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Ce coquin de propriétaire ! – Chapitre 22




Marc était à peine parti qu’Hector était entré en moi. Il s’agitait comme un chien en rut qui s’excite sur sa femelle, il hurlait en même temps un mélange d’injures et de bruits de bûcheron à la besogne.

Han ! T’aimes ça, hein salope…

Et il cognait son bassin contre le mien tout en restant amarré à mon corps par son harpon bien implanté en moi.

Han ! Comme t’es bonne…

Brutal, sans ménagement, il continuait ses coups de boutoirs.

Une chatte qui demande son foutre…Han !

Il hurlait, cela n’en finissait pas.

Ouais, trop bon, tu la sens ? Han !

Pour la sentir, je la sentais.

Han ! Je vais venir…Han…Ouais !…Je vais venir…

Eh bien ! Viens, que cela finisse…pensais-je sans oser le dire.

Je vais…Ohhh, je viens !

Mon sexe pouvait sentir les jets qui l’inondaient…Il n’en finissait plus de se vider, il n’en finissait plus de me remplir.

J’ai repris une douche, loin d’Hector, j’ai laissé l’eau chaude couler sur ma peau pendant de longues minutes avant de prendre le gel douche pour me savonner. Un peu endolorie, je n’avais pas eu d’orgasmes pendant les assauts d’Hector, mais j’avais eu une sensation de bien-être au moment où son sperme s’est écoulé en moi. Etait-ce parce que cela signifiait la fin des abordages répétitifs d’Hector, ou simplement de sentir ma caverne se remplir de cette semence chaude et finalement agréable ?

Je ne sais pas, certainement un peu des deux.

En sortant de la salle de bain, Hector m’appela.

Mon petit sac à foutre; viens !

Un vrai poète, cet Hector…

Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis dirigée vers la chambre où se trouvait Hector.

Viens là, ma petite chienne ! me dit-il en souriant et en tapotant sur le matelas du lit pour m’indiquer que je devais m’allonger à côté de lui.

Je portais, comme un paréo, une serviette de bain afin de cacher ma nudité, lui, il était allongé au-dessus des couvertures du lit, complètement nu.

Je n’aime pas quand il est triste ! me dit-il en tripotant son sexe mou.

Il m’attira vers lui et m’embrassa à pleine bouche. Sa langue força le passage et s’inséra dans mon palais sans ménagement. Il m’étouffa presque en la faisant aller au plus profond de ma gorge.

En me voyant tousser et reprendre ma respiration, il éclata de rire :

Et encore, ce n’est que ma langue…Je ne te dis pas, avec ma bite, l’effet que cela ferait.

Ouais, enfin, là, elle ne ferait pas de mal à pas grand monde, pensais-je sans, bien entendu, oser le dire à haute voix.

Il me dit poser ma tête sur son torse, sa main droite caressa tendrement mes cheveux, alors que sa main gauche jouait gentiment avec son sexe.

Nous restâmes ainsi durant un temps qui me parut infiniment long. Le jeu de ses doigts sur son sexe finit par avoir l’effet désiré, le petit bout de chair molle était devenu un fier bâton de pèlerin, prêt à aller prodiguer son évangile au fin fond de ma caverne…Cet évangile n’était finalement pas une aussi bonne nouvelle que cela pour moi.

Sans crier gare, il me bouscula de telle manière que je me suis retrouvée sur le ventre. Il s’allongea sur moi, glissa un coussin au niveau de mon bas-ventre et alors que je voulais me dégager, il me donna une tape sur les fesses.

Tu veux que je me fâche ? hurla-t-il à mes oreilles.

Il positionna ensuite mes fesses pour avoir un « meilleur angle d’attaque » puis, guidé par sa main, il présenta son sexe devant l’orifice interdit et pénétra mon anus sans aucun ménagement.

Un cri de douleur s’échappa de ma gorge, mais cela n’eut aucun impact sur la détermination d’Hector.

Ton sodomite a adoré, je suis certain que tu aimes tout autant !

