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Un père enchanté sous chantage – Chapitre 1




Chapitre 1

Ceci est pour me faire pardonner pour ma bévue avec Madame. Bonne lecture ! Oh rien de vrai, ou alors, c’est du hasard pur.

« Non, Antoinette, elle en a 28, c’est Caroline qui a 27 comme nous. Antoinette, elle avait redoublé une année, la sixième si je me souviens bien. »

« Je t’avoue que ta mémoire me fascine. Perso, je m’y perds avec les anniversaires. Et Isabelle, ça lui fait quel âge ? »

« Décidément, tu ne te souviens pas de son anniversaire, celui de ses vingt ans, elle nous avait tous invité, c’était y trois ans, ça fera trois ans en juillet. Bon, je crois qu’il vaut mieux arrêter avec la bibine, on a plus les idées très claires. Santé Paul. »

« Santé Chris. T’as raison, six, ça fait un peu trop. »

Peu après, Paul rentre chez lui, laissant Chris seul à la table de ce bistrot. Il termine tranquillement sa bière en regardant autour de lui. Isabelle fait son entrée, sexy, un brin osée dans sa robe largement échancrée. Toutes les têtes se tournent pour la dévisager. Elle se dirige vers Chris qui achève sa mousse d’une seule gorgée. 

« Salut, je peux ? »

« Hé ma belle, comment va depuis le temps ? »

Et la voilà qui s’assoit près de Chris, sur ce banc, derrière la table, contre le mur. Ils se font la bise et la discussion s’amorce. Ils parlent de tout et de rien, des amis comme des copains. Isabelle commande deux bières, c’est qu’elle ne crache pas dans son verre, vaut mieux, si on veut suivre Chris et ses potes. 

Il commence à se faire tard, Chris montre des signes évidents de fatigue. Isabelle se propose de le raccompagner chez lui, ce n’est pas loin, deux étages au-dessus de ce bistrot. Lui prenant le bras, elle remarque vite que Chris est saoul, complètement saoul. Elle se dit que lui faire monter deux étages, sans ascenseur, ne va pas être facile. 

Après bien des efforts, elle parvient devant l’appartement de Chris. Elle lui chipe ses clefs, ouvre, guide Chris dans sa chambre et va refermer l’appartement. Chris est assis sur son lit, il tente désespérément de retirer ses chaussures, se marre sans y parvenir. Isabelle, appuyée contre le montant de la porte de la chambre, le regarde, se marre aussi. 

« T’en tiens une sacrée mon Chris. »

« Une fédérale aurait dit mon pauvre père. »

« Bouge pas, je viens t’aider. »

Accroupie, elle lui retire ses pompes, ses chaussettes, ça ne sent pas la rose. Elle lui retire son bleu de travail, quand Chris lui apprend que ça fait depuis qu’il est sorti du boulot qu’il boit de la bière. 

« J’en ai bue, une, deux trois…plusieurs. » 

Et éclate de rire en tombant sur le dos. Isabelle ne peut s’empêcher de rire en retirant le slip de Chris. Ce n’est pas la première fois qu’elle le voit à poil, pourtant, à chaque fois, de voir sa bite, ça la met en émoi. Elle finit quand même par le mettre entièrement à poil. Chris rit encore de sa dernière connerie dite. Il est complètement saoul et ça se voit. Isabelle peine à l’étendre pour le border. Chris tient la photo de ses parents, il cesse de rire pour pleurer la disparition de ses parents. Isabelle l’aime assez pour tenter de le consoler. Se couchant près de lui, essuyant ses larmes, le consolant avec ses mots, cherchant à apaiser la tristesse de son ami. Elle se surprend à penser que Chris est le seul en qui elle a entière confiance. Chris se tourne vers Isabelle, le prend dans ses bras comme on prendrait sa mère pour qu’elle vous console encore, vous câline et c’est exactement ce que fait Isabelle. 

