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Élodie, Coralie et leur maman (suite) – Chapitre 3




Salut, c’est votre folle de lycra.

C’est donc toujours dans l’obscurité que je me suis relevé, avec le grand plaisir de savoir que j’allais pouvoir de nouveau honorer Sophie. Élodie, ma chérie, est venue m’embrasser, je ne la voyais pas, mais je reconnaissais le goût de sa bouche et sa façon de me toucher. Je peux vous garantir que malgré ma tenue féminine, elle ne pouvait pas ignorer l’état de forme de mon sexe, qui ne demandait qu’à faire du bien à une femme. En plus d’Élodie, une des trois autres femmes est venue se coller dans mon dos, pour me caresser de la façon la plus érotique qui soit. Élodie s’est collée contre moi, elle voulait savourer sans aucun doute les formes avantageuses de mon sexe plaqué contre son bas-ventre. Pendant ce temps, la femme qui était derrière moi en profitait pour me pincer la pointe des tétons, à travers ma douce robe longue. J’avais une façon d’onduler mon corps assez peu masculine, mais ces deux femmes me faisaient tellement de bien que je laissais s’extérioriser mon plaisir.

Quand ma partenaire qui se trouvait dans mon dos s’est mise à me caresser les fesses, je me suis mis immédiatement à pousser des petits cris de désir.

Voilà bientôt deux heures que ces quatre femmes me chauffaient, et je n’en pouvais plus de désir. Quand Élodie a cessé de m’embrasser, pour me quitter au profit d’une autre, je me demandai qui allait prendre le relais. Quand ma remplaçante est arrivée, elle s’est immédiatement plaquée contre moi et s’est mise à m’embrasser, mais là, de nouveau, il y avait un problème ou plutôt deux. Je ne reconnaissais pas le goût de cette bouche, mais surtout et sans aucun doute, il y avait un sexe masculin contre le mien, bref, j’étais en train d’embrasser un mec. Les quelques secondes qui suivirent m’ont confirmé mes soupçons, grâce à l’odeur d’après-rasage. Du coup, instantanément, j’ai voulu me retirer de cette bouche qui violait la mienne, mais surtout de ce corps qui se plaquait contre le mien. J’étais doublement en position d’infériorité, car j’étais dans l’obscurité, mais surtout, cet homme avait l’air de stature un peu plus imposante que la mienne.

La personne qui était derrière moi venait de changer, mais elle restait collée contre moi, je n’avais pas de doute, c’était toujours une femme derrière.

Par contre, la femme qui était derrière moi s’accrochait à mon partenaire devant, pour que je sois totalement pris en sandwich. Je suis resté ainsi pendant quelques minutes avec des baisers forcés, de la part de mon partenaire face à moi. Finalement, au bout de quelques instants, les deux personnes se sont légèrement espacées de moi, tout en me maintenant fermement. Pendant ce temps, j’ai senti que des personnes étaient en train de m’immobiliser les bras autour de ma taille avec du velcro, désormais, je ne pouvais plus que subir. Une fois l’opération terminée, l’homme est revenu se plaquer contre moi et en a profité maintenant pour me caresser le sexe. Finalement, cet homme était en train de me faire du bien, et surtout d’entretenir mon érection. Je vais vous avouer que j’étais assez contrarié qu’Élodie ait accepté que l’on me fasse ça devant Sophie, Coralie, et la maman.

Ne dis rien ma chérie, en fait, celle qui va se faire baiser aujourd’hui, c’est toi. Sophie a accepté de venir, à condition qu’un de ses copains puisse venir s’occuper de toi pour ce que tu lui avais fait dans la cabine.

Pendant que cet homme était en train de vouloir contraindre ma bouche à lui rendre les baisers, j’écoutais Nathalie m’expliquer ce qui se passait. Vu que j’étais seul contre cinq personnes, j’ai fini par céder et lui rendre les baisers. Quelques minutes ont suffi à me convaincre que ce n’était pas si désagréable que d’embrasser un homme qui manifestement, était distingué.

Je te présente Claude, c’est un ami homo qui aime bien dépuceler des hétéros et en faire des petites salopes offertes, quand l’occasion se présente.

Sophie venait de me présenter son ami, je savais désormais que j’allais me faire péter la rondelle avant le repas. Maintenant, je regrettais d’avoir les mains attachées, car Claude s’y prenait avec tant de douceur avec moi, que je l’aurais volontiers pris dans les bras. La fille qui était derrière moi m’avait maintenant quitté, et les mains qui me caressaient les fesses étaient celles de mon partenaire. J’ai honte à le dire, mais il s’y prenait très bien et me faisait beaucoup d’effet, j’allais maintenant à la rencontre de ses caresses.

