Je me présente tout d?abord. Maxime, jeune universitaire de 20 ans qui a un genre qui plait à plusieurs filles mais qui n?est pas un ?sex-symbol?. L?histoire que je vais vous raconter m?est réellement arrivée voilà quelques mois et c?est parce que j?en rêve constamment que je voulais partager avec vous mon expérience.

Donc je bosse depuis plus d?une année et demi dans une petite compagnie qui emploie un trentaine de personnes, la plupart âgé de plus de 40 ans. En fait, il y a les ?nouveaux?, adolescents de 15-16 ans qui en sont à leur première expérience de travail et qui, évidemment, changent constamment par congédiement ou démission. Ensuite, il y a les fondateurs et fondatrices, les bases quoi, qui ont tous plus de 40 ans et qui se regroupent entre eux, souvent pour parler des autres. Et ensuite il y a quelques jeunes adultes, étudiants qui travaillent à temps partiel ou encore décrocheurs qui n?ont pu trouvé mieux que dans cette compagnie. Pour ma part, je fais partie du dernier groupe. Malgré ma petite amie, j?ai toujours l?esprit un peu aventureux ce qui fait que je ne me lasse pas d?éprouver mes charmes. Malheureusement pour moi, au travail les belles femmes se font rares.

Cependant voilà 5 mois, ?milie, une charmante jeune demoiselle de 22-23 ans est engagée pour combler la démission d?une fondatrice. Cheveux noirs, un sourire qui vous fait fondre sur votre chaise, des yeux coquins et expressifs, une poitrine abondante et admirablement mise en valeur le tout avec une bouche sensuelle par des lèvres pulpeuses qui vous donne tout de suite des idées de fellation. Voilà donc la nouvelle que je n?ai croisé qu?une fois en un mois mais que j?ai rapidement remarqué et qui a un peu égayé mes journées ennuyeuses au travail. Par la suite je réussis à travailler un plus grand nombre d?heures par mon horaire universitaire ce qui faisait que je pouvais la croiser beaucoup plus souvent. Ainsi, puisque j?étais un des seuls de son âge, elle se mit à me parler plus qu?aux autres en nous taquinant concernant le travail. Intérieurement, malgré que cette fille n?était pas entièrement mon style avec sa carrure un peu ?garçon?, je ne pouvais m?empêcher de lui faire un peu la cour pour tester mes talents de charmeur. Cependant elle était en couple comme moi. Ainsi, nous en sommes restés aux beaux sourires qu?elle me faisait et aux taquineries que je lui disais pour la faire rire jusqu?à la fin novembre, date du party des Fêtes.

Cette journée-là, un samedi, je me sentais particulièrement en forme. J?avais une certaine envie de sexe car je n?avais pas vu ma copine depuis un temps et malgré tout elle n?était pas très axé sur cela. La journée se passa relativement bien et nous parlions allègrement de la soirée de l?année précédente où, du à l?alcool à volonté, je m?étais endormi pendant une bonne partie de la soirée parce que j?étais trop saoul. Je comptais encore bien abusé de bières, vin, cocktails et plus durant la soirée avec mon superviseur, lui aussi un bon buveur. La journée de travail finie, je vais chez moi prendre une douche et me préparer. Je prend un soin fou pour me raser la barbe et la région pubienne. Je choisis aussi avec attention une de mes chemises préférées avec une paire de jeans assez moulante me permettant de mettre en valeur mon 1 mètre 80. En ajoutant une petite touche de parfum et de gel pour mes cheveux, je me suis rendu aperçu que je me préparais avec une attention particulière et c?est certain que je pensais à ?milie, mais pas de la façon dont c?est déroulée la soirée. Un copain du boulot vient me chercher et nous arrivons dans les premiers à la soirée. Nous sommes dans une sorte de chalet reculé ou nous pouvons sortir fumer et se promener un peu dans les bois pour ne pas étouffer. Il y a un rez-de-chaussée où est le bar et où sont les tables et la nourriture et un sous-sol où sont les toilettes et le vestiaire. Machinalement, mon copain et moi se dirigeons dès notre arrivée vers le bar pour commencer notre soirée du bon pied. Dix minutes s?écoulent en buvant un Dry Martini que je vois arriver Sophie, qui plus qu?à l?habitude, s?est maquillé et mise en valeur avec une paire de jeans qui mettait bien en valeur sa croupe et un pull qui dissimulait peu son imposante poitrine. Dès son arrivée nous commençons à discuter de choses banales comme la météo et le travail mais plus le temps passe, plus l?alcool nous affecte car le vin, précédé de quelques bières et apéros, coule à flot pendant le repas que nous débutons. Je me suis assis bien en face d?elle car dès le début de la soirée je sentais que je lui plaisais ; elle me souriait d?une façon coquine, ses yeux scintillaient et ses lèvres semblaient chercher les miennes. Néanmoins je croyais que l?alcool me jouait un de ses vilains tours. Ainsi le souper se déroula drôlement, nous étions tous très affecté par le vin qui se renouvelait sans cesse comme par magie et je sentais des jambes qui effleuraient les miennes. Je regardai dans sa direction et elle ne semblait pas s?en apercevoir. Cependant, le dessert fini, je me sentis mal et je descendis aux toilettes afin de me calmer un peu et de pouvoir respirer un peu d?air frais. Environ cinq minutes après que je sois descendu au sous-sol, je vis Sophie qui vint me voir pour me demander si j?allais bien et pour prendre un peu d?air elle aussi. Elle était alors très près de moi et me serrait un peu contre elle. Je ne demandais pas mieux et lui dit que j?aimais bien ce moment, quand elle était près de moi comme cela. Je pouvais sentir son souffle à droite dans mon cou et sa poitrine sur mon bras. Cette situation fit monter la pression vers mon sexe et je commençais sérieusement à avoir des idées osées.

Ce fut cependant elle qui fit le premier geste en me donnant un baiser dans le cou, puis un autre en remontant, puis un autre sur la joue et je me retournai pour pouvoir l?embrasser. Nos lèvres s?effleurèrent dans un premier instant pour ensuite se coller intensément et j?ai adoré lorsque sa langue est venue à la rencontre de la mienne pour un fougueux baiser. Mes mains se baladaient dans dos et Sophie faisait de même. Nos respirations s?intensifiaient et nous nous sommes embrassés sans arrêt durant 20 bonnes minutes. Cependant, une collègue descendant l?escalier nous arrêta quelques temps. Durant que cette dernière allait aux toilettes (c?est la raison pour laquelle elle était descendue), Sophie me caressait les cuisses et me donnait de petits baisers un peu partout dans le cou, gardant échauffé tout mes sens. J?avais déjà une terrible érection et faisant un 20 cm, elle était assurément visible dans mon jean. Lorsque la fille remonta au rez-de-chaussée, Sophie m?attaqua presque avec sa bouche, cherchant la mienne et s?assoyant sur moi comme pour s?empaler sur moi. Je lui proposai d?aller dans les toilettes pour continuer plus activement nos ébats et elle accepta avec plaisir en me saisissant les fesses lorsque je fus debout.

(Suite très bientôt)

Max

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