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rencontre égyptienne – Chapitre 3




La main. 

Il est 10 heures du matin et je dois être dans une demie heure dans la voiture qui doit me conduire retrouver le groupe touristique qui se rend à la vallée des rois. 

Nue comme un ver, je me dirige dans la salle de bain. Je passe devant les miroirs et mon attention est attirée par des lueurs qui se dégagent des glaces. En un instant, elles ont disparu. Je dois devenir folle. Ce sont les reflets du soleil !! ma pauvre tu commences à avoir des hallucinations. Je n’y fais plus attention et ouvre le robinet pour déclencher le jet de la douche. Je me glisse dessous et me délecte de la caresse de l’eau tiède sur ma peau. Les yeux fermés, je m’adonne à quelques jeux érotiques qui me procurent tant de plaisir. Les mains posées sur le carrelage, je me penche pour coller mes fesses sur la paroi de verre à l’opposé. Je me cambre pour sentir le jet s’abattre sur mes reins. Au bout de quelques instants, je sens comme une caresse sur mes fesses. Comme une main douce, délicieuse, tendre. Je m’abandonne à cette caresse comme si elle était tout à fait normale. Soudain ma réflexion reprend le dessus : mais je suis seule dans cette salle de bain. Est ce que je rêve ? À qui appartient cette main qui me caresse.

La peur m’étreint, je me redresse vivement et me retourne. Personne !! je deviens folle. Qu’est ce qui m’arrive ? Voilà que mon imagination me joue des tours et je somatise mes désirs. Mon cur qui battait la chamade se calme doucement quand tout à coup mes yeux se fixent sur la vitre perlant d’eau en y voyant dessinée tellement précisément l’empreinte d’une main. Malgré l’eau qui continue de ruisseler sur la paroi, la marque ne disparaît pas. Mon regard parcourt la pièce, mon oreille s’attache à écouter le moindre bruit. Mais rien, personne, aucun bruit à part celui de l’eau. Un fantôme peut être, une mauvaise blague. Je me précipite à l’extérieure de la douche, enfile la fine robe et mes chaussures et sors à toute hâte de la chambre.

Visite touristique.

Je saute dans la voiture encore tremblante sans remarquer que ma robe n’est pas vraiment bien ajustée. Le regard du chauffeur insistant dans son rétroviseur m’étonne et je me rend compte que j’ai traversé le hall d’entrée de l’hôtel un sein à moitié sorti de la robe et l’autre sein carrément visible à tout le monde. La robe retroussée laisse voir mon intimité nue puisque je n’ai pas eu le temps ni le réflexe de mettre une petite culotte. Je suis toute gênée et d’un mouvement hiératique, cache mes attributs féminins au sourire pervers du chauffeur. Je rajuste ma robe timidement.

Arrivée à l’aéroport, la voiture s’immobilise. Le chauffeur se précipite pour m’ouvrir la porte. Son regard perçant me déshabille et je me sens salie par ses yeux. Il me conduit jusqu’au petit avion et je m’installe tout au fond pour ne pas me faire remarquer. 

Un groupe de personnes âgées investit alors l’aéroplane et nous prenons le départ. Le guide nous fait l’article des lieux que nous survolons. Je me penche au hublot pour admirer les paysages désertiques alors que nous volons au dessus du Nil. Dans la vitre je remarque deux yeux à nouveaux posés sur moi. Je suis quasi hypnotisée par ce regard souligné d’un trait de charbon. Je ne peux plus bouger, dans une sorte de torpeur. La voix du pilote me réveille en annonçant notre descente. Je tourne le visage pour découvrir mon observateur et me rends compte qu’il n’y a personne. Je commence vraiment à penser que je suis en train de sombrer dans la folie. Nous atterrissons et prenons un bus jusqu’au site de la vallée des rois.

La chaleur étouffante du car m’assomme et je sombre dans un léger sommeil peuplé d’égyptiens vêtus de chendjit pour les hommes et de haik pour les femmes. Je me sens transportée presque 4000 ans en arrière. Un homme se distingue dans ce rêve, venant vers moi, me tendant les bras. Je me sens attirée par lui. Il s’approche de moi et alors que j’allais lui donner ma main, je suis secouée par une grosse dame qui me demande de me réveiller parce que nous sommes arrivés et que je vais rater la visite. Je sursaute et d’un mouvement brusque me lève et la suis.

