Histoire de sexe fétiche Histoires érotiques au travail

Marie ou la loi du god – Chapitre 2




J’entrepris donc de lui rendre ses caresses de la manière la plus agréable, pour l’amener peu à peu à s’abandonner entièrement. Je léchai son sexe comme jamais encore, je remplis son trou avec ma langue, je suçai son clito avec mes lèvres comme un bâtonnet glacé.

Toutes mes caresses n’avaient qu’un but ultime, l’amener à recevoir dans son fondement toute la longueur de ma bite factice. Finalement je préparai son petit cul tout en la branlant avec trois de mes doigts plantés dans sa moule. Je plaçai d’abord mon pouce sur son anus, non sans l’avoir au préalable humecté de sa propre mouille qui dégoulinait en abondance de sa chatte.

Je lui massai longuement la rondelle en veillant bien à ne pas la faire jouir trop vite par devant. Je voulais qu’elle reste dans un état d’excitation tout juste suffisant pour accepter les attouchements les plus impudiques et la future intromission à laquelle je destinais son postérieur.

Mais il fallait que je fasse attention à ne pas trop en faire, au risque de la voir exploser prématurément et de devoir recommencer tout le long travail préparatoire indispensable pour obtenir une sodomie parfaitement réussie.

Mon pouce tournait tout autour de son trou alors que mes autres doigts lui taraudaient la vulve sans précipitation. De l’autre main, je lui caressais de temps en temps le clitoris, qu’elle avait extrêmement sensible.

Là encore, il ne fallait pas que je me montre trop entreprenante. De simples petits attouchement suffisaient à lui arracher des gémissements appuyés qui me disaient tout le bien qu’elle ressentait dans son bas-ventre.

Prudemment, je fis monter son excitation d’un cran encore en posant mes lèvres humides sur son bouton durci et en le lui suçant un peu. Je sentis tout de suite qu’il réagissait. Dans ma bouche, il doubla quasiment de volume alors qu’il était déjà très gros, beaucoup plus qu’à l’habitude. Je remarquai également que, sous mon pouce, la rondelle de Lucie ne restait pas insensible.

Sa corolle se mit à palpiter comme si elle voulait aspirer mon doigt en elle. Il était temps de lui donner le coup de grâce qui scellerait définitivement son destin. Je poussai un peu et mon doigt entra sans problème dans son derrière, rejoignant dans ses entrailles ses trois frères qui lui fouillaient le sexe en profondeur.

Lucie marqua immédiatement son contentement en faisant bouger son bassin, venant à la rencontre de ma main déchaînée. Je dus réfréner ses ardeurs en me forçant à demeurer immobile en elle.

Elle gigotait tellement que le moindre mouvement supplémentaire de ma part aurait pu déclencher un orgasme que je voulais éviter à tout prix. Je lui laissai quelques instants de répit et de plaisir avant de passer à l’étape suivante de mon plan diabolique.

Je n’avais pas besoin de la branler vraiment car elle s’en chargeait parfaitement elle-même. Ses yeux révulsés et ses lèvres gonflées indiquaient bien comme elle était au bord de la jouissance. Il devenait urgent d’agir!

De ma main restée libre, je me saisis de l’engin que j’avais préparé et qui attendait de servir dans le tiroir de la table de chevet. Il fallait que je sorte mes doigts de son corps pour me harnacher.

Je lus de la stupeur et de l’incompréhension dans son regard quand mon pouce quitta son petit anus et mes autres doigts l’antre douillet de son sexe.

En tournant la tête, elle vit que je me préparais à la prendre avec un tout autre calibre et cela la rassura. Bonne fille, elle tourna la tête vers mon manche et engloutit le nud de plastique entre ses lèvres.

Je remarquai au passage que sa main s’était portée sur son minou et qu’elle s’astiquait le bourgeon avec véhémence. Je ne pouvais pas la laisser faire. J’ai donc sorti le gode de sa bouche et je l’ai pointé sur sa fente.

J’ai fait quelques aller et retours entre ses cuisses largement ouvertes, tout en lui caressant à nouveau l’anus avec un doigt. Quand je fus certaine de pouvoir l’enfiler par le cul sans prendre le risque de la choquer, je ressortis la pine de son ventre et vins la placer dans sa raie.

Je pris cependant la précaution de la remplacer par deux de mes doigts pour maintenir son excitation à un niveau suffisant.

Je passai le bout du gode sur toute la longueur de sa raie du cul avant de le poser sur la cible que je m’étais fixée. Je n’eus pas besoin de pousser énormément.

Le petit trou, bien préparé par mes soins, s’ouvrit facilement pour accueillir la prothèse qui se mit aussitôt à coulisser bien à fond. Je ressentis immédiatement en moi le plaisir que me procurait l’autre extrémité du gode, fichée bien au fond de ma chatte.

J’accélérai le mouvement jusqu’à me trouver au même point d’excitation que ma partenaire. Avec son aide, j’avais relevé ses jambes sur mes épaules et je pouvais ainsi la pistonner jusqu’à la garde. Mon ventre butait contre ses fesses et à chaque nouvelle butée, je prenais plus de plaisir à l’enculer.

J’ai fini par jouir en même temps qu’elle et je me suis effondrée sur son ventre. Je me sentais prête à tenter l’expérience avec mon copain du moment. Avant que Lucie ne me quitte ce jour-là, je lui ai tout de même demandé de me prendre par derrière avec le gode car je voulais ressentir à mon tour tout le bonheur d’être sodomisée par une femme. Je prenais de plus en plus goût à la chose.

Cette expérience avec Lucie avait marqué le début d’une nouvelle ère pour ma vie sexuelle. Désormais, j’en étais persuadée, il me faudrait multiplier les relations sodomites.

J’avais pris trop de plaisir à enculer ma jeune amie, pour ne pas vouloir réitérer à l’avenir ce genre d’activité le plus souvent possible. Certes, j’appréciais toujours d’être prise d’une manière plus orthodoxe par la grosse queue de mon amant ou de ses copains.

J’aimais tout autant sucer des bites masculines que lécher de petites chattes juteuses à souhait. Mais au moment où j’ai introduit le manche du gode dans l’anus étoilé de Lucie, j’ai compris que mon sort était scellé.

Je ressentais une sorte de jubilation intime très forte certainement liée au sentiment de domination qui m’habitait alors. J’ai réalisé à cet instant ce que pouvait ressentir un homme qui prenait bestialement une femme soumise dans l’attente du plaisir.

Quand j’ai fait coulisser l’engin dans le fondement de la lesbienne, au rythme que je choisissais, je me suis sentie toute puissante et c’est cela qui me plaisait le plus. Je maîtrisais toute la situation et j’en éprouvais une profonde satisfaction inconnue jusque là.

Quand Lucie m’a enculée à son tour, je n’ai pas retrouvé un plaisir aussi intense, même si j’ai fini par jouir tout de même sous ses assauts. Il manquait la dimension psychologique qui avait grandement contribué à mon bonheur de sodomite.

Je préférais définitivement asservir qu’être asservie.

Je ne pus m’empêcher de penser combien il me serait agréable de pouvoir exercer mes talents sur un mâle sûr de lui et macho comme Jonathan ou l’un de ses amis. Le plaisir n’en serait que meilleur.

Lucie était une proie facile et la dominer ne présentait qu’une difficulté toute relative, ce qui ôtait un peu du piment inhérent à la chose. J’étais certaine qu’il en irait tout autrement avec un homme, convaincue de pouvoir assouvir toutes mes tendances de maîtresse dans les meilleures conditions.

Il fallait absolument que je parvienne à mettre à exécution cette idée de plus en plus lancinante qui me hantait l’esprit jour et nuit.

Cela finit par arriver quelques semaines plus tard. Jonathan et moi étions seuls dans une petite chambre d’hôtel où nous passions la nuit. Nous étions venus là après une soirée bien arrosée.

L’une de mes amies d’enfance m’avait invitée pour son mariage et j’en avais profité pour m’offrir un week-end prolongé avec mon homme dans la petite ville de province qui nous accueillait.

J’avais laissé boire Jonathan un peu plus que de raison tout en veillant à rester raisonnable moi-même. Bien entendu, j’avais une idée derrière la tête, vous vous en doutez.

J’avais emporté dans mes bagages l’objet fantastique qui devait me servir à réaliser mon fantasme. Bien caché sous le lit double, il attendait sagement son heure.

Je n’ai pas eu de mal à convaincre Jonathan de faire l’amour dès notre retour dans la petite chambre. Je l’avais aguiché toute la soirée en dansant le plus indécemment possible, avec lui ou avec d’autres, à la limite de l’exhibition. J’avais également multiplié les allusions coquines, voire franchement salaces pour bien lui faire comprendre que j’étais très chaude.

Les autres invités avaient du remarquer quelque chose aussi si j’en jugeais aux regards qu’on me jetait, lubriques pour les hommes, nettement plus hargneux pour les femmes.

Je m’en moquais, d’abord parce que je savais bien que je ne reverrai jamais l’écrasante majorité des convives présents, ensuite parce que toute mon attention se focalisait sur la perspective ultime et terriblement excitante de ma soirée que je ne voulais manquer pour rien au monde.

