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Soumis, souillé et prêté – Chapitre 1




— Oh ouais, applique toi… Excellent, t’es une bonne suceuse toi hein !

— Oui Monsieur !

Ça, c’est moi. Chez un homme que je ne connais, un soir froid de décembre. En pleine période de famine sentimentale avec les filles, j’ai replongé dans mes fantasmes homosexuels. J’adore sucer, surtout des inconnus. Je prends des contacts sur les sites de rencontre, j’échange quelques infos, et je vais chez la personne pour le vider. Souvent je suis sobre, et parfois sous influence. C’est dans ces moments que la chienne en moi se réveille. Je plonge sur leur bite avec passion sans échanger un mot. Ensuite, je leur appartiens. Je n’ai plus de limites, et je me laisse guider, j’ai même un penchant pour la soumission. Mais ça, je le garde pour moi.

J’ai 21 ans, et mes envies homosexuels me suivent depuis quelques années. Je suis toujours un peu gêné quand je fais ça, donc j’ai bu un peu d’alcool pour me libérer. Résultat : je suce sans aucune limite. Je la lèche de tout son long, avale goulûment ce morceau de chair. Je me mets à rêver d’en avoir plusieurs, ou en tout cas quelqu’un qui sache me faire venir chez lui, et faire ce qu’il veut de moi…

— Je vais finir sur toi pour te souiller comme la chienne que tu es.

Ah oui, je l’avais presque oublié. Lui, c’est Vincent. 43 ans, divorcé et papa d’une jeune fille si j’en crois la photo que j’ai vu dans l’entrée. Visiblement, ses frustrations sexuelles récentes n’ont pas enrichi son lexique sexuel. Toutes ces insultes et ces phrases trop entendues n’ont pas vraiment de sens, puisque je ne suis pas vraiment sa chienne. Il est mon objet sexuel. La preuve : il rêvait de me prendre violemment, j’ai refusé. Il n’a rien osé dire. Du coup, sa frustration va finir sur mon visage, mon péché mignon.

Comme je m’y attendais, il retire sa bite de ma bouche et se masturbe frénétiquement au-dessus de mon visage. J’adore ce moment, où je sais que son sperme va arriver mais qu’il se fait attendre. Je préfère fermer les yeux, je n’aime pas l’idée de pouvoir en avoir dans les yeux. On ne sait pas quand le premier jet va surprendre, le goût qu’il aura ou même la quantité qui va en sorti-

Le premier jet recouvre la totalité de mon visage, de tout son long. Le deuxième ne se fait pas attendre. Dès le troisième, c’est dans ma bouche qu’il introduit sa bite. Je suis heureux, je suce avec un plaisir non dissimulé. C’est délicieux, mon excitation est à son paroxysme. Sa bite se ramollit dans ma bouche pendant que je réouvre les yeux. Je nettoie un peu ce qui traîne sur mon visage et j’avale tout. J’adore ce goût.

Après avoir tout léché, je vais me laver le visage à la salle de bain, avant de prendre mes affaires et de déguerpir en vitesse pour éviter le malaise habituel. Je sors dans le froid, et me dirige vers la station. En attendant le métro, je ne peux m’empêcher d’y repenser. Je n’ai toujours pas baisé avec une seule de ces conquêtes rapides, aucune ne me tente. Et pourtant, je rêve de cet homme qui saura prendre les devants, et me soumettre comme il faut.

Oui, c’est mon fantasme. Je veux d’un homme qui sache me traiter comme la salope que je suis. Qui me prendrait violemment. Qui ne me laisserait pas rentrer chez moi après l’avoir sucé, mais qui me forcera à le pomper toute la nuit. Je veux être un jouet sexuel, sans aucune valeur, au service de mon maître. Mais pour ce soir, ce sera masturbation et insertion d’objets. Il faut dire que j’ai un petit panel chez moi. Je sors le lubrifiant, m’installe dans mon lit pour profiter un peu.

Je repense à mes anciennes histoires, à tous ces hommes que j’ai vu passer. J’avais un bon classement sur le site où je trouvais mes hommes. Je me rappelle doucement cet homme qui m’avait payé, et que j’avais sucé dans sa voiture sur le bord de la route. Il m’avait payé hôtel quelques jours plus tard. Je m’étais retrouvé à le sucer comme sa pute personnelle. Il avait filmé avec mon téléphone mais j’ai perdu le film. Au moment où il avait essayé de me pénétrer, j’ai ressenti une douleur et j’ai tout arrêté. Je ne regrette pas, mais j’aurais aimé qu’il pousse mes limites… Qu’il me dise non, qu’il l’enfonce quand même et que seul un safe code établi ensemble aurait pu arrêter. Un code que je n’aurais pas utilisé. Et il m’aurait soumis, pénétré et souillé.

« Vrr vrr ».

Ça, ce n’est pas un vibro mais une notification sur mon téléphone. Un peu étrange, comme je suis d’un naturel un peu solitaire, j’en reçois peu habituellement. Oh, c’est Vincent. Sans doute veut-il que je retourne le sucer demain.

« Vraiment sympa ce soir ! Impatient qu’on se revoie ».

Bingo. Je lui réponds qu’on verra en fonction de mon horaire. Je me dis qu’en laissant passer un peu de temps, il oubliera vite cette histoire et que je trouverai quelqu’un d’autre. Mais le bougre insiste, et je me sens obligé de le calmer un petit peu.

— C’était vraiment sympa, je ne sais pas si j’ai envie de refaire ça, on verra d’ici quelques jours, lui dis-je.

— Oh mais je ne te demande pas vraiment ton avis. On va se revoir, je n’en ai pas fini avec toi.

Son audace me donne un petit frisson. Je dois bien reconnaître que ça marche un peu sur moi.

— Et puis, ajoute-t-il, j’ai d’autres arguments.

Le temps qu’un fichier charge, et je découvre une vidéo. Je l’ouvre, et découvre mon visage en train de recevoir la faciale. On me voit sucer avec passion, du sperme dégoulinant sur tout le visage. J’ai vraiment l’air d’une chienne en manque. Je suis pétrifié, je sais qu’il connaît mon nom. C’est trop facile pour lui maintenant. Je ne peux rien lui refuser. Je prends conscience de la merde royale dans laquelle je me suis fourré. Je reçois un dernier message :

— Je n’ai pas besoin d’en dire plus, je pense. On se voit demain à 20h chez moi ?

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