Nous entamons la visite sous le refrain lancinant du guide qui annone son programme comme un prêtre récite sa messe. Nous passons d’une visite de tombeau à une autre. Nous pénétrons alors dans la sépulture du pharaon Amenhotep 1e. Dés l’entrée un courant d’air chaud se glisse entre mes cuisses, relevant légèrement ma robe. La caresse du vent me semble si douce que j’ai l’impression qu’une main s’attarde sur mes lèvres nues. Je refrène un gémissement de plaisir et reprends mes esprits. Plus nous avançons dans le tombeau plus je me sens épiée, observée. Je crois deviner des yeux sur les parois peintes suivre tous mes mouvements. J’entends des murmures que même l’exposé du guide n’arrive pas à couvrir entièrement. Une sensation étrange me prend lorsque nous arrivons dans la chambre funéraire où trône le sarcophage du roi mort depuis près de 3500 ans. Des mots incompréhensibles se bousculent dans ma tête, mon corps se crispe de plaisir, mes lèvres humides gonflent et palpitent au rythme des pulsations sanguines qui les irriguent.

Je suis obligée de m’asseoir alors qu’un vieux monsieur me demande en souriant si je vais bien. Se rend il compte que des vagues de plaisir me submergent sous ses yeux ? Son grand âge ne me laisse que peu d’illusion sur sa sagesse et je crois qu’il a très bien compris ce qui m’arrive, même si moi, je suis incapable de le comprendre. Dés que je ferme les yeux, des flashs incompréhensibles de mon corps possédé par l’homme de mon rêve, me hantent. Il me faut sortir au plus vite de ce lieux si je ne veux pas défaillir plus encore. Les regards des anciens sur moi me rendent mal à l’aise et je remonte vite dans le bus une fois la visite terminée. Les deux heures du voyage de retour sont si tourmentées qu’une extrême sensibilité envahit tout mon corps. Un simple courant d’air, le moindre touché d’un tissu me procure du plaisir et du désir. Ma robe elle même me brûle à en devenir insupportable. Le cuir de la voiture qui me reconduit à l’hôtel me torture au point d’avoir envie que ce chauffeur, qui ce matin me répugnait, arrête la voiture et me prenne sauvagement.

Je ne peux m’empêcher de me caresser sous son regard alors qu’il me ramène. Mes yeux rivés dans le rétroviseur, j’écarte mes cuisses, lui offrant une vue imprenable sur ma chatte lisse, luisante du désir incessant que je vis depuis le matin même. Mes doigts s’enhardissent et caresse mon clitoris dur et brûlant à m’en faire mal. Mon autre main dégage mes seins de la robe que je remettais maladroitement quelques heures auparavant. Je me masturbe sans honte devant ce porc immonde qui me conduit. Je n’en éprouve aucun honte mais repousse la main qu’il tente de poser sur ma cheville. Il comprend qu’il n’obtiendrait rien de plus qu’un spectacle et semble s’en contenter. C’est sans vergogne que mes doigts vont et viennent au fond de mon vagin en lui criant le plaisir que je m’offre. Je me transforme en véritable chienne avide de plaisir. L’orgasme ne tarde pas à m’envahir. Et pendant de longues minutes je gémis avant de m’affaler sur la banquette jusqu’à l’arrivée à l’hôtel. C’est difficilement que je rejoint la chambre d’hôtel que j’avais été si prompte à quitter le matin même.

 

De l’autre côté du miroir

Il est 21 heures lorsque j’y entre le cur serré en repensant à l’épisode matinal. J’hésite à entrer dans la salle de bain, mais j’ai tellement besoin d’une douche pour me laver de la souillure de mes plaisirs. Que va t il s’y passer ? Je branche l’eau en me collant au mur, les yeux parcourant frénétiquement la pièce. J’en ressors rapidement pour me déshabiller puis cours hâtivement sous l’eau. C’est sans tranquillité que je me douche sans perdre une minute. Au sortir de la cabine, je saisis la serviette que j’enroule autour de mes seins lorsque un murmure se fait entendre. Je crois discerner ’’Approches-toi’’. La langue utilisée n’est pas le français mais bizarrement elle ne m’est pas étrangère, je la comprends. Il me semble venir du grand miroir face à moi. ’’Approches-toi’’. Lentement j’avance vers ce miroir embué. Le murmure se fait plus fort. Comment un miroir peut il émettre un son. Soudain une lueur se propage de cette glace. La lueur se dédouble comme si deux yeux m’observaient.

