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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 14




Une fois arrivé sur place, je remarque qu’il n’y a plus personne vu l’heure, rien de plus normal et je file directement dans mon bureau. Celui-ci est vide, aucun dossier en vue. Je soupire d’agacement avant de me diriger vers le bureau de Shama et j’ouvre directement la porte sans frapper. Je vois Shama assise négligemment sur le rebord de son bureau.

— Ah, t’es là, le dossier n’est pas sur mon bureau, où il est ?

— Le dossier ? Quel dossier ? Me répond-elle avec un petit sourire en coin ;

— Ben, le dossier du client qui a appelé pour…

À ce moment-là, je commence à comprendre qu’il n’y a ni dossier, ni client mécontent.

— Aucun client n’a appelé pour se plaindre, c’est ça ?

Elle me sourit plus franchement. Je connais ce regard, elle avait le même le dimanche où elle est venue chez moi, après m’avoir parlé, ce même regard qui invite à la luxure…

— Pourquoi tu m’as fait venir Shama ?

— Tu m’as à peine regardé aujourd’hui, c’est pourtant pas faute de m’être habillée comme il faut pour ça dit-elle avant de tirer légèrement son haut rouge vers le bas, accentuant du même coup son décolleté déjà plongeant ;

— Écoute Shama

Elle se lève du bureau et se rapproche de moi. Directement, elle lance sa main sur mon sexe à travers mon pantalon, je recule de quelques pas jusqu’à arriver dos à la porte.

— T’as l’air trop stressé, essaie de te détendre un peu me dit-elle.

Elle commence à descendre ma braguette et passe sa main sur mon boxer, caressant mon sexe à travers celui-ci. Malgré ce qu’il s’est déjà passé avec Typhaine, la vue de l’opulente poitrine de Shama ainsi que l’insistance de ses caresses et de son regard sont de nature à faire monter mon excitation. Elle sent bien mon sexe commencer à doucement prendre forme et à étirer le tissu de mon sous-vêtement, du coup, elle passe sa main à l’intérieur. Je tente tant bien que mal de garder la tête froide et essaie de la dissuader de continuer son petit jeu, même si au fond de moi, je ne veux pas  qu’elle s’arrête, comme si je voulais me rassurer en me disant que j’ai tout essayé pour la stopper.

— Shama, j’ai eu une journée compliquée et usante, c’est peut-être pas le moment pour ça lui dis-je sans grande conviction.

À ce moment-là, Shama retire sa main de mon boxer et porte ses doigts à son nez pour les sentir, puis à sa bouche pour les goûter.

— Usante hein ? Et quel genre d’usure au juste ?

— Comment ça ?

— Ta bite est moite et sent le sperme, et tu as une odeur féminine sur toi, donc soit tu t’es amusé à te branler en te couvrant d’un parfum de femme, soit ton rendez-vous de cet après-midi était très chaud

La gazelle est très observatrice, et me voilà bloqué, au propre comme au figuré Sa découverte ne décourage pas Shama de continuer ses caresses et elle plonge à nouveau sa main sur ma queue, l’autre passant sous ma chemise pour caresser mon torse. Nous nous fixons sans dire un mot, elle avec un petit sourire malicieux pendant que j’essaie de trouver une excuse à lui servir. Mais, avant que je n’ai eu le temps de dire quoi que ce soit, elle me coupe l’herbe sous le pied.

— Alors, qui est l’heureuse élue qui a eu droit à tes assauts ? C’est encore Jenny ? Bizarre, je ne reconnais pas son parfum…

À cet instant, j’ai l’impression de buguer, a-t-elle vraiment dit ce qu’elle vient de dire ?!?

Je pose mes mains sur ses bras et la repousse un peu pour l’écarter de moi.

— Quoi ?? Qu’est-ce que tu racontes ? Pourquoi tu me parles de Jenny ??

Elle se met à doucement rigoler.

— T’as vraiment cru que je n’avais rien remarqué ? C’est vrai que j’aurais pu passer au travers, mais non, désolé !!

— Passer au travers de quoi ?

— Votre petit jeu, gros malin !!

Shama retourne s’installer là où elle était quand je suis rentré dans la pièce tout en se léchant de nouveau les doigts avec gourmandise.

— Le dimanche où je suis venue te voir pour m’expliquer, j’ai remarqué une belle bagnole garée pas loin de chez toi, une bagnole que je reconnaîtrais entre mille vu que je la vois presque tous les jours en venant au boulot : un Range Rover Evoque bleu nuit, le même que celui de Jenny ! Mais après tout, c’était peut-être une simple coïncidence, qui sait Du coup, j’ai pris en photo la plaque d’immatriculation pour vérifier le lendemain, et je suis monté chez toi. Une fois sur place, pendant que tu étais parti te changer, j’ai vu sur le canapé des affaires de motos, des affaires féminines, bien trop petites pour toi. Tu mettais un moment à revenir et l’espace d’une seconde, j’ai presque voulu aller voir ce que tu faisais car j’étais certaine que tu n’étais pas seul, mais j’ai préféré temporiser et attendre te voir comment allait se passer la suite. Puis on est allé dans ta chambre, et quand j’ai senti un contact féminin, j’ai même pas été étonné. Vous aviez la même odeur vu que vous étiez dans la douche quand je suis arrivé, donc j’ai pas pu me servir de ça pour vérifier ma théorie.

Mais quand la petite coquine a commencé à parler et à gémir, même si ça s’entendait qu’elle essayait de changer sa voix, j’ai malgré tout reconnu les intonations de Jenny à certains moments. Le lendemain, j’ai comparé la photo de la plaque à celle de sa voiture, et là, bingo, c’était la même !! Mais je voulais pas te dévoiler le fruit de ma trouvaille tout de suite et je me suis dit que j’allais vous observer un peu, c’est pour ça que j’ai pris l’excuse de mon mec. Au passage, ça fait un moment qu’il ne me pose plus de problème de conscience, je réfléchissais depuis un bail à arrêter avec lui, et ce qu’il s’est passé avec toi a été l’élément déclencheur, je l’ai quitté il y a quelques jours. Je vous ai observé, Jenny et toi, et c’est vrai qu’en y faisant gaffe, de temps en temps, vous vous jetez de petits regards, pas le genre de regards qu’une patronne et son employé iraient se jeter. Et puis quand elle t’a nommé assistant de direction à ses côtés, là j’avais ma réponse, j’étais vraiment sûre de moi !! Alors, ça fait longtemps que ça dure entre vous ?

Je soupire discrètement. Elle a tout devinée et tout compris, et vu la quantité de preuves qu’elle m’a avancé, il est difficile pour moi de nier. La situation est potentiellement explosive car si Shama vient à divulguer ce qu’elle sait autour d’elle et que ça finit par arriver aux oreilles de Fred ce qui ne manquerai pas d’arriver -, je pense que là, même Typhaine ne pourra rien pour elle, et encore moins pour moi

Quelle posture adopter maintenant ? Il ne faut surtout pas que j’ai l’air de paniquer, je vais faire en sorte de montrer que cette situation est tout à fait normale. Après tout, Jenny et moi sommes deux adultes consentants et nous n’avons rien fait d’illégal.

Allez, il faut que je donne le change et que je reste droit dans mes bottes !!!

Je m’avance doucement vers elle.

— Ça fait un certains temps. Bien observé en tout cas, mais ça serait bien que tu restes discrète à ce sujet, lui dis-je avant de m’arrêter à quelques pas d’elle ;

— Mmmmm, mais c’est pas très juste par rapport aux autres quand même, qui dit que tu n’as pas bénéficié de ton avancement grâce au fait que tu sautes la patronne ?

— Parce que je suis compétent et tu le sais. Et au passage, je ne suis pas le seul à avoir eu un avancement, c’est aussi ton cas, tout comme Malik et Léa, et elle n’a pas couché avec eux, ça, je peux te l’assurer ;

— Mouais Je sais pas, ça m’embête un peu quand même tout ça

Shama n’adopte pas un air choqué mais plutôt espiègle. Elle me lance toujours ce même regard débordant d’envie et d’excitation, elle m’a fait venir pour une bonne raison, et ce qu’elle m’a révélé ne change rien à ce qu’elle veut, c’est juste un moyen pour elle de me pousser à lui faire ce à quoi elle pense, et je sais pertinemment ce que c’est

Je me rapproche encore un peu d’elle.

— Ça serait vraiment mieux pour tout le monde que tu restes discrète Shama, s’il te plaît

Elle me lance un petit sourire avant de se lever du bureau.

— Je vais réfléchir, on verra !! dit-elle en prenant la direction de la sortie.

Elle pose sa main sur la poignée et commence à ouvrir la porte. Rapidement, je me précipite vers elle, la retourne et la plaque contre la porte, faisant claquer celle-ci violemment. J’entoure ma main autour de son cou en serrant mes doigts de manière mesurée et la regarde droit dans les yeux.

— Tu vas garder le silence Shama, lui dis-je en chuchotant tout en lui caressant doucement les cheveux de mon autre main ;

Elle ne lâche pas mon regard et ne tente en aucune manière de se dégager de mon étreinte.

— Sinon quoi ? Chuchote-t-elle à son tour.

Je lui souris, puis tout en la tenant toujours par le cou, je l’amène au niveau de son bureau et je la fais mettre brusquement à genoux. Elle lance un petit gémissement une fois au sol et pendant ce temps, je déboutonne mon pantalon et le baisse, ainsi que mon boxer. Sans attendre, j’attrape Shama par les cheveux et viens lui mettre ma queue dans la bouche. Commençant à prendre forme, je la lui mets entièrement, collant ses lèvres contre mon pubis, je peux l’entendre respirer difficilement, appuyant légèrement de ses mains sur mes cuisses pour essayer de se donner un peu d’air, mais je le lui refuse, maintenant fermement son visage contre moi. Sa langue entoure ma bite, joue avec, si bien que celle-ci grossit de plus en plus, remplissant encore sa bouche et accentuant du même coup la difficulté de Shama à reprendre sa respiration. Je sens mon sexe être de plus en plus à l’étroit dans cette antre chaude et humide, la langue de Shama continue à parcourir ma queue comme elle le peut. Elle finit par tousser et faire quelques hauts le cur et je me retire alors de sa bouche, ma bite est bien tendue et couverte de salive, salive qui dégouline aussi des lèvres de Shama qui reprend sa respiration.

La tenant toujours par les cheveux, elle lève le regard vers moi, de petites larmes perlent au coin de ses yeux, et je la toise d’un air dominant.

— Tu vas garder le silence, t’as bien compris ??

Sans lui laisser le temps de répondre, je viens de nouveau lui caler ma queue dans la bouche mais cette fois-ci, je me mets à faire des va et vient, lui baisant la bouche. Elle encaisse tant bien que mal mes assauts, sa tête coincée entre ma main et mon pubis, je peux sentir mon gland appuyer au fond de sa bouche, ainsi que les soubresauts de sa gorge et de sa langue qui bouge de manière désordonnée autour de mon sexe. Après quelques instants de cette pénétration buccale brusque et appuyée, je me retire et lâche ses cheveux, ce qui provoque chez elle un râle de soulagement au moment où, enfin, elle peut de nouveau respirer normalement et reprendre le contrôle de sa tête. Elle se tasse un peu plus sur elle-même, prenant de grandes et longues inspirations, de la salive macule son haut et cette fois, ce sont de belles larmes qui baignent ses yeux et s’écoulent le long de ses joues, emmenant avec elles une partie de son maquillage. De nouveau, je suis dans le même état d’esprit dans lequel j’étais lorsque je l’ai baisé chez moi la première fois et de la voir à mes pieds à moitié avachie me procure une copieuse excitation.

Je retire ma chemise et me voilà nu, le sexe suintant de salive, fièrement dressé, dominant Shama qui finit par doucement relever les yeux vers moi avec un regard mélangeant inquiétude et excitation. Si lors de nos premiers ébats, elle avait eue quelques velléités dominantes, il n’en est rien aujourd’hui, elle ne bouge pas et attend que je décide de la suite des opérations. Après quelques secondes à la regarder de haut, je la relève brusquement par le bras et une fois debout, je lui enlève tout aussi prestement son haut rouge pétant. Elle se laisse faire et ne dit pas un mot, même lorsque je viens retirer son soutien-gorge en tirant violemment sur l’attache dans son dos, la faisant voler en éclat. Ses seins maintenant libérés s’agitent devant moi et je viens alors me mettre à les gifler et à pincer leur téton, provoquant de vifs gémissements chez Shama. Je les malaxe et les presse l’un contre l’autre avant de venir les lécher et les mordiller plus ou moins forts, les complaintes de Shama s’intensifiant au fur et à mesure que la pression de ma mâchoire s’accentue.

