Je mappelle Jérôme et voici ce qui mest arrivé. Jusqu’à peu, jétais encore un pauvre puceau. Complexé par ce manque dexpérience et assez peu sociable, javais du mal à faire des rencontres. Après une brève histoire qui nalla guère plus loin que quelques préliminaires, ce fut le désert pendant quelques années. Arrivé à 19 ans, je commençais à être de plus en plus frustré. Mais jeus un jour une chance que je naurais jamais osé espérer.
Avant dentrer dans le vif du sujet, il me faut vous fournir quelques informations. Depuis tout jeune, ma cousine et moi sommes liés comme deux doigts de la main. Elle est plus proche quune sur parce que nous avons passé notre adolescence ensemble, lun confident de lautre et inversement. Malgré de nombreuses nuits passées dans le même lit, même quand les hormones ont commencé à faire changer nos corps, jamais nous navons pensé à faire des choses ensemble. Elle aussi, vierge jusqu’à ses 19 ans (elle a deux ans de plus que moi, donc 21 ans actuellement), a fini par rencontrer quelquun. Une légère distance sest alors installée entre nous, ce qui est normal, mais je mentends à merveille avec son ami. Nous sommes donc restés très proches.
Tout récemment, son ami est parti en voyage détude à létranger pour une assez longue durée. Un soir, comme fréquemment, elle minvita à manger et a passer la soirée. Ce genre de soirée avait lieu deux à trois fois par semaine et, nous la passions souvent à jouer à la console ensemble. Mais ce soir-là, elle préféra regarder un film. Puisquelle voulait voir un film récent, qui nétait pas encore sorti en dvd, je pris la décision de le télécharger et de lamener le soir. Dans le courant de laprès-midi, je lançai le téléchargement et je vaquai à mes occupations. Aux alentours de 19 heures, je mis le fichier sur clé usb et je pris la route. Jusque-là, tout se passait comme toujours.
Une fois chez elle, nous sommes partis chercher à manger au mc Do. De retour, nous avons mangé en regardant les dernières nouvelles de la journée. Le repas fini, jai branché ma clé sur sa console et nous avons lancé le film en buvant un café. Et là, surprise !
Le film, que je navais pas vérifié au préalable, nétait pas celui qui était prévu. Au bout de quelques minutes, on sest aperçu que le film en question était un film érotico-porno scénarisé. Je regardais ma cousine avec des yeux ronds, pour lui faire comprendre que je ny étais pour rien et nous partîmes dans un fou rire. Quand nos éclats se furent un peu calmés, un léger silence sinstalla. Puis ma cousine prit la parole.
Elle dit dans un soupir :
— Cela me manque un peu quand même
Je haussai un sourcil et je lui demandai :
— Quoi donc ?
Ses joues prirent une légère teinte rosée avant quelle ne poursuive.
— Eh bien Tu sais
Après un mouvement de sa tête en direction de la télé, où une scène de sexe se jouait, je fis un petit rire nerveux et je répondis avec un sourire :
— Bah ! Pour ma part, je nai pas ce problème-là.
— Jimagine Mais tu sais, avec Jean, cest minimum une fois par jour Et ça fait déjà une semaine et demi quil est parti. Bref, passons. On fait quoi pour le film alors ?
Jhésitai un instant. Mon regard dériva sur la télévision. La femme, avec une plastique de rêve se trémoussait, assise sur le sexe de lhomme. Involontairement, une bosse se dessina sous mon pantalon et ma main se porta inconsciemment dessus pour masser discrètement et soulager un peu la tension. Ma cousine remarqua le geste. Quand je posai à nouveau le regard sur elle, son visage avait une expression bizarre. Je répondis à sa question.
— Eh bien On peut regarder… Ça pourrait être amusant… Il y a toujours des trucs tellement stéréotypés et cons dans les films pornos.
Mélody (cest son prénom), répondit, toujours avec cette expression étrange.
— Ouais, pourquoi pas ?