Je passe ma main sur la surface réfléchissante et vois apparaître le visage de l’homme dont j’avais rêvé. Je sursaute et recule, surprise et apeurée. ’’N’aies pas peur, je ne te veux pas de mal’’. Sa silhouette se dessine maintenant plus précisément. Apparaît alors un homme jeune aux grand yeux noirs, le teint sombre, il porte les apparats d’un roi. ’’Approches-toi, je suis le pharaon Amenhotep 1e. Je te désire et Amenhotep 1e obtient toujours ce qu’il désire’’. Sa main se pose sur le miroir, de l’autre côté. Je me sens irrésistiblement attirée par cet homme au charme animal. Malgré moi, comme hypnotisée je m’approche en tendant moi aussi la main, jusqu’à ce qu’elle se pose sur la sienne au travers de la paroi de verre. Je peux en sentir la chaleur, la douceur, elle me rappelle la caresse de cette main invisible ce matin même sous la douche. Soudain la main royale sort du miroir, saisit mon poignet et l’attire vers lui. Je me sens aspirée au travers de la paroi et suis obligée de grimper sur le plan pour ne pas me cogner.

Tout mon corps traverse alors le miroir. 

Le noir nous entoure et pourtant je distingue parfaitement son corps, tout comme le mien. Nos deux enveloppes luisent de toutes parts comme éclairées de l’intérieur. Ses grands yeux surlignés m’hypnotisent et je ne peux détournée mon regard du sien. Il colle mon corps au sien et je sens toute sa chaleur m’envahir. Sa main droite se pose sur ma fesse gauche et la presse avec douceur. Collée à lui je sens son désir grandir au travers de l’écharpe nouée autour de sa taille. Sa seconde main se pose sur mon menton qu’il attire à lui. Sa bouche se colle à mes lèvres et il m’embrasse fougueusement. Mes tétons pointés d’excitation se plaquent contre le collier qu’il porte. Sa main droite migre tranquillement entre mes fesses. Je le laisse faire tant j’ai envie de lui. Je sens son index prendre possession de mon sillon et descendre doucement à l’intérieur, jusqu’à arriver à la naissance de mes lèvres. Ce contact m’électrise et un soupir de plaisir meurt dans nos bouches soudées en un baiser passionné.

Mon corps tremble d’envie et je peux sentir son désir grossir encore contre mon ventre. Il reste ainsi quelques instant à m’embrasser puis délicatement, ses mains sur mes hanche me font pivoter sur moi même pour me retrouver dos à lui. Sans plus attendre, il colle son bas ventre sur mes fesses. Le chendjit levé, son sexe dressé prend place contre mes fesses et je sens le gland frotter contre mes reins. Sa main m’ordonne de tourner la tête pour retrouver ses lèvres. Se mains se posent alors sur mes seins et, avec délicatesse, les emprisonnent pour les caresser. Mes tétons tendus explosent, détenus entre ses index et ses majeurs. Mon bassin oscille de droite à gauche pour sentir la caresse de son sceptre contre ma peau. Je peux sentir le flux sanguin qui le remplit aux pulsations de ce sexe qui rebondit sur mes reins. Je pose mes mains sur les siennes. Elles sont si chaudes, si douche. Il se dégage des mes seins, laissant mes mains les caresser, puis il repose ses mains sur les miennes pour en intimer le mouvement.

