Je m’appelle Zuzie. Je suis blanche, brune, athlétique, toulousaine. J’ai les yeux marrons-noirs. Je fais 1 m 75, 90-60-90 et j’ai un 90D. Je sais que je suis sexy et je fais tourner les têtes. Je vais vous conter une des histoires qui m’est arrivée dans les douches de la fac de Sciences. A l’époque, j’étais en L3 STAPS ma dernière année et j’avais 21 ans.
Le soir, je faisais de la danse de salon à la fac, je suis une sportive addic depuis le début de mes études. C’était le premier cours de la rentrée et pour la première fois, il était en fin de soirée et finissait à 22h30. En pratique, c’était plutôt du 23h00 moins le quart, les locaux étaient quasiment déserts. Quelques filles prirent avec moi la direction des vestiaires pour se changer. Moi, j’étais partie pour prendre ma douche. Je fus la seule à aller sous la douche. Une de mes potes Marine me demanda si elle voulait que je l’attende. Je lui ai dis que c’était bon. Je rentrais en métro et elle en vélo, je ne voulais pas qu’elle tarde trop. Il avait fallu attendre un peu que l’eau se réchauffe mais je commençais enfin à profiter de ma douche.
Les vestiaires sont découpées en trois espaces. L’entrée donne sur le premier espace avec des bancs et des porte-manteaux. Le second espace est composé d’un toilette, d’un lavabo, de deux douches fermées avec des portes genre saloon (c’est pour les timides, je ne les utilises jamais, je trouve qu’elles sont mal nettoyées) et d’un couloir donnant sur une autre entrée vers le gymnase. Le troisième espace est évidement les douches. Avec l’agencement des murs, pour me voir, il fallait aller jusque dans le deuxième espace.
Mes fringues étaient sur un banc. Ma serviette était sur le lavabo. Je profitais de ma douche. J’entendis la porte du vestiaire s’ouvrir. Je me suis dis que c’était sans doute une fille d’un autre cours du soir. J’entendis des pas se rapprocher. Quelqu’un toussota et s’exprima :
— Mademoiselle, on ferme.
— J’ai bientôt fi …
J’avais tourné la tête en même temps que je disais cela et je me suis tût. Je n’en croyais pas mes yeux. Le gardien était au niveau du lavabo et étaient en train d’inspecter les autres douches (celles qui ferment). Le gardien est un vieux monsieur d’une cinquantaine d’année voire peut être soixantaine. Il a l’air de se maintenir en forme mais il a les cheveux blancs.
Il avait du me voir à poil de dos. J’étais estomaqué. Il aurait pu prévenir dès qu’il est entré. Je me mis à fixer le mur et fis passer mes mains pour me débarrasser du gel douche qui était encore sur ma peau
— J’ai … j’ai bientôt fini.
Je me retournai vers le mur. Je tremblais dans un mélange de peur et d’excitation. Putain, j’étais à poils à trois mètres du mec. Le gardien continua son tour. Au bruit, je compris qu’il regardait maintenant les toilettes. Puis il s’arrêta et annonça de nouveau :
— Mademoiselle, c’est l’heure de fermeture.
— J’ai fini. Je me sèche et c’est bon.
Je jetais un coup d’il derrière moi. Il était fixe et regardait dans l’autre direction, l’air d’attendre. Je couru vers ma serviette et me sécha avec. Je lui dis que j’allais m’habiller maintenant. Il se retourna et partit inspecter les douches. Je couru vers mes fringues. Et là, je stoppa. Je n’allais quand même pas m’habiller devant lui. Il revenait des douches et commença à éteindre une partie des lumières.
— Est-ce que vous avez besoin d’aide ? On ferme.
— Est-ce que vous pourriez vous tourner ?
Il se tourna. Je savais qu’il pouvait encore me voir avec le miroir du lavabo. Je pris mes affaires et me décala dans le renfoncement. Je m’habilla en quatrième vitesse. Je lui dis au revoir et je couru vers la sortie.
Toute la semaine, j’ai pensé à cette affaire. Cela m’excitait et m’inquiétait un peu. C’était son job de tout vérifier avant de fermer mais là, il avait du bien maté mon petit cul. Je n’ai pas osé en parler aux autres et surtout pas à mon copain de l’époque. Une part de moi avait envie de renouveler l’expérience voire d’aller plus loin.
La semaine suivante, je pris également une douche après le cours de danse. Quelques minutes après que les autres filles soient parties, quelqu’un entra. J’étais persuadé que c’était lui. J’étais encore dos à lui lorsqu’il toussota puis annonça la même réplique que la dernière fois :
— Mademoiselle, on ferme.
— J’ai bientôt fini.
Cette fois, je me tourna complètement vers lui en répondant. Il m’a vu entièrement de face un cours instant, le temps qu’il tourne la tête et parte faire son inspection des douches fermées. Je restais face visible à profiter de ma douche. Laisser l’en emporter les bulles à la surface de ma peau. Délicatement, passer mes mains sur ma peau. Il repassa devant moi pour aller inspecter le toilette. En marchant ses yeux dévièrent dans ma direction. Je jouais grave avec lui.
Une fois qu’il eut fini, il attendit de nouveau dos aux douches. Je pris ma serviette et me sécha. Je passa ensuite devant lui l’air gêné. Cette fois, je commença à m’habiller en étant dos à lui. Lorsque je tourna la tête, il était tourné mais j’ai eu le temps de voir que ces yeux de voyeur fixaient le miroir. Je lui dis au revoir et sortit en courant. J’étais tout émoustillée de m’être exhibée ainsi. La seule question que j’avais en tête était : jusqu’où j’irais la prochaine fois ? Est-ce que je peux le faire rougir ?