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Astrid et Julia – Chapitre 12




Pendant toute la période d’absence de Julia, j’ai reçu de nombreux MMS de sa part. La plupart étaient pour me dire qu’elle n’en pouvait plus et qu’elle avait hâte de me revoir. Ils étaient accompagnés de selfies d’elle, entièrement nue, dans des positions très provocantes, sa chatte souvent remplie d’objets incongrus : un smartphone par exemple. Elle me disait qu’elle s’en servait comme vibromasseur faute de pouvoir s’empaler sur ma bite pour que je la fasse vibrer…

Elle me demandait, mais je ne lui répondais pas, si je baisais bien sa mère. Elle aurait voulu que je lui décrive ce que je lui faisais subir. Il n’était pas question que je lui révèle quoi que ce soit. La compilation de tout ce qui a été filmé dans la maison voir le début du chapitre 7 : l’apprentissage d’Astrid est prête. Je compte bien lui montrer comment sa mère a été dominée pendant cette période et les outrages qu’elle a subis.

Cet après-midi, ce sont les retrouvailles de la famille. Julia et Paul sont rentrés chez eux. J’ai vu arriver deux Uber. Je profite de cette journée tranquille pour travailler un peu et faire des courses essentielles pour remplir le frigo. Pas de nouvelles de « mes femmes » hormis un SMS laconique de Julia : « Je suis là ! » Je ne réponds pas et la laisse mariner. Il faut qu’elle me mérite…

Pourtant j’ai envie d’elle, mais, aussi de sa mère ! C’est le paradoxe dans lequel je suis enfermé. Mais elles vont me le payer d’être aussi désirables l’une que l’autre. La première qui va vouloir se présenter chez moi payera pour l’autre. Elle ne jouira pas tant que je ne l’aurais pas autorisée à le faire. Je jouerai sur la frustration. Qui va gagner d’être traitée ainsi ?

Deux jours se passent entrecoupés de quelques SMS sibyllins de l’une et l’autre. Tous vont dans le même sens : l’impossibilité de me voir pour l’instant.

Ce matin, je m’apprête à travailler. Un programme informatique dont je dois terminer le développement. J’ai pris ma douche et je traîne nu dans la maison comme j’aime le faire souvent. J’entends le carillon de la porte. Je demande par l’interphone :

Qui est là ?

Une petite voix chuchote :

C’est Julia. Ouvre !

Julia ? Qui c’est ?

J’ai décidé de la faire marcher un peu…

Ouvre-moi mon chéri, j’ai pu m’échapper un peu. Maman est partie chez le coiffeur. Elle en a au moins jusqu’à midi. Cet après-midi je suis à la fac.

Qu’est-ce qui te fait dire que je veux te voir ? On ne peut pas dire que tu te sois précipitée pour venir me donner de tes nouvelles.

Je t’en supplie, ouvre-moi ! Je ferai tout ce que tu veux.

C’est déjà mieux.

Je lui ouvre la porte. Elle est là, toute penaude, petite jupette et haut moulant blanc, pieds nus dans ses chaussures de tennis, ses cheveux noirs relevés en chignon. Elle est croquante à souhait. Elle me découvre nu, le sexe dressé. En voyant ça, la porte à peine fermée, elle se jette à mes pieds et embouche ma bite, comme une affamée. Ses succions sont entrecoupées d’onomatopées et de petites phrases.

Slurp, oh comme ta bite m’a manquée … slurp, slurp comme elle est bonne.

Elle me regarde dans les yeux. J’ai trop envie de lui faire l’amour, mais je ne veux pas qu’elle jouisse. Si je l’enfile maintenant, je suis sûr que, vu son état, son orgasme sera immédiat. La seule solution c’est de finir dans sa bouche et de l’empêcher de se masturber. Je prends sa tête et je coïte violemment sa bouche, mon sexe s’enfonce dans sa gorge jusqu’à toucher sa luette. Vu l’entraînement qu’elle a subi avant son départ, elle ne s’étouffe pas. Au contraire, elle m’enfonce littéralement dans son sophage sans problème. Elle serre ma queue avec ses lèvres, sa langue tournant autour de mon vit. Sa technique est tellement au point que je sens des pulsions en provenance de ma prostate et j’éjacule dans son gosier. Ses yeux sont inondés de larmes.

Je la fais se lever. Du sperme coule sur son visage. Je lui explique que c’est le début d’une terrible punition qui commence. Elle me demande pourquoi ?

Tout simplement parce que tu es revenue sans te débrouiller pour venir me voir à tout prix.

Mais je ne pouvais pas, mes parents sont restés tout le temps à la maison.

On aurait pu se retrouver comme la fois où je t’ai emmenée à la campagne. Tu aurais pu prétexter voir une amie de fac. Mais tu ne l’as pas fait, donc : tu seras punie. Allez, viens on va au sous-sol !

Non pas au sous-sol !

Tu discutes mes ordres ?

Je ne veux pas que tu me fouettes.