Chris semble s’apaiser, se calmer. Quand la main de Chris échoue sur sa croupe, elle ne la retire pas, ça lui fait comme un petit choc dans son jeune corps. Elle retire sa robe, glisse sous les draps pour se blottir contre Chris, son ami depuis qu’elle vit dans cette bourgade. Chris dort déjà, elle éteint, regardant ce jeune homme qu’elle trouve beau, surtout bien fait. Elle ne peut s’empêcher de caresser le pénis de son ami, c’est plus fort qu’elle, si d’une main, elle caresse ce jeune homme, de l’autre, c’est elle qu’elle caresse. Son plaisir arrive, Chris dort d’un sommeil de plomb, ronfle même un peu. Isabelle est aux portes de l’extase quand Chris pose sa tête sur sa poitrine, l’embrasse dans son sommeil, rêve à haute voix.

« Isabelle, vient, je te veux…belle….Isa…couché…jouir…joui. »

Plus rien, il tète le sein gauche d’Isabelle et elle jouit en se mordillant sa lèvre inférieur, c’était la première fois, si près de Chris. Quand elle s’éveille, Chris est debout, dans le salon, sa tête entre ses bras, désemparé. Isabelle arrive, nue, sublime, majestueuse même. Elle s’assoit sur l’accoudoir, prend la tête de Chris dans ses bras, l’appuie contre sa poitrine. 

« Je ne t’ai pas… »

« Si, mais à ma manière, c’est moi qui a tout fait. Et puis, tu rêvais, tu parlais de moi, jouir, je te veux, joui, coucher. Tu étais mignon, tu l’es encore en te souciant de moi. Viens, j’en ai envie, là, maintenant, je veux, je te veux. »

Elle l’entraîne par la main, elle le couche, elle commence à lui embrasser son corps de mâle, elle, la beauté incarnée. Lentement, elle remonte le long des jambes de Chris, se faisant chatte lascive. C’est à peine s’il peut caresser la belle chevelure noir ébène, si soyeuse de son amie. D’une main qui se tend, Isabelle donne les première petite caresse à se pénis qui commence à peine à réagir. Elle le voit se tendre lentement, tel un tuyau enroulé se voyant mettre sous pression et qui se déroule. C’est à ça que pense Chris en voyant sa queue s’allonger sur son ventre. Elle remonte inexorablement vers l’objet de sa convoitise, lascive à souhait. Chris lui susurre le temps perdu, elle redresse sa tête en lui faisant non de sa jolie frimousse. Elle ajoute qu’au contraire, ils sont tout le temps désormais. La main d’sabelle s’empare de ce chibre coucher, tendu sur ce ventre, ses doigts coulissent sur ce membre viril, elle le veut en elle, peu lui importe où. 

Déjà ses lèvres déposent de doux baisers sur ce gland violacé. Chris caresse enfin cette chevelure soyeuse et longue. Les yeux foncé d’Isabelle semblent lui dire qu’elle est toute à lui maintenant. Lui, il se laisse faire, encore un peu dans les vapeurs de ses nombreuses bière. La langue d’Isabelle enlace de pénis, elle se fait encore plus vicieuse en prenant tout son temps pour mieux apprécier cette queue qu’elle tient dans ses mains. Sa bouche s’en empare, déjà sa tête monte et descend le long de cette hampe. Elle s’en délecte. Sa main droite disparaît entre ses cuisses. Le corps de Chris commence à onduler avec ce plaisir qui augmente en lui. Il lui demande de ses calmer, au risque qu’il ne puisse se retenir suffisamment longtemps. Isabelle n’en a cure, elle veut son foutre dans sa gorge, elle veut boire ce jus, s’en délecter. Elle force même sa cadence, parfois, elle pousse un petit gloussement, sa main droite lui donne le grand frisson. Elle jouit et dans sa bouche, des jets de sperme remplissent tout jusqu’à l’obliger de retirer cette bouche si gourmande de cette bite. Chris se cramponne aux draps, le dos voûté, poussant un long râle animal, sauvage. La tête d’Isabelle se pose sur la cuisse de son amant, sa langue léchant encore les dernières traces de sperme sur cette chair qu’elle apprécie. 

Comme une chatte qui a attrapé sa souris, elle lui montre sa bouche remplie de foutre. Fière, elle avale le tout par petite gorgée. Cela rend fou Chris qui retrouve toutes ses facultés. Il se saisit d’Isabelle, la couche sur le dos et s’enfonce en elle sans attendre. Il la baise, sauvage, presque brutal, tel un animal en rut. Il la baise avec toute la puissance de son corps musclé par des années d’effort à soulever de la ferraille. Isabelle est déjà prise de spasme, elle a l’impression que son corps se désarticule, se démembre sous les coups de boutoir violent que lui assène Chris. Elle va jouir et le lui crie, trop tard, il n’a pas le temps de muselé la bouche de sa belle, elle hurle son bonheur. Il jouit à son tour, l’orgasme d’Isabelle l’a libéré de sa retenue. Il tombe sur elle qui l’enlace de ses bras. Ils roulent sur le lit, tantôt à gauche, tantôt à droite. Il est temps de faire une pause, même courte, il le faut, Chris n’a pas l’intention d’en rester là. Il la soulève, l’emporte dans sa salle de bain, la couche dans sa baignoire, règle l’eau, pas trop chaude, juste ce qu’il faut. Sa main se perd entre ces cuisses magnifiquement faites. Elle s’insinue dans ce saint des saints qui vient de lui donner du bonheur. Isabelle s’abandonne. Cette main, celle qui masse son sexe, ces doigts qui labourent déjà ses entrailles, elle aime ça, elle en veut plus encore. Chris commence à laver ce corps d’une douce éponge. Lentement, l’éponge agace les mamelons d’Isabelle. Ils réagissent, se durcissent, Isabelle repousse l’éponge, masse sa poitrine, se pince ses mamelons, il y a encore cette main si masculine qui malaxe son sexe. Elle va jouir, c’est certain se dit Chris. Isabelle le fixe en atteignant l’espace infini du plaisir. 

Maintenant qu’il y a suffisamment d’eau, il pénètre dans l’eau, s’agenouille par-dessus le corps de sa douce, l’embrasse, le lave, le lèche, l’éponge, le masse, l’aime. Isabelle ne se doutait pas une seconde que son ami pouvait être un homme, un vrai. Et lui, lui qui ne la voyait que comme un amie, n’aurait jamais osé lui demandé de coucher avec elle, il la respecte trop, le trouvant bien trop belle pour lui, celle fille d’un capitaine d’entreprise, la fille à la cuillère d’argent, comme l’appellent les soi-disant bien-pensants de cette bourgade. Chris savoure ce moment, regardant ce corps qui se clame peu à peu. Elle s’assoit, récupère cette éponge, frotte doucement, délicatement ce corps de mâle qui l’attire, qu’elle aime, elle ne peut plus se voiler la face, elle qui se refusait encore de brisé cette amitié qui les lie. 

Autour de la table, ils déjeunent en amoureux, agaçants leurs émois de petites caresses, de baisers lascifs, de petites morsures excitantes, de tout ce qui fait que deux êtres s’aiment, peu importe les sexes. Il la regarde lui remplir sa tasse d’un café fort et chaud. Il lui demande combien de sucre, si elle désire du lait, si oui, un nuage ou plus. C’est ces premières heures qui fondent le couple, le soudent pour un bout de temps. Ils ne font pas encore de projet d’avenir. Pour ça, Chris devra affronter ce père, ce PDG aux airs aussi sévère que son manque d’humour. Mais à ce moment de leur vie, nul besoin de faire de projet, c’est le moment présent qui compte. La folie, l’appel de la chair se fait à nouveau sentir. Ces corps en veulent encore, en réclament. Cette fois, c’est lui qui prend la commande quand elle veut lui faire sa vaisselle comme une fée du logis. Il se glisse derrière elle, enfonce son visage entre les fesses si belles et fermes de sa belle et le darde de sa langue qui s’enfonce dans cette entrée de service. 

Dès les premiers coups de langue, elle s’agrippe à cet évier, penchant son corps en avant pour mieux sentir cette bouche qui broute littéralement son cul. Déjà, elle sent monter quelque chose de puissant en elle. C’est encore plus fort qu’elle avait connu auparavant. Il lèche, suce, mordille ce cul. Il va même jusqu’à l’aspirer pour mieux s’imprégné de son gout. Puis, sa bouche se glisse plus loin. Sa langue goûte à cette liqueur qui coule sur l’intérieur des cuisses de sa belle. Elle s’agrippe encore plus fort, si fort que ses mains, ses doigts deviennent douloureux. Cette chose encore informe, puissante, presque brutale, elle va sortir, s’extériorisé, mais comment cela se peut ? Isabelle n’a pas le temps, elle pousse de longs râles puissants. Ses jambes fléchissent sous la puissance qui la dévaste, cet orgasme, il est si violent, si puissant, qu’elle se demande déjà de quoi sera le suivant. 

Elle est à genou, son menton sur le bord de l’évier, elle cherche quelque force dans son corps, sans en trouver. Chris se relève, caressant se corps, il le soulève de ses puissants bras. Il la dépose sur son..? Non, leur lit. Il la couvre de baiser. Aucun n’a de mot pour dire ce qu’il ressent depuis son réveil, y en a pas, aucuns linguistes ne pourraient leur en donner, il n’y en a pas, cela n’existe pas. la seule chose qui peut exprimer ces ressentis, c’est l’expression de leur visage, de leur corps tout entier. 

Chris, lentement, se glisse sur le dos d’Isabelle, un, puis deux, il commence une longue approche, une longue dilatation de cet anus qu’il dévorait tantôt. Elle relève sa croupe. Elle lui susurre de ne pas lui faire de cadeau, de le lui défoncer…qu’elle…est encore…vierge de ce côté-là de son corps. il s’arrête un instant, fixe se regard, ce visage, embrasse cette joue, la lèche délicatement. Son sexe est déjà à l’orée. 

« Enfonce-toi, déchire-moi, fais-moi exploser de plaisir. »

Son dernier mot n’en est pas un, c’est une sorte de gémissement mêlé à une sorte de râle encore plus animal que tous les précédents. Chris ne se fait pas prier, il donne tout ce qui lui reste dans ce cul. Il s’acharne, ses cuisses claquent contre les fesses d’Isabelle comme des coups de fouet. D’une main ferme, il plaque la poitrine d’Isabelle sur son lit, comme un animal, un chien baisant sa chienne. Isabelle se met imaginer des moments encore plus forts que ça. Cette main qui la plaque avec force, elle la voudrait encore plus puissante. Elle se sent bien, son cul fut en feu, il est enflammé maintenant et par une queue qui semble vouloir remonter et ressortir par sa bouche. Chris va et vient, ces claquements à chaque fois qu’il s’enfonce, ça l’excite ! IL défonce sans ne plus penser que c’est Isabelle qui sodomise, mais une chienne, une moins…il se ravise sans relâcher la puissance qu’il met pour voir Isabelle jouir. Voyant sa belle, un sourire comblé se dessinant sur son visage, se penche à son oreille. 