Je me laisse d’abord guider puis, comprenant le traitement qu’il souhaite que je prodigue, j’en prends alors l’initiative. Voyant que ses mains sont superflues, il entreprend le voyage sur mon ventre. La pulpe de ses doigts glissant sur la peau de mon ventre est une douce torture. Torture plus grande encore lorsqu’ils atteignent mon intimité. Je manque de défaillir lorsque ses deux majeurs entrent en contact avec mes lèvres déjà humides de mon désir. Ils glissent le long de mes lèvres gonflées, flirtent avec ma chair intime pour venir caresser mon petit bouton. Le plaisir est si grand que je maltraite mes seins, triturant mes tétons. Je tremble de tout mon être. Se sont ses deux index qui pénètrent en moi en premier, m’arrachant un gémissement de plaisir. Ses doigts si profondément ancrés en moi me font doucement monter et descendre. La cambrure de mes fesses lui sert alors d’objet masturbatoire. Il se sert ainsi de moi pendant quelques minutes, jusqu’à ce qu’une couche apparaisse comme par magie devant nous.

Il me pousse alors à avancer jusqu’à elle. Il m’oblige à m’agenouiller dessus puis, quittant mon intimité, une de ses mains se plaque sur ma nuque. Je comprends que je dois me pencher en avant et elle m’accompagne alors que je m’installe à quatre pattes sur le lit. Sa main glisse le long de ma colonne vertébrale et s’arrête au milieu de mon dos. Il appuie pour que je me cambre un peu plus. Son autre main quitte à son tour mes lèvres et je sens alors son gland à l’entrer de ma chatte. C’est sans difficulté qu’il pénètre mon vagin lubrifié de mon impatience et c’est avec soulagement que je le sens coulisser enfin en moi. Il est si dur !! sa courbure racle ma chair interne et c’est très vite que le plaisir monte en moi. Alors qu’il entame un lent va et vient, ses mains caressent mes fesses, mon dos il se penche pour caresser mes seins. Pendant plusieurs minutes, je le sens doux, amoureux, debout derrière moi, me prenant tendrement. D’un coup, ses mains m’agrippent fermement par les hanches et il devient violent et sauvage.

Il me chevauche frénétiquement. Son bassin claque contre mes fesses. Je sens son gland cogner au fond de moi. Il m’arrache des cris de plaisir et je jouis une nouvelle fois. Ma jouissance lubrifiant mon vagin, il redouble de violence et très vite, il inonde mon vagin de sa semence royale. Je sens les jets chauds de son sperme se répandre en moi à chaque fois qu’il colle son bassin contre mes fesses. Une fois sa jouissance passée, il se retire de moi et s’installe sur la couche. Il m’attire à lui et colle son corps contre le mien. Il caresse tendrement ma peau pendant un long moment. Je suis comblée du plaisir qu’il m’a donné et que ses caresses continuent à me procurer.Pendant de longues minutes ses mains douces courent sur mon corps. Chaque millimètre carré de ma peau est tendu vers le seul objectif de ressentir l’extase que ses mains me prodiguent.

Lorsque son envie ’’se réveille’’ à nouveau, il me fait pivoter sur le dos et vient se placer au dessus de moi. À califourchon au dessus de mon ventre, il présente son membre raidi entre mes seins. Il se saisit des deux hémisphères et les presse l’un contre l’autre. Lentement, il entame un va et vient masturbatoire. Je penche alors ma tête en avant et tire la langue pour sentir l’extrémité de son sexe buter dessus. À chaque contact, je lape la boursouflure de chair et je me délecte du goût encore mêlé de nos plaisirs respectifs. Il saisit alors mes mains et les pose sur mes seins. C’est donc à moi de les presser l’un contre l’autre. Il se penche alors en avant et en appui sur ses poings recommence ses mouvements de bassin comme s’il me prenait. Son sexe plus puissant maintenant, s’extrait de plus en plus de son fourreau et s’égare de plus en plus entre mes lèvres. Il gémit et râle de plaisir à ce traitement qu’il s’offre. Jugeant qu’il en a assez, il se redresse et recule pour venir entre mes cuisses.

