Jacqueline était maintenant revenue à l’étude, le notaire l’avait une nouvelle fois convoqué dans son bureau, puis lui avait demandé d’aller chercher sa machine à écrire.
– Euh, je n’en ai pas.
Dit-elle naïvement.
– Idiote que tu es !
Répondit-il en prenant un air sévère,
– Je parle de la machine à écrire qui est sur le bureau de la secrétaire, tu es censée être maintenant la secrétaire, donc le bureau est « ton » bureau et la machine aussi.
– Merci.
– Attention puisqu’il faut tout te dire et t’apprendre, quand je dis « ton bureau », cela ne veut pas dire qu’il t’appartient, mais que c’est là que tu travailles et quand je dis « ta machine » là encore cela ne veut pas dire qu’elle est à toi, mais que tu travailles avec. Et puis, tu dois toujours m’appeler « maître » et donc pas un simple « merci » mais un « merci maître » compris ?
– Oui.
Dit-elle timidement et confuse, puis voyant les grands yeux du notaire elle corrigea.
– Euh, oui maître.
– Voilà qui est mieux, bon va me chercher ta machine.
Elle revint quelques instants plus tard en portant une grosse et lourde machine à écrire.
Patrick regarda Jacqueline qui peinait sous le poids de la machine, mais ne chercha pas à l’aider.
– Pose-là là
Lui dit-il en montrant une table à proximité de son bureau.
– Nous en ferons ton bureau quand je n’aurais pas de client, ainsi je t’aurai à l’il.
Elle baissa la tête et amena la machine sur le bureau.
Celle-ci était lourde et elle ne se voyait pas passer son temps à trimballer ce lourd attirail plusieurs fois par jour, mais elle n’osa pas en faire la remarque à son patron.
Elle l’avait déposé délicatement, mais avec beaucoup de mal.
Elle lui tournait le dos et s’était un peu penché pour la poser, cela mettait en valeur son petit cul qu’il trouva arrondi comme il fallait.
– Voilà un petit popotin qui va me plaire.
Songea-t-il en le regardant.
Il lui dicta un texte et la regardait taper, il se mettait derrière elle quelquefois pour lire par-dessus son épaule et vérifier qu’elle ne faisait pas de fautes d’orthographe ou de frappe.
De temps en temps il lui demandait si elle comprenait le mot qu’il venait de lui dire et à chaque fois ou presque ce mot lui était complètement inconnu.
Il lui donna un petit carnet pour qu’elle y inscrive les mots en question et leur définition.
– Apprend-les, je te demanderai souvent leur signification et toute erreur sera punie.
– Oui maître.
Pour l’instant, il s’amusait à asseoir son autorité, il irait plus loin dans ses revendications plus tard et progressivement.
Il la sermonna en la regardant écrire sur son carnet le premier mot qu’il lui avait dicté.
– Mais c’est quoi cette écriture, applique-toi.
Elle avait une belle écriture ronde et même si elle ne s’était effectivement pas vraiment appliquée, l’écriture était bien faite et lisible.
Elle s’appliqua pour écrire la définition et soigna les arrondis de ses cursives.
– Voilà qui est mieux, je ne t’infligerai pas de punition cette fois, car c’est ton premier jour, mais attention, à partir de demain, je serai plus exigeant.
Ce jeu l’amusait, il en avait même oublié les pensées de ce matin, cette fameuse dernière soirée qui avait vu prendre au piège Christian et son épouse Martine.
Jean avait embrassé Martine devant son mari sans que celui-ci ne bouge, il avait ensuite glissé sa main sous la robe de cette épouse qui était aussi docile que son mari.
Il s’était ensuite levé, avait pris la main de Martine pour l’inviter à se mettre debout.
Elle était maintenant face à lui, il déboutonna les agrafes de sa robe, prit le bas de celle-ci et la remonta aussi haut que possible.
– Lève les bras.
Elle hésita un peu, mais devant le silence de son époux elle céda à la demande de Jean et leva ses bras. Celui-ci enleva complètement sa robe.
Elle avait une gaine corset bustier noir et un soutien-gorge à balconnet de la même couleur. Le corset avait aussi un porte-jarretelle pour tenir ses bas, la culotte assortie à l’ensemble avait déjà été explorée par les mains de Jean.
Christian ne savait quoi faire, son épouse avait baissé les yeux, honteuse d’être aussi peu vêtu devant cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a à peine quelques heures et qu’elle connaissait d’ailleurs encore si peu.
Il dégrafa le soutien-gorge et le donna à Christian, celui-ci hésita un peu puis le prit.
– Tu es un sacré veinard, ton épouse est magnifique.
Lui dit-il en approchant sa bouche du sein droit de Martine.
elle fit un petit pas en arrière.
– Christian, met-toi derrière Martine.
Sans rien dire, Christian se mit derrière son épouse.
– Tiens-lui la taille.
Là encore il fit ce son interlocuteur lui demandait.
Jean s’approcha ensuite de Martine et l’embrassa.
Elle accepta son baiser et lui rendit. La bouche de Jean se dirigea ensuite vers le sein gauche de Martine et commença à le téter.
Sa main droite taquina son téton droit.
– Enlève-lui sa culotte.
dit-il à Christian, la bouche encore pleine du téton de Martine.
Ce dernier ôta la lingerie de son épouse.
Jean lui demanda de se repositionner comme avant, puis guida la main gauche de Christian vers la chatte de son épouse.
Après avoir joué de sa bouche avec le sein gauche puis le sein droit de Martine, il se mit à genoux devant elle. il prit la main de Christian qui était en train de fouiller l’intimité de son épouse et la guida vers la poitrine de sa femme.
Il prit ensuite la main droite de son compère et lui indiqua la même direction. Il prit ensuite les fesses de Martine à pleine main et approcha sa bouche des lèvres intime de sa « victime ».
L’image aurait été belle à voir, belle dans le sens érotique du terme, le mari derrière son épouse qui lui pelotait sa poitrine et l’amant à genoux devant elle qui lui faisait un cunnilingus.