On sinstalla un peu plus confortablement sur le canapé et on se mit à regarder le film. Quelques commentaires rapides se firent parfois entendre, mais cétait surtout le silence qui régnait si lon ne tient pas compte des gémissements des acteurs. Je posai ma veste, avec limpression quil faisait plus chaud, et ma main repartit sur mon sexe tendu, qui déformait mon pantalon. Jentendis alors :
-Vas-y !
Je me tournai et je vis que ma cousine me regardait avec un sourire. Je fis linnocent.
— Vas-y quoi ?
— Eh bien, fais-toi plaisir. Je vois que tu en as envie. Ça ne me dérangera pas, on se connaît assez.
Je protestai- vigoureusement :
— Ah non ! Ou alors
— Ou alors quoi ?
— Ou alors, tu le fais aussi. Tes en manque. Cest un moyen comme un autre de te soulager, et jaurais trop honte de faire ça tout seul.
Ma cousine nhésita quun instant, puis elle se leva et elle commença à déboutonner son pantalon. Je limitai rapidement et, une fois nus, nous nous installâmes à nouveau. Elle, les jambes bien écartées, une main négligemment posé sur son abricot presque entièrement rasé, sauf une petite bande sur le dessus. Moi, le sexe fièrement dressé, une main lenserrant et faisant de lents mouvements de va-et-vient. Côté mensurations, je ne suis pas Rocco, mais je suis dans la moyenne.
Et nous voilà, en train de nous caresser lun à côté de lautre, à la frontière dun inceste entre cousins. Et dire quau départ, ce devait nêtre quune simple soirée avec un bon film. Mais, je nallais pas me plaire puisque je gagnais au change. Mon regard, un peu malgré moi, glissait fréquemment vers lentrejambe de ma cousine. Jadmirais avec envie ses grandes lèvres, entre lesquelles circulaient ses phalanges luisantes de mouille. Je pus remarquer lors dun de mes coups dil que je nétais pas le seul à dévier le regard.
Au bout dun moment, je me sentais déjà assez tendu. Captivé par une scène plutôt torride, je ne remarquai pas le mouvement de Mélody. Soudain, je sentis dautres doigts sur ma verge. La surprise me fit approcher dangereusement de ma limite pour me retenir, mais je réussis à ne pas me lâcher.
Linstant de surprise passé, je regardai ma cousine, qui avait le regard brillant et un sourire un peu vicieux. Elle se pencha vers mon sexe et elle le prit dans sa bouche. Tant de sensations nouvelles, en plus de la transgression des interdis de linceste et du fait quelle trompait son ami, me firent atteindre lorgasme peu de temps après le début de cette pipe délicieuse. Sans avoir le temps de la prévenir et crispé par léjaculation, je me répandis dans sa bouche avec un gémissement rauque.
Elle continua à me pomper jusqu’à ce que jaie fini denvoyer mes jets. Sa bouche débordait de mon sperme, qui coula jusqu’à mes couilles. Elle se redressa et elle avala tout en me regardant dans les yeux, avant de retourner lécher ce qui sétait échappé. Ma cousine branla encore un petit peu ma bite et elle me regarda dans les yeux avant de me demander :
— Désolée, cétait trop tentant
Elle se redressa alors et elle se mit à déboutonner progressivement les boutons de son chemisier, avec un air sensuel que je ne lui connaissais pas. Elle se mit complètement nue, et je vis son corps debout face à moi, avec la chance de pouvoir lexaminer avec attention. Mélody nest pas très grande, entre 1 mètre 55 et 1 mètre 60, quelques petits kilos en trop, mais qui nenlèvent rien à son charme. Ses seins, un 85 ou un 90 C, partaient en pointe vers ses tétons tendus et un peu foncés, comme des fruits appétissants tout juste cueillis. Son ventre, véritable appel aux baisers, amenait le regard vers la fourche de ses cuisses et ce sexe aux lèvres gonflées dexcitation. Bref, une véritable tentation. Elle écarta les cuisses pour sasseoir sur mes cuisses et me retirer mon haut. Elle me regarda et elle me posa une question.
— Prêt pour la suite ?