Planté devant la porte-fenêtre ouverte donnant sur la terrasse et le jardin, son regard vogue bien au-delà des haies et buissons taillés au cordeau. Jeanmi pense à la jeune femme qui dans quelques moments le rejoindra et se demande si l?intime jardin secret de celle-ci, protégé par cette dentelle arachnéenne subrepticement entraperçue avant d?être volontairement dévoilée, est aussi joliment dessiné que les allées du parc… C?était il y a trois semaines entre deux roboratives mondanités lors d?une réception chez les X. Il ne la connaissait pas, mais leurs regards croisés s?étaient immédiatement teintés d?érotisme. Désoeuvrée dans la contemplation des bulles tiédies de sa coupe de champagne, elle avait profité d?un moment d?inattention de l?assistance, remontant fort haut la jupe de son tailleur, pour lui donner le privilège d?une coquine dentelle voilant à peine son intimité. Assis dans le fauteuil club en face d?elle, il avait apprécié à sa juste valeur cette délicate carte de visite. Une heure plus tard, ils échangeaient leur numéro de portable et leur adresse de courriel ; trois jours après, sans en connaître beaucoup plus sur leurs pédigrés familiaux respectifs, curriculums professionnels ou amoureux, de conversations coquines en apartés pleins de sous-entendus, ils décidaient de s?octroyer une escapade vouée aux plaisirs des corps et des sens. Il lui avait très naturellement dit qu?il la désirait ; elle lui avait confié son oisiveté et son envie de jouir, avec une intonation de voix, un chuchotement, un chuintement des lèvres qui l?avait fort ému. Les choses étaient parfaitement naturelles, la complicité immédiate, leur projet comme un coup de canif à une vie somme toute sans grande surprise, une escapade buissonnière, une pause caresse hors le monde, une retraite consacrée à une sensuelle cérémonie. Soucieux d?intimité, Jeanmi avait demandé à l?un de ses amis de lui prêter ce petit pavillon loin de la ville, garçonnière campagnarde dont les clés circulaient dans leur groupe d?amis et connaissances, petite propriété gérée par un couple de jeunes intendants ’ très attentifs aux plaisirs des hôtes de passage ’, lui avait confié le propriétaire des lieux en lui tendant le trousseau de clé.

    Jeanmi médite donc ce mystère de dentelle face au jardin, lorsqu?on frappe à la porte. Il n?a que le temps de se retourner pour apercevoir Louise, la jeune intendante, s?esquiver discrètement afin de laisser Jessica entrer dans la pièce.

    Jessica est là, enfin, souriante, un peu anxieuse peut-être, menue, portant une robe en mousseline blanche à fines bretelles, ornée d’une ceinture large argentée, jolis escarpins délicieusement féminins, les cheveux blonds remontés en léger chignon. Un seul bijou, une chaînette, rehausse sa beauté naturelle de femme accomplie, bien dans sa tête et dans son corps.

    Louise a déjà refermé la porte. Troublé par le charme naturel de la jeune femme, Jeanmi la prend par la main et la conduit vers la terrasse afin de lui faire entrevoir ce jardin odorant. Il se tient en retrait d?elle tout en la serrant de près et discerne son parfum qui s?impose d?emblée aux fragrances du jardin. Jessica sent son souffle d?homme dans sa nuque tandis que deux mains glissent sur ses épaules rondes et nues, les effleurent avant de descendre sur ses flancs, sur ses hanches. Sa respiration s?accélère légèrement, gonfle sa poitrine tandis que Jeanmi lui mordille tendrement l?épaule et lui souffle à l?oreille que le dîner sera bientôt servi mais qu?ils ont bien le temps de se détendre. Jessica tressaille ; Jeanmi le perçoit et prend volontairement l?initiative.

