Cette histoire raconte un des moments vécus par tant de couples ici et ailleurs, un moment d’amour et de passion entre deux êtres, un moment où les esprits s’échauffent et où les corps s’entremêlent…
Ce texte ne se veut pas original, mais entend témoigner d’un instant charnel, pour le partager au monde et pourquoi pas en faire rêver quelques-uns et quelques-unes.
C’était un samedi soir, ma femme et moi avions été séparés pendant quelques jours pour raisons professionnelles; nous nous retrouvions enfin. Si aucun de nous deux n’avaient clairement énoncé la volonté de faire l’amour le soir-même, nos regards complices ne laissaient planer aucun doute, tout comme le champagne installé dans le seau à glace.
Au fil de la discussion, des rires et des baisers, nous nous étions rapprochés l’un de l’autre. La canicule avait sévi toute la semaine et si elle n’était plus là, la chaleur de l’été se faisait toujours sentir : short et chemise pour l’un, robe légère pour l’une.
Les bulles commençaient à faire leur effet, nos esprits s’échauffaient et nos gestes étaient de plus en plus assumés. S’ils étaient discrets, voire imperceptibles, les quelques caresses le long d’une jambe, l’ouverture de quelques boutons de chemise ou bien la bretelle d’une robe descendue le long d’un bras laissaient entendre le désir d’une soirée plus mouvementée.
Assis sur le canapé, le déclic se fit lorsque je compris que ma femme, qui était partie brièvement dans la salle de bain un dizaine de minutes plus tôt, en avait profité pour retirer sa culotte. Je l’aperçu lorsqu’elle se pencha pour ramasser le bouchon de la bouteille qui avait roulé sous notre table basse. Pour cela, elle avait pris soin de se cambrer fortement, laissant le tissu blanc de sa robe embrasser la forme de ses fesses et, par effet de transparence, laissant entrevoir sa nudité.
Cette image eut sur moi un effet immédiat: mon sexe commença à se gonfler, je le sentais se raidir sous mon boxer et la bosse qu’il formait ne laissait aucune place au doute.
Lorsque ma femme se releva, elle l’aperçut aussitôt et je pus voir dans son regard figé sur cette bosse ainsi que dans son sourire en coin un sentiment de satisfaction, celui de pouvoir enfin passer à la seconde partie de la soirée.
Dès lors elle décida de me chevaucher, posant sa poitrine à hauteur d’yeux. Nous nous embrassâmes passionnément, ses mains caressaient mon torse quand les miennes tenaient sa tête pour que nos lèvres restèrent l’une contre l’autre. Puis l’envie me prit de sentir ses fesses entre mes mains, je soulevai le bas de sa robe, serrai fermement son derrière et lui fis faire des va-et-vient contre mon sexe. Sa respiration était de plus en plus rapide et saccadée, elle déboutonna ma chemise et plongea ma tête dans sa poitrine, le tout en continuant à frotter son bas ventre sur la bosse qui déformait mon short. Mon érection était à son paroxysme et je souffrais de sentir mon sexe autant à l’étroit.
Elle retira ma chemise, s’enleva de moi et se mit à quatre pattes. Moi debout, elle ôta mon short et admira ma bite coincé sous mon boxer. Elle commença à la caresser à travers le tissus; avec la paume de sa main elle remontait le long de ma verge et redescendait, elle ne me regardait plus, sa bouche était légèrement ouverte et son regard perdu comme si elle faisait abstraction de tout ce qui l’entourait et n’avait de pensées que pour mon sexe.
Elle l’embrassait, le mordillait, et sous l’effet de mes gémissements se décida enfin à baisser mon boxer. Elle le fit tout doucement, mon sexe pointant vers le bas, elle s’amusa à descendre mon boxer jusqu’à ce qu’il ne retienne plus que mon gland. Elle lécha alors ma verge dans toute sa longueur et je pouvais sentir sa salive couler sur mon sexe. Lorsqu’elle me mit à nu, elle semblait plus excitée que jamais. Nos regards se croisèrent, elle posa ses deux mains sur mon sexe et commença à me branler.
– Suce moi.
Elle rapprocha sa bouche de mon gland et l’avala. Je sentais ses succions et un frémissement parcouru mon corps.
– Laisse moi te guider et occupe toi de ton plaisir.
D’une main je ramassais ses cheveux à la manière d’une queue de cheval et appuya sa tête sur mon sexe. Sa main gauche caressait sa poitrine tandis que la droite s’occupait de son clitoris. Je maintenais un rythme soutenu, avec quelques à-coups pour sentir mon sexe s’enfoncer un peu plus profondément en elle. Ses gémissements, bien qu’étouffés, me faisaient comprendre qu’elle aimait cette situation. Après quelques minutes je lui ordonna donc d’aller s’allonger dans la chambre.
Une fois en position, je m’allongea entre ses jambes. Sa chatte était déjà bien trempée, mes mains massaient sa poitrine et tandis que je léchais son sexe de haut en bas avec le plat de ma langue, je l’entendais pousser des râles de plaisir. C’est lorsqu’elle prit ma tête entre ses mains que je compris que je devais augmenter la cadence. Je décida donc d’accélérer mes coups de langue en me concentrant sur son clitoris. Je pris ensuite ses deux jambes et les serrai fort contre ma tête, de manière à être prisonnier de son sexe, et, face à ses injonctions, je continua mon uvre. Je m’arrêtais au moment où je sentais qu’elle allait craquer, son corps gesticulait et je savais qu’il suffisait encore de quelques secondes pour qu’elle lâche son cri de jouissance, un cri puissant, pur et libre, où le plaisir s’exprimait dans toute sa plénitude.