Instinctivement maintenant, je donnais des coups de reins, mais je ne savais pas si c’était pour pénétrer ou être pénétré. Claude me caressait maintenant la totalité du corps et il poussait même le luxe jusqu’à aller m’embrasser le cou, le pire, c’est que j’y étais réceptif. Je n’entendais plus les filles, mais je savais qu’elles étaient là, elles me regardaient, je me demandais bien ce qu’elles devaient penser de moi. Claude n’était pas du style à me laisser réfléchir et diriger les opérations, il était le dominant et j’étais le dominé. Ses caresses s’attardaient de plus en plus sur mes fesses et surtout, à l’intersection de ces dernières. Je comprenais maintenant pourquoi Élodie et Coralie s’étaient à ce point occupées de mon petit cul ce matin. Je peux vous garantir que pour être préparée, elles avaient fait attention à ce que ma rondelle soit bien dilatée pour la venue de mon amant imprévu.

Elles s’en étaient tellement bien occupées pendant deux heures que maintenant, mon petit trou ne demandait que ça. Je réalisai aussi que Claude avait dû assister aux préliminaires à partir du moment où j’ai eu la cagoule.

De temps à autre, il me saisissait le sexe, me le serrait très fort et allait même jusqu’à me le masturber, je peux vous garantir qu’il savait donner du plaisir avec sa main, même si moi, je ne pouvais rien faire de mon côté. Par moments, quand il m’embrassait, il prenait l’initiative de me mordre les lèvres, sans doute pour montrer que je lui appartenais quand il le désirait. Finalement, Nathalie a décidé de m’enlever la cagoule, elle estimait que c’était le moment, sans doute aussi était-ce indispensable pour la suite des opérations. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que c’était le patron d’un magasin de la galerie marchande où je travaillais ! Le plus beau, c’est que lui aussi avait l’air surpris, mais en même temps, ça avait l’air de beaucoup lui plaire. Ma chérie est venue aider sa mère pour me faire agenouiller devant Claude, elles avaient prévu la chose en installant un coussin à mettre sous mes genoux ; quelle délicate attention !

Voilà comment je me suis retrouvé à genoux face à Claude en tête à tête avec la fermeture éclair de son pantalon qui dissimulait son gros sexe désireux.

Ce sont Nathalie et Élodie qui se sont chargées de libérer la bête, pendant que Claude me caressait les cheveux et les épaules avec beaucoup d’attention. Claude avait maintenant son pantalon sur les chevilles et son boxer était resté à peu près au même endroit, juste légèrement baissé, pour que son sexe puisse voir le jour. J’allais maintenant avoir le droit à un cours d’anatomie, un gros plan sur un gros sexe, qui, rien qu’à le sentir, me donnait envie. Claude a saisi son membre pour venir me caresser les joues avec et même les lèvres.

Manifestement, Claude s’était rasé tous les poils pubiens, c’était une délicate attention pour la première que j’allais vivre, mais en même temps, les filles s’étaient chargées de me raser mon petit cul. À mesure qu’il décalottait son sexe pour le caresser le visage, il insistait toujours sur ma bouche et mes lèvres. À chaque fois que le membre passait sous mes narines, je pouvais en savourer l’odeur musquée, vu que j’avais les mains attachées, je ne pouvais que subir, mais ce n’était pas désagréable. Il n’y a pas de doute, Claude était un mâle dominant, dominateur, mais toujours dans la douceur.

Ouvre la bouche ma chérie, il faut que tu apprennes, je suis sûre que tu vas aimer. Les quatre femmes qui sont dans ma chambre t’ont déjà fait une pipe, il serait bien que tu apprennes à en faire, pour mieux les savourer. Cela te permettra de mieux comprendre ce que ressent une femme, quand elle pratique une fellation à un homme.

Cela me faisait tout drôle qu’Élodie, ma chérie, me parle au féminin surtout dans de telles circonstances. C’est vrai que jusqu’à maintenant, jamais il ne me serait venu à l’idée de faire une turlute à un homme, pas même de lui toucher son sexe, mais vu le contexte. En même temps, vu la tenue dans laquelle j’étais, je l’avais bien cherché, en acceptant de me faire travestir par des femmes, il fallait bien qu’un jour cela m’arrive. Claude a très légèrement reculé puis Élodie m’a légèrement poussé dans le dos, du coup, j’étais en déséquilibre et je ne tenais en avant qu’en m’appuyant sur le sexe de Claude. Ce qui devait arriver arriva, à chaque fois que son sexe passait devant mes lèvres, ces dernières étaient sur le point de céder, puis elles ont fini par s’ouvrir.