Une fois revenu dans la chambre d’hôtel, Jonathan était si excité qu’il ne demandait qu’à me sauter dessus. Je l’ai laissé faire sans le brider au départ, mais en faisant néanmoins tout pour l’amener à accepter les développements que j’attendais. C’est là que l’expérience acquise avec Lucie s’est révélée d’une importance certaine et, pour tout dire, décisive.

Comme avec la jeune femme quelques semaines plus tôt, je me suis d’abord abandonnée aux caresses de mon homme. Je voulais qu’il se sente en totale confiance et que son excitation grandisse encore. Je l’ai branlé pendant qu’il me caressait la chatte et les seins.

Je ne me suis pas gênée pour l’interpeller vicieusement et lui susurrer des paroles bien cochonnes à l’oreille pendant qu’il me tripotait entre les cuisses. Il poussait déjà de petits gémissements qui me disaient tout le bien qu’il ressentait sous mes attouchements.

Ses doigts aussi me donnaient du plaisir mais je ne voulais pas le laisser me manipuler. Aujourd’hui, plus que d’habitude, c’était moi qui devais diriger les opérations. Alors j’ai arrêté de le branler et je suis allée me coller entre ses cuisses en glissant au pied du lit. Il a ouvert les jambes pour me laisser un peu de place, comprenant où je voulais en venir.

J’ai pris sa belle bite dans ma bouche. Il bandait déjà bien car je l’avais caressé avec dextérité. Son gros gland s’est engouffré dans la brèche de mes lèvres et est venu toucher la pointe de ma langue. Son manche noueux a rapidement suivi le même chemin. En quelques instants seulement, toute sa pine s’était logée dans ma chaude cavité buccale.

Je me suis mise à le pomper comme il aime, en m’appliquant à bien lui lécher le bout avec ma langue de salope pendant que mes lèvres coulissaient sur la hampe toute raide. Dès le début, je me suis attachée à bien lui caresser les boules.

Ses couilles velues pendaient admirablement sous la base de sa tige. Je sentais qu’elles étaient bien pleines, remplies jusqu’à ras-bord du bon jus que je me réjouissais d’habitude de prendre au fond de ma gorge, sur ma poitrine ou sur mon visage.

Pourtant, aujourd’hui, ce n’était pas la destination que je lui réservais.

Délicatement, mes doigts se sont approchés de la raie du cul de Jonathan. J’ai d’abord massé doucement la zone très érogène qui se situe entre les testicules et l’anus. J’avais déjà pu expérimenter le plaisir que mon mec ressentait à cet endroit quand je le touchais.

Ce n’était pas la première fois que je m’apprêtais à lui branler la rondelle mais il ne pouvait pas imaginer jusqu’ou cela le mènerait cette nuit-là. Ma bouche redoubla d’ardeur et de sensualité sur sa queue, comme pour mieux lui faire avaler la pilule de ce qui allait suivre.

Quand je sentis qu’il durcissait encore plus sous l’action de mes lèvres gourmandes, j’en profitai pour accentuer le travail de mes doigts dans son sillon culier. Je me mis à lui masser ostensiblement la rondelle après avoir enfilé un bref instant mon index dans ma bouche, au côté de sa bite, pour l’humidifier.

Une idée me traversa l’esprit, je plongeai quelques secondes mon doigt dans ma chatte pour y prendre un peu de jus visqueux. Je mouillais beaucoup et la sève qui suintait de ma fente constitua un auxiliaire appréciable pour graisser le fion de mon partenaire. Bien mouillé, mon index retrouva rapidement le chemin de son trou de balle qu’il se mit à masser délicatement.

Jonathan râlait doucement et semblait apprécier mes manipulations. Avec ma bouche, je lui donnais un maximum de plaisir tout en m’arrangeant pour ne pas l’exciter outre-mesure. Je le maintenais juste dans l’état nécessaire à l’atteinte de mon objectif inavoué.

C’était facile car j’avais appris à connaître ses réactions au fil du temps. Mais il devenait tout de même urgent d’accélérer le mouvement si je ne voulais pas laisser passer ma chance de l’enculer cette nuit. Je me fis donc de plus en plus curieuse avec mon index qui ne tarda guère à forcer le passage de son sphincter.

Quand il entra dans le conduit anal, mon amant laissa échapper un soupir de contentement qui me rassura. Ses gémissements se firent plus courts et rapides lorsque je me mis à lui ramoner les boyaux avec mon long doigt effilé.

Il ne broncha pas quand mon majeur se fraya tant bien que mal un passage aux côtés de son voisin. Je pouvais maintenant lui dilater la rondelle à mon aise, en prévision de la suite des événements……

Related posts

le coach de l'équipe de natation – Chapitre 5

historiesexe

Seconde vie, autre vie? – Chapitre 1

historiesexe

Une mère perverse – Chapitre 5

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .