Quelques temps après je me suis séparée de mon mec. Sa trop petite bite comparée à celles que je venais de connaître, sa façon de faire l’amour "à la papa" en vitesse… d’autres choses encore. J’ai rencontré deux autres mecs mais ça n’a pas collé. Je me suis même surprise à regarder des chiens avec envie.
Deux mois avaient passé. J’étais seule.
Un vendredi soir, je roulais vers la petite ferme de ma grand-mère, dont j’avais hérité. Je n’arrivais pas à la vendre et j’y allais parfois le week-end pour l’entretenir. C’était l’été, tard, la nuit commençait à tomber. A la sortie du petit bourg, à moins de 800 mètres de ma petite propriété, j’ai aperçu trois types avec trois chiens qui marchaient à la queue leu leu sur le bas-côté. Je suis passée vite mais je les ai reconnus, il n’ y avait pas à se tromper !
J’ai pris la première à droite pour refaire le chemin en arrière par une petite rue que je connais bien de façon à ce que cela me ramène sur l’axe principal et que je repasse devant eux. Avant, je me suis stationnée pour griffonner à la va-vite sur un papier : " Deuxième à gauche, la petite ferme. Je vous attends". J’ai signé de mon petit nom "Sab". J’ai enroulé le papier autour d’une cannette de bière et l’ai maintenu avec un élastique. J’ai pris un mouchoir en tissu, j’en ai bien frotté ma chatte qui frétillait d’impatience et je l’ai accroché aussi. Je suis repartie. Ils avaient déjà bien avancé. Je les ai doublés. Puis je me suis arrêtée un cinquantaine de mètres devant eux. J’ai ouvert la portière et j’ai déposé la cannette sans qu’il puisse voir mon visage. J’ai avancé un peu, lentement, de façon à voir s’ils prenaient la canette, ce qu’ils ont fait.
Je suis vite allée à la ferme, j’ai ouvert la porte de l’entrée, suis rentrée dans la cuisine. J’ai entrouvert les persiennes et j’ai regardé. Au bout d’une dizaine de minutes je les ai aperçus dans l’obscurité, j’ai allumé la lumière et je me suis mise à poil, allongée sur la table, les jambes grandes ouvertes, le cul au bord du plateau.
J’ai entendu aboyer et un chien est arrivé en courant, sans doute alléché par l’odeur de chatte sur le mouchoir prévu à cet effet. Il y venait directement..Et il s’y est mis illico à grandes coups de langue.. C’était Lupus. Les deux autres sont arrivés aussitôt après malgré les sifflets qui les rappelaient.. un coussin sous la tête je pouvais voir l’entrée. J’ai entendu les pas des mecs sur le carrelage puis le premier a franchi la porte. Bien sûr c’était Phil.
– A putain les mecs, je le crois pas ! Regardez qui est là ! C’est bien elle !
Curieusement, ils sont restés comme hébétés à me mater en train de me faire bouffer la raie par le clébard. J’ai dit
– Eh ben quoi les garçons , on n’a plus de bite ?
Cela a été comme un électrochoc. Ils ont d’un même mouvement baissé leurs frocs découvrant ces beaux zobs qui se sont détendus comme des ressorts, ont enlevé leurs t-shirts dévoilant ces pectoraux musclés dorés par le soleil, leurs abdos puissants. Ils se sont approchés. Ils sentaient la sueur très fort, une odeur de mâle; Phil a écarté le chien d’autorité qui a obtempéré malgré un grognement et il m’a planté son zob. Les deux autres sont montés sur la table pour que je les suce.
Très vite, la position étant inconfortable, on est allé dans la piaule. On a mis le grand matelas par terre et on est allé en chercher un autre dans la petite chambre. Et là on a baisé comme des dieux. Ils demandaient, j’obéissais. J’ai eu droit à une double dans ma chatte. Les deux bites de Marco et Phil.. Je branlais Jean-louis. Je suçais Speedoo, le plus doux des chiens. Les deux mecs ont joui presque simultanément au fond de moi, dans mon vagin avide de jus de couilles. On y a fait entrer un chien immédiatement. Jean-louis pulsait dans ma bouche jusqu’à ce qu’il découille. J’ai branlé les dogues et les mecs ont demandé à ce que j’en prenne un dans le cul. C’est Bitsa qui a la plus grosse. Il a été choisi. En levrette il m’a bien écarté la rondelle, j’ai accueilli les coups de boutoirs de ce molosse avec délice.
Quand tout le monde a été soulagé, on a sorti les chiens, on les a nourri et nous nous sommes allongés, sans nous doucher. tous les quatre. Je dormais avec trois mecs puissants et virils dans une pièce surchauffée qui sentait le rut et la transpiration. Le rêve.
Je me suis réveillée au petit matin, à cause d’un coq qui chantait au loin. Les mecs pionçaient. L’un deux ronflait légèrement. Je les ai regardés. Leurs corps fermes, les fesses musclées avec les poils dessinant une raie sombre au milieu des rondeurs blanches. J’ai bougé un peu pour voir leurs verges au repos. Trois beaux morceaux dans des toisons viriles, de lourds paquets poilus, des glands forts qu’on devine sous le prépuce…. J’ai senti ma chatte devenir humide. J’ai passé mess mains sur mon corps et je pouvais encore sentir le sperme séché sur ma peau ou dans les poils de ma touffe. J’avais à nouveau envie de me faire prendre.