Claude a quand même veillé à ce que son membre ne rentre pas trop vite dans la bouche, il a quand même veillé à ce que je m’y fasse. Finalement, le goût n’était pas si désagréable, mon partenaire était vraiment très correct, il en était désirable. Le plus gênant c’est que maintenant Claude m’avait lâché la tête, c’était Nathalie qui me l’avait saisie, me la tenait et commençait à donner le rythme et surtout, faire rentrer le sexe lentement mais sûrement. Sophie et Coralie sont là, toutes proches, à admirer le spectacle, elles avaient un grand sourire.

Claude ne veut pas qu’une femme touche son corps ni son sexe, c’est donc toi qui vas te charger de le faire jouir, mais aussi, de lui nettoyer ensuite.

Claude était donc un homo pur et dur, il était là pour me dépuceler. Son sexe était vraiment de belle taille, mais je n’avais pas grand-chose à lui envier, excepté peut-être la rigidité. J’ai failli vomir quand Nathalie a fait aller le sexe trop loin au fond de ma gorge, mais en même temps, la sensation était nouvelle et pas désagréable.

C’est bien ma cochonne, tu t’y prends très très bien. Je pourrais te former pour apprendre à faire de bonnes pipes.

Maintenant, c’était Sophie qui y allait de son commentaire, je sentais qu’il y avait un côté moqueur dans ses propos.

En même temps, je pense que c’est tout un art que de faire une bonne fellation à un homme, comme je pense que c’est tout un art que de donner du plaisir à une femme avec sa langue, chose pour laquelle je pensais exceller maintenant. Désormais, Nathalie me tenait la tête, pendant que Claude commençait à donner des coups de reins et allait et venait dans ma bouche. J’aurais aimé avoir les bras détachés pour m’accrocher à ses cuisses velues, mais ce n’était pas le cas. J’étais à genoux devant cet homme que j’étais en train de pomper, habillé en femme et ma robe longue cachait même mes mollets ainsi que mes pieds. Si j’avais été une fille, je pense que je me serais trouvée belle et même peut-être, fière de ce que j’étais en train de faire, car vu les soupirs de Claude, je ne m’y prenais pas si mal avec ma bouche. Ses coups de reins étaient de plus en plus puissants, et il allait de plus en plus loin au fond de ma bouche, par moments, il me touchait les amygdales.

Nathalie a lâché ma tête et c’est Claude qui a pris le relais, il était littéralement en train de me baiser la bouche maintenant. Par moments, il s’arrêtait à mi-parcours pour que je puisse promener ma langue tout autour de son membre, en même temps, pour moi, c’était de la découverte, car c’était une première.

Finalement, ce n’était pas déplaisant que de se retrouver la bouche pleine, pleine d’un membre masculin qui entrait et sortait avec juste pour objectif que de prendre du plaisir. De mon côté, j’essayais de me concentrer sur ce que je faisais et d’essayer de le faire le mieux possible ; j’étais un perfectionniste dans tout ce que je faisais. À voir la tête de Claude, j’avais vraiment l’impression de bien m’en sortir, pendant que je m’évertuais à lui donner du plaisir, j’essayais d’imaginer comment il me regarderait, la prochaine fois que nous nous croiserons dans la galerie marchande. Il avait un petit côté efféminé quand il était dans son magasin de sous-vêtements féminins très distingués. Pourtant ce midi, c’est lui qui me dominait, c’est moi qui avais le rôle de la femme et je faisais tout pour essayer de lui donner du plaisir. Quand j’ai commencé à l’entendre râler, vous savez un râle qui vient de très loin, un râle animal, un râle annonciateur que la jouissance va arriver,

je me suis posé la question un instant pour savoir s’il allait éjaculer sur mon visage ou au fond de ma gorge, mais j’ai rapidement compris que c’était la deuxième option qu’il avait choisie.

Moins d’une minute après, je sentais de grands jets chauds arriver dans ma cavité buccale, sur le coup, j’ai toussé de surprise, finalement, Claude a légèrement reculé son sexe pour que ce dernier me balance sa semence contre le palais. Maintenant, sa liqueur de gland était sur ma langue et en dessous, ma bouche était pleine de sperme, je savais ce que pouvait vivre une femme dans ces cas-là.

Ma chérie, continue de le sucer jusqu’à la dernière goutte, il ne faut pas gaspiller.

J’appréciais les encouragements d’Élodie qui furent suivis à peu près à l’identique, des bouches de Sophie Coralie et Nathalie.