C’est ce que tu mérites. Dans ce cas-là, tu t’en vas et je ne veux plus te voir puisque tu m’as menti.

Je t’ai menti ?

Oui avant que je t’ouvre la porte tu m’as dit que tu ferais tout ce que je veux et là tu discutes. Donc, tu m’as menti…

Elle se serre contre moi en pleurs.

Tu peux me fouetter, je ne veux pas que tu me quittes. Promis je t’obéirai.

Nous descendons, je la fais se déshabiller et je l’attache à la croix de Saint-André. Elle se laisse faire sans broncher. Dans cette position, ses mamelles sont bien droites, ses tétons pointent vers moi. Je passe ma main entre ses cuisses et j’introduis sans problème mon index dans sa chatte. Elle est trempée. J’ai envie de la prendre tout de suite tellement elle est vulnérable. Mais je ne dois pas faillir. J’embrasse ses lèvres et je me mets à distance. J’empoigne un martinet et démarre la flagellation. Julia pousse de petits cris pour chacun des dix coups qu’elle reçoit sur chaque sein. Je fais très attention à ne pas la marquer. Finalement, je n’ai pas été très dur avec elle.

Je m’avance et je prends dans mes doigts ses tétines que je tords méthodiquement. Elle grimace de douleur. Mon vit est dressé contre son ventre. Je descends un peu, il rentre tout seul dans son con inondé de mouille. Je ne peux plus résister. Je veux la sentir jouir sur ma queue. Je m’enfonce en elle d’une seule poussée rectiligne jusqu’au fond de son vagin. Elle pousse un unique cri en serrant ses muscles internes sur mon sexe. C’est trop fort pour moi, mon sperme gicle plusieurs fois et tapisse le fond de sa matrice. Son orgasme est puissant, violent. Si elle n’avait pas été attachée, elle se serait écroulée par terre.

Encore une fois, j’ai cru la dominer, mais les positions ont été inversées et c’est elle qui m’a mené par le bout du nez ou de la bite si l’on peut dire. Je n’arrive pas à me rassasier de son corps juvénile. Il est si ferme, si tendre, si vulnérable. Le regard profond de Julia, ses yeux remplis de larmes, me fond fondre. Je la détache et la couche sur le canapé à proximité. Je prends une crème apaisante et cicatrisante et je lui masse tendrement sa poitrine zébrée par les coups de fouet qu’elle a reçus. Au début, elle pousse des petits cris dus probablement à la sensibilité de ses seins après le traitement qu’ils ont subi, puis au fur et à mesure de la pénétration de l’onguent, elle ronronne de plaisir.

Je suis assis à côté d’elle sur le bord du divan quand je sens sa petite main venir débusquer mon sexe recroquevillé entre mes cuisses. Elle l’extirpe doucement et, par de petites pressions, provoque sa bandaison. Julia se tourne légèrement, penche sa tête et, pendant que je continue mes massages, embouche mon vit encore gluant de nos sécrétions intimes. Je m’allonge alors sur elle, tête-bêche, et nous nous faisons plaisir mutuellement. Mes réserves ne sont pas renouvelées pour l’instant, je ne jouis pas, mais j’apprécie ses caresses buccales qui me font beaucoup de bien. Julia par contre, sous l’action conjuguée de ma langue et de mes doigts, me signale qu’elle prend son pied en pressant fortement ma tête entre ses cuisses dans un spasme fulgurant de son corps.

Nous n’avons pas vu le temps passer. Julia se rhabille en vitesse et file chez elle avant que sa mère ne rentre. J’ai juste le temps de lui dire qu’elle m’envoie son emploi du temps afin que nous puissions fixer notre prochain rendez-vous. J’ai déjà en tête une bonne surprise.

Je déjeune tranquillement et passe une partie du début d’après-midi à travailler et rattraper le temps perdu ce matin. J’ai à peine fini le développement du programme que je devais effectuer que mon téléphone vibre. C’est un SMS d’Astrid qui me demande si elle peut venir tout de suite. Elle me précise qu’elle a la chatte en feu. Je la fais mariner un peu en lui disant que j’ai un travail urgent à terminer, mais que je peux la recevoir dans un quart d’heure.

Elle arrive toute pimpante, jupe et chemisier blanc on dirait qu’elle a piqué les vêtements de sa fille qui portait les mêmes ce matin – ses cheveux noués en chignon, ses yeux brillent de mille feux tellement elle est excitée. Je la fais entrer dans le salon après un léger baiser sur ses lèvres. Elle semble déçue de mon accueil peu chaleureux.

Je lui resserre le même scénario appliqué à Julia ce matin. Elle me répond :

Oui je sais, mais mon mari était tout le temps là et Julia n’avait pas repris la fac. Tu m’as manqué. Là, j’ai bondi sur l’occasion. Paul est en conseil d’administration qui se termine en banquet ce soir, quant à Julia, elle est en TD jusque tard dans la soirée.

