En route pour les vacances !
Jétais à cette époque en classe de terminale à 19 ans, que je suivais en internat car le lycée qui moffrait un cursus de sport-études se trouvait très loin du domicile de mes parents. Je restais au lycée et rentrais retrouver mes parents et ma sur Jennifer, dun an ma cadette, pour les vacances scolaires.
Pour ces congés dhiver, jétais arrivé à la maison dans la journée de vendredi, et après les retrouvailles familiales, toujours émouvantes, nous nous étions préparés à partir en voiture pour les Alpes, en vue dun séjour dune semaine de ski. Ma sur, à qui je manquais beaucoup pendant les périodes de cours, sétait littéralement jeté à mon cou à mon retour, lançant un « mon Christophe chéri, enfin tu es revenu ! » en me serrant fort dans ses bras menus de jeune fille de 18 ans. Jétais moi aussi bien content de retrouver toute ma famille, et spécialement ma petite sur, que jadorais, même si à cette époque elle avait cédé à la mode gothique, portant des bijoux bizarres, les cheveux teints en noir de jais contrastant avec sa peau très blanche, et ses yeux très maquillés.
Alors que nous finissions de préparer les bagages au premier étage, elle mavait pris la main pour capter mon attention et mavait déclaré « : « je te promets de ne pas tembêter de toute la semaine ! Je tiens à ce que ces vacances te soient inoubliables, pour que tu ten rappelles quand tu seras retourné dans ton école, et que je te manque comme tu me manques. » Je lui avais répondu : « Mais tu sais, tu me manques aussi quand je suis là-bas ». Ce à quoi elle avait simplement rétorqué par un « tu parles ! ».
Je repensais à toute cette journée, alors que nous étions sur la route, au cur de la nuit noire. Mon père qui conduisait avait décidé de quitter lautoroute, un peu chargée, pour suivre une petite route sinueuse, mais très peu fréquentée. Ma mère dormait à côté de lui, et derrière avec Jenni nous somnolions également, calés sous les couettes et contre les oreillers, bercés par les virages, dans une obscurité que la faible lueur du tableau de bord ne réussissait pas à dissiper. Lautoradio était éteint, et on nentendait que le sifflement du vent sengouffrant par la vitre de mon père, légèrement entrouverte pour que lodeur de ses rares cigarettes séchappe. Jétais derrière ma mère, assis bien enfoncé dans le fauteuil, la couette remontée sur mes jambes, et Jennifer était lovée contre moi, la tête contre mon épaule.
Plus quà moitié endormi, je sentis ma sur se serrer encore plus contre moi, passant son bras autour de mon cou, avant de le laisser retomber, ce qui amena sa main à venir reposer sur le haut de ma cuisse droite. Dans cette position, son avant-bras effleurait mon bas-ventre à travers le tissu de mon jogging. Par décence, je pris délicatement son poignet et remonta son bras plus haut sur mon ventre. Mais peu après, son bras sanima de nouveau, et Jennifer caressa lentement mon buste, avant de laisser encore une fois sa main retomber, sur ma cuisse gauche cette fois.
Je sentis alors ses doigts passer sous la couette et se promener lentement le long de ma cuisse Je me dis que ma sur devait être en train de rêver à son prince charmant, et mamusa de la situation. Mais arrivé au genou, sa main se mis à caresser lintérieur de ma cuisse, en remontant lentement. Mon sexe, resté sage jusque-là, commença à sémouvoir de la situation De nouveau, je saisi son poignet pour éloigner sa main de mon intimité, mais ma sur approcha sa bouche tout près de mon oreille, et me chuchota « mon frère chéri, laisse-moi faire, sil te plaît ».
Joignant le geste à la parole, elle continua à me caresser, remontant sur mon bas ventre, puis, elle appliqua sa main bien à plat sur mon sexe. Elle sentit mon début dérection à travers le tissu, et émit un faible grognement détonnement et dapprobation. Mon cur se mis à cogner soudain fort dans ma poitrine, et je ne puis me retenir de bander. A ce moment, les phares dune voiture arrivant en face au loin éclairèrent lintérieur de la voiture, provoquant un réflexe de grand frère : craignant que mon père saperçoive de la bêtise quétait en train de faire Jennifer, je feignis de dormir, en entrouvrant légèrement les yeux pour lobserver.
La lumière se fit plus vive au fur et à mesure que la voiture sapprochait, mais mon père restait concentré sur sa conduite. Du reste, même si il avait regardé dans le rétroviseur, il naurait rien pu voir de suspect, tant nous étions recouvert par les couettes, un oreiller posé par terre au milieu gênant de plus la vue de lavant vers larrière.
Mais profitant de ce moment, ma sur commença à caresser mon sexe, le palpant à travers le tissu. Je tournais la tête vers son visage, et pris un air courroucé. Pour toute réponse, Jennifer me sourit de me jetant de ses yeux noirs un regard espiègle. Je sentais mon sexe bander très fort maintenant, et javais du mal à respirer sans bruit. Je rabattais un pan de la couette pour couvrir mon bassin et mon ventre, pour éviter tout risque que ma sur soit surprise dans une posture si coupable. La voiture nous croisa mais une autre arrivait dans le lointain, aussi, je nosais pas bouger ou manifester mon désaccord trop bruyamment. Jenni en profita, desserrant la lanière de mon jogging, puis glissant sa main sous lélastique de mon caleçon, pour caresser mon pubis. Quand la deuxième voiture nous croisa, nous replongeant dans lobscurité, ses doigts jouaient le long de ma verge, éprouvant sa dureté, son épaisseur et sa longueur. Je ne pus retenir un soupir dexcitation, mais réussi tant bien que mal à le faire ressembler à une expiration de dormeur.