Après avoir maltraité sa poitrine encore quelques instants, je l’écarte du bureau et, d’un geste ample du bras, j’envoie balader tout ce qui s’y trouve. Stylos, feuilles, dossiers, gobelets et j’en passe, tout s’écrase au sol, puis j’attrape Shama et la bascule au-dessus du bureau, la faisant prendre appui sur sa généreuse poitrine qui s’étale en-dessous d’elle. Je lui mets quelques belles gifles sur les fesses à travers son pantalon qui provoquent de sa part des cris plus ou moins forts selon la puissance de mes coups, puis je déboutonne son pantalon et commence à le lui baisser sèchement. Celui-ci est très serré et je dois m’y reprendre à plusieurs reprises pour le baisser entièrement, ne faisant montre d’aucune douceur dans mon entreprise, je la secoue, la brusque, mes doigts lui pinçant et lui griffant la peau, si bien que des rougeurs finissent par apparaître sur sa peau brune. Shama gémit et chouine mais ne bouge pas, restant dans la position dans laquelle je l’ai mise. Une fois son pantalon à ses pieds, son imposant fessier orné d’un string très discret s’offre à ma vue et je ne résiste pas à l’envie de rajouter une teinte rouge à sa peau, je viens donc mettre une claque magistrale sur chacune de ses fesses, le bruit résonnant dans le bureau et se mélangeant à celui de ses cris alors que mes mains s’écrasent sur sa peau.

Elle se met à geindre alors que je continue à la fesser, agrippant sa peau rougit entre mes doigts avant d’aller de nouveau la gifler. Ses mains serrent plus ou moins le bord du bureau à la mesure des traitements que je lui inflige, et de nouveau, je finis par mettre ses fesses dans un drôle d’état, remplies de rougeurs, tout comme ses cuisses auxquelles je ne manque pas non plus de donner leur dose de gifles appuyées. Shama gémit, sanglote, se trémousse mais se laisse faire. J’écarte la ficelle de son string et viens passer mes doigts sur sa chatte, déjà copieusement humide que je caresse avec ardeur, puis je finis par y introduire quatre de mes doigts, provoquant chez elle un gémissement intense quand je commence à la doigter en remuant vivement ma main. Elle sert ses cuisses tout en gémissant, les petits clapotis humides s’accentuant à mesure que j’accélère mes mouvements, puis je passe mon autre main de l’autre côté pour lui caresser le clito. En sentant ce contact, elle monte le volume de ses gémissements, contractant son corps entier.

J’accélère mes caresses, son clito glissant sous mes doigts et sa chatte remplie de mon autre main, elle se met à crier puis finit par jouir, son excitation trempant ma main et s’écoulant le long de ses cuisses. Sans lui laisser le temps de reprendre ses esprits, je retire mes doigts de sa chatte et les passe entre ses fesses pour venir titiller son anus et l’humidifier avant d’y glisser deux doigts sans préavis, ce qui la fait tressauter et pousser un cri de surprise. Son petit trou enserre fortement mes doigts, mais après quelques va et vient rapides et quelques petits mouvements circulaires, il finit par se détendre, accueillant mes doigts de manière bien plus souple. Je finis par les retirer et je me baisse puis lui écarte les fesses pour venir passer ma langue sur son trou dilaté avant d’y mettre une bonne dose de salive, je me relève et me branle quelques secondes, lubrifiant ainsi ma queue grâce à l’excitation de sa chatte, et, sans m’ennuyer à y aller doucement, je présente ma bite devant son anus et l’encule d’une traite.

Elle pousse plusieurs cris retentissant alors que je me mets à la prendre sur un bon rythme, elle se tient fermement aux bords du bureau en poussant des cris mêlant sanglots et gémissements. Je m’acharne sur son cul, giflant ses fesses, les agrippant pour appuyer encore plus cette violente sodomie, je ne m’occupe même pas des réactions que peut avoir Shama, j’ai le regard collé à ma bite visitant son cul, hypnotisé par mes rapides coups de reins, et ce n’est que lorsque ma queue sort de son anus par accident que je suis tiré de cet envoûtement. Son trou est à présent bien dilaté, près à de nouveau y accueillir mon sexe bien veiné. J’ai copieusement fait monter mon excitation mais je veux encore la baiser.

— T’en veux encore salope ?? lui dis-je en giflant de nouveau son cul ;

— Ouiiii, ouiiiii, ouiiii. Me répond-elle en sanglotant.

Je pose un pied sur le rebord du bureau, j’agrippe ses cheveux avant d’à nouveau me mettre à la pilonner rapidement. Sa tête tirée en arrière, elle se met de nouveau à crier sous mes assauts, les pieds du bureau crissent sur le sol tant j’appuie ma pénétration, nos peaux claquent l’une contre l’autre, tout ces bruits se mélangeant dans une cacophonie entêtante, le bruit de nouvelles gifles que je lui mets sur ses fesses se rajoutant à cette fête sonore. Shama pleurniche de plus en plus, elle ne peux pas du tout bouger, immobilisée qu’elle est entre ma bite lui martelant l’anus, le bureau lui servant d’enclume et ma main tirant ses cheveux. Je sens que ma jouissance approche à grandes enjambées mais je n’ai pas envie de m’arrêter de la prendre, et je continue donc sur le même rythme, encore et encore, puis, dans un long gémissement guttural, je finis par jouir en elle, crachant ma semence au plus profond de son cul, donnant de violents coups de reins pour accompagner chacune de mes giclées, le bureau et Shama vibrant à chacun de mes assauts.