Bon si j’ai bien compris, tu es pressée de te faire baiser c’est bien ça ?

Elle me regarde en rougissant et avoue :

Oui !

Alors ne perdons pas de temps, fous-toi à poil et assieds-toi sur le pouf ! Montre-moi comme tu es sexy en me faisant un beau strip-tease.

Je choisis dans ma « Play liste » des morceaux de Katie Melua qui se diffusent dans mes enceintes acoustiques et je lui fais signe qu’elle peut commencer. Astrid entame alors un lent déshabillage au rythme de la voix rauque de l’artiste. C’est d’abord son chemisier blanc qu’elle enlève libérant les globes de ses seins, libres de toute entrave. Je l’ai déjà dit, ils tombent un peu, mais compte tenu de leur lourdeur ce n’est pas étonnant. En tout cas, je les aime beaucoup. Puis c’est sa jupe qu’elle laisse tomber à ses pieds. Elle se retrouve, perchée sur ses hauts talons, vêtue uniquement d’un string qui ne tarde pas à rejoindre ses autres vêtements. Le tableau s’achève lorsqu’elle libère sa chevelure noire de jais qui tombe alors sur ses épaules encadrant son visage légèrement hâlé. Je l’ai déjà dit et je vais me répéter : elle est sublime comme ça, debout, face à moi.

J’ai une envie irrésistible de la prendre dans mes bras, mais je me contiens. Elle s’assoit sur le pouf, comme je lui ai demandé, jambes écartées.

Masturbe-toi et regarde-moi bien dans les yeux ! Mon ordre claque alors que je la surplombe.

Elle s’exécute en faisant aller ses doigts en elle de plus en plus profondément. Son regard exprime le désir d’être prise. C’est une invite nullement cachée, surtout quand sa bouche s’entrouvre simulant une amorce de demande de fellation. Aucune parole de sa part, elle attend mon bon vouloir. Sa chatte émet des bruits de floc-floc tellement elle mouille. Elle est à point…

Je la fais se lever et se mettre à genoux, sa poitrine reposant sur le pouf, ses fesses bien remontées. Je me déshabille en un tour de main et enfile un anneau pénien sur mon sexe. J’ai l’intention de la baiser longtemps et de l’épuiser pour un bout de temps. Pour cela, pas de mystère, je ne dois pas éjaculer.

Je joue avec mon vit à l’entrée de son antre. Je le passe entre ses petites lèvres, remonte vers son bouton d’amour, redescends vers son périnée. Je renouvelle l’opération plusieurs fois. Mon gland s’insère légèrement à l’entrée de son con, je le retire. Elle pousse son bassin pour me faire pénétrer en elle, je m’éloigne. Elle me supplie de la prendre, je n’en ai cure. Elle est au bord de l’orgasme, je ralentis. Je me penche en avant et je presse ses tétines entre mes doigts. Elle n’en peut plus. Elle hurle des insanités, me demande de la baiser, de l’enculer, de ne pas la laisser dans cet état.

J’ai la pendule du salon devant mes yeux, ça fait plus de vingt minutes que je la travaille ainsi. Elle est en permanence au bord de la jouissance sans y accéder. C’est au moment où elle s’y attend le moins que je l’enconne d’une seule poussée brutale sur ma bite en érection. Elle pousse un long hurlement, proche de l’agonie, qui lui fait connaître « la petite mort » dans toute sa splendeur heureusement les fenêtres sont fermées ! Elle s’affaisse alors sur le pouf, vaincue.

Il n’est pas question que je la laisse respirer. Pendant plus d’une demi-heure, je vais m’introduire dans tous ses orifices. Alternativement, je vais passer de sa chatte à son cul, puis dans sa bouche. Je retourne dans son anus, de nouveau au fond de sa gorge. Elle est ballottée dans tous les sens. Je tords ses tétons, je claque ses fesses, j’empoigne ses seins. Elle crie, elle jouit. Ses montées au septième ciel se multiplient jusqu’au moment final où j’enlève mon cockring pour venir finir en longs jets dans sa bouche, sur sa figure et sur sa poitrine.

Elle n’en peut plus. Il était temps que je termine. Son visage est ravagé par les larmes. Son rimmel coule de ses yeux. Elle a avalé, en s’en délectant, tout le sperme dans sa bouche. Il en reste dans un il, dans ses cheveux, autour de sa bouche et sur son corps. La salope m’a vidé les couilles jusqu’à la dernière goutte.

Après qu’elle ait pris une douche et s’être remaquillée, Astrid rentre chez elle. Je la vois traverser la rue. Elle a du mal à marcher, son cul doit être en marmelade, tellement je l’ai pilonné.

Avant de partir, elle m’a juste dit que je l’avais épuisée, mais aussi que je l’avais fait jouir au-delà de tout entendement. C’est ce qu’elle dit à la fin de chaque séance… Néanmoins, elle a hâte de me revoir, mais ne sait pas quand ; fille et mari obligent…

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