Dans le noir presque absolu, je devinais alors ma sur se coucher sur la banquette sans un bruit, puis je senti sa tête venir se poser sur mon ventre. Javais envie de crier, et mon cur battait la chamade, ma circulation battant dans mes tempes. Incapable de freiner ses ardeurs, je sentis quelle se couvrait de la couette. Ses doigt saisirent mon sexe et le firent sortir de mon caleçon et de mon jogging, le branlant doucement. Là, dans la voiture familiale qui nous emmenait au cur de la nuit vers la montagne avec mes parents à lavant, je sentis la bouche de ma petite sur se refermer autour mon sexe, et la douce pression de ses lèvres glisser davant en arrière le long de ma verge. Un camion arriva en face, éclairant à nouveau la voiture de ses phares. Je vis le corps de Jennifer allongé sur le côté, et la bosse que faisait sa tête sous la couette, animée dun mouvement de va et vient. A 18 ans javais eu quelques expériences sexuelles, et je me dis que Jenni nen était sûrement pas à sa première fellation : tour à tour elle enfournait ma queue profondément et la faisait aller et venir dans sa bouche, puis elle se concentrait sur le gland, le titillant de sa langue et de ses lèvres, tout en branlant la base de ma verge, avant de lenfourner de nouveau goulument
La volupté quelle me faisait ressentir était trop forte et eut raison de mes scrupules. Je me positionnais de telle sorte à mieux offrir à ma sur lobjet de son désir, faisant glisser doucement jogging et caleçon sur mes cuisses.
Ma queue bandait très fort, et je luttais pour que ma respiration ne soit pas trop bruyante. Jimaginais dans le noir la vue de mon sexe gonflé entrer et ressortir de la bouche de Jennifer, et cela mexcitait encore plus. Jaccompagnais ses va-et-vient buccaux de légers mouvements du bassin, enfouissant fébrilement ma queue dans son adorable bouche pour satisfaire son désir. Ma main droite vint sous la couette se poser sur sa tête, pour mieux ressentir ses mouvements, et je fis glisser ma main gauche le long de son flanc, mattardant sur son sein, descendit sur ses fesses, se glissant entre ses cuisses, dont la chaleur perçait à travers le tissu de son Jean. Je sentis rapidement monter en moi les prémisses dun plaisir intense.
Jenni du sentir également limminence de mon plaisir, car elle sactiva soudain de plus belle, pompant ma queue à vive allure, en recommençant à me branler en me serrant la verge plus fort. Je me laissais lentement submergé par la montée de la jouissance, haletant dans le noir. Voulant poursuivre un peu ce moment magique, je bloquais la tête de Jenni de ma main. Celle-ci interrompit ses mouvements, mais cétait trop tard, le point de non-retour était dépassé. Expirant profondément jenfonçais la tête de ma sur loin sur ma verge, et je jouis. Jéjaculais à grandes giclées dans sa bouche, en retenant mes gémissements de plaisir.
Inspirant à fond puis expirant profondément, j’appuyais sur la tête de ma sur pour l’enfoncer loin sur ma verge, et je jouis. J’éjaculais à grandes giclées dans sa bouche, en retenant mes gémissements de plaisir, le corps bandé comme un arc, le bassin frémissant de plaisir. La tête prisonnière, ma sur ne pouvait bouger, et de sentir ma queue remplir sa bouche de mon sperme décuplait ma jouissance. En moi je me disais "c’est ce que tu voulais, hein ? Et bien tu as gagné, regarde ! ".
L’explosion sensuelle de ma jouissance une fois retombée, je relâchais sa tête, et ma sur se dégagea de mon sexe, pour avaler tout mon foutre. Essoufflé, je luttais pour reprendre ma respiration sans bruit. L’excitation retombée, un sentiment de culpabilité m’envahit : j’avais vraiment maintenu de force sa tête sur ma queue au moment crucial, lui pénétrant la bouche profondément. Au plus fort de mon éjaculation, j’avais même empoigné ses cheveux, sans doute douloureusement. Mais comme pour me rassurer, ma sur repris mon sexe en bouche délicatement, et le suça doucement, pendant qu’il débandait progressivement. Elle l’abandonna enfin, et se redressa pour se lover à nouveau contre moi. Pas de voiture à l’horizon, il faisait un noir d’encre. Je sentis Jennifer approcher ses lèvres des miennes et elle m’embrassa. Seul un reste du goût de mon sperme subsistait sur sa langue. Ses lèvres glissèrent vers mon oreille et elle me chuchota : "Je t’ai dit : des vacances inoubliables..". Je tournai mon visage et lui chuchotai au creux de son oreille : " la prochaine fois c’est mon tour !". Jennifer me répondit alors tout bas, très sensuellement " oh ouiiii, j’ai hâte de sentir ta grosse bite me démonter la chatte…", puis elle se coucha sur la banquette, les jambes repliées, la tête à l’opposé de moi.
Mon regard se porta sur l’avant, où mon père restait concentré sur la route. Je sentis ma bite déjà se redresser, en réaction à la répartie de ma sur. Oui, moi aussi, j’avais hâte d’arriver.