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jeanne ma belle mère – Chapitre 2




Je nai pas eu à attendre longtemps pour passer à lacte avec ma belle-mère. La tension sexuelle entre nous devait être palpable. Les regards sintensifiaient, chacun de nous, je pense, impatients de passer au stade supérieur.

Bien sûr, jéprouvais des scrupules vis-à-vis de Cécile, pour qui mes sentiments étaient les mêmes, mais mon attirance pour Jeanne associée à la notion dinterdit étaient plus forts. De plus Jeanne était une femme mure et je navais encore jamais eu de relations avec une partenaire plus âgée, ce qui ne faisait que renforcer mes pulsions.

2 ou 3 semaines après lépisode de la piscine, je commençais déjà à bouillir intérieurement. Je ne passais quà Jeanne, son corps de femme, sa poitrine, ses fesses Je limaginais dans les positions et les situations les plus perverses possibles et imaginables.

Cest un samedi, alors que nous étions réunis chez mes beaux-parents pour déjeuner que loccasion se présenta enfin Cécile avait reçu un coup de fil de sa meilleure amie qui nous proposait de passer la nuit en discothèque ce samedi. Vous devez savoir que quand on sortait le weekend je dormais presque toujours chez Cécile et cette fois ci nallait pas échapper à la règle.

A peine Cécile mavait-elle mis au courant de notre sortie que jéchafaudais déjà un stratagème. Profitant dun moment où nous étions seuls dans la cuisine je faisais part de mon plan à Jeanne :

-Ce soir je dors chez vous, alors attendez moi avant de vous coucher, lui glissais-je dans loreille en me collant derrière elle.

Jeanne me parut très surprise, elle ne me fit pas de clin dil ni de regard coquin comme jaurais pensé quelle le ferait Par la suite lors du déjeuner il ma semblé quelle évitait mon regard et je finissais par me demander si elle était toujours prête à passer à lacte.

Nous avons donc déjeuné chez mes beaux-parents puis nous avons passé laprès-midi au centre-ville à faire du shopping (plus Cécile que moi !). Le soir, nous nous sommes préparé pour sortir chacun de notre côté puis nous nous sommes rejoints au St John, la boite de nuit, avec Amélie, sa copine.

Je nai pas besoin de vous dire que jai eu du mal à me concentrer aussi bien laprès-midi que le soir ! Jeanne obsédait mes pensées, javais du mal à mintéresser à ce que les gens me disaient, je ne pensais quà son corps. En boite, quelques jeunes filles, et ce en dépit de la présence de Cécile, me lancèrent des regards qui sapparentaient pour moi à des invitations (mais pas à danser !), mais je ny prêtais pas la moindre attention Pourquoi me serais-je intéressé à des gamines alors que javais Jeanne, plus femme, plus expérimentée, peut-être moins parfaite que ces midinettes mais tellement plus sexy à mes yeux !

Obnubilé par Jeanne, jinsistais auprès de Cécile pour rentrer, prétextant un mal de tête et à 1h30 nous étions rentrés chez elle. Seulement à peine arrivés, je constatais quil ny a pas un bruit, la télé éteinte et il semblait bien que Jeanne et Michel soient déjà couchés.

Jétais persuadé quelle maurait attendu, je nai pourtant pas rêvé, cela crève les yeux que Jeanne éprouve pour moi la même attirance que jai pour elle, alors pourquoi na-t-elle pas attendu mon retour ? Jaccompagnais Cécile se coucher, mais ressortait du lit une demi-heure plus tard, incapable de dormir car plein dinterrogations à propos de Jeanne

Jallais au salon, me servait à boire et commençait à zapper une à une toutes les chaines.

Soudain, du bruit sur ma gauche, la porte du couloir souvre et Jeanne apparaît, en nuisette Enfin, elle se faisait juste désirer, feignait de dormir mais avait bien toujours autant envie de moi ! Je sentais déjà un début dérection dans mon boxer.

Tandis quelle fermait la porte, je venais derrière elle pour lenlacer et commençais à lembrasser dans le cou, mon corps collé au sien : « Si vous saviez combien jai attendu ce moment ! ».