Continue à me sucer un peu comme ça, mais moins fort pour ne pas que cela devienne insoutenable, tu es une bonne salope videuse et nettoyeuse de gland.

Je vais vous avouer que ses propos un peu rabaissants m’avaient vexé. En continuant ainsi à le pomper, je peux vous garantir que je n’ai pas gaspillé une goutte de sa liqueur. Finalement, au bout de quelques minutes, le membre de Claude commençait à perdre de la vigueur, mais il continuait à me baiser la bouche. De temps à autre, il sortait son sexe pour le décalotter au maximum et le remettait au chaud. J’avais vraiment l’impression qu’il voulait que je lui nettoie le bout du gland dans les moindres recoins.

Finalement, Claude a retiré son dard de ma bouche, puis il m’a fait relever, Nathalie et Élodie étaient là pour m’aider, car ce n’est pas évident de se lever quand on a les bras attachés contre le corps et que l’on est à genoux. Claude me tenait par les épaules et m’a plaqué contre lui, pour de nouveau m’embrasser, peut-être voulait-il apprécier le goût de son sperme dans ma bouche.

Tu es une sacrée chienne, on a vraiment l’impression que tu as sucé de la bite toute ta vie, tellement tu m’as fait ça bien.

Ça, pour un compliment, c’était un compliment, devais-je être honoré par un tel commentaire ? Je restai perplexe.

Tu as de la chance Franck, cela fait des années que j’aimerais bien sucer Claude, mais il ne veut pas qu’une fille le touche.

C’est vrai que quand j’y repensais, Sophie était – elle aussi une experte en fellation, je me souvins de la prestation offerte dans la cabine d’essayage. Maintenant que j’étais debout face à Claude et qu’il m’avait plaqué contre lui, il s’était remis à me caresser les fesses, je peux vous dire que l’attention me touchait.

Jamais je n’aurais cru un jour que je serai à ce point sensible pour ne pas dire gourmand du cul. En même temps, avec tous les préliminaires auquel j’avais eu droit ce matin, il était tout à fait compréhensible que j’en veuille encore plus. Pendant de longues minutes, Claude m’a caressé les fesses d’une main et me tenait le sexe de l’autre, je me sentais vraiment sa chose, mais le pire, c’est que j’avais envie qu’il me prenne. Sa langue violait carrément ma bouche, elle essayait d’aller le plus loin possible, moins que son sexe, mais cela me faisait tout drôle quand même de la sentir se promener en moi. Il s’est remis à m’embrasser le cou et même me le mordiller par moments, je n’en pouvais plus, j’avais envie de lui, il était tellement délicat et attentionné. Claude a fini par abandonner mon corps et ce sont ma chérie et sa maman qui ont pris le relais. À ma grande surprise, elles m’ont fait allonger sur le lit, ce sont elles qui m’ont aidé à me positionner.

J’avais toujours les bras attachés et j’étais à leur merci, elles m’ont fortement écarté les jambes au point de pratiquement me faire mal aux muscles. Comme si elles étaient vraiment attirées par mon petit cul, Élodie s’est mise à de nouveau me lécher ma rondelle pendant que sa mère s’installa sur le lit pour me faire une fellation.

Élodie était à genoux, au pied du lit, entre mes jambes et je sentais sa langue tourner autour de mon anneau. De son côté, sa maman s’était mise à quatre pattes sur le lit, pratiquement en tête bêche avec moi et elle était en train de me sucer la queue en la tenant fermement. Rapidement, ma chérie a recommencé à me glisser un doigt puis deux et même trois, Élodie m’avait tellement distendu la rondelle que je sentais à peine trois doigts dedans. J’étais tellement excité parce que je venais de vivre avec Claude, que les prestations conjuguées d’Élodie et sa maman m’ont rapidement fait jouir. Par contre, contrairement à ce que m’avait fait vivre Claude, Nathalie n’a pas tout avalé, elle en a laissé beaucoup partir à côté sur ma douce et longue robe.

Même si je pense que ma chérie me faisait énormément de bien avec ses doigts et sa langue autour de ma rondelle, je pense que c’est sa mère qui a déclenché mon éjaculation, tellement elle était efficace avec la pointe de sa langue sur le bout de mon gland. Contente d’elle, Nathalie a abandonné mon sexe, et c’est Sophie qui s’est chargée de le nettoyer.

Bon, mes chéries, après cette bonne partie de sexe, nous allons passer à table, je suis sûre que cette partie de jambes en l’air a ouvert l’appétit à tout le monde, même à Claude.

C’est sur ces mots que je vous quitte, en espérant que ce nouveau chapitre vous ait plu.

Gros bisous à vous.

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