Jour #3

Rome, Italie

 

Il était un peu moins de dix heures lorsque j’ai ouvert les yeux. Le lit de cette location était si confortable que rien n’avait pu troubler mon sommeil. Je n’avais même pas entendu Nina sortir de la chambre. Une fois debout, j’ai enfilé un caleçon et je l’ai rejoint, elle n’avait pas pris la peine de s’habiller et prenait un café, allongée entièrement nue sur le transat de la terrasse. Je me suis penché pour l’embrasser, la main sur son ventre, dont la peau commençait déjà à chauffer au soleil. Je me suis assis à côté d’elle et elle m’a tendu une tasse, qu’elle a remplie de café. Service parfait.

_ Quel est le programme aujourd’hui ? m’a-t-elle demandé.

_ Je ne sais pas, je pensais qu’on pourrait faire les touristes. Rome vaut le coup d’il. Tu as des envies en particulier ?

Nina m’a souri, et j’ai su à quoi elle pensait.

_ Ma chérie, lui ai-je dis en posant ma main sur le bas de son ventre, ce genre d’envie est prévu dans le programme de base. Maintenant va t’habiller, qu’on profite de la journée.

Nina s’est levée de sa chaise longue et est partie dans la chambre en prenant grand soin de bien faire onduler son bassin. Elle est revenue cinq minutes plus tard, tandis que je buvais mon deuxième café, avec une robe fleurie, très échancrée dans le dos, qui ne laissait aucun doute sur l’absence de soutien-gorge. J’avais gardé l’habitude de vérifier ce que Nina portait, lorsque je ne décidais pas moi-même de sa tenue. Alors sans poser de question, j’ai soulevé sa robe pour trouver en-dessous une sage petite culotte en coton, fleurie elle aussi. J’ai souri en guise d’approbation. Rares étaient les fois où je n’avais pas approuvé la tenue de Nina. A mon tour je suis allé m’habiller, et nous sommes sortis dans les rues déjà chaudes de Rome.

On a marché une vingtaine de minutes avant d’arriver sur la place Saint-Pierre, bondée de touristes. Il y avait déjà une longue file pour entrer dans la Basilique, mais j’ai convaincu Nina qu’il s’agissait d’un incontournable, et qu’on aime ou pas les églises, on pouvait difficilement quitter Rome sans avoir vu le Vatican.

_ Tu pourrais baiser dans une église ? m’a-t-elle demandé alors que nous attendions de passer.

_ Non. Je ne suis absolument pas religieux, mais je respecte les lieux saints. Tu pourrais, toi ?

_ Oh, j’y ai jamais trop pensé. C’était pour savoir.

Son sourire en coin, cependant, me laissais présager qu’elle avait une idée en tête.

Vingt minutes plus tard, nous étions enfin rentrés dans la basilique, et la fraîcheur du bâtiment nous a fait un bien fou. On a déambulé, admiré, pris quelques photos du lieu. Malgré quelques enfants turbulents, il y régnait un calme apaisant. Puis dans une allée où il y avait un peu moins de monde, Nina a attrapé ma main et l’a collée contre ses fesses. Pris au dépourvu, j’ai retiré ma main.

_ Arrête ça, pécheresse ! ai-je dis en rigolant.

_ Ça t’excite pas, cet interdit ? m’a-t-elle répondu en riant elle aussi.

_ Toi tu m’exciteras toujours. Mais pas ici. Dieu te punira pour ça !

_ C’est toi, mon Dieu.

_ Alors prépare toi à être punie.

Nous rigolions tous les deux, en se cherchant l’un l’autre, comme deux enfants. Nina essayait de m’aguicher en tortillant du cul, et moi je répondais en lui pinçant les hanches. Nous avons finalement écourté la visite et sommes sortis de la basilique. Tant pis pour la visite de la chapelle Sixtine, mais la file pour y accéder était immense, et si nous voulions voir autre chose de la ville aujourd’hui, il fallait faire des choix. Dehors, il faisait encore plus chaud, et je me suis remercié intérieurement d’avoir opté pour une tenue légère. On a marché jusqu’au Castel Sant’Angelo, puis traversé le Tibre, rejoint la place Navone, le Pantheon, et enfin la fontaine de Trevi. J’ai longuement photographié Nina devant, bien que j’aurais préféré qu’elle soit dedans, sa robe rendue transparente par l’eau, dans une version plus érotique encore que dans La Dolce Vita. Mais ce n’était clairement pas possible, en raison non seulement de la foule de touristes tout autour de nous, mais aussi des caméras de surveillance et des policiers sur place pour empêcher que ce genre de remake de la fameuse scène ne se produise.

Nous étions maintenant en début d’après-midi, et la faim pointait le bout de son nez. Nous sommes entrés dans le restaurant le moins italien qu’on puisse trouver à Rome: un McDo’. C’était presque péché, mais qu’importe. On a pris deux menus, et on est allés s’installer à l’étage. Comme nous, de nombreux touristes avaient fait escale ici le temps de manger un burger insipide et boire un Coca coupé à l’eau. Alors que Nina, assise face à moi, commençait à manger quelques frites, je lui ai dis de sortir ses seins de sa robe. La voyant hésitante, j’ai réitéré ma requête :

_ Allez, personne te regarde, ils sont tous absorbés par leurs menus.

Nina a regardé tout autour d’elle, et a tiré sur son décolleté pour en sortir un sein, puis l’autre. Elle me souriait, tandis que j’immortalisais le moment avec mon appareil photo. Un couple est passé à ce moment à côté de nous, mais comme je l’avais prévu, ils ne nous ont pas remarqués. Nina a alors commencé à remettre sa poitrine en place, mais je lui ai dis d’attendre encore un peu.

_ Enlève ta culotte, maintenant.

_ Ici ?

_ Personne ne te regarde, je te le promets.

A nouveau, elle a regardé à droite puis à gauche, et a remonté sa robe, juste assez pour attraper son slip en coton et le baisser le long de ses jambes. Puis elle me l’a tendu. Je l’ai alors porté à mon nez et l’ai reniflé, sans chercher à cacher le sous-vêtement, et je me suis laissé envouter par ces effluves. Je me suis ensuite levé, en souriant, et suis venu m’assoir à côté de Nina. J’ai finis par remonter sa robe et remettre sa poitrine en place, puis je lui ai dis d’écarter un peu plus les cuisses. Nina rougissait mais arborait tout de même un large sourire, partagée entre stress et excitation.

_ Mange, lui ai-je dis en voyant qu’elle n’avait toujours pas touché à son menu.

Nina a attrapé quelques frites, tandis que d’une main j’en faisais de même et de l’autre je glissais entre ses jambes. Elle s’est arrêtée quand elle a senti mes doigts venir titiller sa fente, mais je lui ai répété qu’elle devait manger. Obéissante, elle a fait comme si de rien n’était, comme si mes doigts ne s’amusaient pas à exciter son petit bouton, et elle a commencé à manger son burger. J’ai fait de même, j’ai mangé mon burger et j’ai fais comme si de rien n’était. Et j’y arrivais bien mieux que Nina, qui avait du mal à manger et gémir en même temps, lorsque j’ai commencé à faire aller et venir deux doigts dans son sexe désormais trempé. Je ne me suis arrêté de la doigter que lorsque j’avais fini mon menu. J’ai alors essuyé mes doigts dans sa culotte comme s’il s’agissait d’une vulgaire serviette, puis j’ai embrassé son front.

_ Va m’attendre aux toilettes.

Elle m’a souri en me regardant et s’est levée en vitesse. J’avais arrêté de la doigter alors qu’elle était aux portes de l’orgasme, et elle devait sûrement penser que plus vite elle m’obéirait et irait aux toilettes, et plus vite elle pourrait jouir. Or, j’ai pris tout mon temps pour la rejoindre dans les toilettes des dames. Elle m’attendait sagement près d’un lavabo, les mains croisées devant elle. Sans un mot, je l’ai embrassée, puis j’ai fourré la culotte, que je tenais toujours entre mes doigts, dans sa bouche, avant de la faire entrer dans une cabine.

_ Mets toi à genoux et montre moi un peu ton cul.

Nina ne pouvait sourire à cause de la culotte qui déformait sa bouche mais je pouvais lire la malice dans ses yeux. C’était comme au bon vieux temps. Elle s’est agenouillée sur le sol pas forcément propre, puis s’est cambré au-dessus de la cuvette et a relevé sa robe. Avec ses deux mains, elle a écarté ses fesses, m’exhibant fièrement son anus et ses lèvres luisantes de plaisir. J’y ai glissé à nouveau deux doigts, tandis que de l’autre main je défaisais ma ceinture. Je me suis servi de sa mouille, abondante, pour enduire sa rondelle, où j’ai également enfoncé mes deux doigts. J’ai alterné entre ses deux orifices une ou deux minutes, avant de poser mon gland sur son anus. Puis j’ai posé mes mains sur les siennes et j’ai poussé, profondément, jusqu’à coller mes couilles contre son cul, la faisant grogner malgré la culotte dans sa bouche. Ses grognements d’inconfort ont rapidement fait place à des gémissements de plaisir, tandis que j’accélérais le rythme de mes allers et venues dans son fondement. Parfois je me retirais entièrement pour admirer son anus entièrement ouvert, et plongeais à nouveau en elle après avoir claqué ses fesses. J’ai joué ainsi avec son cul pendant près d’une dizaine de minutes.

Bien que je sois sorti de son orifice, Nina, les yeux fermés et la tête posée sur la cuvette, continuait de tenir ses fesses écartées, exhibant son anus encore entrouvert et rougi par la pénétration. Il y avait tellement d’érotisme dans cette scène que j’ai attrapé mon téléphone pour capturer la scène. Je lui ai ensuite attrapé les cheveux et l’ai forcée me faire face. Je me suis rapproché et j’ai retiré la culotte de sa bouche, qu’elle a laissée ouverte, me laissant glisser mon sexe le long de sa langue. J’ai poussé mon gland dans sa gorge, puis le reste de mon membre, jusqu’à coller mes bourses contre son menton, et tandis qu’elle s’accrochait au siège des toilettes derrière elle, je me suis mis à aller et venir en elle en la tenant par les cheveux. Nina s’étouffait, toussait, laissait couler des flots de bave épaisse le long de son menton, parfois tentait d’échapper à mon sexe, à la recherche d’un peu d’air. Mais je finissais toujours par la pénétrer à nouveau, avec autant de force que précédemment dans son cul. Ses yeux plein de larmes m’excitaient terriblement, aussi je n’ai pas attendu bien longtemps avant de sentir l’orgasme arriver. Je me suis retiré de sa gorge au dernier moment et Nina a inspiré bruyamment pour remplir ses poumons d’oxygène, et j’ai joui sur son visage et dans sa bouche grande ouverte. Nina n’a pas bronché, elle était toujours en train de récupérer, et j’ai regardé mon sperme glisser le long de son visage.

_ Tiens, lui ai-je dis en lui tendant sa culotte, si tu veux t’essuyer.

Nina m’a regardé en souriant et a d’abord essuyé ce qu’elle pouvait avec sa langue, avant de finir avec le slip en coton. Elle s’est ensuite relevé et a ajusté sa robe, tâchée de sperme et de bave, mais grâce aux motifs, ça ne se voyait pas trop. On est sortis de la cabine, et prêts à sortir de la pièce, lorsque je me suis arrêté et retourné vers Nina.

_ Remet ta culotte, s’il te plait. Un peu de pudeur, enfin…

Je l’ai regardée, avec un grand sourire, provocateur, enfiler son sous-vêtement dégoûtant. J’aurais pu la laisser cul nu, mais ça faisait partie du jeu. Puis nous nous sommes remis en route, tranquillement, sous une chaleur écrasante.

_ J’ai mal au cul, m’a dit Nina, accrochée à mon bras.

_ Je sais.

_ Et je me sens dégueu.

_ Je sais.

_ Mais j’ai aimé.

_ Je sais.

Elle m’a regardé en me souriant et m’a serré le bras un peu plus fort encore.

_ Ça m’avait manqué, quand même.

_ Quoi ? Que je te punisse ?

_ Oui. Un peu de violence, quoi.

_ Je ne comptais pas l’abandonner, tu sais. Au fond, tu resteras toujours un peu ma chienne !

Je me suis mis à rigoler pour la taquiner, et l’ai embrassée sur le front. Je ne lui avais pas forcément dit, mais ça m’avait manqué aussi. Bien sûr, j’adorais notre relation, je la trouvais parfaite en tous points, mais il est vrai que de temps en temps j’avais ces envies, comme un retour de boomerang, ces envies de quelque chose de plus bestial, voire violent. Mais je savais que c’était quelque chose qui l’excitait aussi, alors, je n’avais pas vraiment à réfréner ces envies.

Tout en parlant de tout et de rien, on est arrivés aux portes du forum romain, où l’on a déambulé à travers les vestiges et pu voir la tombe encore fleurie de Jules César, puis, au bout de ce champ de ruines, on a pu voir le Colisée. On ne l’a pas visité de l’intérieur mais on s’est posés sur un banc pour admirer le bâtiment. Ce truc était là depuis si longtemps, et nous depuis si peu. Le genre de constat qui avait tendance à me faire cogiter un bon moment. Il n’était pas tard, mais on a décidé de rentrer à l’appartement un moment. Nina disait avoir besoin d’une douche, et je la comprenais.

_ J’aurais bien enlevé ma culotte pour la jeter dans la première poubelle venue, m’a-t-elle dit, mais bon. Je joue le jeu.

Une demie-heure plus tard, nous étions arrivés, et à peine avions-nous passé la porte que Nina faisait glisser la culotte poisseuse le long de ses jambes avant de la jeter à travers le salon avec un grognement de dégoût. Dix secondes plus tard, j’entendais la douche couler. Quand elle en est sortie, un quart d’heure plus tard, une serviette nouée autour d’elle, je l’attendais sur la terrasse avec un verre de vin. Nous avons pris l’apéro, profitant longuement de la chaleur de cette fin de journée et du soleil qui déclinait lentement.

_ Qu’est-ce que tu veux faire ce soir ? lui ai-je demandé tandis qu’elle s’était allongée sur la chaise longue et dénoué sa serviette pour profiter, nue, des derniers rayons.

_ On peut aller manger quelque part, mais pas trop loin, on a déjà pas mal marché aujourd’hui.

Je l’ai embrassée sur le front puis ai attrapé mon téléphone pour chercher un bon restaurant dans le coin. Cinq minutes plus tard, j’avais réservé une table à La Scala In Trastevere, un restaurant à moins de quinze minutes à pieds de notre appartement. On est alors allés dans la chambre tous les deux pour se préparer, et je l’ai regardée enfiler un string en dentelle noire, sous une robe moulante, noire également. J’ai eu envie d’annuler notre réservation et de lui faire l’amour à nouveau, sur le champ. Au regard qu’elle m’a lancé, j’ai compris qu’elle avait lu dans mes pensées.

_ Allez, m’a-t-elle dit en enfilant des chaussures à talons. Ne tardons pas !

Ce qui sous-entendait, « partons tôt, rentrons tôt, baisons vite ». Ce programme m’allait. On a mangé en terrasse des pâtes aux fruits de mer, au goût incomparable à tous les autres plats de pâtes mangés précédemment dans ma vie. Une bouteille de vin a également été descendue dans ce cadre idyllique qu’est Rome la nuit. Après le repas, on a marché un peu à travers les rues du Trastevere, et je regardais Nina déambuler, gracieuse, sexy, et je ne voulais qu’une chose, l’amener dans un coin sombre, la déshabiller, la prendre encore et encore. Mais les rues étaient très passantes, et malgré le nombre important de petites ruelles, je n’ai pas réussi à trouver d’endroit tranquille. Alors sentant mon érection grandir dans mon pantalon, j’ai du prendre mon mal en patience. Nous n’avons pris le chemin du retour qu’une demie heure plus tard, après que Nina ait eu sa glace italienne, la dégustant de la plus aguicheuse des façons, me faisant bander encore un peu plus. Une fois devant la porte de notre immeuble, elle a posé sa main sur mon entrejambe et m’a regardé avec son regard de braise.

_ On dirait bien que tu avais très envie de rentrer, m’a-t-elle dit.

Je n’ai pas répondu, mais à peine étions-nous dans l’appartement que je poussais Nina violemment contre le plan de travail de la cuisine et relevais sa robe au-dessus de sa taille. Elle a, elle-même, écarté son string, puis ses fesses, tandis que je sortais mon sexe dur de mon pantalon. Deux doigts ont glissé sur sa fente. Elle était trempée.

_ On dirait que tu avais aussi envie de rentrer, ai-je dit en claquant son sexe du plat de ma main.

Je n’ai eu aucun problème pour m’enfoncer entièrement et profondément en elle. De ma main gauche, je tenais fermement ses cheveux, la tirant en arrière et la forcer à se cambrer au maximum. De la main droite, j’agrippais tantôt sa gorge, que je serrais entre mes doigts, tantôt sa poitrine, que je m’amusais à pincer et gifler. La bête féroce et dominatrice qui se terrait au fond de mes entrailles était remontée à la surface en même temps que mon excitation, et Nina allait en subir les conséquences. Malgré ses cris, entre plaisir et douleur, je ne me suis pas arrêté de faire rougir sa peau à chacune de mes fesses ou autres gifles ou griffures, et je n’ai à aucun moment ralenti la cadence de mon sexe à l’intérieur du sien. Je l’ai baisée, en bonne et due forme, comme si c’était la première et la dernière fois que je le faisais. Je ne me suis arrêté qu’une dizaine de minutes plus tard, quand j’ai voulu changer d’orifice, mais Nina a saisi mon sexe avant que je puisse faire quoi que ce soit.

_ Pas par là s’il te plaît, ça me fait encore mal de la dernière fois, m’a-t-elle dit dans un soupir.

Je n’allais bien sûr pas aller contre ses volontés, mais pour autant, je n’étais pas encore tout à fait calmé. Comme je la tenais toujours par les cheveux, je n’ai eu qu’à la tirer vers moi, jusqu’à la mettre à genoux à mes pieds. Nina a immédiatement su quoi faire et a ouvert la bouche en grand, me permettant de pénétrer sa gorge jusqu’à coller mes couilles contre son menton. Je lui ai baisé la bouche avec autant de ferveur que s’il s’était agi de son cul. Je la tenais par le cou, sans trop serrer, mais fermement. Dans cette position, elle ne pouvait plus bouger, et j’avais toute la liberté de m’occuper de son cas. Parfois, Nina toussait, et s’étouffait, ce qui m’obligeait à ressortir de sa bouche pour la laisser cracher le surplus de salive, puis je retournais en elle. Son maquillage coulait le long de ses joues, à chaque coup de rein, elle était sur le point de vomir. J’étais tenté de ralentir la cadence, mais c’est alors que j’ai vu qu’elle avait glissé une main entre ses cuisses et se masturbait en même temps. Alors je me suis laissé aller, et cette fois-ci, même quand elle s’est étouffée, je ne me suis pas retiré. Nina toussait et de la bave épaisse coulait de la commissure de ses lèvres et de ses narines, mais elle se masturbait toujours. Je me suis finalement retiré quelques minutes après pour pouvoir éjaculer sur son visage, tandis qu’elle continuait à branler son clitoris, jusqu’à atteindre elle aussi l’orgasme.

Je suis resté au-dessus d’elle un moment, en la regardant. Elle était dans un état pitoyable, mais avait l’air apaisée, sereine. Je l’ai aidée à se relever, et l’ai amenée dans la salle de bain en lui tenant la main. Elle n’a pas pu s’empêcher de rire en voyant son visage dans le miroir. Dévastée. Nous avons pris une douche tous les deux, une longue douche durant laquelle j’ai pris soin de bien la laver de partout, m’efforçant d’effacer toute trace de ma bestialité.

Dix minutes plus tard, nous étions tous les deux nus sous la couverture, moi allongé contre elle, dans son dos. La pression était retombée, pour autant je m’en voulais d’avoir été si violent.

_ Je suis désolé, ai-je dis à voix basse, j’ai peut-être été un peu trop brutal aujourd’hui, non ?

_ Tu m’as déjà fait subir bien pire, tu te souviens ? m’a-t-elle répondu en riant. Non, si tu l’étais, je te le dirai, ne t’en fais pas. Et puis, j’adore toujours autant, et même plus encore, quand tu me traites comme ta chose.

Elle a pris ma main pour l’embrasser, avant de la glisser entre ses cuisses.

_ Regarde, j’en mouille, rien qu’en y repensant.

Effectivement, elle mouillait. Et c’est avec mes doigts entre ses cuisses que nous nous sommes endormis.

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