Mon côté autonome a toujours voulu que je m’amuse sans être jamais tributaire de qui que ce soit et surtout pas de mec.
Cependant, il faut bien bosser et gagner sa vie. Ne pas être entretenue est un choix difficile. Le problème que j’ai rencontré c’est que mes études ne se sont pas passées de façon formidable. Je n’ai jamais été la meilleure, sans être la plus nulle et, professionnellement parlant, il semble que je n’arrivais pas à sortir du lot, comme bon nombre de jeunes.
Je me suis donc retrouvée vers mes 25 ans à faire le tour des boîtes d’intérim, prête à ce moment, à prendre n’importe quel boulot qu’on voudrait bien me donner. J’avais vraiment besoin de pognon et aussi d’occuper mes journées.
N’étant pas suffisamment jolie pour faire partie de ces nanas à qui on donne tout dans l’espoir d’obtenir des faveurs intimes, il fallait que j’insiste, que je me batte pour qu’on me donne ma chance, et franchement ça me prenait la tête.
Ce fut Jonathan, employé d’une boîte d’intérim que je préfère ne pas citer, qui me permit d’accéder à mes premières missions : du boulot en administration, assez simple et tant mieux. Ça s’est passé comme ça :
Il me décroche un entretien dans une grosse boîte pour faire de la paperasse et un peu de téléphone. C’est dans une tenue classe et élégante que je me présente auprès de monsieur Schmid, avec qui j’avais rendez-vous et qui serait mon supérieur direct.
Bien sûr, j’étais angoissée, je n’avais pas tellement confiance en moi et j’espérais vraiment décrocher ce boulot même s’il était payé au minimum.
D’après moi, l’entretien ne se passe pas trop mal, même si ce monsieur Schmid ne semble pas hyperenthousiaste à mon départ. Dans l’attente…
Après 2 jours de dépit, mon téléphone sonne, c’est lui qui me propose un second entretien l’après-midi même.
Étant prise par le temps, je n’ai pas le loisir de remettre une tenue aussi élégante et c’est en chemisier et en jupe que je viens de nouveau à sa rencontre.
Celui-ci reste relativement glacial, il explique que je ne suis pas la plus qualifiée qu’il a rencontrée pour ce poste, mais que je pouvais l’obtenir quand même si je savais le convaincre aujourd’hui.
Il arrête mon argumentaire au bout de quelques minutes, se met debout à côté de moi, toujours assise et me fait remarquer que je n’ai pas compris sa consigne. C’est ainsi que sans aucun gène, il baisse son pantalon, son slip, sort sa bite et l’approche de mon visage, à demi mou.
T’as compris cette fois?!
Puis il s’avança et dépose son gland sur ma joue.
Abasourdie, il me faut quelques secondes pour comprendre ce qui est en train de m’arriver et c’est presque machinalement que j’ouvre la bouche pour aspirer son gland maintenant bien gonflé.
Sans plus réfléchir à la situation et la raison pour laquelle j’étais là, je me retrouve à sucer la bite d’un inconnu qui m’a laissé entendre que cela pourrait me permettre d’obtenir du travail. Il n’y a rien de sûr pourtant, sauf l’excitation qui me chatouille le ventre de m’être prise une bite dans la tronche sans prévenir et le plaisir que j’ai à la sucer.
Il est très insistant et me maintient la tête ; sa queue étant d’une taille relativement petite, il me force à la gober jusqu’à sa base et c’est ainsi que je réalise ma première gorge profonde, durant cet entretien d’embauche qui part en film porno… Je me sens puissante et forte à pouvoir avaler son membre en entier. Mon nez contre son bus, et ses couilles contre mon menton, je déglutis avec peine, mais ça me plaît.
De plus en plus excitée par la situation, je sens ma mouille couler à flots de ma chatte dans ma culotte, heureusement que j’en ai mis une aujourd’hui, ce n’est pas si souvent. Je vais être bientôt complètement trempée, et à cet endroit de ma jupe, une tache aurait pu rendre le retour chez mois très compliqué. On m’aurait peut-être violée… cette idée atroce me stimule malgré tout, et j’en viens à espérer qu’il va me prendre là sur son bureau.