Il se penche à nouveau et pose son visage sur mon intimité qui n’a cessé de mouiller depuis plusieurs heures. C’est avec soulagement que je sens son nez parcourir mon intimité pour en humer les parfums. Je sens cet appendice caresser ma peau, mes lèvres. Quelle adorable sensation. Je me cambre à ce traitement et retiens mes cris en mordant mes doigts. C’est maintenant sa bouche qui aspire ma cyprine. Ce bruit de succion est d’une telle obscénité qu’elle en est encore plus jouissive. Il me boit littéralement et je n’ai plus envie désormais d’en cacher le plaisir. Je me mets à hurler de bonheur. Sa langue maintenant agace mon clitoris dur comme une pierre. Je sens le bout de sa langue tourner autour, le presser. Très vite son majeur profane l’entrée de mon temple et d’un mouvement assuré, il va et vient. S’en est trop, je jouis une première fois à ce traitement. Sa langue lape le liquide qui s’échappe de moi et c’est d’un sourire comblé qu’il me regarde. Mais pour lui, le jeu ne fait que commencer.

Tel un chat, il glisse au dessus de moi. Jusqu’à ce que son bassin soit à hauteur du mien. Il me regarde dans les yeux et pose ses lèvres sur les miennes. Nos langues se mêlent à nouveau. Ma main se pose sur son sexe raide et je le guide à l’entrée du mien. C’est là encore sans difficulté et sans se faire prier qu’il entre en moi. Son bassin se colle au mien. Mes cuisses se referment sur ses jambes alors qu’il commence un mouvement lancinant du bassin. Mes mains agrippent ses fesses, que je ne pensais pas si musclées. Il coulisse virilement en moi, butant au fond de mon intimité, m’écrasant de tout son poids. Sans que son sexe ne quitte son nouveau foyer, il se redresse, glissant ses genoux sous mes fesses. Il me saisit par les hanche et se relève, en appui sur ses jambes. Mon bassin suspendu, les jambes ballant dans le vide, mon corps ne repose plus sur la couche que par mes épaules. Il me pénètre maintenant par de grands coups de reins, secs et saccadés. Je m’abandonne à lui comme une esclave à son pharaon.

Il finit par s’épandre à nouveau en moi et je sens les convulsions de son membre déverser le flot de sperme et se mélanger à l’orgasme que je ressens au même instant. Il se couche sur moi, repu de plaisir. Sans sortir de moi, il nous fait alors pivoter afin que je me retrouve à cheval sur lui.

Le visage sur son torse, je ne peux m’empêcher de goûter sa peau, et c’est par de nombreux baisers que j’explore son buste alors que ses mains caressent mes fesses. J’accompagne les caresses de ses doigts par des mouvements de bassin lents, très doux. Son sexe encore fiché en moi reprend petit à petit de la vigueur. Je le sens grossir en moi, écartant ma chair intime. Cette sensation relance cette chaleur si belle qui grandit au fond de mon ventre quand l’heure du plaisir sonne. Et plus il enfle en moi plus mes mouvements s’amplifient. Et plus mes mouvements s’enhardissent et plus ses mains se crispent sur mes fesses. Lorsqu’il a atteint sa raideur maximal, mon corps tout entier entre en transe et telle une cavalière tentant de dompter l’étalon qu’elle doit débourrer, je monte et descends sur son corps tendu. Ses mains se posent sur mes seins qu’il pétrit ardemment. Sa fougue se réveille et je rebondis sur lui alors qu’il donne de grands coups de reins. Même en position inférieure, le pharaon se doit de dominer les débats, je le comprends et laisse ce demi-dieu prendre les choses en main.

Dressée, cambrée, les mains posées sur ses genoux je le laisse à nouveau me pénétrer à sa guise, comme il l’entend. Plus fusionnelles encore, nos jouissances s’entremêlent à nouveau. Fatigués de tant de plaisirs successifs, nous nous étendons l’un contre l’autre sur cette couche. Mon corps tout endolori de jouissance réagit à la douce torture de chaque frottement du corps de l’autre.

La caresse d’un vent chaud sur ma peau et la douce lueur d’un jour déjà avancé m’éveille, toute embrumée de cette nuit torride. Aux parfums inconnus emplissant la pièce, je comprends que je ne suis pas, comme je l’imaginais, dans la chambre de l’hôtel luxueux où je résidais. Mais où suis je. J’ouvre les yeux et me retrouve, nue sur la couche ayant servi à ma luxure. La pièce immense, ouverte sur l’extérieur sur chaque mur est remplie de tentures d’étoffes accrochées au plafond que de larges colonnes décorées soutiennent. Une femme entre alors. Vêtue d’un drap de lin blanc légèrement transparent, retenu par une ceinture d’ambre, elle porte une tresse de cheveux noirs comme le geai. Ses yeux soulignés d’un trait noir me renvoient un regard doux. Aurais je fait un bon de plus de 3000 ans en arrière ? Je dois rêver, je vais vraiment me réveiller. Mais la chaleur de sa main qui m’entraîne de l’autre côté est si réel… que m’arrive t il ? Nous entrons dans ce qui semble être une salle de bain.

