Le lendemain lors de la pose déjeuner, jallais chercher mes photos. Le vendeur me remis la pochette, en me disant avec un grand sourire « vos photos sont toutes bonnes, pas une de raté. »

Je rentrai au bureau impatient de regarder les uvres.

Dans mon bureau je les regardais toutes très content du résultat.

Absorbé par cette découverte je navais pas entendu mon collègue approcher qui regardait par-dessus mon épaule les photos de Françoise. Jen étais à celle ou penchée en avant elle présente sa vulve. « Ta femme est sympa, mais je me vois bien en train de lenfiler ». Il prit lensemble du paquet, jétais sans réaction, et fit comme moi à la mater.

Pendant quelques mois il men parlait de temps en temps me demandant si javais réalisé de nouvelles photos.

Un jour à la maison parlant de ce collègue, Didier, Françoise au cours dune conversation sur le sexe mindiqua quelle le trouvait sympa, bel homme et en riant que sil voulait elle aimerait faire lamour avec lui.

Quelques mois se passent, nous sommes, en mars, Didier et moi allons à un salon professionnel en Région Parisienne.

Je lui réserve un hôtel à coté de notre domicile et nous convenons daller dîner à côté de chez moi avec mon épouse.

Depuis quelque temps je savais que G de collègue était passé à amant. Trop souvent absent, à létranger, un soir du travail urgent à finir, obligée de rentrer pour soccuper des enfants. Rendez-vous chez nous, pour travailler après que les enfants soient couchés. Ils dînent ensemble. Après le boulot ils bavardent. Lui, connu pour être un dragueur sapproche, la prend dans ses bras. Ils sembrassent. Dans le salon il lui passe les mains sur les cuisses… Les voilà dans la chambre. Il ôte soin pantalon. Elle lui suce sa bite. Elle prend un préservatif resté sur ma table de nuit pour certaines occasions et le lui met sur son vit. « Tu ne savais pas que je suis une coquine ». Elle sallonge sur le dos, il la pénètre, le lit craque…

Le matin nous partons ensemble avec Françoise.

Arrivée à son bureau elle se retrouve avec ses deux autres collègues masculins dont G., dans le bureau. Le troisième collègue part en réunion vers onze heures et leur annonce quil ne reviendra pas avant le milieu de laprès-midi.

Vers midi G, se lève et dit avoir faim. « Déjà lui demande Françoise ? »; Il passe derrière elle et ferme la porte du bureau à clé. Il se retourne se retrouve derrière elle et lui passe les mains sur sa poitrine. « Pas seulement faim pour la cantine ». Il lembrasse et elle répond à son baiser avec sa langue. Souvent lorsquils se retrouvent tout seul dans le bureau et à lheure ou létage part déjeuner ils en profitent pour faire lamour, lorsquils ont plus de temps ils vont à son domicile ou moi absent chez nous…

Elle ouvre son chemisier pour lui permettre de caresser sa poitrine plus facilement. Elle dégage son sein droit de son soutien-gorge, celui qui est le plus gros. (Elle a un sein plus gros que lautre, lun normal (85 b) et lautre qui ne sest pas développé autant). Il caresse les pointes, il les fait rouler sous ses doigts puis il se penche et prend le téton dans sa bouche.

Sa main droite passe sous la jupe du tailleur jaune et commence à caresser lintérieur des cuisses, Françoise ouvre ses jambes le plus largement que le lui permet sa jupe droite. Il caresse la vulve à travers le collant et le slip. « Attend lui dit-elle, je dois rester présentable, la porte est bien fermée ? » Elle se lève ôte sa jupe, son collant et son slip. Elle pose cela sur son bureau. G. ouvre sa braguette, sort sa bite et la lui présente. Françoise assise à son bureau est à bonne hauteur, comme souvent, elle prend la bite de son amant dans ses doigts. Elle titille le méat avec sa langue, puis enfourne le gland dans sa bouche. Elle aspire, puis laisse le membre raidit et lui passe sa langue du gland jusquaux couilles. « Tu es une des meilleures suceuse que je connaisse »dit-il pour lencourager.