Il se libéra dans mon trou du cul plus rapidement qu’il ne l’avait fait peu de temps avant dans mon vagin. Quand il fut sorti, il m’obligea à rester positionnée comme je l’étais, il prit son smartphone, et prit des photos de mon cul.

C’est pour ta gonzesse ! me dit-il en éclatant de rire.

Il m’avait montré l’ouverture béante du petit trou de Loïc et j’ai compris qu’il aurait le droit à la même image, mais cette fois, avec mon propre anus…Enfin, pas si propre, car on pouvait y voir un grand trou rempli de sperme.

Dommage qu’il ne soit pas là, il se serait régalé en nettoyant tout cela avec sa langue.

J’ai voulu me diriger vers la salle de bain afin de prendre une douche, mais il m’en empêcha.

Attends que Marc soit revenu, il sera ravi de te voir ainsi « remplie ».

Je me suis alors remise sous les couvertures et j’ai fermé les yeux en espérant trouver le sommeil.

J’entendais la respiration d’Hector qui s’était recouché à côté de moi. Je n’osais pas bouger de peur de l’exciter à nouveau, et même si j’imaginais qu’à son âge, il ne pourrait remettre le couvert aussi facilement, j’avais quand même la crainte sur l’efficacité des petites pilules qu’ils devaient certainement prendre pour avoir une telle vivacité. Perdaient-elles de leur pouvoir rapidement ?

En fait, j’ignorais s’il avait besoin d’aide ou si ses performances étaient naturelles…

Mais mes craintes étaient fondées.

Je m’étais mis en « chien de fusil » et lui tournait le dos…J’aurais dû savoir que cela n’était pas un obstacle pour lui, rapidement, il vint se coller contre moi…Et je n’avais aucun doute…Il bandait à nouveau.

Son sexe bien tendu était pointé vers mes fesses, sa main se positionna sur mon corps de telle manière à pouvoir caresser mes seins. Je restais immobile et les yeux fermés. Le rejeter ou résister était peine perdue…

Je m’attendais donc à devoir subir une nouvelle fois ses assauts, mais il se contenta de me peloter doucement la poitrine. Sa verge butait contre mes fesses, mais il ne chercha pas à la guider, ni vers mon cul ni vers mon vagin.

La douceur de ses caresses m’étonnait. Sa bouche m’offrait de multiples petits baisers dans le cou qui me faisait frémir, mais qui n’avait rien de désagréable.

Au bout d’un certain temps que je ne saurais vraiment pas estimer; d’un geste délicat, il me fit mettre sur le dos et approcha ses lèvres pour m’embrasser sur la bouche. Il bécotait; et sa langue ne se faisait pas vraiment intrusive… Il était tout en douceur et ses baisers d’une vraie tendresse.

Réticente et résignée au départ, je m’apercevais que je prenais goût à ce que nous étions en train de faire. Quand son corps est venu se positionner sur le mien, mes jambes se sont écartées sans qu’il ait à intervenir…Quand son sexe s’approcha du mien, mon bassin se souleva juste ce qu’il faut pour venir à sa rencontre et lui offrir son abandon.

Il entra en moi doucement, ses gestes étaient lents et doux…Ses lèvres embrassaient les miennes pendant que son va-et-vient progressait lentement…Le plaisir montait en moi, je sentais l’orgasme venir…Il était doux et tendre et je sentais mon corps vouloir le sentir plus brutal…Mon bassin se levait de plus en plus haut pour venir chercher ce sexe trop timide, j’avais envie qu’il me prenne, j’avais envie de sentir son sperme chaud inonder ma caverne impatiente.

Jamais je n’aurais cru, quand il est venu se « coller » contre moi que mon corps le supplierait ainsi de me prendre plus « frénétiquement » et pourtant, c’était le cas.

Il attendit que je m’abandonne complètement dans un splendide orgasme pour, une nouvelle fois, se lâcher en moi.

Quand cela fut terminé, c’est moi qui me suis approchée de lui pour l’embrasser.

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