Pour ne pas réveiller les mecs, je suis sortie en silence et suis allée vers les chiens. L’un d’eux dormait dans le couloir, sans doute à cause de la plus grande fraîcheur. C’était Bitsa. Il s’est réveillé. Je me suis approchée de lui. Il avait juste relevé la tête. Je me suis accroupie devant lui et me me suis fourrée deux doigts dans la chatte. Je lui ai fais renifler. Cela a été immédiat. Il s’est mis à triquer au quart de tour. Il m’a laissé caresser sa longue verge, son bulbe, ses grosses couilles lisses et pendantes. Je lui ai donné ma raie. C’était trop bon. J’ai joui dans sa gueule. Il méritait bien une récompense. J’ai réussi à le faire mettre sur le dos et je me suis empalée sur son gros dard, mais sans faire pénétrer le knot pour ne pas le bloquer. J’ai fait coulisser cette chair ardente, terriblement dure, dans mon fourreau. Les petits jets de liquide assuraient une lubrification constante. Parfois je remontais trop haut et la queue sortait. A la fin, sachant désormais m’y prendre, je me suis mise en levrette. Je n’ai pas eu beaucoup à l’aider. La saillie a été parfaite. J’ai repris un orgasme.. je suis retournée avec les trois mecs qui dormaient encore. Il pouvait être 7 h 30; je me suis assoupie.
Plus tard, je suis sortie du sommeil en douceur. Un homme me bouffait la chatte. C’était Phil. Les autres dormaient toujours. Il y allait doucement, avec une douceur dont je ne l’aurais pas cru capable. Quand il a vu que je réagissais, il est monté, en silence, ma sué les nichons, m’a galochée. Sa bouche puait la chatte et le foutre. Il m’a chuchoté à l’oreille :
– Putain, t’avais encore la moule pleine de jute !
– Normal, c’est de ce matin.
— Pas vrai ? Lequel de ces deux bâtards t’a fourrée. J’ai rien entendu.
– Bitsa !
– Vrai ?
– Vrai !
– Sale truie !
Cela pourtant ne l’a pas dégoûté, et il est retourné me bouffer la chatte. Puis il est remonté, s’est calé sur ses bras tendus à mort de part et d’autre de mes épaules. Il m’a renfilé son glaive et m’a fait :
– Au fait, tu m’as jamais répondu. Meilleur que le chien ?
– Travaille ! Je te dirai après.
Alors il s’est remis à baiser. Pendant ce temps, je faisais la comparaison entre pénis canin et pénis humain. A l’avantage de la bite d’homme qui était en train de me déchirer la chatte, le gland. Sa rondeur, sa douceur, sa collerette plus ou moins prononcée, agréable sous la langue et à la pénétration. Sa mobilité aussi. Phil allait et venait, changeant de cadence, parfois très lentement, retirant presque tout l’engin et le refaisant glisser tout au fond. Ou il accélérait. Des puissants coups de reins, rapides et réguliers me chauffaient les entrailles.
Autre avantage, les boules qui pendent immédiatement à la base de la tige et que l’on sent choquer contre la peau quand le morceau n’est pas trop long. Chez le chien, elle ne touchent pas toujours, autant à cause de la longueur de la tige que de la distance qui parfois les sépare du knot. La bite humaine va et vient, Phil jouait avec dans toutes les directions, de bas en haut, à gauche, à droite. La bite du chien est plus statique. Une fois qu’il est bloqué, il ne bouge presque plus, ne donnant que de petits coups secs, très rapides et très puissants. Par contre, elle ne cesse de se gonfler toutes les deux ou trois secondes et envoie des jets quasi continus qui font ruisseler un liquide chaud le long des lèvres et sur les cuisses. De plus, souvent la bite est plus longue et plus grosse que le vit humain, toujours très dure, alors que l’érection masculine varie. Elle remplit l’orifice jusqu’au délire. Il n’y a pas de gland mais une légère excroissance au bas du méat qui est agréable au toucher, y compris à la langue. Par contre le sperme humain est meilleur au goût la plupart du temps.
Tout en passant cette revue de détail mentalement, je continuais de me faire bourrer. Les deux autres mecs s’étaient réveillés et triquaient en nous regardant. Phil m’a relancé :
– Alors, moi ou, le chien ?
– Ex æquo !
Il a sifflé. Lupus est arrivé tout de suite. Phil s’est mis sur le dos. J’ai dû m’allonger contre lui pour qu’il se réintroduise dans la chatte. Il a demandé un coup de main aux garçons pour aider Lupus à me saillir la croupe.; une double, chien homme. Quel régal ! Phil a réussi à attendre 20 minutes que le chien décharge. Quand le chien s’est dégagé, une partie du liquide a coulé de mon trou jusque sur le couilles de Phil qui a éjaculé peu après. J’ai dû tout nettoyer avec la langue. Puis Marco et Jean-Louis m’ont prise tour à tour.
Quand le dernier a joui, Phil a dit :
– Putain j’ai la dalle moi. Bouffer une chatte, ça vide les couilles mais remplit pas le ventre. Et comme petit déj, une moule au jus c’est pas le goût du café !
Alors, pendant que Jean-Louis s’est débrouillé pour nous faire un petit déjeuner acceptable, on est allé à la douche et, ensemble on a manger en fixant le programme du week-end;
Je l’ai passé avec eux. Je suis allée faire quelques courses pour nourrir tout le monde. L’après-midi et le dimanche, comme il faisait très beau, les garçons m’ont aidée dans différents travaux de bricolage et de jardinage. Comme nous ne sommes pas visibles de la route et qu’il ne passe personne, nous avons vécu à poil tout le week-end. Et à chaque fois qu’un mec a eu envie de venir me tirer, à n’importe quel moment il est venu. Je ne sais combien de coup de bite j’ai reçu; mais ce que je peux dire, c’est que la libido canine s’épuise plus vite que la libido masculine. Je suis repartie le dimanche en leur disant de bien vouloir m’attendre jusqu’au week-end prochain.
Ils me l’ont promis !
A suivre