Un grand bassin rempli d’eau trône au milieu. Elle m’invite à m’y plonger. Je ne me fais pas prier. En effet mon corps courbaturé de tant d’efforts a bien besoin de se détendre dans un bon bain bien chaud. Mais cette eau ne l’est pas, juste tiède, j’ai un peu de mal à m’y plonger. La jeune femme m’accompagne et caresse mon corps à l’aide d’un linge enduit d’une sorte de savon. Elle me lave tout le corps, s’attardant sur mes parties intimes encore sensibles. J’avoue que sa caresse est un véritable délice. Après m’avoir lavée, elle appelle une autre femme qui me conduit vers une table où je me couche. Elle m’enduit alors d’huiles parfumées. Ses massages sont un vrai plaisir, et je m’abandonne à ses caresses. Ses mains douces parcourent mes fesses, mon dos, mes épaules. Elle me demande de me retourner et je retrouve ses mains sur mes seins, mon ventre et mon intimité. J’éprouve un réel plaisir à ces attouchements saphique. Mais je pense qu’elle n’a aucune idée des sensations qu’elle me procure.

Après m’avoir enduite de ces huiles, une troisième jeune femme m’apporte une sorte de robe que j’enfile puis m’orne de parures de bijoux d’ambre, d’or et de pierres précieuses. J’ai remarqué que depuis que j’ai croisé ses trois femmes, leur regard est attiré par mes cheveux blonds. Sans doute suis je la première femme aux cheveux couleur du soleil qu’elles voient. Après m’avoir apprêtée ainsi, elle me conduise dans ce qui semble être une salle du trône où siège mon amant de la nuit. Elles s’agenouillent devant lui en le saluant. Je reste là, debout et fière face à lui. L’une des femmes me fait signe de m’agenouiller. J’esquisse une génuflexion lorsque le pharaon se lève. ’’Non, pas toi ma douce reine’’. Il s’avance vers moi et me tend la main, timidement je la saisis. Je souris de ma timidité. Comment puis je être timide avec un homme qui m’a prise toute la nuit ? Nous nous dirigeons sur une terrasse donnant sur le Nil. Le soleil à son zénith écrase de chaleur la cité qui nous entoure.

Nous voici seuls sur cette terrasse. ’’Maintenant tu peux t’agenouiller’’ dit il en souriant. Je ne me fais pas prier et très vite, mon visage se trouve face au chendjit déjà boursouflé. Je le soulève pour découvrir la cause de cette bosse. Un sceptre que je n’avais encore pas vraiment vu alors que je l’ai si bien senti. Circoncis, il présente un gland épais sur lequel je m’empresse de poser ma langue. Elle tourne alors doucement autour et vient se concentrer sur le méat qu’elle titille doucement. Les gémissements qu’il pousse ne laisse aucun doute sur le plaisir qu’il y prend. Je m’enhardis et commence un mouvement de ma main sur le cylindre de chair en continuant mon petit jeu de langue. Mon autre main se pose sur ses testicules pour y faire glisser mes doigts. Il semble aux anges au vu de sa main qui se pose sur ma tête. J’ouvre la bouche et y fait glisser son sexe. J’aspire ce membre qui m’a procuré tant de plaisir. C’est à mon tour de le conduire à l’extase. Mon cou s’active et c’est avec une avidité que je ne soupçonnais pas que je lui prodigue une pipe inoubliable.

Il ne lui faut pas très longtemps pour déverser son plaisir dans ma gorge. Les jets chauds et épais se succèdent sur ma langue et le doux goût de sa semence réveille mes papilles. Il s’affale sur le petit trône à proximité. Je tente de me relever mais il m’en empêche et d’un mouvement sec, m’intime l’ordre de rester là à ses pieds. Je m’installe alors et pose ma tête sur sa cuisse. Sa main se pose sur ma tête et il me caresse comme on caresse un animal domestique. Il ne me faut que quelques minutes pour m’endormir.

