Tout à commencé quand jai posté ce texte sur un site de petites annonces très connu : « Jf très coquine cherche h aimant samuser pour un plan à plusieurs avec moi. Joindre photos de tous les participants éventuels. Non vénale. », accompagné dune photo de mon visage. Je mattendais à quelques réponses, mais ce fut un véritable raz-de-marée de-mails auquel jai eu droit ! Certains fantaisistes, certains minsultant, mais la plupart semblaient être sérieux, avec les photos fournies comme je lavais demandé. Après un rapide tri, jai décidé de recontacter les personnes de la réponse la plus satisfaisante en terme de beauté générale et de distance par rapport à chez moi. Il sagissait de 6 gars, la trentaine, celui a qui jai parlé au téléphone semblait très peu timide et assez sérieux. Rendez-vous fut donc pris en bas dune barre dimmeuble dite « Les Magnolias ».

Le jour fixé, je mhabille en vraie petite gothique sexy (minijupe avec chaine, corset noir) et me pointe un peu en avance au point de rendez-vous fixé. Une fois arrivée, lappréhension me gagne ; une jeune fille de 17 ans seule dans un endroit comme celui-ci, ça craint. Et sil sagissait dun piège ? Je songe à partir mais, comme un signe, les six gars arrivent. Leur démarche est assurée, comme sils étaient les maîtres du lieu, on dirait un vrai petit gang.

Ils maperçoivent, me reconnaissent. Ils savancent, lun me siffle. Quand ils arrivent à côté de moi, un grand gaillard avec un bouc prend linitiative de menlacer et de membrasser. Je sens ses mains glisser le long de mon dos et me caresser les fesses. Une fois fini, il me dit « enchantée, mademoiselle » dune voix grave, calme et posée. Je le devine être celui a qui jai parlé au téléphone, sans doute le « chef » naturel de la petite bande. Les autres sapprochent, me tâtent le corps comme de la marchandise en faisant des remarques : « putain, ses seins ont lair bons », « un bon petit cul de coquine » , « pas mal pour un gothique » ; jen passe et des meilleures. Être un objet ne me dérange pas, je me laisse faire sans rechigner, juste gênée car certains passants me regardent bizarrement.

Finalement, se rendant compte que la rue nest sans doute pas le meilleur endroit pour faire ça, ils me demandent de les suivre. Nous marchons 500m, pendant lesquels je ne pipe mot tandis queux parlent entre eux. Arrivés à un petit immeuble de 6-7 étages, on rentre et on descend. Cest là que je me dis que finalement, je vais me faire égorger dans une cave. En fait nous pénétrons dans un garage privé qui appartient à lun des hommes du groupe et qui a été réaménagé de manière sommaire, une demi-douzaine de poufs est disposée sur un petit tapis autour dune table basse. Bon, lambiance est pas chaleureuse mais il y a eu quand même un effort de fait.

A peine rentrés, un mec mordonne de me mettre en sous-vêtements : jobéis. Je dézippe mon corset dans le dos, puis me retourne, me penche en avant et fait glisser ma jupe lentement le long de mes jambes. Je vais pour enlever mes talons mais on me fait signe de les garder. Pendant ce temps, eux se sont mis totalement nus avec une rapidité que je naurai pas crue possible. Toutes ces queues sont en érection juste pour moi, cela me fait vibrer.

Je mapproche de celui qui mavait embrassée tout à lheure, me jette à genoux devant lui, lui agrippe les fesses et commence à lui donner une longue et profonde fellation. Mes lèvres vont de la base de sa bite à son gland, vite et goulûment, je retrouve mon élément et pratique ce que jaime le plus. Les autres sapprochent de nous, mencerclent en fait. Je passe dun pénis à lautre, mes mains sactivant sur les membres que ma bouche nest pas en train davaler. Je lèche, je suce, jaspire, avec avidité. Le goût salé délicieux me reste en bouche, je me sens chienne, jadore ça.

Ils sagitent semble vouloir passer à quelque chose dautre. Lhomme au bouc sort dun sac un morceau de tissu et me bande les yeux avec : « Maintenant, ma chérie, tu vas juste te laisser faire ». Jacquiesce de la tête. Deux mains menlèvent mon soutien-gorge, puis ma culotte. Nue, les yeux bandés, je suis vulnérable et ça me plait.

Une première personne me plaque sur le sol froid et membrasse presque de force. Il demande un préservatif. Il ne se passe rien. Dun seul coup il senfonce dans mon petit sexe trop serré. Jai mal et je crie. Il me colle une baffe, je me tais. Il commence les va-et-vient directement très rapidement tout en suçant et mordillant mes tétons pointés. Je commence à ressentir le plaisir, les yeux bandés et le fait dimaginer tous les autres nous regardant aidant. Au bout dune dizaine de minutes de missionnaire, il me demande de me mettre à genoux. Je reconnais sa voix, cest le « chef ». Une fois à genoux, il prend mes deux seins et sen sert pour se branler. Soudain, il vient. Un jet de sperme chaud coule sur le cou et sur ma poitrine.

« Allez, à quatre pattes. ». Il plaque ma tête et la colle contre le sol. « Les gars, je vous laisse vous faire plaisir avec cette pute ». La première queue me pénétrant ne se fait pas attendre. Puis la deuxième. Puis la troisième. Ils tournent vite, restant à peine une minute en moi, de manière à faire durer le plaisir. Quelquun prend linitiative de me rentrer quelques doigts dans lanus. Puis me sodomise. Puis un autre. Ils alternent. Ma chatte. Mon cul. Mon cul. Ma chatte. Jhalète, je suis en sueur. Je crie de jouissance, tout limmeuble doit mentendre, mais cela ne semble pas les importuner. Je me prends quelques fessées au passage, on me tire les cheveux, la douleur se mêle au plaisir, cest le bonheur.

Dun coup, tout sarrête, plus rien. Jentends les gars se déplacer dans le garage et haleter. Quelquun me dit de venir. A quatre pattes, je marche en me guidant par le son de sa voix.

« Stop ». Une main appuie sur ma tête. « Lèche ». Le béton du sol est couvert de leur semence. Avec ma langue, appliquée, je lape tout le sperme. Des mains me caressent le corps. « Cest bien, bonne chienne. ». Une main me relève. On me remet mon corset, puis ma jupe. Je les soupçonne doublier volontairement mes sous-vêtements. On me prend la main et me guide dans limmeuble, refaisant le chemin inverse de celui parcouru précédemment. Une fois dehors, celui avec un bouc me chuchote « tu comptes jusqu’à cent et tu enlèves ton bandeau. »

« 1,2,3,4,5… ». Arrivée à 100, jenlève mon bandeau. Plus personnes, ils sont partis. Il fait nuit, jai froid, je ne porte pas de sous-vêtements et mon odeur doit être un mélange de sperme et de sueur, et pourtant cest avec un sourire que je repars de cet après-midi mémorable.

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