    D?un geste précis, les mains sur le ventre de sa partenaire, il défait la ceinture, puis les passant dans le dos, dézippe la robe sans mot dire, en baisse les deux bretelles, libérant les seins ronds de la jeune femme, puis son ventre au doux renflement. La robe tombe en corolle. Jessica, perchée sur ses escarpins, n?est plus vêtue que de son seul slip et de son seul bijou. Consciente de l?assurance très féline de l?homme, elle se laisse faire, se prête au jeu, presque nue dans le soir qui tombe, frissonnante tant de l?excitation qui monte en elle que de la fraîcheur du soir. Jessica savoure même le fait qu?elle n?a qu?à peine détaillé l?homme qui la serre ainsi de près, ne se fiant désormais qu?aux deux mains qui se posent délicatement sur ses épaules, qui frôlent de leurs paumes ouvertes les bourgeons tendus de ses seins, leurs boutons caramel, qui effleurent maintenant son ventre et la flattent comme une pouliche un peu rétive. Elle devine le regard qui la transperce, qui la dénude plus nue que nue ; elle se sent femme, terriblement désirable, d?autant que l?homme ne la touche plus, qu?il a pris du recul. Son regard la mesure, un brin carnassier, remonte des escarpins le long des jambes, au slip rehaussant joliment la courbe des fesses, monte encore, le long du dos jusqu?au frisottis de cheveux qui sur la nuque échappe au chignon. Il rompt le silence chargé d?une sensualité feutrée :

    – Tes sens sont en éveil, ma toute belle, tu palpites comme si tu humais le soir de ton corps tout entier… Chut, ne dis rien… Tu es très désirable ainsi. J?ai envie d?offrir ton sexe au soir qui tombe…

     ?cartant légèrement les cuisses de Jessica en glissant la sienne entre elles d?un geste volontaire, Jeanmi descend doucement le slip de la jeune femme, mais jusqu?à mi-cuisse seulement, la laissant ainsi, debout, entravée par cette délicate pièce de lingerie, impudique, indécente, la fente offerte. Jessica sent son sexe s?humidifier. Elle se retient de se retourner, de coller son corps nu à ce corps d?homme qu?elle désire de plus en plus, qui ne la touche pas, mais dont elle perçoit la présence avec une acuité toute nouvelle pour elle. L?air frais l?excite tout comme ce regard de mâle, l?entrave la sa culotte baissée la rend vulnérable tout comme cet environnement qu?elle ne connaît pas.

    Jeanmi toujours invisible a ses yeux, à nouveau silencieux, a passé son polo par-dessus tête, déboutonné son jean qui tombe à ses pieds et qu?il enjambe prestement. C?est son torse nu qui la frôle maintenant, tandis qu?il cherche la nuque fraîche de ses lèvres, le lobe de l?oreille, que ses mains se sont emparées du buste tendu de Jessica, qu?elles descendent sur ses seins, les empaumant, chacun dans une main. Ce contact électrise l?homme, ses doigts titillent les deux bourgeons durs et dressés ; il les pince, les roule lentement. Jessica découvre brusquement contre elle la nudité de l?homme ; elle n?ignore rien de son désir qui, bandé, se dresse contre ses fesses, y dessinant en lentes reptations une nouvelle carte du Tendre. Tremblante, elle gémit, se laissant caresser les seins et le ventre qui se creuse par ces mains sculptant son désir.

    Contraste de la chaleur de la peau de l?homme et de la fraîcheur du soir, frissons de plaisir, Jessica impatiente se retourne enfin et se colle à Jeanmi, frottant ses tétons durcis sur son torse. La jeune femme laisse libre cours à son avidité, se coulant dans le regard de braise de l?homme, lui offrant ses lèvres, sa bouche, sa langue, s?accrochant à ses épaules, étreignant ses fesses, leurs langues tour à tour enfournées.

    – Je suis à toi, dit elle à plusieurs reprises, poussant son bassin en avant, à la rencontre de ce sexe dressé, se démenant pour se libérer de ce slip qui l?embarrasse, emprisonnant enfin la cuisse de l?homme contre son minou tout lisse. Je suis à toi, même si je te connais si peu, continue-t-elle en se frottant le sexe sur la cuisse de l?homme y laissant les traces de son désir humide.

    Lui mordillant la lippe, lui suçant la lèvre inférieure, sans retenue, elle lui dit sa fièvre et sa faim. Jeanmi lui répond de tout son corps. Les pointes des seins de la belle l?agacent, brûlent sa peau d?arabesques ; il s?en empare, les roule et les pince encore avec raffinement. Ses mains empaument ses fesses et les pétrissent avec délectation, tandis que son sexe dressé imprime son envie d?elle sur son ventre joliment bombé.