Je m’applique à dévorer cette bite courte, et je peux profiter de ça pour tendre ma langue et lécher ses boules alors que son gland s’écrase dans ma gorge.
Il semble que ce geste soit suffisant pour lui procurer un orgasme, je le sens se crisper et déverser plusieurs giclées de foutre directement dans ma gorge, sans même passer par ma bouche, avec un soupir des plus éloquents.
Si sa bite n’est pas très grosse, c’est une grosse quantité de sperme qu’il m’envoie directement dans l’estomac. Merde… je n’ai même pas pu goûter son sperme, quelle frustration.
Face a sa volonté et à sa façon de me mettre sous pression, je ne pouvais que m’effacer et aller au bout… J’aime le sperme, mais je préfère l’avoir sur la langue d’abord, c’est nettement plus agréable. Je me console : j’ai pris plaisir à la situation, et ce, même si au final, je n’ai pas le travail.
Une fois soulagé et les couilles bien vidées, Monsieur Schmid m’annonce : « une petite pute comme toi me conviendra bien dans mon équipe ». Il ajoute que si je veux la mission et de possibles renouvellements, lui sucer la queue ne sera pas suffisant.
Mon adresse étant sur mon CV, il me précise qu’il passera chez moi ce soir pour me baiser avec le contrat signé, qu’il me le donnerait à la fin de la partie de cul si je l’avais satisfait. J’aurais dû m’en douter… Je cède, comme à mon habitude, je n’ai pas tellement le choix. Et cette mise en bouche m’a donné envie de me faire mettre, donc ça ne tombe pas si mal. Mon studio est ridicule, j’espère que ça ne me nuira pas ; je ferai de mon mieux pour qu’il soit concentré sur autre chose et le tour sera joué.
Il arrive le soir, très en retard, et sans échanger beaucoup verbalement, je me suis offerte à lui complètement. Il crache : « tu sais ce que tu veux toi… je t’ai excitée, petite pute »… et il avait raison. Moi aussi, pas un commentaire sur mon modeste appartement.
Malgré sa confiance en lui et son apparente brutalité, il me fait l’amour plutôt tendrement et semble même prendre un plaisir sensuel plus que sexuel.
Sa bite n’étant pas plus grosse que cet après-midi (il était donc déjà à fond…), j’ai du mal à jouir alors je l’invite à me prendre par le cul, pour pouvoir profiter à mon tour. C’est plus serré et plus sensible, alors j’imagine que je ne jouirais qu’en étant enculée. À ma grande surprise, il refuse, expliquant que ce n’est pas son truc. Putain, j’ai trop envie d’une bonne sodomie pourtant…
Il profite de moi une bonne partie de la soirée, m’embrasse à pleine bouche en me touchant partout, il me doigte en jouant avec mes petits seins. Il me sperme une fois dans la chatte, une fois dans la bouche et une fois sur les seins et m’interdit de me laver ensuite.
D’après ses dires, je dois conserver sur ma poitrine les traces de son passage et son foutre sec jusqu’au lendemain, pour me souvenir de ce qu’il m’a fait.
J’obéis docilement et il finit, avant de partir, par ma tendre le contrat signé tout en murmurant que la prochaine fois, il viendra avec un ami qui lui, est obsédé par le sexe anal et je me ferai déchirer le cul.
Je me retrouve donc enfin avec du boulot, une mission de deux mois qui ne m’avait coûté au final qu’une gorge profonde et une partie de baise sympa, mais pas trop intense.
En dehors de cette promesse de boulot, j’avais aussi la promesse que Monsieur Schmid viendrait me baiser encore, cette fois accompagné, pour que je puisse également me faire enculer. Et très sincèrement, j’en avais très envie et j’avais hâte, car à ce moment précis, même si le plaisir a été là, je n’avais pas joui.
J’allais dans mon lit sans me laver, comme promis, et me décidai de m’enfiler le cul en jouant avec mon clito. Un petit porno me remet dans le bain, je prends une nana juste sublime qui se fait chopper par 2 énormes bites, une blanche une noire, en DP. Les mecs sont debout, elle est accrochée au plus costaud comme un sac à dos qu’on porterait devant, l’autre mec s’aligne sur son cul et hop, bourrée par les 2 trous la nana… Ça doit être très bon et profond comme position… N’étant pas riche en sex-toys, car par riche du tout, je m’enfonce le goulot d’une bouteille de Badois, aussi loin que possible, toujours en jouant sur mon clito. La forme était parfaite pour me permettre une dilation lente et progressive… Je me fis jouir deux fois ce soir-là, avec la bouteille dans le cul, imaginant être à la place de cette fille, puis m’endormis très vite, dans l’état et toute collante.
Je me réveillais le lendemain, poisseuse, et toujours face à cette frustration. Une bouteille, ce nest pas mal, mais ce nest pas une bite et ça ne sperme pas. J’ai décidé de repasser le lendemain matin à la boîte d’intérim, voir Jonathan pour le remercier à ma façon, de m’avoir trouvé du boulot.
Il est à son bureau, je l’ai attendu jusqu’à sa pause de midi et il m’a invitée à déjeuner. Je lui ai servi de dessert. Il était plutôt sexe traditionnel, mais vraiment très mignon et me plaisait bien. Une petite baise en ville à l’arrière de sa voiture, dans une ruelle particulièrement calme, j’adorais et jreçus enfin la bite dans le cul dont je rêvais depuis la veille.
Le plus excitant serait de me retrouver complètement à poil dans la rue et pas dans la voiture, accroupie, en train de sucer une bonne queue bien dure. Bon, cette fois, j’ai sucé sur le siège et j’ai pu savourer du bon sperme bien chaud et bien liquide, mais en petite quantité. Mon cher Jonathan avait dû baiser cette nuit, ou peut-être juste se branler ce matin, allez savoir.
Ce plan cul me convenait bien et à lui aussi ; nous nous sommes fréquentés ainsi pendant deux ans sans vraie relation de couple, juste tous les deux à prendre notre pied ensemble, la plupart du temps dans des lieux publics et de moins en moins discrets au fil du temps et ma demande… Les situations étaient à la fin plus excitantes que l’acte sexuel en lui-même, et je me trouvais une nouvelle attirance forte à m’exhiber et à me faire fourrer en public.
Le boulot commença vite et bien, avec Monsieur Schmid qui m’ignorait royalement en dehors de quelques mains au cul discrètes, mais régulières. Il avait remarqué très vite que je ne portais pas souvent de culotte, et que mes seins tenaient sans soutif alors il en profitait. D’un autre côté, les sous-vêtements sont horriblement coûteux, donc cette sensation de liberté incomparable avait aussi d’autres avantages.
Mon bureau était un grand open space avec essentiellement des femmes parmi lesquelles je passais plus ou moins inaperçue, ce mec qui me convenait bien.
Quelques jours avant la fin de mon premier contrat de mission, il me convoqua dans son bureau pour une nouvelle gorge profonde, que je pratiquais volontiers malgré l’odeur de pisse nouvelle qui se dégageait de sa bite.
Après avoir absorbé sa queue puis son jus, il déclara qu’il était prêt à renouveler ma mission sous réserve que je lui fasse un accueil chaleureux, ce vendredi soir à lui et son ami.
Je ne peux vous dire que je ne fus pas déçue et que le compagnon en question était un bien meilleur coup que Monsieur Schmid, même si c’est quand même grâce à lui que j’ai, pour la première fois, réalisé ma première double pénétration : sa petite bite dans ma chatte et la grosse queue du copain bien enfoncée dans mon trou du cul de plus en plus accueillant et avide de pénétrations bien sauvages. Pas dans la position que j’avais envie d’essayer, mais pour une première, j’avais été comblée… et remplie.
Imaginez qu’à ce jour je suis toujours dans la même société, mais que pour obtenir un contrat définitif, il me fallut user de tous mes charmes, notamment auprès du directeur général et de sa femme.
Mais ceci est une autre histoire.