Mais là à mon grand désarroi, Jeanne se libère de mon étreinte et me dit : « Je ne suis pas venue pour ce que tu crois Djamel, je voudrais quon discute ».

-« Quest-ce quil se passe, vous avez plus envie de moi ? »

-« ça na rien à voir avec lenvie Djamel, mais déjà il y a Michel et Cécile à coté et »

-et ?

-« Et je ne suis pas sure de vouloir continuer ce petit jeu et aller plus loin. »

-« Comment ?! Vous ne pouvez pas faire ça, vous ne pouvez pas maguicher et me chauffer en permanence pour vous défiler maintenant, cest de la torture que vous me faites ! »

-« je sais, je suis désolée, mais ne crois pas que ce nest pas une torture pour moi non plus. »

Sentant que la situation méchappe et que, ce qui devait être une des situations les plus excitantes de ma vie est en train de tourner en impossible déception, je décide de la pousser à bout et de tenter de la ramener vers moi.

-« Vous ne pouvez pas me faire ça, jai vraiment envie de vous baiser Jeanne, vous avez vu à la piscine combien vous mexcitiez » Je lui dis cela en caressant mon sexe à travers mon boxer .

-« Djamelarrête, tant que cétait platonique cela ne me dérangeait pas, mais maintenant que cela devient concret je ne suis plus certaine de vouloir aller au bout. Je ne peux pas faire ça, ni à Michel ni à Cécile, et sous le même toit en plus »

-« Donc si on se donnait RDV à lhôtel vous ne diriez pas non » ? Je nécoute même pas sa réponse, je regarde ses seins qui pointent sous sa nuisette, ses jambes, je commence à être très chaud, ce nest pas possible je ne vais pas pouvoir en rester là.

-« que cest réel, il y a trop denjeux, trop de risques ». Je nentends que la fin de sa phrase.

-« Cela a toujours été réel et concret pour moi Jeanne, regardez ce nest pas du concret ça ? » A cet instant je sors ma queue de mon boxer et la masturbe doucement devant elle ». « Vous la voulez Jeanne, dites-le. »

Depuis que jai commencé à me branler, Jeanne na pas quitté mon sexe des yeux, se mordant les lèvres et bafouillant des : « Non, il ne faut pas on ne peut pas » .Je prends sa main et la dirige vers mon pénis, elle ne résiste même pas. Elle le prend timidement dans sa main, comme si cétait la première quelle en touchait un, et me masturbe tout doucement en le serrant bien fort : »On ne devrait pas Oh Djamel Elle est toute chaude, toute dure » Elle ne quitte pas ma queue du regard, comme si elle voulait en garder une image mentale. Jeanne baisse complètement mon boxer et vient sagenouiller entre mes jambes elle continue ses mouvements de va-et-vient de la main Elle me regarde droit dans les yeux, se mord les lèvres et me demande : « Alors, tu aimes la façon dont ta belle-mère te branle ? »

-« Oh oui Jeanne ne vous arrêtez pas ! »

-« Que voudrais tu que je fasse maintenant ? »

-« Vous le savez très bien ! »

-« Je le sais mais je veux que tu me le demandes »

— « Sucez-moi Jeanne, sil vous plait, sucez-moi la bite »

Jeanne passe sa langue sur mon gland et y récupère une goutte de liquide séminal avec lequel elle joue à faire un long fil Elle passe sa langue sur mon gland, tout le long de mon sexe puis avale directement ma queue Incroyable, il faut la voir sactiver sur ma bite, elle qui il y a encore cinq minutes me jouait le coup de la maman-honnête-qui-a-des-scrupules ! On dirait quelle a fait ça toute sa vie.

