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Maman au concert – Chapitre 1




Maman au concert – Chapitre 1

Je m’appelle Denis, je n’aime pas mon prénom, mais hélas je ne peux rien y faire.

À dix-huit ans, je vis avec ma mère Claire, quarante-deux ans et divorcée depuis dix ans.

Elle est bien faite maman ! Elle est brune aux cheveux courts, une poitrine mignonne, qu’elle trouve trop petite, elle l’avait dit en ma présence à une de ses amies. Ce qui est attirant chez elle, c’est peut-être des fesses plus grosses que la moyenne.

Sa posture un peu cambrée accentue cette impression de beau cul. Il m’arrive de me masturber en pensant à son derrière, mais aussi à ses jambes où même à sa poitrine.

J’aime bien quand, pour traîner à la maison, elle ne met pas de soutien-gorge sous son haut.

Elle ne cherche pas à s’exhiber, mais plus à être à l’aise. Moi, en tout cas je me régale quand je vois ses tétons poindre à travers le tissu ou bien quand je peux jeter un il discret dans son décolleté, quand elle se baisse par exemple.

Dès que je suis dans l’intimité de ma chambre, je rêve de tenir son corps ou de sucer ses mamelons et mon plaisir est plus beaucoup plus intense que quand je pense à une fille de mon âge.

Elle a peut-être des aventures, mais n’en montre rien. Si elle s’habille parfois très coquettement pour sortir, elle ne découche jamais de la maison, tout au plus, elle rentre tard.

Nous nous entendons très bien tous les deux et faisons souvent des sorties ensemble.

Le shopping n’est pas ce qui me passionne le plus, je préfère aller au cinéma, ou au théâtre, ou aller nous balader en forêt.

J’aime bien surtout quand nous allons aux champignons car quand elle se baisse, j’ai un magnifique panorama de son derrière, que je photographie dans mon esprit pour y repenser le soir en me branlant.

Il m’est arrivé d’entendre, tard le soir, des gémissements provenant de sa chambre alors que je la sais seule. Elle doit se caresser, puis jouir le plus silencieusement possible. Ça a le don de me donner une trique d’enfer qu’il me faut vite maîtriser pour faire baisser ma tension sexuelle. Car à ces moments là, je brûle d’envie d’entrer dans sa chambre et me coucher sur elle.

Nous vivons très harmonieusement tous les deux. Bien entendu, elle ne sait rien de mes désirs cachés et quand il arrive de nous faire un câlin c’est toujours chastement, dans une relation mère fils ordinaire

Par contre, aujourd’hui, elle est particulièrement enjouée et fait preuve à mon égard de plus de gestes démonstratifs. J’ai droit à des bises sur la joue, à des enlacements appuyés pour lesquels elle écrase fort sa poitrine sur mon torse.

Elle se comporte comme une gamine excitée !

Il faut préciser qu’elle attend cette soirée depuis longtemps, son chanteur préféré, son idole, qui se produit dans notre ville et c’est une occasion inespérée pour elle de pouvoir l’approcher.

Maman a acheté les places depuis plusieurs mois et frétille d’impatience. Nous quittons la maison bien longtemps avant l’heure du concert, car maman souhaite être au premier rang.

A l’ouverture des portes, c’est la ruée pour se coller au plus près de la scène.

Nous sommes un peu sur le coté et maman prend appui sur la barrière de sécurité, au premier rang. Je choisis de me placer derrière elle pour contenir un peu la pression du public que je sens dans mon dos.

Les lumières s’éteignent, mais c’est une première partie qui n’intéresse pas trop un public venu pour la vedette. Il y a même des sifflets pour tenter d’abréger la représentation de ce groupe peu connu.

Quand le Messie arrive, il est accueillit par des cris hystériques des femmes largement majoritaires ce soir. La foule se presse et je suis obligé de me rapprocher de ma mère. Je tente de résister à la force qui me pousse dans le dos et y parviens un peu mais c’est épuisant physiquement.

Je finis par me retenir aux épaules de maman.

Les chansons défilent et le crooner à la voix grave séduit de plus en plus un public pendu à ses lèvres, toutes ont les yeux écarquillés et semblent ensorcelées par la voix mélodieuse du chanteur.

Y compris maman, bien évidemment.

Les gens derrière moi se pressent davantage et

J’entre en contact avec le postérieur de maman. Je tente de reculer un peu, mais sans succès. Le plus surprenant c’est que ma mère ne cherche pas à éviter ce contact.

C’est ce que je pense en tout cas.

Après une seconde d’hésitation, j’avance mon pubis vers son derrière.

J’entre alors dans une bulle mentale où j’oublie tout, sauf mon sexe appuyé sur la fesse droite de ma mère. Je bande de travers et prend un peu de recul pour glisser la main dans mon boxer et remettre la « situation » en place.

Comme dans un rêve, je suis à nouveau en contact avec le fessier maternel qui balance au rythme de la musique.

Chaque frottement de son jean sur mon sexe accentue mon émoi et maman ne peut plus l’ignorer maintenant. Quand elle se tourne pour me sourire, je ne sais pas si c’est pour me féliciter de sentir ma bandaison ou juste pour le plaisir du moment, c’est-à-dire voir son artiste préféré.

Heureusement qu’il fait presque noir dans la salle, car elle verrait mon visage qui doit être rouge pivoine tant je suis troublé. Elle ondule comme tout le monde et ma queue tendue roule d’une fesse à l’autre, je crois même qu’à certains moments, elle appuie un peu plus contre mon pubis.

Elle penche la tête en arrière et sa nuque vient en contact sur mon épaule, elle se laisse bercer par la voix enchanteresse de son idole alors que mon membre est clairement enserré dans sa raie fessière. Un peu bousculé par les gens, j’appuie, involontairement, un peu plus sur son derrière, mais elle ne s’échappe pas pour autant.

Au contraire, elle prend mes mains et les pose sur son ventre afin que je l’enlace par derrière.

Elle doit s’imaginer être dans les bras du mec qu’elle regarde chanter ou peut-être tout simplement être dans les bras de son fils.

Je bise affectueusement le cou qu’elle me présente. Je remarque qu’elle frissonne et que son souffle s’accélère. Son abdomen sous mes mains devient vivant.

J’ose prendre l’initiative en la serrant davantage, tout en appuyant plus fort mon sexe dans sa raie. Elle-même vient à ma rencontre et entame un lent balancement de ses hanches qui accentue encore plus mon désir.

J’ai le souffle coupé tant je suis troublé : Maman joue de ses fesses sur ma bite qui n’en peut plus d’être soumise à ce délicieux supplice.

Malheureusement, la chanson se termine et il me faut applaudir et donc lâcher le ventre de maman. Il s’ensuit des morceaux plus rock et l’opportunité d’enserrer ma mère ne se représente plus.

Lors du retour à la maison, elle est toute guillerette et, dans la voiture, continue à chantonner les refrains de sa chanson préférée. Elle n’évoque à aucun moment notre contact si particulier, et tant mieux car je ne saurais quoi dire !

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