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J'ai perverti la mère de mon copain – Chapitre 5




Pendant que Sophie, la mère de mon copain Laurent, me masturbait avec maladresse, je continuais à lui caresser la poitrine et le ventre à travers le tissu de sa nuisette, et à lui rouler des patins dont elle partageait le plaisir par des jeux de langue.

L’idée qu’elle me suce m’est venue en tête. J’ai libéré sa bouche et de ma main j’ai appuyé sur larrière de sa tête pour la guider vers mon sexe fièrement dressé. Mais j’ai ressenti une réticence de sa part.

« Allez ! Sucez-moi. » lui ai-je murmuré à l’oreille.

« Non. Je n’ai jamais fait ça. C’est dégoûtant. » me répondit-elle.

« Mais non. Vous allez voir comme c’est excitant de faire une pipe à un homme plein de désir. » lui ai-je répondu en retour, tout en appuyant un peu plus sur l’arrière de la tête.

Mais elle continuait à résister. Alors je n’ai pas insisté, malgré tout le désir que j’avais de sentir sa bouche autour de mon sexe. Mais cela m’excitait encore plus de penser que jallais pouvoir apprendre des choses à une femme mûre, une petite bourgeoise un peu coincée.

J’ai alors repris mes caresses, mais cette fois ma main a réussi à passer sous sa nuisette et à s’infiltrer entre ses cuisses légèrement entrouvertes.

Je suis alors remonté jusqu’à sa petit culotte où j’y ai senti l’humidité révélatrice de son plaisir naissant. J’ai pu ensuite poser ma main sur son pubis et j’ai senti le souple matelas que formait sa touffe brune, que j’avais deviné l’autre soir alors qu’elle sortait de la salle de bain, par transparence de la nuisette qu’elle portait alors.

N’y tenant plus, je me suis levé, le sexe fièrement dressé devant moi.

J’ai pris ses mains dans les miennes, et je l’ai faite se lever du canapé pour l’attirée vers moi. Elle s’est collée contre moi. Je sentais sa poitrine se plaquer contre mon torse. J’ai plaqué mon sexe dressé contre elle. Il s’est frayé un chemin sous sa nuisette pour venir frotter sur le devant de sa petite culotte le long de son pubis.

Nos bouches se sont à nouveau soudées. J’ai senti sa respiration s’accélérer, signe qu’elle prenait plaisir de cette situation.

Mes mains qui caressaient son dos sont descendues sur ses fesses pour les malaxer comme j’avais malaxé ses seins jusque là.

Puis elles sont descendues jusqu’à la lisière de la nuisette et sont passées dessous pour caresser ses globes fessiers par dessus le tissu de la petite culotte.

Ensuite j’ai attrapé le bas de la nuisette pour la remonter progressivement le long de son corps, pour enfin la lui retirer totalement.

Elle était maintenant quasiment nue devant moi, juste en petite culotte de coton rose pâle, un peu du modèle de celle que je lui avais volé un jour et que je conservais dans ma chambre pour me masturber dedans en pensant à elle.

En prenant un léger recul, j’ai pu enfin admirer sa généreuse poitrine, aux globes en forme de poires, bien fermes, qui se tenaient fièrement dressés. Ses aréoles, d’un brun soutenu, étaient assez larges avec en leur centre de jolis tétons assez longs et érigés par l’excitation de la situation.

« Que vous êtes belle. » lui ai-je dit en la découvrant ainsi pour la première fois.

Elle est restée silencieuse. Mais le rougissement de ses joues trahissait son embarras. Elle était encore plus belle que dans mes fantasmes nocturnes.

J’ai alors posé mes mains sur ses sains ainsi mis à nus. Puis je me suis légèrement baissé pour lécher et sucer alternativement les bouts de ses seins. J’ai aspiré ses tétons érigés pour les sucer comme un enfant en tétée. J’entendais sa respiration saccélérer, matérialisant la montée de son plaisir à cette pratique. La bourgeoise commençait à se laisser aller. J’en profitais donc pour arrêter et lui prendre la main pour l’entraîne à l’étage.

« Venez ! Nous seront plus à l’aise dans la chambre. Et puis on peut nous voir par la baie vitrée. »

Elle s’est brusquement redressée, et a regardé d’un il inquiet la baie vitrée du salon dont elle n’avait pas tiré les voilages, ce qui m’avait permis depuis l’extérieur de savoir qu’elle était seule à la maison.

