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A la ferme – Chapitre 3




Louis entrait ’ je suis allé mettre Pompon dans son box’, puis il se déshabillait lui aussi. Il avait une bite superbe, encore plus longue que celle de Paul, mais plus fine. Il vînt se coller à nous, baladant ses mains sur nos corps. Je m?agenouillais pour le sucer, il appréciait mon geste.

Puis je me mettais à quatre pattes, Paul écarta Black qui venait essayer de me saillir, il attirait Satan me disant ’tu n?as pas goûté a celui-ci !’. Le chien habitué me grimpait immédiatement, mon ami guidait sa bite dans mon cul.

L?animal pris rapidement un rythme endiablé, normal avec un nom pareil. Sa bite enflait en moi, cette fois encore la boule était restée à l?entrée de mon anus. Plus courte que la pine de Black, celle-ci était plus grosse, elle déchargeait sans arrêt, les palpitations du sexe en moi étaient très agréables. Paul me dit ’ pour le garder plus longtemps en toi et qu?il continue à décharger, bloque lui la boule contre tes fesses ’.

Paul s?était mis a quatre pattes a son tour, et dit : ’ Papa vient me prendre ’. Louis s?installait, et sans effort enfilait son fils. Black voyant un cul disponible grimpait sur le dos de Louis, qui l?aidait a s?introduire. Le trio était à mes cotés, je me contentais de branler Paul faute de pouvoir me pencher plus et le sucer. Je trouvais le tableau sympathique : le fils enculé par son père, lui-même enfilé par un chien.

Satan ne bougeait plus, je l?avais retenu un bon moment, je le laissais se libérer. Il se retirait libérant un flot de foutre qui dégoulinait sur mes jambes. Le chien vint me lécher, me nettoyant à grand coup de langue, puis il se léchait la bite qui se rétractait. Black aussi se dégageait de Louis lâchant aussi un flot de foutre, qu?il nettoyait de sa langue.

Louis n?avait pas encore joui, je lui demandais de prendre la place de Paul. Il vînt derrière moi pour m?emmancher à fond. Bon sang que c?était bon ! Paul qui était libre attirait Prune, la chienne, lui massait un peu la vulve. Habituée, elle s?arque boutait en attente d?être saillie. Paul la prenait avec délicatesse, elle semblait beaucoup apprécier. Il fût le premier à jouir, le vagin de la chienne était très accueillant.

Louis me prévenait que lui aussi allait juter, je lui demandais de me mettre tout, de remplir mon cul comme celui d?une salope. Il m?envoyait plusieurs giclées. Puis me disait ’ à toi maintenant, essaye Prune tu verras elle est super ’. Avec l?aide de mon ami je glissais ma pine dans le vagin de la femelle, que c?était doux. J?étais à genoux derrière la chienne, juste à la bonne hauteur. Je sentais les contactions du vagin sur ma queue, c?était très chaud, je me régalais. Si différent d?une femme. Je ne pouvais résister longtemps et me laisser aller à décharger en elle, en criant mon plaisir.

Louis nous proposait d?aller voir Pompon. Il sortait trois ponchos de laine, pour ne pas être nus dehors, aussi contre la fraîcheur du soir et dans un bocal il avait pris une éponge m?expliquant qu?elle était imbibée des odeurs de chaleur d?une jument. Nous arrivions dans le box du poney, il piaffait devant la porte de bois.

La paille était fraîche sous lui. Louis lui fît renifler l?éponge, aussitôt je vis le mandrin du poney sortir, s?allongeant de manière impressionnante. Ouawhh quelle pine.

Paul se penchait contre le flanc du poney ramenait le sexe animal vers sa bouche, l?enfournait avec une délectation visible, il le pompait un petit moment, puis se tournait vers moi ’tu veux essayer’. J?avais retiré mon poncho j?étais déjà excité à la vue du mandrin, mais quelle sensation de le prendre dans ma main ! Il palpitait sous mes doigts, tiède, doux encore un peu souple. J?ouvrais mes lèvres au maximum pour le prendre en bouche et pomper.

