Bonjour à Tous

Après que mon beau-père se soit bien vidé dans ma bouche, j’étais assez désemparé, surpris d’avoir aimé ça et de me rendre compte, à mes 18 ans passés, que finalement, ma sexualité se tournait vers les hommes.

En retard de puberté, je n’avais pas trop pensé au sexe, mais je devais reconnaitre que je regardais plus facilement les hommes que les filles, et Rachid m’avait toujours impressionné, par sa virilité si puissante, par son corps débordant de testostérone puant le mâle à plein nez.

Je venais de sucer ce mâle, d’avaler sa liqueur, mais c’était le mari de ma mère. Je me sentais coupable, bien sur, mais aussi heureux de lui avoir donné du plaisir.

Je savourais encore le gout de son nectar, le premier que j’avalais, et j’aimais ça.

Mes mains ont continué à parcourir son torse couvert d’une toison drue, descendre sur son ventre et se perdre dans cette grosse touffe qui entourait ce membre démesuré et qui recommençait à reprendre une certaine vigueur.

Continuant mon exploration, j’ai soupesé ce sac plein, gros, qui pendait entre ses cuisses tout aussi velues et mes doigts ont enserré ce pieu, même si je ne pouvais pas en faire le tour.

Ça grossissait, encore et encore Pour arriver très vite à la taille énorme du manche que ma bouche avait accueilli.

« Je me suis pas trompé Tu es une bonne salope, tu aimes la bite toi !!! »

J’étais choqué d’entendre ces mots de sa part, mais je réalisais que j’étais en train de branler sa queue et que mon autre main se perdait dans ses poils.

Je n’ai pas répondu, et d’un coup, Rachid m’a mis sur le dos, m’a écarté les jambes et a pesé de tout son poids sur moi. Tout son torse hyper velu épousait le mien, ses jambes puissantes écartaient les miennes au max, et je me sentais femelle, soumise, offerte

Son membre viril frottait sur mon orifice, me procurant un plaisir inouï, inconnu jusqu’alors et je savais que j’allais céder. Lui offrir ma virginité anale, malgré l’effroi qui m’envahissait d’être pris pour la première fois par un tel calibre.

Rachid a senti que je cédais, que je n’opposais plus de résistance et que mon corps lui était offert.

« T’inquiète ma Belle j’ai prévu »

Il s’est relevé et a sorti, je ne sais trop d’où, un tube de vaseline (Et oui c’était ça à l’époque) et a commencé à m’en badigeonner le trou et son membre démesuré

J’étais choqué par l’emploi du féminin

Mais je réalisais au même instant, que j’étais là, allongé, cuisses ouvertes, couvert par un mâle dont le sexe hors normes allait posséder mon trou. Il avait raison finalement, posture offerte, j’étais bien une femelle

« Tu vas avoir très mal ma chérie mon zeb est très gros mais tu sais, c’est bien d’être dépucelée par du gros, tu seras mieux habituée après »

« C’est ce que tu veux, non ? Donner ton cul aux hommes, comme une vraie chatte »

« Je vais te faire une belle chatte ma Chérie Et je vais bien en profiter »

Son gland s’est frotté sur mon trou, et je sais pas pourquoi, je me suis senti m’ouvrir, prêt à accueillir cette énorme barre de chair dans moi.

« Tu vas saigner ma Belle, comme les femmes qu’on dépucelle dans mon pays, mais après, tu vas être heureuse, tu vas être baisée comme la femelle que tu es »

Il m’a écarté les jambes le plus possible, et son sexe s’est enfoncé dans moi. Malgré mes pleurs, il a continué et son gland a franchi la barrière de mon anneau. J’avais l’impression d’être ouvert en deux, malgré la vaseline, mon anus me brulait C’était gros Trop gros

Rachid est sorti de moi, a remis un peu de crème et son sexe s’est repositionné sur mon orifice encore béant.

« Je vais te dépuceler à l’arabe ma Chérie »

Dès que le début est rentré, Il s’est enfoncé dans moi d’un coup brutal, en entier J’ai hurlé, j’étais sur que j’allais mourir, que mon trou allait éclater, j’essayais de le pousser hors de moi, mais mes mains ne rencontraient que ses poils, qui m’excitaient tant.

« Calme toi ma Chérie Tu es dépucelée maintenantC’est juste un peu dur au début mais tu vas aimer Je t’assure »

Il est resté un moment enfoncé en moi en entier, et petit à petit, il a commencé des vas et viens Pas trop important d’abord, mais de plus en plus fort, insérant des mouvement de plus en plus amples

Petit à petit mon trou s’est adapté

De la douleur, j’ai commencé à ressentir du plaisir Ce mélange de plaisir douleur que ressent le vrai passif quand il se fait prendre par du gros calibre.

Quelque chose en moi, dans ma tête a cédé Mon esprit a cédé, et mon corps a cédé aussi Tous les neurones de mon cerveau m’ont envoyé le même message

« Tu es faite pour ça Offre-toi Donne-toi Ouvre-toi Lâche-toi !!! »

Ce sursaut d’adrénaline m’a libéré de toutes mes appréhensions, de toutes mes peurs, de cette douleur que je ressentais venant de ce énorme pieu qui me fouillait, et que je le voulais vraiment, surmontant le feu de cette barre qui me brulait.

Rachid a ressenti de suite mon relâchement, mon acceptation, ma soumission et que mon corps était maintenant prêt à l’accueillir sans réserve.

Il m’a saisi par les hanches et son monstre de chair m’a possédé, défoncé, violemment, dans toute sa puissance de mâle arabe qui possède sa femelle

Ça a duré longtemps Il avait joui avant. Mais maintenant, mon corps acceptait de subir les assauts de ce mâle vigoureux Et j’en voulais encore et encore J’appuyais sur ses fesses poilues pour qu’il rentre encore plus fort en moi Plus profond

Son sexe avait ravagé mon trou puceau Et j’aimais ça.

D’un coup, Rachid a hurlé Je l’ai senti s’enfoncer au plus profond de moi, et des jets chauds m’ont rempli Rachid vidait son plaisir en moi.

Il s’est retourné sur le dos, sexe encore mi mou et m’a regardé en souriant.

« Tu as aimé Salope J’ai pas fini avec toi. La nuit fait que commencer »

« Tu es faite pour être baisée »

Il avait raison Je sentais mon cul endolori, saignant, rempli de sperme, douloureux, brulant Mais j’étais heureux.

Mon beau-père m’avait appris ma voie, celle d’être prise de me donner aux mâles.

Que le petit appendice qui pendait entre mes jambes n’allait me servir qu’à pisser et que mon vrai sexe c’était mon trou, ce qu’il appelait ma chatte, mon vagin, mon instrument de plaisir pour les hommes.

Et il allait me l’apprendre bien plus que ça, après m’avoir défoncé encore trois fois dans cette nuit là

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