Elle change de rythme, va plus ou moins vite, sarrête pour me branler et me demander si jaime ça tout en me regardant dans les yeux. Jeanne me fait ce que jappellerais une fellation gourmande. Elle sapplique. Je crois quelle ma fait sa scène tout à lheure juste pour se donner bonne conscience, pour se dire quelle a résisté un minimum et quelle ne sest pas jetée directement sur ma queue comme une affamée, mais là, Jeanne révèle sa vraie nature. Je crois quelle savait très bien quelle céderait a la tentation, il ny a quà la voir me sucer en ce moment, on sent quelle aime vraiment ce quelle fait et quelle veut donner du plaisir. Jeanne se relève et sassoit à côté de moi. Elle a la bouche et les lèvres pleines de salive et vient membrasser goulûment tout en continuant à me branler.

-« Tu apprécies la manière dont te suce ta belle-mère Djamel ? »

-« Oh oui, vous savez vous y prendre Et moi vous me trouvez comment ? »

-« Ta queue est délicieuse dit-elle en membrassant, jai toujours rêvé de sucer un jeune beur comme toi, et je ne suis pas déçue, tu as vraiment une belle queue. »

Je la caresse moi aussi maintenant, elle a enlevé sa nuisette et ne porte plus quun string sur elle, mes mains touchent ce corps qui devrait mêtre interdit Alors quelle me branle je passe une main sous son string Pour mapercevoir que cette chienne est déjà trempée. je men lèche les lèvres, jen ai rêvé de lui lécher la chatte, à vrai dire cest ce que je préfère avec les filles, plus encore que la pénétration, jaime lécher et doigter tous les orifices Je lembrasse dans le cou et descend vers ses seins. Jeanne a de beaux gros tétons comme sa fille, ils tombent un peu, sont un peu moins fermes que ceux de Cécile mais ils mexcitent tout autant. Je lui lèche,lui caresse, lui mordille les tétons. Ma main monte et descend, explore tous les recoins de sa peau. Je commence à la doigter bien fort, puis lui fait goûter à son nectar en lui faisant lécher mes doigts

-Djamel, cest tellement bon, je veux que tu viennes toccuper de moi toi aussi.

Je mallonge sur le canapé sur le dos et Jeanne vient sasseoir sur moi pour un 69. Je ny crois pas, Cécile ne ma jamais sucé, elle nest pas vraiment adepte de cunnilingus, et là cest sa mère qui est en train de sasseoir sur mon visage tout en me dévorant la queue ! Je prends mon temps je profite du spectacle, quand je regarde en bas je vois la bouche de ma belle-mère faire des va et vient sur mon membre, ses seins sur mon ventre, et face à moi, le sexe de Jeanne. Elle na pas dû sépiler depuis la dernière fois mais ça ne me gêne pas du tout, au contraire, cela accentue son côté femme mure qui mexcite tant

Pendant que Jeanne crache sur ma queue, la suce et lastique, je mactive de mon côté Les fesses de Jeanne me paraissent moins fermes et rebondies quelles ny paraissaient sous ses vêtements, mais elles nen sont pas moins imposantes et cest avec plaisir que jy plonge ma tête.

Jaime lodeur de son corps, de sa peau, je lembrasse, lui lèche le clito, lanus, je lui enfonce ma langue le plus possible tout en la doigtant. Jeanne se laisse faire sans aucune réticence Je lui mets un doigt dans lanus pendant que je lèche son clito, puis cest son clitoris que je titille tout en lui léchant le cul elle doit pratiquer la sodomie car elle se laisse faire, docilement, ne laissant échapper que quelques gémissements, étouffés par ce quelle a dans la bouche. Je marrête parfois de la lécher pour la doigter intensément, presque frénétiquement, jai limpression quelle apprécie car sa respiration se coupe, par moments elle sarrête de me sucer et ne fais plus un bruit, comme si elle savait que si elle ouvrait la bouche ce serait pour hurler, elle se tapote ma queue sur le visage et gémit tout doucement : « continue,cest bon, comme ça, vas y mange-moi bien » Et moi qui lui réponds : « asseyez-vous bien sur ma bouche étouffez moi », jempoigne bien ses fesses et les plaques bien sur mon visage

-« Baise-moi la bouche Djamel !». Je relâche mon étreinte et lui prend la tête entre mes mains : « ouvrez bien la bouche Jeanne ». Je vais et viens au fond de sa bouche,de plus en plus vite. Elle a la bouche grande ouverte et tire la langue, laissant beaucoup de salive sortir. Je nai pas une queue énorme, 16-17 cm, mais elle est assez grosse pour bien la faire baver et lui remplir la bouche. Je vais de plus en plus profond, on ne dirait pas que cela déplaise à Jeanne, il ne me semble même pas quelle ait du mal, cest une vraie championne !

Lattente, lexcitation, la possibilité dêtre surpris à tout moment mais surtout la bouche experte de Jeanne mettent à mal mon endurance et après mêtre retenu le plus longtemps possible, je finis par exploser (silencieusement !) dans sa bouche. Jeanne sen met de partout, en avale une partie et étale le reste sur ses lèvres et ses joues, elle essuie ma queue sur son visage et continue de caresser mon membre qui a perdu un peu de sa vigueur mais déjà prêt à recommencer. Je continue de la lécher et de la caresse, jai un peu de sa mouille de partout, sur la bouche, le menton.. Jeanne est apparemment une femme qui mouille beaucoup et ce nest pas pour me déplaire, je me délecte du gout de cette femme mure, ma belle-mère.

Je suis aux anges, nous nous rasseyons lun à côté de lautre, Jeanne remet son string et sa nuisette, moi, mon boxer, et nous mettons un peu de distance entre nous, au cas où, le temps dune pause, car jai bien lintention daller plus loin…

Jeanne me regarde avec un air coquin se mordille les lèvres.

-« cétait magnifique » lui dis-je.

-« Alors, quen penses-tu belle maman se débrouille bien ? »

-« Pire que ça, vous êtes une experte !»

-« Jaime jouer avec une bite dans ma bouche, et cest parce que jaime vraiment ça que je le fais si bien Cécile tas déjà sucé comme ça ? »

-« Non, en fait elle ne ma jamais sucé ».

-« Quoi ? et bien elle ne sait pas à côté de quoi elle passe Jai vraiment aimé sucer ta bite Djamel »

-« Moi aussi jai aimé, jadore votre chatte bien juteuse et si accueillante ! » .Je mapproche delle et met les mains sur ses cuisses, pressé maintenant de la baiser

-« Non pas maintenant Djamel ! On risque de faire trop de bruit et pour tout te dire, je ne veux pas dune petite baise de cinq minutes, rapide. Maintenant que jai goûté à ta queue, je veux que tu me limes pendant des heures, que tu me soumettes, que tu me baises violemment et que tu me fasses crier. Mais on ne peut pas faire ça ici, en tout cas pas maintenant. »

-« Mais jai trop envie de vous Jeanne moi cest pareil après y avoir goûté je pourrai vous manger et vous baiser la maintenant toute la nuit ! »

Ne tinquiètes pas Je vais vite trouver un moyen pour quon se retrouve discrètement

Sur ces mots, ma belle-mère se lève, se penche vers moi et membrasse en mettant une main sur mon sexe encore à moitié bandé « Jai hâte daller beaucoup plus loin Bonne nuit Djamel, fait de beaux rêves » et Jeanne de séloigner dans une démarche des plus provocantes

Je suis partagé entre lextase ressentie et limmense frustration de ne pas aller plus loin. Javais tellement envie de la posséder maintenant ! Jai du mal à croire ce qui vient de se passer. Ma belle-mère, Jeanne, la mère de Cécile, si convenable devant tout le monde vient de me sucer jusquà ce que je lui éjacule dans la bouche et sur le visage, je viens de lui faire un Cunnilingus, je lai doigté lui ai enfoncé mes doigts au fond de son intimité Je suis maintenant dans son lit avec Cécile et rien quà y penser, lexcitation revient et je me masturbe en imaginant ce que nous aurions fait si Jeanne nétait pas partie précipitamment se coucher

Que sest-il passé par la suite ? Quelquun va-t-il repérer notre manège ? Suis-je allé au bout de la tentation et de mon fantasme ? La suite très bientôt.

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