« Imagine que je t’encule dans les chiottes de la gare, celles des hommes, les plus dégueulasses de toutes. Imagine ces mecs qui voudraient être à ma place et… »

Ce cri, long, ce oui qui déchire les murs de l’appartement, ce encore qui s’enfonce dans les oreille de Chris, cette violente claque sur ces fesses qui allonge cet orgasme que lui fait vivre Chris, Isabelle s’effondre, elle n’en peut plus et Chris tombe sur son dos sans se retirer. Cette longue phrase est à l’image de cet orgasme sans que les mots, eux encore, ne puissent décrire ce que ces amoureux avaient pu ressentir. 

Après un long moment, Chris glisse sur son dos, le long du corps de sa belle. Sa belle, elle semble se reprendre très vite. Sa bouche est déjà sur ce chibre qui lui en donnait tellement, il y déjà quelques longues minutes. 

Douze coups viennent de retentirent aux clocher de la chapelle. Isabelle lave ce sexe qui déchirait son cul tantôt. Maintenant, elle se met presque à la vénérer. Chris, sa main se baladant sur ce dos, cette peau brunâtre de cette vietnamienne adoptée. Cette fille qui la fait rêver depuis son arrivée, ça fait déjà bien des années. Cette fille avec qui il avait soudé une amitié de tous les instants. Elle était là, se donnant corps et âme, comme il l’avait fait, c’est encore tout frais. Il cherche à récupérer. Isabelle sait qu’il lui a tout donné. Elle glisse sur ce corps, mordille cet oreille dans laquelle elle dépose cet aveu que Chris craignait d’entendre, ces lettres qui, misent ensemble, bout à bout, déclarent la flamme qui brûle dans son cur. 

À quelque kilomètre de là, un père sembla entendre cet aveu amoureux. Il avait sursauté sur son fauteuil, dans son bureau. Lui qui voyait d’un mauvais il ce garçon qui, le jour des vingt ans de son trésor, croisé son bras avec sa fille adoptive et trinqué à l’amitié, une amitié officialisée ce jour anniversaire mais qui perdurait déjà depuis que Chris avait vu Isabelle pénétrer dans la cour de l’école. Ce père se met soudainement à se poser mille questions pendant qu’un couple s’aime avec passion au-dessus du seul bistrot de cette petite bourgade perdue sur une carte, un petit point ridicule.

Dans cette chambre, Chris retourne Isabelle, croise chacun de ses doigts avec ceux de sa belle, étire ces mêmes doigts loin au-dessus de la tête d’Isabelle, emprisonnant ce corps par son poids. Son pénis caresse doucement les nymphes de sa belle, sans aucune érection, il ne pourrait pas. Sa belle qui s’abandonne encore davantage, se soumettant à ces caresses qu’elle décrit, dans sa tête, comme divines. Chris sent ce corps onduler sous lui, il insiste, mordillant ce petit nez retroussé, ces lèvres si fines, si belle. Sa bouche qui, sadique, embrasse, s’échappe de l’autre, laissant sa belle devoir tendre son cou pour tenter d’avoir un baiser. Puis, cette bouche qui s’ouvre, laissant sortir un long soupir de béatitude. Chris est heureux de la voir jouir. Loin de là, un père fait les cent pas, bientôt 24 heures qu’il n’a vu sa fille, n’a pas de nouvelle. S’il pouvait deviner que sa fille vit, depuis ce même temps, des moments merveilleux, remplit de plaisirs, d’extase, de bonheur dans les bras de celui que son père jugeait pourtant comme le plus courtois et poli des jeunes hommes invités aux vingt ans de son trésor d’Isabelle. 

Ce père qui finit par se verser un double de plus de 30 ans âge et le déguste sur sa chaise de bureau. Dans un appartement du centre de cette petite bourgade, un jeune homme lave sa belle comme s’il avait, entre ses mains, la plus précieuse des porcelaines de Chine. Il se fait si doux que sa belle fond encore. Couchée sur lui, elle le bécote tendrement, donnant de doux coups de langue à ce visage dont elle apprécie les contours. Chris ne cesse de laver ce postérieur, passant et repassant entre ses fesses, appuyant sur

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