Précédemment :
Après lanniversaire de Justine je pars en vacance avec mes parents.
Voici le récit de la première semaine.
Cétait la première année où je partais en vacances avec ma mère et son nouveau mari. Il amenait avec lui ses deux enfants. Une fille, Armelle, qui avait un an de moins que moi et Hugo qui avait lâge de mon frère. La cohabitation allait être dure car nous ne nous entendions pas vraiment avec eux.
Mais bon quitte à passer trois semaines ensemble autant essayer de changer la donne. Donc sur le chemin des vacances dans cette voiture un peu trop inconfortable pour ce long trajet, je décidai de faire le trublion. Faisant rager nos parents et rire les plus jeunes.
Pour la première fois je vis Armelle sourire. Je navais pas fait attention jusque là mais elle était très mignonne avec ses longs cheveux bruns et ses yeux verts. Et puis depuis deux ans que je la connaissais, je navais pas remarqué combien elle avait grandi.
Elle mesurait 1m60 pour moins de 50 kg. Et son tour de poitrine avait grandement changé. Quand je lai connu elle ne portait pas de soutien gorge car elle navait pas de seins. Alors que là elle arborait un beau 85C parfaitement moulé dans un top très moulant.
Comme elle était à côté de moi, javais beaucoup de mal à ne pas y jeter un coup dil. Elle a certainement remarqué mon trouble mais nen a parlé à aucun moment ni nen a joué.
La première semaine de vacances fut longue et surtout réservé aux visites des différents lieux touristiques. Chaque fois je regardais un peu plus en détail Armelle. Elle portait souvent des shorts relativement courts mettant en valeur son adorable fessier.
Un matin où je me levai avant tout le monde, je décidai daller prendre ma douche dans les sanitaires communs. Je sortis de ma chambre discrètement, ma serviette sur l’épaule, mon gel douche dans une main. Je ne remarquai pas quArmelle avait eu la même idée que moi. Elle me sourit et son regard sattarda sur mon érection matinale. Elle me fit un clin dil et nous sortîmes du mobile-home. Tout en allant à la douche, nous discutâmes de tout et rien.
Au moment daller dans nos douches respectives, elle me proposa de se joindre à moi. J’hésitai entre accepter et refuser. Ce fut mon érection qui répondit pour moi.
— On se mate mais on ne touche pas, me dit elle.
— Daccord, répondis je. Pas de pelotage mais on a le droit de dire ce quon aime chez lautre.
— Ça me va.
Nous nous déshabillâmes chacun de notre côté, tout en regardant lautre. Comme je my attendais, elle avait des seins et un cul denfer. Les aréoles de ses seins étaient très pâles et ses tétons pointés fièrement vers moi. Son cul était bien rond et semblait ferme à souhait. Elle se rasait la chatte dans la forme dun ticket de métro. Clairement si nous navions pas fixé cette règle, je la prenais dans cette douche.
Apparemment ma queue devait lui plaire également car elle en détachait rarement son regard. Je la voyais se lécher les lèvres et avoir un regard très coquin.
Nous nous lavâmes chacun de notre coté, puis nous nous essuyâmes et nous habillâmes.
Sur la route du retour au mobile-home, jabordai le sujet.
— Alors ça ta plu ce que tu as vu ?
— Toi dabord, me répondit elle avec un air faussement gêné.
— Je pense que ma queue a parlé pour moi, lui rétorquai je.
— Non je veux des mots, insista t-elle. Je veux savoir en détail ce que tu penses de mon corps.
— Daccord. Alors franchement cest le corps le plus moche que jai jamais vu, répondis je ironiquement.
— Arrête de te foutre de moi, sexclama Armelle en me poussant. Sérieusement sil te plaît.
— Sérieusement ? Tu es super jolie et bandante. Tes seins sont magnifiques. Ton cul donne envie dêtre attrapé et ta chatte est un appel au sexe. A ton tour, maintenant.
— Tu ne le sauras pas, me taquina t-elle.
Jallais moffusquer quand je remarquai que nous arrivions au mobile-home.
Le reste de la journée, nous restâmes très proches; Javais des flash de cette douche et des érections très fréquentes en y pensant.
Le soir dans mon lit, jen profitai pour me branler en imaginant ce que je lui aurai fait.
Le lendemain et le reste de la semaine, notre petit manège continua. Nous prenions toujours nos douches ensemble, tout en se regardant mais sans toucher. Je ne sus quà la dernière journée, ce quelle pensait.
— Tu veux savoir ce que je penses de toi, me lança t-elle alors que nous nous rincions.
— Oui, car ça fait bientôt une semaine que nous faisons ça tous les matins, et je ne sais toujours rien. Dailleurs je me suis branler plusieurs fois en pensant à toi.
— Tu te branles en pensant à moi ! sexclama t-elle.
— Ben quoi ?! Tu me fais saliver depuis plusieurs jours. Il faut quà un moment ou un autre, jévacue le trop plein.
Cette réflexion la fit rire. Encore une fois jeus au plus beau sourire que je connaissais.
— Cest la première fois que jentends un mec me dire quil se branle en pensant à moi.
— Désolé mais je préfère être franc. Donc est ce que ça te plaît, ce que tu vois ?
— Beaucoup, me dit elle en se mordant la lèvre inférieure. Même mon copain nen a pas une si grosse. Cest même étonnant de voir un mec avec sa queue de raser. Et je dois tavouer que plusieurs fois, je me suis retrouvé toute mouillée, en pensant au bien quelle me ferait.
— Mais pas dattouchement, ajoutai je.
— Oui, répondit elle un peu déçu. Est ce ça te tenterait de lever linterdiction, que pour une fois ?
Ma queue banda plus dur que jamais en sa présence. Je me demandais si cétait une hallucination acoustique ou si javais bien entendu. Cette fille, super canon, me proposait de la caresser. Et den faire de même en retour.
— Tu es sûr que c’est ce que tu veux, lui demandais je.
— Oui, me dit elle en se collant à moi.
Nos lèvres se collèrent. Je sentis sa langue se frayer un chemin pour venir caresser la mienne. Mes mains saisirent ses fesses. Comme je le pensais, elles étaient douces et fermes.
Je quittai sa bouche pour descendre dans son cou et léchai ses tétons bien dure. Je les mordillai doucement, lui arrachant des soupirs de contentement. Ma main droite vint se placer sur son pubis et caressa son clitoris. Je sentais en plus de la douche qu’elle mouillait abondamment. J’écartai les lèvres et je pus caresser correctement sa chatte.
Pendant ce temps elle avait saisi de sa petite et délicate main gauche mon sexe. Elle me masturba mieux que Justine. Elle était douce et prenait le temps de me décalotter pour me donner du plaisir.
Cela faisait plusieurs minutes que nous nous occupions de lun lautre, quand je pris linitiative de goûter au fruit de son plaisir. Je lui remontai sa jambe gauche et la posai sur mon épaule. Je plaçai ma tête entre ses jambes et je léchai ce fruit défendu.
Elle se cramponna à mes cheveux dune main pendant que lautre était placé sur sa bouche pour étouffer ses gémissements.
Sa chatte avait un goût sucré comme le reste de sa peau. Cela tenait certainement du gel douche que nous utilisions. Je la sentis onduler du bassin, son plaisir montant de plus en plus. Elle retira sa jambe de mon épaule et finalement dans un gémissement étouffé, resserra les jambes toute tremblante.
Je remontai pour lui donner un baiser, quelle me rendit avec force.
— A ton tour maintenant, décida t-elle.
Elle se mit à genou et me prit tout de suite en bouche. Je nen doutais plus, elle était plus douée que Justine. Elle prenait le temps de me masturber tout en me suçant. Passant sa langue autour de mon gland et le long de la veine qui ressortait beaucoup. Cette fille était une sacrée suceuse. Elle goba mes couilles qui ne demandaient quà se déverser sur son joli minois.
— Je ne vais pas tarder à venir, lui dis je
— Hum hum, répondit elle accélérant ses va et viens avec sa boucle.
Je sentis ma queue se contracter, et elle se retira suffisamment tôt pour ne pas en avoir dans la bouche. Mon sperme se deversa dans ses cheveux, son visage et sur ses magnifiques seins. Je navais jamais autant jouis.
Nous nous lavames une nouvelle fois, puis nous partîmes vers notre mobile-home.
Nous profitames de la journée pour rester le plus proche possible sans éveiller le moindre soupçon.