    -Je sens que tu as faim, ma douce, lui dit-il au creux de l?oreille, l?obligeant à se retourner vers l?intérieur de la chambre. Rentrons, viens…

    Surprise, Jessica, découvre en rentrant dans la chambre, Louise, malicieusement souriante, les attendant à côté d?un chariot garni de timbales brillantes et opulentes. Louise est là depuis un moment, silencieuse, toute droite, habillée d?une courte robe noire. Visiblement, elle apprécie les corps nus et enlacés de ses hôtes de passage. Se dirigeant vers le couple, elle s?empare de la main de Jessica et les invite à rejoindre le profond sofa du salon avec des gestes empreints de délicatesse. Un peu gênée de sa nudité, Jessica est néanmoins déjà submergée par la volupté du moment.

    -Ce ne sont encore que des amuse bouches, glousse Louise, consciente du double sens de ses mots, tout en remplissant leur verre. La suite vous attend.

    Jeanmi s?est glissé contre Jessica ; il la regarde de biais, piochant sur les plateaux quelques bouchées subtiles et délicates qu?il porte aux lèvres de sa jeune amante, les choisissant en variant saveurs et épices.

    Louise ne s?est pas retirée. Elle est là, debout, dans l?attente, comme une vestale. Signe de connivence, sur un hochement de tête de Jeanmi, qui reprend ainsi l?initiative, elle s?agenouille devant Jessica. Elle lui ôte ses escarpins, entreprend une lente et profonde caresse des pieds, des chevilles, des mollets. Tandis que Jeanmi continue à la nourrir du bout des doigts, Louise écarte doucement les cuisses de la jeune femme et lui caresse finement l?intérieur des cuisses, remontant très lentement du genou à cette plage toute tendre, là juste où le bas généralement s?attache, plongeant des yeux gourmands vers la fente entrouverte et mouillée de Jessica, lisse, bien découpée, parfaitement rasée. Tout en lui caressant la pointe des seins, les globes tout entiers, le ventre qui se creuse, Jeanmi lui susurre des mots de désirs à l?oreille, l?enveloppe d?une litanie chaude et crue, lui parlant de la fermeté de ses seins, du velouté de son ventre, de l?excitation qu?il sent monter dans le creux de la sa chatte, de sa queue à lui au zénith, du désir qu?il a de la goûter comme elle goûte ces petites bouchées chaudes suaves et épicées qu?il continue à lui porter à la bouche, passant ses doigts sur celles-ci, se jouant de ses lèvres qu?il malmène avec douceur. Il attire son attention sur les seins gonflés de Louise, qui pointent avec arrogance sous la robe, -les pointes en sont-elles plus dures que les tiennes ? Jessica se love contre l?homme, se laisse bercer dans ces déferlements de mots, de saveurs, de caresses. Son excitation grandit. À l?évocation des seins de Louise elle trouve la force de s?asseoir, de déboutonner la robe de l?intendante, de libérer les seins de leurs brides. Les bouts semblent sur le point d?éclater, gorgés. Jessica les caresse, les frôle du bout des doigts sous le regard appréciateur de son amant. Sa main quête le sexe de l?homme, elle s?en empare, le caresse lentement, éprouvant sa rigidité. Quelques perles sourdent du gland. Jessica se tourne vers Louise, désormais complice depuis qu?elles se sont mutuellement touchées. Mais, non, égoïstement, elle ne partagera pas ; sous le regard ravi de Louise, elle se penche, récolte du bout de la langue ces premières gouttes de plaisir puis se décide tout de même à les partager avec de la jeune femme, se penchant vers elle. Les lèvres de Louise se referment sur la langue de Jessica, qu?elle suce avec avidité ; toutes deux gémissent tandis que la température monte d?un cran.

    Jeanmi repousse néanmoins Jessica au fond du sofa. Bien qu?excité par ce ballet de langues féminines auquel il se joindrait bien avec délice, les dévorant toutes deux à pleine bouche, il fait signe à Louise de reprendre ses caresses. Celle-ci comprend qu?il n?est pas question de laisser l?initiative à Jessica et lui écarte les cuisses en grand, reprenant sa position d?orante, prêtresse de cet écrin intime. Elle lèche l?intérieur des cuisses. C?est sa bouche qui se met à l?ouvrage. Puis les plis de l?aine, ensuite la fente qu?elle attaque tantôt du plat de la langue, tantôt de la pointe. Elle écarte délicatement les pétales de cette rose de chair, goûte aux sucs les plus intimes ; les doigts dégagent le clito tendu tandis que Jessica râle de plaisir, la main crispée sur la queue de l?homme tout proche qui se repaît de ce somptueux spectacle gourmand.