Après quelques minutes de cette mise en bouche. Il la prévient quil ne va pas pouvoir longtemps se retenir déjaculer.

Elle se met en appui sur son bureau et lui présente ses fesses. Elle guide son vit vers sa vulve. Il la pénètre avec facilité. Bien quelle soit sa chef il lui dit des mots quel aime. « Ma salope tu aimes ma bite hein ! Prend ma purée dans ton vagin, ma jolie pute ! ».

Ils se séparent, chacun dans son plaisir. Françoise à le sperme qui coule doucement de sa vulve. Elle éponge le liquide blanchâtre avec un mouchoir en papier. G et elle partent déjeuner

Le soir arrive, Didier et moi arrivons à notre appartement vers vingt heures à notre appartement. Françoise est rentrée du travail, et la baby-sitter est là pour garder les enfants.

Elle est, comme ce matin, habillé dun tailleur jaune très classique et dun chemisier blanc et collants foncés, BCBG, cadre revenant dune journée de travail.

Dîner pas loin, agréable dans une pizza et après nous rentrons vers 22 heure trente à la maison. La baby-sitter partie nous prenons une coupe de champagne et bavardons bien classiquement, avec la télévision en fond sonore.

Un peu plus tard dans la soirée, après avoir regardé le journal TV, je propose de regarder le film X sur Canal +.

Didier est daccord, jéteins la lumière du salon et je zappe sur canal +. Françoise et Didier sont assis sur le canapé et moi sur le fauteuil. Françoise môte la télécommandes mains, elle na pas envie de voir cela avec un invité.

Pour lagacer jinsiste et remet Canal.

Elle se lève et disparait dans le couloir. Nous nous interrogeons du regard ave Didier. Elle revient quelques minutes plus tard, se rassoit sur la canapé à la droite de Didier et minvite, de de façon impérative, à massoir à sa gauche.

Jobtempère bien évidemment. Nous regardons tous trois le film. Didier me jette un coup dil. Je lui fais un signe de tête pour « oui vas-y ». Didier pose sa main sur la cuisse de Françoise. Elle écarte les cuisses. Je vois dans la pénombre la main de mon ami, disparaitre sous la jupe. Très vite Françoise met une jambe sur la cuisse de Didier et une sur la mienne. La voici donc cuisses ouvertes entre deux hommes, ouverte aux caresses.

Nous commençons chacun à caresser la cuisse qui nous est confiée par Françoise. A tour de rôle nos doigts effleurent sa vulve dont nous sentons lhumidité sous le slip et le collant. Les doigts passent sous le slip. Les caresses précises vont de ses fesses à sa vulve et son clitoris. A tour de rôle nous sentons son intimité à travers le voile du collant.

Ils sembrassent sur la bouche avec Didier. Drôle dimpression de voir sa femme rouler une pelle à un ami ! Ma femme devant moi se fait caresser comme une vraie salope.

Elle se lève et ôte sa jupe quelle plie posément, la pose sur le dossier du canapé et enlève son slip puis son collant.

Nous reprenons nos investigations. Sans le collant le doigt rentre facilement dans le vagin trempé. A un moment nos doigts se rencontrent à lintérieur de son sexe, « Un seul à la fois dit elle ».

Sans se lever elle enlève son chemiser et son soutien-gorge. La voici nue. Didier lui caresse les seins, puis maintenant cest moi. Je vois les doigts de la main droit de Didier qui rentre et sortent de son vagin. Il soccupe de sa vulve et moi de ses seins.

Aucun de nous ne regarde plus la télé, si ce nest que les sons du film X, ajoutent à lexcitation.

Nous caressons ses seins, jai le plus gros des deux, à tour de rôle un puis deux doigts rentrent dans sa vulve trempée. Elle caresse nos bites tendues . Elle passe la main dans nos slips et caresse.

Elle lui dit : « lève-toi que je te suce »

Didier se lève et je noublierai jamais cet instant, éclairé par la télé, où Françoise nue, assise sur le canapé, lui debout devant elle, Il laisse tomber son pantalon. Françoise prend la bite de Didier et la sort du slip. Il baisse son slip. Elle se penche en avant et gobe dans sa jolie bouche cette belle bite. La lèche, la relâche, la reprend, lavale jusquaux couilles. A un moment elle lâche la queue pour préciser « ne viens pas dans ma bouche, je naime pas le goût du sperme ».