Je l’ai tirée par la main et je l’ai entraînée dans les escaliers pour gagner l’étage et les chambres.

En montant l’escalier devant elle, j’avais mon sexe fièrement dressé qui bat de haut en bas au rythme de la montée des marches.

Elle me suivait, sa poitrine tressautant au rythme de sa montée des marches, ce qui mexcitait encore plus. Elle était magnifique ainsi.

Arrivés devant le chambre conjugale, je l’ai attirée à l’intérieur. Les volets n’étaient pas fermés et la chambre était ainsi baignée de lumière, simplement tamisée par les rideaux de la fenêtre.

Je l’ai prise dans mes bras pour lui rouler un nouveau patin, qu’elle a partagé, nos langues jouant l’une avec l’autre. Tout en la serrant contre moi, en plaquant mon sexe érige contre son pubis encore protégé par sa petite culotte de coton, je l’ai faite reculer jusqu’au bord du lit conjugal.

L’idée de faire l’amour à Sophie pour la première fois, dans le lit conjugal, décuplait mon excitation. Lorsqu’elle est arrivée au bord du lit le j’ai poussé encore un peu et nous sommes tombés en travers du lit. Je me suis relevé, et je l’ai aidée à se coucher sur le lit, puis je me suis allongé à côté d’elle.

J’ai repris mes caresses sur ses seins, puis j’ai descendu ma main sur son ventre. Après m’être attardé un peu sur ce magnifique ventre, ma main a poursuivi son chemin jusque sur son pubis, par dessus le tissu de la petite culotte. Je caressais son entrejambe. Sous cette caresse, elle écarta un peu plus les jambes pour me permettre d’aller plus loin, et de sentir comment sa petite culotte était humide.

Ma main est remontée sur son ventre, puis est redescendu de nouveau vers son pubis. Mais cette fois-ci elle s’est faufilé sous l’élastique de la ceinture de la petite culotte, pour avoir accès directement à sa chatte. J’ai rencontré les poils pubiens, souples et soyeux.

« Non, s’il te plaît. » souffla-t-elle dans un soupir de plaisir.

Ne l’écoutant pas, j’ai continué ma descente entre ses cuisses jusqu’à trouver ses lèvres gonflées de plaisir et de désir. J’ai continué à jouer avec sa chatte, et j’ai introduit un doigt à l’intérieur de son vagin. Sa respiration s’accélérait, indiquant ainsi la monté de son plaisir. Elle commençait à s’abandonner.

Avec mon pouce j’ai découvert son bouton clitoridien. J’ai commencé à le caresser doucement en effectuant des petites pressions de temps à autre. Je pouvais voir son corps parcouru de petites décharges électriques quand je le faisais.

Pendant que j’introduisais un second doigt en elle, je me suis déplacé doucement pour à nouveau prendre ses lèvres dans un baiser farouche. Puis je me suis laissé doucement glisser au dessus de la poitrine fièrement dressée, avec les tétons érigés par le plaisir.

Alternativement j’ai sucé ses tétons, et les ai mordillés tour à tour, tout en activant mes doigts dans sa chatte trempée, ce qui a provoqué chez Sophie des petits gémissements de plaisir.

Après quelques minutes de ce traitement, j’ai arrêté de m’occuper de seins seins, et j’ai retiré ma main de sa culotte, pour la porter à ma bouche pour goûter sa mouille.

« Oh ! Non, continue. » soupira-t-elle, toujours perdue dans son plaisir.

« Ce serait mieux sans votre petite culotte. » lui ai-je répondu. «Voulez-vous que je vous la retire ? » lui ai-je demandé, avec le secret espoir qu’elle m’autorise à le faire pour enfin voir l’objet de mes désirs.

« Oui. C’est tellement bon ce que tu me fais. » me répondit-elle.

J’avais gagné. J’allais enfin voir ce que, jusqu’à présent, j’avais seulement entraperçu et caressé. Cette simple idée a augmenté mon érection, qui était à son paroxysme.

Je me suis mis à genoux sur le lit, j’ai attrapé la ceinture de sa petite culotte et je l’ai doucement fait glisser le long de ses jambes, pour avoir le plaisir de découvrir l’objet de mon désir. Une fois la culotte totalement retirée, j’ai découvert une magnifique chatte, avec une belle toison brune, au milieu de laquelle je pouvais admirer un joli sillon rose entre des lèvres gonflées de plaisir.

Je lui ai fait écarter les jambes avec mes mains placées à l’intérieur de ses genoux. Je me suis ensuite positionné à genoux entre ses jambes pour mieux admirer cette chatte, objet de mon désir. Je me suis penché en avant pour y poser ma bouche et utiliser ma langue pour augmenter son plaisir. Elle était trempée de mouille et de ma salive. J’ai de temps à autre sucé son petit bouton clitoridien, et lorsque j’y passais des petit coups de langue, je pouvais ressentir les soubresauts de plaisir qui animaient son corps.

« Oh ! Oui. » arrivait-elle à dire entre deux soupirs de plaisir.

J’ai continué encore mon action sur sa chatte avec ma langue dans son sillon et sur son petit bouton. Je sentais qu’elle partait dans un orgasme.

Ma bouche a quitté sa chatte pour remonter sur son ventre et vers ses seins. Cette reptation m’obligeant à m’allonger sur elle, mon sexe bandé à son maximum est venu butter contre sa chatte, mettant mon gland en contact avec l’entrée de son vagin.

J’ai pris à nouveau alternativement ses seins dans ma bouche, aspirant et mordillant ses tétons dressés de plaisir, mais en accentuant un peu plus la pression de mon gland contre l’ouverture de sa chatte.

« Oui ! Non ! » me dit-elle entre deux soupirs de plaisir.

J’ai continué ma pression sur sa chatte trempée, puis d’un coup de reins je me suis enfoncé profondément en elle.

« Noooonnnn ! » s’exclama-t-elle. « Je suis mariée. »

Ne tenant pas compte de sa supplique, je suis resté en elle un moment. Je sentais des spasmes autour de mon sexe qui la remplissait. J’étais enfin arrivé à mon but : baiser la mère de mon copain Laurent. Puis j’ai commencé de lents va-et-vient en elle.

« Oh ! Tu me remplis. Continues ! » soupira-t-elle.

J’ai alors accéléré mes va-et-vient en elle, et je sentais qu’elle s’abandonnait totalement. J’avais enfin conquis ma bourgeoise. Je donnais du plaisir à la mère de mon copain. J’étais aux anges.

J’ai continué à la ramoner de plus en plus brutalement, et enfin elle a hurlé son plaisir dans un immense orgasme. J’ai pensé qu’elle n’avait pas du jouir comme ça depuis longtemps vu la violence de cet orgasme. Cela a provoqué en moi le déclenchement de mon propre orgasme et j’ai lâché ma semence à l’intérieur de son utérus. J’ai inondé sa chatte d’une importante quantité de sperme. Je n’avais jamais joui autant, même dans mes pires fantasmes nocturnes dont Sophie était le sujet.

Je suis resté en elle le temps de débander. Je l’ai embrassée amoureusement dans le cou, sur la bouche. Pendant qu’elle émergeait doucement de son orgasme, je sentais le trop plein de sperme s’écouler de son vagin et mouiller le drap du lit conjugal.

« Qu’avons-nous fait ! » dit-elle coupablement en reprenant conscience. « Mais c’était tellement bon. Tu es tellement gros, bien plus gros que mon mari. Il y a tellement longtemps que je n’avais pas joui comme ça. »

Nous sommes restés au lit tout le reste de la journée, à nous câliner.

Dès que je reprenais de la vigueur, je la baisais de nouveau, mais cette fois c’était elle qui demandait que j’inonde sa chatte de ma semence.

Le soir j’ai du la quitter, car son mari risquait de rentrer. Le drap du lit conjugal était trempé de ma semence et de sa mouille. Ses cuisses étaient maculée et les poils de sa chatte étaient collés de nos secrétions. Nous sommes descendus nus au salon, où j’ai retrouvé mes affaires. Je me suis rhabillé, sans me laver. Je voulais garder sur moi son odeur de femme baisée.

Elle, nue, avec la chatte encore dégoulinante, m’a raccompagné à la porte. Avant de nous quitter, nous avons échangé un langoureux baiser.

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