Je décidais d’aller faire une promenade dans les collines qui surplombaient la mer ou j’avais passé d’agréables moment dans ma jeunesse. Nous étions à la mi juin, l’otage grondait, menaçant, mais j’étais bien couvert. En ce début de soirée contrairement aux après midi, les sentiers étaient déserts.

Je venais ici avec des copains après l’école, nous étions libres, les anciennes casemates nous servaient de refuges pour nos jeux. C’est ici aussi que j’avais fait mes premières découvertes sexuelles, et les premières branlettes avec des copains. Les lieux semblaient être restés immuables. Je reconnaissais chaque coin, chaque blockhaus. J’en visitais un ou deux. Des traces récentes de visites montraient qu’ils étaient encore utilisés, sans doute par des jeunes en mal d’isolement et de tranquillité. Les cendres d’un feu de bois à l’entrée et de la fougère sèche au sol montraient que les lieux avaient été occupés il y a peu de temps.

Je m’approchais du blockhaus que nous préférions. Un couloir central bordé de petites pièce annexes et aboutissait à deux grandes salles. Ces dernière disposaient de grandes ouvertures rectangulaires avec ’ vue sur mer ’. Des socles de béton équipés de pièces métalliques témoignaient qu ?elle devait avoir abrité des canons de défenses côtières.

C’était dans ces dernières salles que nous préférions nous retrouver, les plus claires et les plus spacieuses. Comme l’orage approchait je me décidais de me mettre à l’abri et en même temps d’y faire une visite pèlerinage. Je m’avançais prudemment dans le couloir mal éclairé de crainte d’un obstacle invisible.

J’étais arrivé près des portes des salles, elle éclairaient mieux le couloir, malgré les bruits du vent et entre deux coups de tonnerre, j’entendis un bruit provenant de l’une des salles. Sous le couvert de la pénombre, j’avançait la tête. La pièce était sommairement équipées de meubles disparates : une vieille table sur laquelle reposait une lampe à pétrole antédiluvienne, des cendriers; des chaises dépareillées. Sur l’une des chaises étaient posés des vêtements, mais je ne voyais encore personne, bien que je sentais un présence.

J’avançais un peu plus la tête, sur un socle de planches, un matelas équipé d’un sac de couchage était disposé presque au ras du sol, un traversin plié en deux servait de repose tête. Quelqu’un était allongé dessus, le corps nu, la queue dressée, raide, qu’il massait lentement en regardant une revue,

Allongé sur le dos, je ne voyais pas son visage, mais ses cheveux roux et son corps lisse, ses jambes fines imberbes. Apparemment un jeune gars, il ne m’avait pas vu ni entendu, Je l’observais, et je commençais a bander, je sortis ma queue pour me masser de concert, ce petit salopard m’excitait déjà, surtout que j’avais vu que le bouquin illustré qu’il lisait était une revue Gay.

Pour le moment je préférais rester discret , afin de mieux profiter du spectacle. Je me massais doucement au même rythme que le gars. Il faisait doux et je n’étais pas pressé.

Cela durait depuis un moment, quand je me décidais a signaler ma présence. Je toussotais et sans se retourner le gars demanda :

    * C’est toi Lucien ?

Il attendait visiblement quelqu’un, comme je n’avais pas répondu il à tourné la tête. D ?abord surpris de ne pas me connaître, il semblât vite rassuré de voir ma bite tendue que je caressais. Il devait avoir seize ans, une touffe de poils roux encadrait ses couilles de belle taille.

J’avais avancé de quelques pas, il fixait ma queue. Je m’étais rapproché du lit. J’ai amorcé une caresse sur sa tête, puis sur son torse, il me laissait faire. Je me débarrassais de mes vêtements pour les poser sur une chaise. Il m’observait sans un mot.

Je me présentais ; il ne semblait pas gêné par ma cinquantaine sonnante. Il ne regardait que ma bite plus courte mais plus épaisse que la sienne, terminée par un beau gland dont j’étais fier, que mes ami(e)s appréciaient.

Allongé a ses cotés, mes mains parcouraient tout son corps, jouant avec ses tétons durcis , ou courrant sur ses cuisse fermes, puis enserrer sa bite. Visiblement il appréciait et se décidât lui aussi a découvrir mon corps. Ses mains provoquaient des frissons agréables sur ma chaire. Il se collât contre moi, je lui massait les fesses, il me le rendit aussitôt.

Le premier il me glissât un doigt dans la raie du cul, pour aller jouer avec mon petit trou. Il se saliva le doigt avant d’aller le plonger dedans. Il appréciait que je lui facilite le passage, attendant visiblement que je lui rende la pareille. Je me plaçait contre lui tête bêche, après avoir enfourné sa queue entre mes lèvres, je plongeais la tête plus bas et lui léchait l’anus.

Il me rendit la politesse, et après m’avoir bien salivé, il m’enfournait deux doigts dans mon cul bien ouvert, que je godages souvent avec de beaux engins. Je me plaçais a quatre pattes et lui demandais :

— viens me prendre j’ai envie de toi ! défonce moi !