Elle le lèche avec douceur, puis plus goulument. Etrange, excitant, bizarre voir la bouche de sa femme sucer avec plaisir un autre homme ! Il aime sa tête se penche en arrière « cest bon, tu suce bien ».

Didier lui dit « arrête, cest trop bon je vais jouir ».

Nous nous levons, ôtons nos pantalons et chemises et nous retrouvons tous deux en slip.

Françoise, « maintenant venez » je dégage du canapé. Je vois ma femme sallonger sur le dos, tête appuyée sur laccoudoir, cuisses écartées et jambes fléchies. Je dis « allez honneur à linvité » Didier se place entre ses jambes, bras tendu, il va et vient avec vigueur, je suis debout, tout à côté deux. Muet et très excité. Jen profite pour enlever mon slip. Il jouit, vide ses couilles très rapidement dans le bas ventre de ma femme. Il reste quelques instants dans cette position. Puis il se lève je le remplace. Françoise est restée dans la même position. Quelle excitation de voir sa femme en train de se faire baiser par un autre.

Je nai aucune peine à la pénétrer. Son vagin dilaté, est humide de sa mouille et du sperme de Didier.

Que cest bon, tellement excité que je viens aussi très rapidement. Je jouis en elle à mon tour.

« Quels salauds vous êtes, vous avez jouis tous deux et moi qui commençait seulement égoistes»

Nous nous levons, jallume la lumière, éteins la télé et vais chercher à la cuisine de leau pour se désaltérer.

Nous sommes autour de la table basse tous les trois nus, à laise, cest étrange.

«Reprenons, décide-t-elle ».

Didier est assis sur le canapé. Françoise place sa tête sur les cuisses de lhomme, allongée sur le côté, son bassin dépasse du canapé. Je me mets à genoux et place la tête entre ses cuisses. Je commence à caresser, à lécher cette vulve trempée de mouille et de nos spermes. De la où jopère, je ne vois sa figure lorsquelle est à hauteur des cuisses de Didier, mais elle disparait de ma vue lorsquelle est au niveau de son bas ventre. « que puis-je faire de cela ? » dit-elle en caressant la bite de Didier. « Mais je vais essayer dy remédier » Elle approche sa bouche et le suce, je ne vois pas cette fellation. Mais jentends sa respiration, Les bruits de sussions. Mais je continue à mettre ma langue dans sa vulve, à caresser, à humer, cest trop bon.

Elle continue duvrer et le vit de lami doit commencer à se relever. Il gémit de plaisir Elle progresse certainement vers une belle érection « cela va mieux, on va pouvoir en faire quelque chose de cette bite » dit-elle. Elle continue. Le sexe doit être bien raide. Elle dit « allons-y enfin » . Jarrête mon action et me lève. Elle aussi se redresse, excitée, se met face à Didier, comme pour sassoir sur ses genoux, cuisses écartée. Elle guide sa bite vers sa vulve. Françoise sempale sur sa verge, Elle lenfourne avec entrain. Elle chevauche avec force. Elle monte et descend avec fougue. Elle tourne sa tête vers moi et avec sa seule bouche, sans laide de ses mains, sempare de ma bite et laspire avec avidité.

Didier lui caresse les seins qui accompagnent les mouvements. Les tétons sont érigés. Françoise, ma femme, cadre BCGB, mère de trois enfants, est en train de se faire baiser par deux hommes en même temps. Elle me suce avec avidité, force, de temps en temps elle laisse aller ma verge pour être tout à son plaisir vaginal et crier sa jouissance, mais vite happe ma queue qui reste devant sa figure.

Si on pouvait voir le spectacle : ma femme une bite dans son vagin, remplit de sperme, et une autre dans sa bouche et des mains qui lui caressent les seins.

Il jouit en même temps et ejacule encore son trou de son liquide.

Elle jouit, avec force et longtemps, la tête en arrière une longue plainte. Puis elle reste a califourchon sur lautre homme. Un peu de repos, la bite en elle.

Enfin elle se lève et se place debout en appui sur le fauteuil, en me tournant le dos. Je mapproche, sans me faire prier. Elle guide mon sexe tendu, douloureux de tension vers son vagin. Cest à mon tour de la baiser devant Didier. Son vagin est desserré, trempé, je la bourre avec facilité. Cela dure relativement longtemps tellement les parois du vagin sont distendues. Enfin je lâche mon sperme qui vient rejoindre les giclées précédemment lâchées. Elle jouit également. Quelle soirée. Je navais jamais vu ma femme aussi libérée, aussi affamée de sexe, aussi salope.

Un peu de repos, quelques gorgées deau, pendant quelques minutes.

Didier lui demande : « Tu as encore envie ? » Elle répond « Oui ».

Il la fait assoir sur une chaise, « avance ton bassin », Elle sexécute se place sur le bord de la chaise, cuisses écartées, comme sur les photos prises il y a presquun an. Didier introduit deux doigts dans son vagin distendu, relâché, paume vers le haut et commence des va-et-vient fort et appuyés. De temps en temps, il sort ses doigts de sa vulve, et les lui présente à sa bouche. Je vois sa vulve ouverte, trempée, doù séchappe du sperme : « un vrai trou à bites ». Elle lèche et suce ces doigts couverts de sa mouille et de nos spermes. Le bruit de ses doigts dans son vagin trempé, accompagnés des gémissements de plaisir quelle ne cesse démettre est inoubliable. Je ne lavais jamais vu comme cela, une femelle en chaleur.

Il accélère les mouvements et Françoise jouit fortement et bruyamment pour la troisième fois de la soirée.

Cette situation, cette vue, ces bruits nous font, tous deux, à nouveau bander.

Françoise se met à quatre pattes, sur le parquet. Je me mets à genoux devant sa figure et Didier devant ses fesses. Didier la pénètre à nouveau. Françoise sempare de ma queue et la suce. Il va et vient dans le sexe trempé de ma salope de femme. Puis il sarrête. La position sur le parquet est trop inconfortable pour les protagonistes.

Didier et Françoise changent dendroit. Ma femme se met sur le canapé. A quatre pattes ou précisément sans sappuyer des bras. La tête et les épaules étaient appuyés sur le canapé, la croupe offerte, les fesses hautes comparées au buste : offerte pour se faire bourrer, pour prendre des bites dans le vagin. Didier se place derrière à genoux et lenfile doucement, sa verge disparait dans la vulve de ma femme. Il agit avec douceur. « La vue est magnifique, quel cul ! » dit-il. Il lui caresse lautre trou. Elle gémit. Il lui demande sil peut lenculer mais elle refuse.

Il accélère ses mouvements. Je regarde ce spectacle fantastique, comme dans un film pornographique, mais chez moi, dont je suis acteur et spectateur, dont ma femme est lhéroïne, elle si BCBG, le cul en lair, ramonée par une grosse bite, dont on entend les bruits de mouille, à chaque pénétration, qui fait entendre son plaisir, le visage appuyé sur le canapé, tournée vers moi, me regardant me masturber.

Ils jouissent en même temps et moi aussi. Ils restent un petit moment comme cela. Lui collé à son cul, ses couilles vidées, elle remplit de sa bite et de nos spermes.

Ils se séparent. Nous nous habillons. Didier prend congé pour aller à son hôtel. Françoise lui fait la bise sur les joues, un peu surréaliste.

Nous nous couchons tous deux, épuisés. Elle me regarde et me dit, pour conclure « espèce de salaud ».

Etonnante une femme telle quelle. Elle sest fait baisé par trois hommes différents dans la même journée. Elle a sucé 4 fois, longuement en connaisseuse trois bites différentes. Elle sest fait pénétrer 6 fois, sans compter les doigts et langues venus dans sa vulve et remplir de presque 30ml déjaculat et elle a jouit 5 fois.

Pas mal non pour une femme sérieuse?

Related posts

Une excue inattendue – Chapitre 1

historiesexe

Je me fais prendre par un couple et leur chien pour payer mon loyer – Chapitre 1

historiesexe

Jalouse de lui – Chapitre 5

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .