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Liberté, Egalité, Nudité – Chapitre 1




Nous sommes en 2069 et il s’est passé pas mal de choses depuis 2019. Nous avons subi un important réchauffement climatique : la température est montée à 40° pendant tout un été. De plus en plus de gens se sont mis torse nu : les hommes bien sûr mais aussi les femmes.

Au début, certains ont été choqués de voir des seins nus dans les rues des grandes villes et puis, progressivement, tout le monde s’y est habitué.

Quand les températures ont dépassé 50°, la chaleur est devenue insupportable. Il y a eu deux types de réaction : certains ont malgré tout gardé un string ou un caleçon alors que d’autres ont préféré tout retirer pour avoir un peu moins chaud. La querelle s’est envenimée entre les deux partis.

Il y a eu des manifestations pro-caleçons et aussi des manifestations anti-caleçons.

Finalement, le gouvernement a fait son choix et le 2 avril 2069 est entré en vigueur la loi interdisant le port de vêtements.

Au début, ça faisait bizarre de ne rien porter et c’était peut-être encore plus étrange de voir tout le monde sans rien. Et puis petit à petit, tout le monde s’est habitué à la nudité. La devise de la République a été modifiée, elle est devenue "Liberté, Égalité, Nudité".

La nudité est devenue normale, banale. Pour autant, elle n’a pas perdu son pouvoir émotionnel. Pour ma part, j’apprécie comme avant de voir dans la rue une jeune femme nantie d’une belle poitrine ou d’un postérieur avenant ! Et bien sûr, la situation est la même au bureau.

Ce matin, je dois procéder à une vérification comptable avec une jeune collègue, Mélina. A l’heure prévue, je la vois s’approcher de moi et s’asseoir à mes côtés ; elle me salue avec un petit sourire. Je suis déjà sous son charme. Nous commençons l’examen des factures mensuelles.

— Regarde cette pile de factures pendant que je m’occupe de l’autre pile, me dit-elle.

Elle a vraiment une voix très suave, presque enjôleuse. Son visage est fin, avec de petits yeux bleus en amande, les cheveux blonds plutôt courts ; elle a des seins tout ronds avec deux petits tétons taillés en pointe.

J’essaie de me focaliser sur mon travail mais c’est de plus en plus difficile. J’entends sa voix et je ne peux pas m’empêcher de la regarder.

Dès qu’elle ouvre la bouche, je suis troublé. Même quand je ne la regarde pas, l’image de ses tétons me hante !

Je suis de plus en plus excité mais heureusement, Mélina n’a pas l’air de s’en être aperçue. Elle continue à me parler comme si de rien n’était :

— Que penses-tu de cette facture ? Je ne la trouve pas dans le relevé mensuel.

Je ne réponds pas. J’ai du mal à me concentrer.

— Qu’est-ce que tu as ? Tu ne te sens pas bien ?

— Si ! Je me sens très bien, je t’assure !

Mélina regarde encore quelques factures avant de s’interrompre : elle semble troublée elle aussi ! Que se passe-t-il ?

Je m’aperçois alors que j’ai le petit soldat au garde à vous ! Mélina l’a sans doute remarqué et je me sens soudain terriblement gêné ! Je n’ose même plus la regarder.

Mélina me susurre à l’oreille :

— J’ai envie de toi, moi aussi !

Son aveu ne me surprend pas, je sais que je fais de l’effet aux femmes ! Le seul hic, c’est que nous sommes dans un open-space avec une cinquantaine de personnes autour de nous. Il faut trouver une solution et je propose à Mélanie de monter sur la terrasse ; nous nous dirigeons vers l’ascenseur. Arrivés sur le toit, nous nous allongeons par terre, mais le revêtement n’est vraiment pas confortable.

— J’ai une idée, lance Mélina.

Je la vois héler un hélico-taxi et cinq minutes plus tard, nous atterrissons dans un parc à la lisière de la ville.