Tous les deux submergés par le désir de l’autre, elle décida de se mettre à quatre pattes devant moi et m’ordonna de me mettre à genoux. Pour la seconde fois elle se trouvait face à ma verge, encore plus dure et gonflée que tout à l’heure, et pour la seconde fois, elle la glissa dans sa bouche. En voyant mon sexe disparaître en elle, et au regard de son corps cambré, je ne pus résister. Je voulais que cette fellation soit également un moment de plaisir pour elle, je me pencha donc au-dessus de son corps afin de pouvoir atteindre son sexe. La cyprine était abondante, et mes doigts glissaient le long de ses lèvres avant de venir faire trembler son bouton de rose.
Notre plaisir était partagé, nous étions connectés, nous seuls existions à ce moment-là. Face à la frénésie de nos mouvements respectifs, le plaisir était de plus en plus difficile à conserver, et lorsque j’introduisis un doigt en elle pour la première fois, elle ne put conserver mon sexe dans sa bouche
– Continue s’il te plaît, vas-y, encore, oui, oui!
Un long cri de jouissance s’échappa d’elle. Sans pouvoir le maîtriser, elle s’était totalement cambrée, la tête appuyé sur le matelas et les fesses rehaussées pour mieux accueillir mon majeur. Après quelques secondes où elle resta immobile, comme totalement déboussolée, elle me demanda sur un ton autant autoritaire que suppliant de la pénétrer.
Je l’allongeai sur le ventre, me mis à genoux au-dessus de ses cuisses, posa mon sexe entre ses fesses et commença à me branler avec. Secrètement, je voulais augmenter le désir en elle au maximum, je voulais qu’elle s’impatiente de sentir mon sexe entrer en elle. Pour continuer ce petit jeux, je décida ensuite de frotter mon gland le long de ses lèvres plusieurs fois tout en exerçant quelques pressions à l’entrée de son vagin. C’est à ce moment-là qu’elle décida de mouvoir son derrière de haut en bas comme si elle cherchait à s’empaler.
Face à cette invitation, je pris fermement le bas de son dos entre mes mains et doucement je fis entrer ma verge en elle, jusqu’à ce qu’elle disparaisse entièrement. Commencèrent alors des va-et-vient de plus en plus appuyés où je pouvais voir mon sexe sortir puis disparaître en elle, et mon bassin culbuter ses fesses. Au bout de quelques minutes, je m’allongeai sur elle, passai une main sous son corps pour saisir son sein et de l’autre je saisis sa main qui tenait fermement le bout du matelas. Elle se cambra afin de pouvoir me sentir "taper le fond" comme elle aimait à le dire, et après plusieurs minutes d’intense plaisir, elle décida de prendre les rênes en main.
Je me retrouvai donc allongé sur le dos, ma femme sur moi, sa poitrine plus belle que jamais s’offrait à ma vue. Lorsqu’elle saisit mon sexe pour s’agenouiller dessus, je vis à nouveau dans son regard un moment d’égarement, ses yeux roulaient vers le haut, sa bouche s’ouvrit légèrement et laissa échapper un léger gémissement. Ses jambes se refermèrent autour de ma taille, ses mains se posèrent sur mon torse, et, ses yeux dans les miens, elle commença à monter et descendre son bassin, nos sexes trempés coulissaient sans difficulté. Qu’est-ce que j’aime sentir mon sexe dans son vagin brûlant et humide… Sa poitrine rebondissait à chaque coup de bassin, m’obligeant à la saisir, à la presser pour faire jaillir ces tétons au garde-à-vous. Mes mains parcouraient son corps, tantôt elles saisissaient ses fesses pour accompagner les pénétrations, tantôt elles se retrouvaient autour de son coup pour ensuite descendre le long de son corps, effleurant sa poitrine, ses hanches, ses jambes.
Je n’en pouvais plus, je voulais l’embrasser passionnément, je voulais sentir nos corps l’un contre l’autre, que nos sexes soient emboîtés comme s’ils ne formaient qu’un.
Je releva le haut de mon corps de façon à être assis, croisa mes jambes autour de sa taille et nous amena au bord du lit. Ainsi positionnés, nous pouvions nous serrer l’un contre l’autre et nous embrasser aussi fort que possible, les mains tenant la tête de l’autre afin de ne pouvoir se libérer. Tout y était: nos corps étaient serrés l’un contre l’autre et je pouvais sentir la chaleur que sa poitrine dégageait remonter le long de mon torse à chaque coup de rein; mes mains agrippaient fermement ses fesses pour accompagner ses mouvements; son vagin avait totalement englouti ma bite et je sentais sa mouille couler abondamment entre nos jambes. Nous vivions un moment fusionnel et je sentais que mon corps allait venir.
Au bout de quelques instants elle accéléra ses coups de reins pour atteindre un rythme effréné, elle me serra fort contre elle et je l’entendis haleter de plus en plus rapidement, de plus en plus aigu. Son corps se mit à trembler de tout son long, ses jambes serraient ma taille plus fort que jamais et ,quelques secondes plus tard, elle poussa un énorme cri, comme si elle était libérée de tout ce plaisir, de tout cet amour qu’elle avait en elle.
Pour ne pas me laisser sur ma fin elle se retira et, pour la troisième et dernière fois de cette soirée, prit mon sexe en bouche et le suça avidement jusqu’à me faire jouir sur ses seins. Elle lécha les dernières gouttes qui sortait de mon sexe avant de se relever pour échanger un tendre et langoureux baiser.