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Une cousine surprenante – Chapitre 1




Je me présente, moi c’est Michael, et j’avais à peine 18 ans lorsque cette histoire m’est arrivée. Je vivais en Angleterre depuis six ans et je retournais en France durant les vacances afin de voir ma famille et notamment mon oncle, ma tante et mes cousines. A cet âge j’avais une physique plutôt basique, assez sportif sans l’être trop, cheveux brun court et yeux bleus.

J’allais donc, moi fils unique avec mes parents, chez la famille de mon oncle pour y passer sept jours, il était prévu que je dorme dans la chambre de la cadette de mes cousines, Juliette, qui avait 20 ans, alors que ma seconde cousine, Marie en avait 23.

J’avais toujours apprécié Juliette quand nous étions petits, sans pour autant que nous ayons un feeling particulier. J’avais toujours trouvé Marie plus belle, mais je ne savais pas à quoi m’attendre après six ans sans les voir.

Après quelques retrouvailles et une belle première journée en famille, vint le moment où j’allai m’installer dans la chambre de ma cousine. J’avais déjà été surpris par son physique : sa poitrine s’était vraiment accentuée, et sans qu’elle soit provocante, ses seins paraissaient vraiment gros sous son t-shirt. Marie, elle, avait de très belles fesses. J’essayais cependant de ne pas trop regarder mes cousines, c’est la famille quand même.

Le soir, il était prévu que je dorme sur un matelas gonflable sur le sol, ce qui ne me dérangeait pas le moins du monde, tout se passa bien et j’allai me coucher sans aucune arrière-pensée, dans le matelas collé au lit de ma cousine Juliette. La première nuit fût douce, tranquille et je me réveillai, presque comme d’habitude, avec mon érection matinale. Mon sexe ne me semblait alors pas très gros mais je n’avais aucun repaire : j’avais été le premier partenaire sexué de ma seule partenaire, et elle ne semblait pas étonnée ou déçue de la taille de mon sexe, un bon 19cm. J’espérais alors que Juliette ne remarque pas cette érection mal venue, d’autant plus qu’elle était uniquement cachée par un caleçon fin. Heureusement, elle semblait encore dormir et mon corps se calmait avant son réveil.

La journée je repensais à ce moment matinal : et si Juliette avait vu mon sexe dressé sous mon caleçon, comment aurait-elle réagi ? Oh, elle en avait sûrement déjà vu d’autres, rien de spécial je me disais. Cependant, cette question continuait de me trotter dans la tête.

Je décidais alors d’orienter la discussion avec mes cousines sur l’amour, afin de pouvoir cerner les potentielles expériences sexuelles qu’elles avaient eues toutes les deux. Juliette n’avait jamais eu de copain de par sa timidité avec les garçons, et elle connaissait le corps masculin uniquement de par les photos que ses copines lui envoyaient de leurs copains, ce qui modifiait la réaction que j’attendais d’elle si elle remarquait mon érection. Marie, elle, avait eu un copain black pendant quatre ans, mais rien depuis maintenant un peu moins d’une année. En voyant toute la journée les gros seins de Juliette cachés par son haut, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer un scénario un peu fou pour tenter de glisser mon sexe entre ces deux magnifiques seins. Je n’avais pas eu de relation depuis quatre mois, et cela commençait à se faire ressentir.

La journée se finit sans évènement particulier, et j’allai me coucher, comme la veille, à côté de ma cousine. Le matin, je me réveillai et à nouveau, je remarquais mon érection matinale, toujours présente. En plus, la position de mon sexe avait remonté un peu mon caleçon et on pouvait alors voir ma verge dans sa quasi-entièreté. Mon premier réflexe fut de la cacher. Cependant je repensais à mes idées de la veille. Allez, je navais rien à perdre, je devais tenter quelque chose, bien que ce soit risqué. Je décidai alors de remettre mon sexe dans sa position initiale, et de faire semblant de dormir, dans l’espoir qu’elle le remarque. J’attendais alors le réveil de Juliette, espérant une bonne réaction.

Après une quinzaine de minutes, j’entendis ses draps s’agiter petit à petit, jusqu’à déduire qu’elle venait de se réveiller. Je n’osais absolument pas ouvrir ses yeux et n’avais aucune idée si elle avait déjà vu ma verge qui dépassait largement de mon caleçon ou pas. Après deux ou trois minutes, j’entendis un soupir de surprise, elle m’avait vu maintenant ! Je sentais qu’elle me fixait, et j’entendis alors des petits sons "clic"…. "clic", elle prenait des photos ! Ah la garce, elle m’envoyait sûrement à ses copines !

Elle allait alors de plus en plus loin et il était dur pour moi de ne pas réagir, je ne savais pas quoi faire ! Elle commença un message vocal, où elle parlait de moi, et de mon sexe "vraiment gros". J’étais tellement excité !

Alors de nouveau, ses draps bougèrent et là… Elle empoigna mon sexe dressé tout doucement dans sa main et commença à faire des allers retours. Je rêvais, c’est pas possible ! Petit à petit elle serra plus fort sa main, et je fus forcé d’ouvrir les yeux, mimant un réveil et une surprise.

— Désolé… C’était trop tentant, me dit-elle avec des flammes dans les yeux et surtout, sans arrêter ses mouvements.

— Mmmh t’excuse pas, continue.

La scène était irréaliste, et pourtant, ma cousine me branlait de plus en plus énergiquement, et elle aimait ça ! Elle gémissait et me disait quaucune de ses copines n’avait vu une bite aussi grosse, puis elle me demanda si elle pouvait y goûter. C’était sa première fellation et ça se sentait, elle allait doucement sans assurance. Malgré ça, elle poussait de plus en plus ma verge au fond de sa bouche, et commençait à faire des mouvements avec sa langue ! Mmmh c’était pas mal finalement. Je n’avais envie que d’une chose, retirer son pyjama qui cachait encore et toujours sa poitrine. Sa fellation continuait et s’améliorait : par moment elle accélérait le rythme de ses aller retours, à d’autres elle me léchait rapidement le bout du gland, c’était un magnifique moment.

— Si tu continues comme ça, tu sais ce qui va arriver… Lui dis-je

Alors contre toute attente, elle se coucha sur le dos et m’invita me mettre à califourchon sur elle. Mon sexe était maintenant au niveau de ses seins, toujours sous son pyjama, et dirigé droit vers son visage. Elle me branlait à toute vitesse, elle voulait une faciale la cochonne ! Après deux minutes de ce traitement divin, je me déversai sur son visage, en plusieurs longues giclées. Elle gémissait et ouvrait la bouche pour recueillir le plus de sperme possible. Quelle coquine pour sa première bite !

La suite à suivre…

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