Louis avait repassé l?éponge magique sous le nez de Pompon, sa queue s?était raidie dans ma bouche, il donnait de petits coups de reins secs. Ma bouche dilatée était pleine, presque à m?étouffer. Paul s?était placé derrière Pompon, positionnant sa bite sur le cul, il encula l?animal d?un coup.

Ca ne devait pas être la première fois, il se laissait sodomiser. Louis me dit ’ça il aime, il va vite gicler ! ’. Je sentais les palpitations du sexe se rapprocher. Je voulais tout prendre dans la gorge. La première arrivât violente me claquant le palais, je m?en étouffais, ça dégoulinait de mes lèvres. J?avalais ce que je pouvais, mais ça giclait encore. Mon menton était barbouillé.

J?avais relâche le membre, Louis vint m?embrasser pour partager les restes de semence dans ma bouche. Bon sang que c?était génial !! Paul qui avait déchargé dans le cul de Pompon, me proposait de le remplacer. A tant bander ma bite était presque douloureuse, elle entrait facilement dans cette chaire moelleuse, que c?était chaud, à coups de reins rapides, je déchargeais.

Louis nous proposait de changer de lieux, il nous amena dans une petite annexe. Une chèvre, Blanchette, mangeait dans une auge pendant que son chevreau tétait sous elles. Louis qui n?avait déchargé qu?une fois, voulait prendre a nouveau son plaisir. Il commençât a frotter le dos de la biquette, aussitôt sa petite queue se dressa, signe qu?elle attendait l?accouplement. Louis s?agenouilla pour lui lécher la vulve. Elle semblait aimer ça.

Louis s?était installé derrière la biquette, s?introduisant aisément en elle. Paul se plaçait derrière son père, l?enculait sans préavis. Ils avaient synchronisées leur rythme dans une cavalcade parfaite. Paul me voyant libre me dit ’fait toi téter par le chevreau, il adore. Tu vas aimer aussi ! ’.

Je présentais ma queue au jeune animal, qui l?enfournât aussitôt. Sa langue collait ma bite contre son palais, il aspirait avec force ?. Une vraie pompe ! J?étais obligé d?admettre que c?était sensationnel. Sa langue frottait ma pine cherchant à en tirer un lait désespérément absent. Je bandais terriblement, et les premiers frissons du plaisir me picotaient déjà la moelle épinière. Mes jambes tremblaient sous la tension, je déchargeais bien plus vite que prévu, dans des spasmes très forts. J?étais totalement vidé, quel plaisir !

Mes amis avaient accéléré leur cadence, ils voulaient jouir en même temps. Ensemble ils lançaient un râle de plaisir. Paul déchargeait dans le cul de son père qui remplissait la chèvre.

La nuit était tombée. Louis nous proposait de rentrer à la maison en faisant un détour rapide par les autres bâtiments. Il voulait me montrer les autres plaisirs qui m?attendaient pour ma prochaine visite. Les taureaux, les génisses, le verrat et la truie etc.

Paul avait sorti des quatre quarts, des boissons pour nous restaurer avant que je rentre chez moi. Nous étions assis en poncho. Black vint renifler ma queue, me donnait des coups de langue agréables. Fatigué je ne bandais pas totalement, par jeu je passais ma main sous son ventre pour le masturber. Vite excité, sa bite sortit totalement, toujours aussi belle, j?ai eu envie de la sucer. Je me mettais a genoux contre son flanc.

Satan prenant mon cul relevé pour une invite vint me monter, je guidais moi même sa pine dans mon cul. Il m?enculait en saccades rapides, enflait en moi, la boule dehors. J?avais continué de sucer Black, qui inondait ma gorge de son foutre.

Paul et son père me regardaient amusés, me traitant de ’ femelle en chaleur, de chienne en rut, de truie, de salope vicieuse ! ’. Ils étaient heureux d?avoir trouvé un nouveau complice aussi cochon qu?eux.

Nous avons pris notre douche. Je me suis rhabillé, j?ai pris congé en les remerciant beaucoup de cette soirée. Ils me firent promettre de revenir souvent. Je rentrais chez moi. Ma mère était couchée, je plongeais dans mon lit, j?avais besoin d?un sommeil réparateur. Je m?endormais rapidement me promettant de parler à Maman dès demain, de mes découvertes.

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