Il m’enfournait sa bite jusqu’aux couilles, ce mandrin chaud qui me fouillait le ventre me plaisait beaucoup. Pendant qu’il me pistonnait je lui dit :

    * Je m’appèle Jacques et toi ?

    * Vincent !

    * Je venais ici avec mes copains d’école il y a quelques années.

    * Avec deux amis, on vient ici depuis trois ans…. Un d’eux devrait venir ce soir.

Il me prenait lentement à petits coups, en vrai habitué, une main passée sous moi agaçait mes tétons puis venait masser mes couilles. Il savait y faire le gamin. Son ventre chaud contre mes fesses était une excitation supplémentaire. Il accélérait me prévenant qu’il n’allait pas tarder a décharger. Je lui demandais de tout me lâcher dans le cul, de me remplir de foutre. Il pistonnât plus fort, se cabrant il me serrait aux hanche pour me coller contre son ventre, je sentis la giclée m’inonder.

Vincent soufflait un peu, puis il me demandât de le prendre à mon tour. Placé à genoux les fesses relevées, je lui léchais le cul en salivant bien sa rosette. Je me régalais de ses rondeurs fermes, de sa peau douce, de son odeur de rouquin. J’aimais aussi beaucoup son coté de petit vicieux sans manières, sans complication.

Je me plaçais derrière lui posais mon gland sur sa rondelle et poussais doucement, mon gland était entré, le reste suivait aisément, mes couilles collaient a sa raie. Je commençais mes aller retour. Vincent me dit :

    * Allez, plus fort !…… Défonce moi !……… Encule moi, vieux vicieux !…. Plus fort salope !….. Ca te plait, hein, vieux cochon de baiser un petit jeune ?…… Allez dit le ! !

Ses paroles me fustigeait, je le prenais plus durement. Il aimait ça et serrait violemment le duvet dans ses mains. Tendant ses fesses vers mon ventre accompagnant chacun de mes coups de reins, d’une poussée opposée comme pour se faire prendre plus fort encore. A ce moment j’entendis une voix derrière moi :

    * Ben mes cochons ! Vous avez l’air de vous régaler tous les deux ! Je peux participer aussi ?

    * Bien sur profite- s- en, je suis à ta disposition.

Lui ais je répondu. En un tournemain Lucien, l’ami de Vincent se déshabillait. Grand presque filiforme, brun, les cheveux très courts, le corps musculeux, il exhibait une très belle a queue aussi longue que celle de Vincent, et plus grosse que la mienne. Il bandait déjà, présentant son dard sous mon nez, il dit :

— Allez vieux salopard suce moi avant que je te baise ! !

Quel bonheur cette tige chaude dans ma bouche pendant que la mienne coulissait dans un autre étui chaud elle aussi. Lucien se retirât de ma bouche, se plaçait derrière mes fesses que je lui offrais sans manière. Il entrait sans trop de difficulté, sa hampe me remplissait les entrailles, je me régalais d’être ainsi le milieu d’un sandwich. Nos rythmes s’étaient synchronisés d’eux même.

Je prévenais mes partenaires que je ne pourrais plus résister longtemps au plaisir. Lucien me demandait de l’avertir quand je giclerais pour le faire en même temps. Je m’étais agrippé plus fortement aux hanches de Vincent en haletant :

    * Ca vient, ça vient….. je vais partir !

Je me retenais, Lucien s’était crispé m’avertissant qu’il était prêt lui aussi. Ce petit salaud semblait pouvoir jouir su commande. Je me cabrais en lui demandant de m’envoyer sa purée. Je sentais sa semence dans mes tripes pendant que je lâchait la mienne dans le cul de son ami. Quel bonheur ! !

Momentanément repus nous étions allongés sur le duvet, je caressais les corps de mes amis. Ils me racontaient leur premières branlettes, comment ils avaient commencés a se sucer, puis à s’enfiler. Tous les trois aimaient ça. Je leur racontant comment j’avais connu mes premiers émois ici même avec deux amis aussi. Puis mes aventures diverses dans des lieux insolites. Mes plaisirs dans des toilettes publiques, ou des aires de repos routier. Comment j’avais converti de jeunes étudiants a nos plaisirs.

Emoustillés nous rebandions à nouveau, Lucien voulait que je le prenne à son tour pendant qu’il sucerait son ami, dont il adorait le sperme. Nous avons ainsi continués nos ébats jusqu’à la nuit, alternant les rôles.

Au regret de nous séparer, mes deux nouveaux amis me firent promettre de venir les rejoindre dès que possible. Me donnant un numéro de téléphone portable, discret et joignable a tous moments. J’étais ravi que ma compagnie leur plaise et qu’ils aient autant d’attraits pour mon cul que ma queue ou ma bouche.

-=-=-=-=-=

Identifiant : Tintin29 – FRANCE

[email protected]

Related posts

Le blog de Marguerite – Chapitre 2

historiesexe

L'invité surprise – Chapitre 1

historiesexe

Le Beau-Frère 3 – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .