ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 49 : Le feu et la glace.

Lorsqu’elle a repris ses esprits, Alice se redresse, puis après avoir tourné la tête vers l’arrière elle me regarde, et me demande :

Il est parti ?

Je souris, avant de répondre :

Oui, je suppose qu’il a dû aller prendre une douche, et qu’après il rentrera chez lui.

Tu ne crois pas qu’on aurait pu l’inviter à manger avec nous pour le déjeuner ?

Ça, il aurait fallu y penser avant. Car une saucisse de Morteau pour six ça fait un peu juste, surtout avec Dorine qui va se jeter dessus.

Mon petit bout de femme éclate de rire, avant de me faire :

Là tu exagères un peu, mon Amour.

Pas tant que ça.

Puis je lui mets une claque sur les fesses, avant d’ajouter :

Je te rappelle qu’on a toujours des invitées pour midi, et que nous ne nous sommes même pas encore lavés. Alors, arrête tes bavardages inutiles, et bouge ton cul de là.

Bien entendu ma compagne sait que j’ai raison, même si elle est légèrement vexée par rapport au fait que je la rappelle pour la deuxième fois à l’ordre au sujet du fait qu’elle parle beaucoup, alors qu’habituellement c’est elle qui me le reproche. Mais tout comme elle, j’aime la surprendre en inversant les rôles, ce qui est je pense de bonne guerre.

Et vu qu’elle est toujours couchée sur moi, m’empêchant de ce fait de bouger, elle se lève en affichant une petite moue boudeuse, avant de m’aider à en faire autant.

Ensuite nous allons nous laver sous la douche qui est au bord de la piscine, non pas que nous ayons peur que mon fils soit en train d’occuper la nôtre, étant donné qu’il y en a une troisième juste à côté de la chambre où il a dormi, et même une quatrième en comptant celle qui se trouve à l’étage.

₪₪₪

Nous choisissons tout simplement celle qui est là d’un accord tacite parce qu’elle est la plus proche, et qu’il commence déjà à faire chaud dehors en ce milieu de matinée, bien que nous ne soyons encore qu’à la mi-juin. De toute manière, peu nous importe l’endroit où nous nous trouvons, du moment que nous y sommes ensemble.

C’est pendant qu’Alice est en train de me doigter l’anus tout en me savonnant avec son autre main, après bien entendu que nous nous soyons mouillé, qu’Henry ressort sur la terrasse et qu’il s’exclame :

Salut les amoureux !

Avant de disparaître à nouveau dans la maison.

Je ne sais pas s’il a remarqué ce que mon petit bout de femme était en train de me faire, puisqu’il se trouvait à une bonne dizaine de mètres de nous, mais en tout cas nous n’avons eu droit à aucune remarque à ce sujet. Mon amante n’en est pas moins devenue écarlate, cependant elle n’a pas pour autant retiré son index de mon fondement, ce qui aurait été un aveu de culpabilité de sa part, alors qu’elle ne faisait rien de mal, mais au contraire me procurait du plaisir.

Une fois que nous sommes propres et séchés, nous allons nous habiller, et tandis que je mets mes vêtements habituels du week-end, ma compagne enfile un petit haut rouge à manches courtes qui laisse ses épaules nues, tout en faisant la part belle à son décolleté, et qui s’arrête en haut de son ventre, laissant son nombril lui aussi à l’air libre. Pour le bas, elle porte une jupe courte de la même couleur et assortie, qui est serrée à la taille, mais va en s’évasant au fur et à mesure qu’elle descend, mais pas bien loin puisqu’elle s’arrête au milieu de ses cuisses. Sa tenue est complétée par ses mules à talons pleins en bois, ainsi qu’une paire de créoles à ses oreilles, et bien évidemment elle ne comporte aucun dessous.

Vêtue de cette manière, ma belle Méditerranéenne me fait penser à une gitane, ce qui ajoute énormément à son charme. Cependant je ne lui fais pas de remarque à ce sujet, me contentant de la manger des yeux.

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Lorsque nous sommes parés, nous partons faire des commissions, et comme la fois précédente, nous prenons deux voitures, puisque nous allons nous séparer une fois ressortis du supermarché, et tandis que je retournerai à la maison pour préparer le repas, Alice ira chercher les jumelles chez elles.

Je suis dans la cuisine lorsqu’elles arrivent, après s’être mises nues dans l’entrée, et elles viennent me dire bonjour le plus naturellement du monde. Même Léa qui a commencé par mettre un dessert dans le réfrigérateur, qui je l’espère est un tiramisu, s’est à présent habituée à sa nudité comme à la mienne. La jumelle blonde semble d’une humeur plus joyeuse que la veille, ce qui m’indique que contrairement à sa maman j’avais raison, et que c’était bien la culpabilité de nous avoir espionnés qui la perturbait, et non pas les épreuves du bac qui ne sont pas terminées.

Lorsqu’elle vient me faire la bise, je pose avec douceur ma main sur ses petites fesses musclées, pour bien lui montrer que je ne suis pas fâché après elle, et elle se laisse faire sans aucune crispation ni aucune autre forme de rejet. Elle rosit au contraire de plaisir, et mon manège qui n’a pas échappé à ses parentes leur provoque des réactions contraires. Sa maman est en effet attendrie par ma façon de me comporter avec sa fille, alors que la sur de cette dernière, qui n’a pas eu droit au même genre d’attention de ma part lorsqu’elle est venue me dire bonjour la première, bougonne :

C’est vraiment pas juste. Y en a qui reçoivent des caresses, alors que les autres ont juste droit à des claques…

Je m’en veux immédiatement de m’être comporté de cette manière. Non pas que je regrette mon élan de tendresse vis-à-vis de Léa, mais étant donné que ma compagne m’a dit qu’elle s’est toujours appliquée à traiter ses jumelles de manière égale, je pense que je dois m’efforcer d’en faire autant, et ce n’est pas ce qui vient de se passer.

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C’est pourquoi je dis à Léo :

Tu as raison ma belle, j’ai été injuste avec toi. Pas hier soir parce que tu as mérité ce qui t’est arrivé, mais aujourd’hui parce ce qu’il n’y a aucune raison pour que je te néglige. Alors viens là que je me fasse pardonner.

Bien que n’étant pas timide pour deux sous, elle hésite, peut-être parce qu’elle s’attend à une mauvaise blague de ma part, puis elle se décide à s’approcher de moi, en me regardant par en dessous, toujours méfiante. Lorsqu’elle est assez près de moi, je l’enlace, et tandis que sa belle poitrine juvénile vient s’écraser contre mon torse, j’en profite pour caresser à leur tour ses petites fesses plus rebondies que celles de sa sur, en y posant mes deux mains.

Cela ressemble plus cette fois à du pelotage qu’à une marque d’affection, mais en observant Alice du coin de l’il, je constate qu’elle est amusée par mon comportement. Quant à Léa qui est en train de rougir, je serais curieux de savoir ce qu’elle en pense.

Léo pour sa part, qui au départ était crispée comme si elle s’attendait à recevoir en coup, se laisse peu à peu aller entre mes bras, je sens ses tétons durcir et s’ériger contre ma peau, et c’est tout juste si je ne l’entends pas se mettre à ronronner. Elle semble en effet heureuse comme une chatte qui se laisse cajoler, et c’est lorsque je sens mon sexe commencer à gonfler de désir pour elle, que je m’arrête et que je romps notre étreinte. Cependant je le fais sans aucune précipitation pour que ça ait l’air naturel, et étant donné que j’ai mis un tablier pour cuisiner, personne ne peut se rendre compte que j’ai été stimulé par le corps de cette toute jeune femme, qui est également ma belle-fille.

Enfin quand je dis personne c’est sans compter sur sa maman, qui affiche à présent un petit sourire ironique sur son beau visage. Je suis par conséquent convaincu qu’elle n’est pas dupe, et qu’elle sait parfaitement dans quel état je me trouve actuellement.

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Cependant Alice n’en éprouve aucune jalousie ni aucune colère, et son amusement grandit lorsque je me mets à bougonner à mon tour :

Bon c’est pas tout ça, mais si on veut manger à midi il faut que je m’y remette.

Heureusement, la jumelle brune qui semble très satisfaite de la réparation qui lui a été accordée, fait diversion en me demandant sur un ton enjoué :

On peut aller se baigner, Papa ?

Je ne m’arrête pas sur le fait qu’il était convenu que vu leur âge, sa sur et elle n’auraient pas besoin de solliciter ce genre de permission, et je lui réponds avec une voix redevenue normale :

Mais bien entendu ma Puce. Vous avez largement le temps, puisque notre invitée ne va arriver que vers midi.

C’est par conséquent ce que font les jumelles, qui vont sur la terrasse au rythme des clacs-clacs joyeux de leurs mules à talons en bois, qu’elles n’enlèvent que pour plonger dans la piscine.