Il est déjà midi, nous achetons un panier-repas à un vendeur puis nous nous dirigeons vers le fond du parc, où une pelouse est séparée du reste du parc par une large haie. Le seul accès à la pelouse est un étroit passage signalé par un panneau "interdit aux moins de 18 ans".

Nous nous allongeons sur l’herbe ; autour de nous, d’autres couples sont enlacés dans des étreintes profondes. Nous pouvons nous embrasser sans retenue. Nos langues se mêlent en un baiser très intense et passionné.

Je ne peux plus résister et je commence à caresser sa peau si douce ; ses tétons sont comme deux pointes charnues et je les comprime légèrement. Dans le même temps, je sens qu’elle me caresse la peau ; je suis déjà sur un petit nuage et voilà qu’elle me masse délicatement l’entrejambe. Je suis de plus en plus excité.

Nous commençons notre dégustation par le hors-duvre : je déguste sa frisée pendant qu’elle suce délicatement ma carotte du bout des lèvres.

Nous pouvons alors passer au plat principal : je lèche sa moule d’un coup de langue tandis qu’elle suçote ma nouille.

Puis viennent les desserts : Mélina lèche mes noisettes avant d’avaler ma banane.

Ses lèvres gourmandes sont avides de ce fruit exotique, elles enserrent la peau puis elles remontent sur toute la longueur avant de redescendre à nouveau. Je profite de ce moment de grâce ! Quelle sensation de bien-être !

A mon tour, j’approche ma langue de Mélina : je lèche avidement les deux dômes vanillés couronnés de deux framboises goûteuses. Comme c’est exquis…

Mélina me fait une faveur en me présentant sa friandise, ce mets si délicat et tant prisé des fins gastronomes. Je découvre ce bijou serti dans son écrin, qui semble si fragile que j’ose à peine le frôler du bout de la langue ! Déjà pourtant, le visage de Mélina s’illumine, ce qui m’incite à continuer ma dégustation au même rythme, sans me presser.

Dès que je passe ma langue sur son bijou, elle pousse de petits cris !

Et soudain, Mélina passe dans une autre dimension : c’est l’extase ! Elle tremble de tout son corps, elle hurle son bonheur ! Ah que j’aime la voir ainsi frétiller et couiner !

Mélina va mettre plusieurs minutes pour revenir à elle. Cependant, je ne suis pas rassasié tant que je n’aurai pas trempé le biscuit ! Mélina est comme moi, elle a encore faim et je sais qu’elle va me recevoir comme un prince.

Je pénètre en douceur dans son intérieur coquet, je me dirige tout au fond. Je commence une nouvelle dégustation, les sensations sont différentes, mais j’ai déjà du plaisir à être là, si bien accueilli. Je goûte à des saveurs variées, toutes aussi agréables les unes que les autres.

Mélina est sur la même longueur d’onde, nous sommes en symbiose. Je suis sûr que nos sensations sont identiques à cet instant. Nous sommes dans le même rythme lent, soudés l’un à l’autre, unis dans la volonté de faire durer le plaisir.

Enfin, nous nous décidons à mettre plus de fougue. Nous sommes déterminés dans notre quête de sensations intenses. Le rythme est de plus en plus rapide et c’est un feu d’artifice pour les cinq sens.

Au summum de l’intensité, nous partageons un orgasme simultané composé de multiples saveurs épicées.

A coup sûr, il va nous falloir quelques minutes pour nous en remettre.

Lorsque je jette un il autour de nous, je vois d’autres couples qui sont en pleine agape. Certains n’en sont qu’aux prémices, d’autres sont bien avancés dans le festin.

Petit à petit, nous sortons de la léthargie où nous étions plongés. Nous avons encore faim, mais de nourriture terrestre cette fois. Nous avalons notre repas avec gourmandise.

Nous rentrons au bureau avec un peu de retard. Il nous reste encore deux bonnes heures de travail, mais quelque chose me dit que nous aurons terminé bien avant. Nous avons tellement hâte de partager à nouveau un moment à deux, rien qu’à nous !

(à suivre)

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