Une fois ma queue bien essorée, je me retire et la tire par les cheveux pour la relever, puis je la fais se mettre à genoux et lui présente mon membre encore bien bandé.

— Tiens, nettoie-moi ça espèce de chienne !!

Shama s’exécute et commence à ouvrir sa bouche, mais trop mollement à mon goût, j’attrape alors son visage dans ma main et lui pince les joues pour lui faire ouvrir la bouche plus rapidement, puis je lui mets ma bite dans le gosier avant d’aller à nouveau agripper ses cheveux pour faire aller et venir sa tête par moi-même. Elle se laisse toujours faire, sa bouche servant de fourreau à ma queue, je relâche ses cheveux et elle continue à me sucer avec des mouvements plus lents cette fois, sur toute la longueur de mon sexe.

Après quelques secondes, je finis par me retirer, Shama restant accroupie, les mains sur ses cuisses et reprenant sa respiration, la tête baissée. De mon côté, je rassemble mes affaires et me rhabille sans m’occuper d’elle ou lâcher un mot. Elle-même, de son côté, ne dit rien et finit par se poser le cul au sol, venant passer sa main sur sa chatte et jusqu’à son cul. Elle se caresse doucement comme pour apaiser sa peau après les violentes charges qu’elle a subit de ma part. Une fois rhabillé, je m’accroupis devant elle et relève son visage sèchement. Elle me regarde avec un air épuisé, presque vide, les yeux rougis et les joues moites de larmes et lardées de son mascara qui n’a pas résisté au traitement.

— T’as intérêt à garder pour toi tout ce que tu sais, compris ??

Elle ne réagit pas à ma question et continue à me fixer d’un regard éteint. Pour la réveiller, je lui mets une petite gifle qui la fait tressaillir.

— T’as compris ce que je t’ai dit Shama ? Tu la boucles, pigé ??

Elle opine d’un geste lent de la tête.

— J’ai rien entendu !! dis-je en approchant mon oreille de son visage ;

— Oui, j’ai bien compris, lance-t-elle en chuchotant ;

— Et t’as compris quoi ?

— Que je ne dois rien dire

— Voilà, tu vois quand tu veux !!! lui dis-je en me mettant à passer mes doigts dans ses cheveux.

Je la caresse quelques instants comme ça, Shama regardant à présent le sol.

— Sois raisonnable, reste discrète et tu verras, tu ne seras déçue Shama, je te le promets.

Je ne sais pas bien pourquoi je lui ai dit ça, ça sonne comme la promesse qu’il y aura une suite alors que je ne sais pas du tout ce qu’il va advenir. Mais peu importe, après ce que j’ai fait subir à Shama, il fallait que j’édulcore un peu tout ça.

Je finis par me relever, laissant Shama au sol. Je prends la direction de la porte, l’ouvre, et avant de sortir, je rajoute :

— Tu penseras à ranger tout ce bordel, ok ?

En guise de réponse, j’ai droit à un léger mouvement de tête. Je me contente de celui-ci et referme la porte.

Je ne sais pas quel impact aura ce que je viens de faire, est-ce vraiment ce qu’elle voulait, se faire de nouveau malmener ? Peut-être voulait-elle simplement que je la saute sans aller jusque là, mais à ce moment-là, je pense qu’elle me l’aurait fait comprendre, non ?? Peu importe après tout, c’est fait, c’est fait, je ne peux pas revenir en arrière. La journée a été très, très chargée et je commence à fatiguer, je rentre donc chez moi et une fois arrivée, j’envoie un message à Jenny :

— – Salut Jenny, ça va ? Ça a été ta journée ? 

En guise de réponse, je n’obtiens qu’un simple « Oui. »

Comme depuis quelques jours, elle n’a sans doute pas envie de parler et je la laisse donc tranquille. Je vais me doucher puis je me cale devant la télé avec un peu de bouffe, et je finis par rapidement sombrer dans un sommeil profond qui, je l’espère, sera réparateur, tant pour le corps que pour l’esprit…

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