Une fois que nous sommes seuls, tandis que je me suis remis aux fourneaux, mon petit bout de femme s’approche de moi par-derrière et sans crier gare, elle plonge ses mains sous mon tablier. Alors que l’une d’entre elles s’empare de mon sexe qui avait retrouvé sa taille au repos, l’autre va caresser mes bourses.

Je proteste aussitôt :

Tu crois que c’est le bon moment pour jouer à ça ?

Mais elle ne semble pas se soucier de la présence des jumelles non loin de là, puisqu’elle me répond :

Avoue que mes filles t’excitent, espèce de vieux pervers.

Tandis que ma queue recommence à gonfler sous ses caresses, je réplique :

Évidemment qu’elles me font de l’effet, mais c’est avant tout parce que tu m’as mis ce genre d’idées dans la tête.

Et tu n’y avais jamais pensé avant ?

Non. Moi mon genre, c’est plutôt les femmes mûres avec des gros nichons qui pendent lamentablement.

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Je me rends compte que j’ai fait mouche, puisque les mains baladeuses d’Alice se retirent aussitôt, mais ce que je n’avais pas prévu dans sa réaction, c’est que je reçois ensuite une bonne claque sur mes fesses qui sont nues. Tandis que je sursaute et que je pousse un cri de surprise, mon petit bout de femme me dit visiblement vexée :

Ça tu me le paieras, espèce sale macho.

Amusé et pas du tout repentant, je lui demande en me retenant de rire :

Et de quelle manière, je te prie ?

En faisant la grève du sexe pour de bon, par exemple.

Tu en serais privée autant que moi, et tu finirais par venir me supplier de recommencer de te prendre par tous les trous. Et pour te punir de m’avoir refusé la jouissance de ton corps, je te mettrais une bonne fessée, pour que tu comprennes que ce ne sont pas des choses à faire.

Tout ça, ce n’est que du blabla, et si tu étais un vrai mec, tu n’attendrais pas que je te provoque pour me faire rougir les miches !

Piqué au vif, je me retourne aussitôt pour la foudroyer du regard, et je lui demande d’une voix sèche :

C’est vraiment ça que tu veux ?! Que je te mette des calottes quand tu ne t’y attends pas, sans me soucier de savoir quelle est ton humeur du moment ?!

Calme-toi mon Amour, je te rappelle que nous ne sommes pas seuls.

Léa et Léo en entendant le ton monter, se sont en effet accoudé au rebord de la piscine, et elles sont en train de nous observer légèrement inquiètes. Cela me fait l’effet d’une douche froide, et ma mauvaise humeur retombe aussitôt.

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Cependant Alice n’en a pas pour autant terminé avec cette discussion qui devenait houleuse, puisqu’elle me dit sur un ton radouci :

Pour répondre à ta question, j’aimerais effectivement que tu me surprennes, en me mettant des fessées au moment où je ne m’y attends pas. Mais bien entendu, il faudrait que certaines conditions soient remplies.

Et lesquelles, je te prie ?

Pour commencer, il faudrait que nous soyons seuls tous les deux, ou en tout cas isolés dans une pièce si les filles sont avec nous dans la maison. Et ensuite, tout cela ne devra rester qu’un jeu entre nous, car j’aime aussi les moments où tu es tendre avec moi.

Parce qu’en plus, tu voudrais que je fasse ça même quand elles sont là ? Mais elles pourraient nous entendre, et voir ensuite que tu as les fesses rouges.

C’est possible, mais auparavant et comme je te l’ai déjà dit, je leur aurai expliqué que tu me corriges à ma demande, et que par conséquent tu n’es pas quelqu’un de méchant.

C’est déjà ça, parce qu’il ne manquerait plus que je passe pour un salaud, en faisant tout ce que je peux pour te rendre heureuse. Cependant, il y a une faille dans ton plan pervers.

Et laquelle, je te prie ?

Eh bien si tu continues à les inciter à vouloir que leur beau-papa devienne leur sex-toy, il se pourrait qu’elles en veuillent également plus, et qu’elles me demandent de leur mettre des fessées à elle aussi.

Même si je suis à présent convaincu qu’Alice a déjà envisagé que les choses pourraient évoluer dans ce sens, cela ne l’empêche pas de devenir écarlate. Cependant elle n’a pas le temps de me répondre, puisque nous entendons tout à coup le carillon de la porte d’entrée retentir. Dorine est visiblement en avance, et notre discussion bien qu’elle soit très importante, puisqu’elle consiste à définir le style de vie que nous voulons adopter, est interrompue par l’arrivée de notre invitée.

À suivre…

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