Elle avait remarqué mon intérêt et me souriait.

Son compagnon est venu évoluer plus près de nous. Il ne détachait pas son regard du sol, lui renvoyant l’image des dessous de Bénédicte. La femme me regardait avec un air terriblement provocant, nous frôlant sans cesse. J’ai senti la main de l’homme touchant la mienne. Il caressait les fesses de Béné ! Elle est passée sous sa jupe pour se poser sur sa culotte. Bénédicte a du sentir que cette main n’était pas la mienne, car elle s’est collée plus encore contre moi, mais sans manifester aucun rejet. La situation était très excitante, mais ce couple nous attaquait un peu trop rapidement, aussi lorsque l’homme nous a demandé si nous voulions passer la soirée avec eux, j’ai décliné d’un sourire et entraîné ma compagne un peu à l’écart, en lui demandant :

— Tu as senti cette main sur tes fesses ?

— Oui ! Je sais que ce n’était pas la tienne.

— Tu as entendu leur proposition ? Un peu directe, non ?

— Tu as envie de rester avec eux ? M’a-t-elle demandé.

— Je ne sais pas. Ce n’est pas exactement ce que nous avions prévu.

— Quitte à partir avec un autre couple, je le préférerais de notre âge.

— C’est comme tu veux ! M’a-t-elle répondu en écrasant son ventre sur mon sexe. Ils ont l’air plutôt corrects et de toute façon, tu sais bien que je te suis !

Je sentais que la situation m’échappait un peu et j’avais presque peur de découvrir que Béné était plus partante et avait moins de limites que moi. J’ai insisté en lui demandant

— On les rejoint ?

— Pourquoi pas !

Elle était en train de me prendre à mon propre jeu. J’étais venu pour l’exhiber et satisfaire mon désir de voyeurisme et elle m’entraînait directement où je n’aurai oser aller de moi-même. Pourtant, j’avoue que ce couple, physiquement me plaisait, et que l’idée de les voir s’occuper, tous les deux, de ma petite pute m’excitait au plus haut point. Alors nous nous sommes rapprochés d’eux. L’homme a proposé de nous offrir un verre, nous les avons suivis à leur table. D’autorité, ils nous ont encadrés sur la banquette, lui à coté de Bénédicte, elle de mon coté, les coudes sur la table, chemisier baillant sur les seins.

Ce verre supplémentaire a achevé de lever nos inhibitions. L’homme, Gérard, avait posé sa main sur la cuisse de Béné. J’avais moi-même la main sur son autre cuisse et nos doigts se frôlaient parfois. J’ai senti qu’il remontait vers le sexe de ma compagne. Elle avait les jambes légèrement ouvertes et se laissait peloter, la tête sur mon épaule. De l’autre coté, la main de sa compagne, Christine, s’était posé sur la mienne et l’avait entraînée sur sa cuisse.

Je me suis aventuré sous sa jupe, jusqu’à toucher son slip. Elle a écarté les cuisses et je l’ai pelotée avec délice, très excité, oubliant pour un temps Bénédicte. Je touchais ses seins et revenais à sa chatte, jusqu’à ce que je sente Bénédicte se tendre et s’appuyer plus lourdement sur moi.

En baissant les yeux, j’ai vu que la main de Gérard s’était insinuée sous le slip de Béné et qu’il devait lui branler le clito. Peut être même lui avait-il enfoncé le doigt dans le vagin, car ma petite salope avait ouvert en grand ses cuisses et se tendait sous la caresse. J’étais fasciné par ce mouvement sous le tissu et Béné avait vraiment l’air d’y prendre plaisir. Elle avait saisi ma main toujours posée sur sa cuisse et la serrait convulsivement. Je me suis penché à son oreille :

— C’est bon ?

— Oui ! Ça t’excite hein mon salaud ?

— Il t’a mis un doigt ?

— Oui ! A-t-elle chuchoté en écrasant ma main.

J’ai repris mes esprits et me suis insinué sous le slip de ma voisine, qui elle aussi s’appuyait sur mon épaule. J’ai découvert une vulve imberbe, toute douce, gonflée, et une fente moite de foutre. Son clito était très court, mais épais comme un téton, et dur comme une petite bille. Elle avait passé son bras derrière mes épaules, je la sentais caresser la nuque et la joue de Béné. L’homme s’est levé, entraînant Bénédicte pour la faire danser. Sans un regard pour moi, elle a mis ses bras autour du cou de son cavalier et niché la tête sur son épaule. Ils ondulaient lentement. Il a relevé sa jupe, nous exposant son joli cul moulé dans la dentelle, et a glissé sa main sous le slip pour lui peloter les fesses, tandis que l’autre, entre leurs corps, lui massait les seins. Pratiquement tous les regards de l’assistance convergeaient vers ma jolie compagne ainsi exhibée. Christine se laissait branler, me caressant le sexe à travers mon pantalon. Elle mouillait comme une fontaine et mes doigts clapotaient à l’entrée de sa moule gluante.

Autour de nous, bien des couples se caressaient mais restaient dans l’ensemble assez réservés, attentifs à ma compagne évoluant sur la piste. Bénédicte et Gérard avaient l’air en pleine conversation. C’est alors qu’elle s’est détachée de lui et est revenue s’asseoir à coté de moi.

— Ça va ? Lui ai-je demandé.

— Très bien ! Gérard nous propose de finir la soirée chez eux.

— Tu es d’accord ? Lui ai-je demandé assez stupéfait.

— Pourquoi pas ! Ils ont l’air plutôt sympa et puis tu es là pour me protéger !

Nous avons quitté la boîte et décidé de les suivre dans notre voiture.

Sitôt installés, j’ai dis à Bénédicte :

— Eh bien ma petite salope, il a l’air de te plaire Gérard.

— Je te rappelle que l’idée de la boîte c’est de toi et puis Christine aussi a l’air de te plaire !

— De toute façon, tu n’as aucune raison d’être inquiet, on n’a aucune chance de les revoir, et puis c’est toi qui as fait de moi une salope. Je pense qu’on a là l’occasion de vivre quelque chose de très excitant ensemble.

Elle était vraiment en train de me prendre à mon propre jeu. Mais l’essentiel de mes restrictions était plus du à la crainte de maladies qu’au fait de voir Béné prendre son pied avec un autre, ou prendre goût au fait de se faire baiser par des inconnus. Nous avons donc décidé d’être très prudents. L’appartement de nos hôtes était cossu, et nous nous sommes retrouvés enfoncés dans un canapé confortable, un cocktail à porté de main.

Béné avait retrouvé sa place, tète sur mon épaule, et Gérard qui semblait très attiré par elle s’est agenouillé à ses pieds. Il a posé ses mains sur les genoux de Béné et les a lentement remontées le long de ses cuisses, disparaissant sous sa jupe pour les poser sur ses hanches, remontant dans ce geste le tissu jusqu’à son ventre.

Il a crocheté la ceinture du slip. Béné a soulevé son bassin pour se laisser déculotter. J’étais totalement sidéré de la voir sans aucune réticence se laisser trousser. Puis il a ouvert ses cuisses, en posant une en travers de mes genoux. Sa petite chatte nous est apparue, les lèvres gonflées ouvertes sur sa fente rose, luisante de foutre. Elle était offerte, écartelée, impudique et Gérard s’est penché pour coller sa bouche à cette moule baveuse. Il devait lui bouffer le minou avec science, car elle s’est aussitôt cabrée dans mes bras en gémissant.

Christine, à mes coté, s’est penchée par-dessus moi et a entreprit de déboutonner le chemisier de ma compagne. Puis, a moitié allongée sur mes genoux s’est mise à caresser et à sucer les seins de Béné. J’en ai profité pour lui passer la main sous la jupe et la glisser dans sa culotte. Sa cramouille était brûlante et gluante. J’ai plongé un doigt, puis deux dans sa vulve et l’ai branlée avec application. De l’autre main, je lui pelotais les seins. Elle gémissait en mordillant et aspirant les tétons de Bénédicte, qui feulait de plaisir sous la langue de Gérard. À mon grand étonnement, je m’apercevais que je prenais plus de plaisir à voir ma compagne entre les mains de nos amis d’un soir, qu’à tripoter cette cramouille pourtant offerte et juteuse d’une inconnue. Tout à coup Bénédicte s’est mise à crier en se tordant dans mes bras. Elle jouissait comme une salope et Gérard la maintenait solidement par les hanches, continuant à lui bouffer la chatte pour prolonger son orgasme.

Christine était vautrée sur moi, écartelée au maximum, et je sentais sa cramouille aspirer les deux doigts que j’y agitais comme un fou, moi-même au bord de l’orgasme. Je ne crois pourtant pas qu’elle ai jouit, mais Béné, en s’affaissant dans mes bras, a donné le signal d’une pose. Gérard s’est levé au bout de quelques instants et nous a proposé de passer dans leur chambre. J’ai appréhendé cet instant délicat, et précisé à nos amis que nous ne souhaitions pas de pénétration hors couple sans un maximum de protection. À quoi ils nous ont affirmé être parfaitement d’accord.

Gérard nous a précédé jusqu’à leur chambre. Béné me donnait la main, me suivant sans aucune hésitation. J’ai lu dans ses yeux son total accord et une violente excitation. Elle avait un air parfaitement salope. Je l’ai prise dans mes bras et achevé de la déshabiller, tandis que Gérard et Christine nous offraient un strip-tease mutuel. Ils se sont allongés sur le lit, tète bêche, Christine a quatre pattes au-dessus de Gérard, se léchant la chatte et suçant la queue, pendant que je me déshabillais. J’ai allongé Béné aux coté de Gérard et me suis installé entre ses cuisses pour lui bouffer la moule. Il lui caressait les seins en suçant sa femme.

Christine a gentiment repoussé mon visage pour goûter au jus que Bénédicte distillait, et à tour de rôle, elle et moi dégustions la cramouille de Béné. Nous avons fini par allonger les filles l’une à coté de l’autre, et chaussés d’un préservatif, Gérard s’est allongé sur Bénédicte, pendant que j’enfilais Christine. Nous avons joué tant que notre forme nous le permettait et Christine remplissait chaque pose en gougnotant Bénédicte qui se laissait faire en manifestant un plaisir évident. Nous nous sommes quittés anéantis, totalement hors du réel, et ce n’est que bien plus tard, à l’hôtel, entre les draps que nous avons parlé de ce que nous venions de vivre.

C’est là que Béné m’a avoué, un peu émue :

-Je n’aurai jamais imaginé être capable de faire ça un jour. Tu as fait de moi une vraie salope !

— Et ça t’ennuie ?

— Non ! Mais je voudrai que tu sois toujours avec moi et que tu me protèges. J’aime bien être une salope avec toi, ta pute.

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