Ce n’était qu’un rêve ? 

Des bruits me réveillent. J’ai l’impression étrange d’entendre comme des ronronnements. Il ne s’agit pas de chats. Un klaxon… comment puis je entendre un klaxon de voiture 1500 ans avant Jésus Christ ? Je sursaute et me réveille vraiment. Je suis étendue sur le lit de ma chambre d’hôtel. J’ai du rêver. Un doux rêve mais ce n’était qu’un rêve. La mélancolie me gagne alors. J’aurais tellement voulu que tout cela soit vrai. Pourtant…. ce parfum… il me semble sentir encore ces huiles dont la jeune servante m’avait ointe. Le subconscient a des pouvoirs qui décidément nous dépassent. Déçue de comprendre que je n’ai fait que fantasmer cette histoire, je me lève et me dirige vers la salle de bain. Devant le miroir je ne peux m’empêcher de le toucher pour voir si parfois ma main ne le traverserait pas. Mais non, rien, pas le moindre passage. L’autre côté du miroir se refuse à me rendre mon plaisir. ’’Allez ma grande, fini de rêver, il te reste encore 4 jours de vacances alors profites-en’’.

Je file sous la douche et après de longues minutes, je me sèche et sors de la salle de bain. Un coup d’il au miroir dans l’espoir d’y apercevoir le regard de mon pharaon, mais toujours rien. ’’ N’y pense plus, c’est fini’’. J’enfile une robe, il me semble que je dois me rendre dans un musée ce matin. Je descend à la réception et là, surprise : ’’Tiens, mademoiselle cela fait 4 jours que nous ne vous avions pas vue. Nous ne savions pas où vous étiez. Les femmes de chambres ont laissé vos affaires tant que votre chambre était réservée et nous nous apprêtions à les rassembler pour les renvoyer en France. Je suis content de voir que vous allez bien et que vous êtes revenue. Je vais appeler le chauffeur, votre avions décolle ce soir je crois’’. Je suis interloquée par sa déclaration. 4 jours qu’ils ne m’ont pas vue ? Qu’est ce que c’est que cette histoire. Mon rêve n’a duré qu’une nuit. Était ce bien un rêve alors ? Bien sûr que c’était un rêve. 

’’Mademoiselle ? Vous allez bien ?’’ ’’Euh oui pardon, j’étais dans mes pensées. Et que suis je censée faire ce matin ? Le savez vous ?’’ ’’Oui mademoiselle, le chauffeur arrive pour vous conduire au musée du Caire. Une visite y est organisée pour vous.’’

quelques minutes plus tard le chauffeur, souriant me conduit jusqu’à destination. Son regard dans le rétroviseur ne laisse aucun doute sur le spectacle qu’il aimerait y voir, mais il n’a aucune chance de le voir. Sa déception est grande quand il ouvre la porte de la voiture. Il ne daigne même pas me tendre sa main pour m’aider à en sortir.

Une guide m’accueille alors à l’entrée du musée et nous entamons la visite. Dans une salle, des vestiges ramenés du village de Deir el-Médineh me subjuguent et m’interpellent. La jeune femme m’explique que ce village a été fondé par Aménoteph 1e et qu’il en est la divinité protectrice. Je reste coite lorsque je remarque sur les bas-reliefs dont la peinture a été miraculeusement conservée, la représentation, suivant le pharaon, de plusieurs jeunes femmes. Elle m’explique qu’il semble s’agir des favorites du pharaon Aménoteph. Une chose me frappe et attire mon attention : une des jeunes femmes n’est pas brune comme les autres. Au milieu d’entre elles, presque cachée, une chevelure blonde se dégage. Est ce possible ? Je me fais peut être des idées. Peut être s’agit il d’une décoloration de la peinture…. Je ne dis rien mais en mon for intérieur je me prends à rêver que ce que j’ai vécu était peut être bien réel tout compte fait. C’est distraite que je continue la visite, sans vraiment suivre ce que la guide me raconte, trop heureuse de cette découverte.

Comme dans un autre monde, la fin de la journée se passe jusqu’à mon retour en France.

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