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Aventure dans un gîte naturiste – Chapitre 6




HISTOIRE INTERACTIVE.

Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.

Vous êtes lecteurs de cette histoire mais si vous le voulez, vous pouvez aussi en être un des protagonistes. Il vous suffit de vous identifier à une des personnes présentes ou d’en créez une que je rajouterai dans le récit. A vous de voir si votre personnage vivra une histoire indépendante ou avec l’un des 2 protagonistes

A vos claviers !!! en cherchant un peu vous trouverez mon mail sur ce site.

Ps ; Un couple s’est joint à nous, (couple libéré) au chapitre précédent et « lovebit » vient de nous rejoindre.

LE GITE NATURISTE

Chapitre 6

Les oies blanches passent à la casserole.

Contrairement à ce que je leur ai raconté tout à l’heure, je ne veux pas les brusquer.

Cette fois là est celle qu’elles se rappelleront toute leur vie. Je lui laisse une dernière occasion de revenir sur sa décision :

— Tu ne le regretteras pas Margot, tu ne veux pas connaître ça avec un gars de ton âge, ton amoureux ?

Elle ne veut plus revenir sur sa décision pendant qu’elle en a encore le courage et m’implore :

— Je t’en supplie, vas-y maintenant

Debout, je m’approche du billard la queue a la main, je frotte mon gland sur les lèvres entrouvertes de la jeune fille pendant quelques instants, elle a fermé les yeux et serre les lèvres et me dit dans un souffle :

— Qu’est que tu attends ?

Je me décide, je présente ma teub à Sylvie pour qu’elle l’enduise de salive et m’introduit dans cette vulve imberbe, je pousse juste se qu’il faut pour que mon bélier pénètre suffisamment loin pour déchirer l’hymen, elle a la bouche grande ouverte. Voilà c’est fait

-Que tu es gros ! Tu es rentré Je ne suis plus pucelle Baise-moi maintenant, fais-moi découvrir le sexe…

Je pose mes mains sur ses cuisses, et retire mon sabre ensanglanté avant de le faire glisser le plus loin possible dans ce fourreau étroit, l’aboutant au col de l’utérus puis commence à la pistonner avec lenteur.

 – Ouiiiii !!!! C’est booooonnnnnnn !!! Aieeeee, vas-pas si loin !!!!! Sylvie, je n’en reviens pas d’avoir un si gros truc dans la chatte, j’avais peur que ça ne rentre pas, ça fait bizarre mais c’est si booooonnn !!! Tu vas voir quand ce sera ton tour, c’est super ! Que c’est bon!!!! Ooouuuiii Haaaaaaaa Je coule !!!

 Sylvie n’en perd pas une goutte, les yeux exorbités.

— Oui, je vois sa queue, elle entre et sort et ta chatte suis le mouvement tellement elle est énorme !

J’accélère la cadence et la besogne pendant quelques minutes mais Sylvie me secoue, n’y tenant plus :

-Arrête Patrick, c’est à mon tour, je ne veux pas que tu te vides, garde tes forces pour moi aussi !!!

Lentement je me retire dans un bruit de succion, les grandes lèvres reprennent leurs places, ses poils sont trempés de mouille, attestant de ses jouissance à répétitions.

— Aller Sylvie, à toi !!!!!!

Elle s’installe au bord du billard, le torse penché sur l’appareil, me montrant par derrière son mont de Vénus.

SYLVIE.

— Je n’en mène pas large mais ne veux pas me dédire devant Margot, ma tête entre mes bras, je recule mon derrière les jambes légèrement écartées pour faire saillir mon abricot, je veux qu’il bande comme un taureau !

Patrick glisse deux doigts dans ma fente et les retire en remarquant:

-Tu mouilles moins que ta copine est ta chatte est plus serrée, il va falloir que j’y aille avec précaution. Tu me dis si tu te sens prête, toujours décidée ? Tu risques sûrement de souffrir un peu au début !

Il me doigte longuement avant que sa bouche ne prenne la relève pour me faire mouiller un peu plus avant de présenter la tête de sa verge au centre de ma chatte.

 Il pose les mains sur mes hanches et me tire vers lui. Je sens le gland mafflu qui entre en force dans ma vulve et stoppe quand il butte sur ma membrane de pucelle.

 Margot commente le spectacle :

— C’est impressionnant de voir son sexe, il est aussi gros que mon poignet, ta chatte est vraiment élastique pour s’adapter à un tel diamètre.

Il s’est arrêté au point crucial et me demande :

-Prête?

J’ouvre la bouche pour répondre mais il ne m’en laisse pas le temps me prenant par surprise et donne un grand coup de rein explosant ma membrane qui cède sous l’impact de son bélier.

Je ne réagis pas pendant quelques secondes la bouche toujours grande ouverte, sidérée par ce qu’il vient d’accomplir.

 Son manche vient sûrement de me déchirer mon vagin sur toute sa longueur, repoussant devant lui mes parois intimes. La sensation est extraordinaire bien que douloureuse !

Il continue maintenant sa pénétration, allant de plus en plus loin en constatant :

-Putain que tu es serré !

— Aiiiieeee hoooooo ! T’es trop gros! C’est booonnn, aaahhh. Je sens ton truc qui repousse mes chairs à l’intérieur! Enfonce-toi encore .ouiii ! Noonn ! Tu touches au plus profond de moi

Il me besogne si bien pendant quelques minutes que la douleur s’atténue, je sens monter en moi comme une décharge électrique, ses couilles frappent ma motte de plus en plus fort quand il est au plus profond de moi, je ne cherche plus à me retenir quand je sens monter en moi une sensation de bien-être que je n’ai jamais ressentie.

Mon corps est pris de tremblement, j’éjecte sans le vouloir sa bite et dans des hurlements de louve expulse de mon corps des jets de liquide ambré.

Que m’arrive-t-il ? Je ne peux me contrôler et pisse littéralement par saccades de longs jets transparents qui inondent le sol et le billard.

Patrick rigole en s’exclamant :

-Nom de Dieu, une pisseuse ! J’avais déjà connu des femmes fontaines, mais comme toi, jamais !

Margot y va aussi de son commentaire !

-J’en avais entendu parler mais je ne savais pas que ça pouvait être aussi fort, c’est impressionnant, tu le savais, Sylvie ?

-Non, c’est la première fois qu’il m’arrive d’avoir autant de plaisir et j’ai cru que quelque chose cédait en moi. Je ne savais pas qu’on pouvait arriver à ressentir une chose aussi intense, je suis littéralement vidée !

-Bon, les filles, maintenant que vous êtes devenues de vraies femmes, je vais vous dévergonder un peu. Sylvie, tu vas te coucher sur le dos, Margot, tu te mets tête-bêche sur elle et vous vous broutez le minou. Moi, je vais me positionner pour que ma queue puisse être léchée par l’une pendant que j’enfile l’autre.

C’est la première fois que ma langue explore une chatte et Margot doit ressentir le même plaisir que moi qui m’acquitte avec application à laper sa cramouille suintante d’humidité.

Elle me lèche la fente de haut en bas avant d’y introduire la langue pour recueillir ma cyprine qui coule maintenant en abondance.

Elle joue avec mon clito lui donnant de petits coups de langue rapides et incisifs. Sa langue explore mon minou et je suinte comme une fontaine, lui donnant moi aussi mon offrande. Je lui rends la pareille et m’abreuve à sa source pendant que mon corps va à la rencontre de sa bouche…

Nous râlons ensemble.

 

Patrick s’est agenouillé, il est à califourchon au dessus de mon visage, sa verge prête à pénétrer entre les fesses de Margot, je vois la vulve gonflée de désir, je saisis sa bite et engloutis la queue raide, la badigeonnant de ma bave pendant qu’il enfile sa main entre les

cuisses de Margot, elle pousse un petit cri sonore quand les doigts de Patrick jouent dans son vagin. Elle l’incite à aller plus loin :

— Je suis prête, enfile-la moi

Il me demande mon aide :

— Sylvie, regarde comme sa vulve baille, je vais rentrer comme dans du beurre, écarte ses grandes lèvres. Tu vois comme son vagin s’ouvre et se ferme tellement il est impatient d’être emboutit !

Margot le supplie :

— Prend-moi comme une chienne vas-y défonce-moi !!!

Elle n’a pas fini sa phrase qu’il enfonce d’un coup jusqu’à la garde sa queue impressionnante de puissance virile.

— OUUUUUH ! OOOOOOOOOOOOOHHHHHHH !!!!!!! Il est entré jusqu’ou?

Je lui réponds :

— Quasiment jusqu’aux couilles, ta chatte est un vrai gouffre !

Il la lime de plus en plus vite, la faisant hurler sous les coups de boutoir de plus en plus violents. De temps en temps, il se retire et me fait avaler son rostre avant de le replonger dans sa chatte, lui doigtant le trou du cul avec un puis deux doigts.

Mais cette fois-ci, je viens de recracher sa queue dégoulinante de salive et il la positionne un peu plus haut. Il l’interroge mais je crois qu’elle ne comprend pas ce qu’il lui demande :

— Tu veux que je te défonce ?

— Ooouuuiii !!!!!

Il s’agrippe plus fermement à ses hanches et d’une seule poussée rectiligne très longue, défonce son illet, l’enculant, n’arrêtant son effort que quand ses couilles viennent s’écraser sur la chatte de Margot.

Elle hurle et son cri se prolonge pour se terminer par des gémissements sans fin.

 Il m’ordonne :

-Ne reste pas inactive, glisse ta main dans sa chatte, doigte-là, sers-toi de ta langue, je veux qu’elle n’arrête plus de jouir!

Nous formons un drôle de tableau, Margot essaie de reprendre son gamahuchage entre les enculages de Patrick, je lui rends la pareille pendant qu’elle se fait détruire le cul par Patrick qui a attrapé ses seins et en triture les bouts.

Sous nos assauts, elle devient comme folle et j’en reçois la preuve en recueillant le jus de ses jouissances qui se suivent de plus en plus rapprochées.

Patrick arrête soudain, se retire en enlevant sa capote souillé des sécrétions intimes et s’exclame :

-Bon, maintenant les filles, c’est à vous de m’amener au plaisir, venez me branler !

Il promène sa verge sur nos seins, son gland frotte nos mamelons tout durs et érigés. Il le présente tour à tour à nos bouches affamées.

 

Nous nous appliquons à sucer ce beau membre, Margot, sans lâcher sa verge, la passe d’une bouche à l’autre. Patrick se laisse branler et sucer, nous laissant faire tout le boulot mais réagit enfin.

— Ooohhh! Que c’est bon, continuez, mes petites suçeuses, vous êtes sur la bonne voie !!!

Il se cambre, une main sur chacune de nos têtes.

Je laisse mes lèvres glisser sur ce gros épi, absorbant cm après cm sa formidable trique qui palpite dans ma bouche.

Mais je ne peux l’absorber en entier au risque de m’étouffer.

Son sexe est toujours aussi dur, je ne sais pas pourquoi mais dans ma tête, je fais la comparaison entre la rigidité fabuleuse de ce pénis et celui de Nathan, un jeune campeur, s’il voyait ça, il en attraperait des complexes.

Margot a reprit le flambeau, avançant ses lèvres au plus loin qu’elle peut sur son tuyau. Elle est plus forte que moi, elle arrive pratiquement à prendre en bouche toute cette colonne de chair.

— Ummlllpppfff !!! Elle s’étouffe.

 La teub énorme, à force de sollicitations, a l’air de grossir encore en taille et en raideur

Je serre mes doigts comme je peux sur la base de son nud mais Margot ne me laisse que peu de place, je lui pétris les bourses avec mon autre main.

Ses joues sont déformées à chaque intromission du braquemard de Patrick.

Sa main accélère le rythme, la cadence du va-et-vient sur ce membre de bonne taille est devenue folle.

Je lui chipe son jouet et en suce le gland prêt à éclater sous la pression sanguine, faisant tournoyer ma langue autour.

Le méat laisse perler des gouttes de pré-sperme que j’aspire avec avidité.

Patrick nous avertit en gémissant, reprenant en main sa lance pour l’acte final :

-Hhhmmm, vous êtes de vraies diablesses, je vais juter Je viens Attention, j’ouvre les vannes !!!

Il prend ma tête entre ses mains et enfonce d’une quinzaine de centimètres entre mes lèvres.

Un jet d’une puissance énorme touche ma luette et descend directement dans ma trachée.

Sous la surprise, j’expulse de ma bouche son bâton crémeux en toussant et en recrâchant le sperme qui obstrue mes bronches.

Mais il ne peut attendre et trouve la bouche accueillante de Margot pour continuer à se répandre, noyant ses amygdales.

Elle essaie de s’accrocher au jonc vigoureux mais Patrick ne l’entend pas de cette oreille. Il se retire aussi de sa bouche et noie nos visages à tour de rôle de flots de foutre, nous en avons partout, sur le front, dans les yeux puis sur les seins pour ses dernières jutes qu’il étale ensuite avec sa verge.

C’est le calme après la tempête. Nous admirons ce quinqua à la bite courageuse qui nous a comblées au-delà de nos espérances les plus folles. Je ne regrette pas de lui avoir forcé la main.

Patrick rigole en nous avouant :

-Vous savez, les filles, si vous m’aviez demandé directement de vous baiser, comment vouliez-vous que je résiste à l’idée de me faire 2 oies blanches.

-Vous m’avez gâté, 2 pucelles en même temps, ça ne m’étais encore jamais arrivé et je n’en avais rien à foutre de votre chantage. Moi et ma bite, on est libre comme l’air et l’attrape qui veut !!!

Moi qui croyais qu’il avait accepté par peur du chantage ! Je me suis faite avoir mais ne regrette rien. Si Une chose Je suis jalouse de Margot qu’il a sodomisée et pas moi

Mais je crois que cette fois-ci, je le lui demanderai humblement de corriger cette injustice.

Et d’après ce qu’il vient de nous avouer, ça m’étonnerais qu’il m’envoie sur les roses, il préférera plutôt explorer mon petit cul.

Fin du sixième chapitre.

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