    Louise se lève brusquement, laisse glisser sa petite robe noire, donne à voir ses seins merveilleusement gonflés, son ventre, ses cuisses charnues. Se replaçant entre les cuisses de Jessica, elle approche ses seins de la motte toute lisse et luisante, gonflée d?excitation. Elle branle Jessica maintenant de ses tétons durcis, guidant l?un et l?autre de ses seins qu?elle a empoigné le long du sexe mouillé, frottant leurs bouts durcis à ce clito rougi dans de sinueux mouvements lascifs. Ses seins se couvrent de cyprine. Jeanmi, les yeux exorbités se précipite ; il les lèche, les tête, les suce, découvrant ainsi, de manière imparfaite mais combien excitante la saveur la plus intime de cette chatte qu?il ne connaît pas encore.

    Mais Louise ne délaisse point longtemps Jessica qui feule et gémit. Avidement, elle recommence à la fouiller d?une langue chaude, écartant les cuisses, les lèvres de ses mains.

    Jessica sent la queue qu?elle étreint dans sa main, soubresauter fiévreusement. Elle en veut, elle veut manger comme on la dévore. Une fois encore, elle trouve le ressort de se pencher vers Jeanmi et sans préambule enfonce cette magnifique queue à fond de bouche. Elle pompe. Elle pompe dans l?urgence, les succions sont profondes. Elle suce sans reprendre son souffle et masturbe. Louise lui prête main-forte ; sa main rejoint les bourses gonflées de l?homme. Jessica à nouveau reprendrait bien l?initiative du jeu, appelant Louise à partager ce dard dressé. Louise convoite, hésite, quête l?approbation de Jeanmi qui ne dit rien, embouche enfin la queue tendue et offerte tandis que la langue de Jessica la rejoint dans une danse des langues et des lèvres sur ce pieu dressé. Elles lapent, s?emmêlent leurs langues sur cette belle queue ; gland gonflé, sexe congestionné de désir retenu. Jeanmi défaille, se libère de ces deux bouches voraces. Jessica résiste et l?embouche à nouveau jusqu?à la garde tandis que Louise, consciente de son rôle de vestale, appliquée, dévote agenouillée entre les cuisses écartées de sa déesse se caresse d?une main douce l?entrejambe tout en poursuivant son grand oeuvre sur cette fente juteuse…Toute prêtresse qu?elle soit, l?émoi grandit dans son ventre aussi… Jeanmi s?en aperçoit ; il tombe lui aussi à genoux sur la moquette et tandis que sa main s?en va remplacer celle de Louise au creux de sa motte fendue, de sa bouche il partage enfin le sexe de Jessica avec l?intendante. Enfin il découvre ce sexe désiré, le découvre, le déguste, l?éprouve et le savoure. Il gémit de satisfaction tant de ce nectar il raffole aussitôt, buvant tout contre la langue de Louise qui n?a de cesse de lécher, cette source qui coule maintenant abondamment. Le fait d?avoir tellement différé cette découverte stimule son excitation, attise son avidité, échauffe ses sens.

    Deux langues tournoient sur le sexe de Jessica. Louise lèche-t-elle la motte bombée, que Jeanmi enfonce profondément sa langue pointue dans ce puit d?amour ouvert. C?est une fouille méthodique de deux bouches complices qui s?accordent pour malmener cette pêche fendue, fruit délectable, mûr, à point, qu?il faut cueillir sans tarder. Jessica est luisante de plaisir, huileuse de désir, son ventre se creuse, sa respiration dérape. Deux langues réinventent son sexe avec fébrilité et elle feule, elle gémit, perd conscience. Jeanmi enfin repousse Louise, s?empare des cuisses de son amante, s?installe tout contre sa chatte, empoigne sa queue, lui branle la fente, la masturbe de son gland, presse son bouton d?amour d?un gland écarlate. Alors qu?il est au bord d?elle, Louise, exacerbée par le spectacle de ce dard flirtant dans ce sillon ouvert, enjambe Jessica, les fesses veloutées de celle-ci sur les seins excités de celle-là, présentant à la bouche de la belle blonde au chignon défait le pistil de sa fleur qu?elle ouvre de ses doigts. Jeanmi a les fesses de Louise en gros plan, il se doute de la friandise proposée ; d?un coup de rein lent et puissant, il s?enfonce dans le vagin de Jessica, jusqu?au bout, poussant son gland au plus loin, serré dans ce fourreau coulant. Sexes fusionnés, il est en elle, elle est autour de lui, lui au fond d?elle.

    Gémissante, Jessica étreint les fesses de Louise, fendue sous les coups de reins puissants de l?homme qui la fouille. Elle attire la chatte de la jeune intendante vers sa bouche, lui suce délicatement son bourgeon d?amour gonflé, elle la mordille. Le bassin de Louise roule sur le visage de Jessica, sa motte va et vient sur cette langue qui la fait chanceler. Jessica la tient fermement aux fesses qu?elle écarte dévoilant à Jeanmi un délicieux petit orifice étoilé. Ivre d?excitation qu?elle ne contient plus, elle tend ses doigts à Jeanmi. Celui-ci les mouille, les suce. Louise hurle de plaisir lorsque Jessica force l?anneau de sa grotte secrète et jouit une première fois, le doigt inquisiteur plongé au creux de ses reins.

    Jeanmi défonce littéralement Jessica à grands coups de butoir ; Louise reprenant ses esprits se laisse glisser sur la moquette, se glisse le long du corps de l?homme, s?empare de ses fesses musclées, découvre son anus et lui plante sa langue pointue, comme si les caresses qu?elle a elle-même reçues libéraient les dernières barrières. C?est pour l?homme une véritable décharge d?adrénaline, pire qu?un aiguillon planté dans les flancs d?un étalon déjà au galop. Il lâche la bride pour courir vers l?extase. Il comble littéralement son amante, la langue de Louise, de plus en plus profonde, le poussant en avant. Son anus fond sous la salive. Il n?est plus qu?un sexe de la tête aux pieds, une seule queue décidée à transcender le ventre de sa maîtresse pour l?emplir toute dans une jouissance sublime. Penché sur elle, il a réuni ses jambes autour de son cou afin de la serrer autour de sa queue, de caresser la moindre parcelle de cette gaine d?amour, de cet étui brûlant. Il la défonce à grands coups de reins, bandant ses muscles, ses fesses crispées, ses mains contractées sur les seins durs de la femme qui ploie sous lui. Il grogne, cherchant dans ses yeux à elles les signes de l?orgasme qui monte. Jessica balbutie, crie sans fin : le rythme de la pénétration est infernal, un labour sans fin. Louise ne peut maintenir sa bouche sur l?anus de l?homme ; elle ne peut plus intervenir en cette cavalcade amoureuse, ils galopent de concert. Elle s?agenouille aux côtés du couple, l?encourage de la voix tout en se triturant les tétons, crie son plaisir autant que celui de ses partenaires, assistant à cette union ample où les sexes se liquéfient l?un dans l?autre. Elle tente de glisser sa main entre eux, glisse avec force ses doigts entre ces deux sexes collés l?un à l?autre, branle presque violemment le clito aussi bandé qu?un sexe mâle, accompagne Jessica dans ce plaisir qui monte, fulgurant, venant des reins, du ventre, d?on ne sait plus où. Ses lèvres se penchent sur la bouche de Jessica, étouffe ses cris, la dévorant. Un dernier coup de reins libère Jeanmi, il crie à Jessica de tout laisser aller, de lâcher les vannes, de le rejoindre et il coule, il coule à longues saccades, giclant d?abord dans ce fourreau brûlant, puis sur le ventre, sur les seins tant il a envie de montrer cette extraordinaire force mâle libérée. Il vide ses bourses de cette crème onctueuse que Louise s?empresse d?étendre sur la peau satinée de Jessica. Ivre autant que lui, l?orgasme éclate dans le ventre de Jessica, vrai feu d?artifice, en tout sens, de tous les sens. Respiration coupée, Jeanmi s?effondre sur le corps de son amante, écroulé, roulant avec elle dans le sofa.

    Vestale discrète, Louise, se relève et se retire, tirant doucement la porte derrière elle, comme si de rien était.

    (à suivre)

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