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Le désir d'enfanter de Magalie – Chapitre 1




La porte s’ouvre lentement, mes battements de cur déjà rapides s’accélèrent davantage. Couchée sur le ventre, sur le lit de ma chambre d’hôtel, je préfère ne pas regarder. Le géniteur choisi vient d’entrer dans la chambre, je suis prête. 

Depuis deux ans que Stéphane, l’amour de ma vie, et moi, essayons d’avoir notre premier enfant, sans succès. Je me nomme Magalie, j’ai vingt-huit ans, Stéphane mon conjoint depuis dix ans, en a quarante. La peur que cet échec mette un terme à notre union me terrifie. Pour lui et sa famille, ne pas avoir d’enfant issu de son propre sang est inconcevable. J’ai décidé de tomber enceinte d’un autre sans qu’il le sâche et de lui faire croire qu’il est le père. Tout considéré, je suis convaincue qu’il s’agit de la meilleure option pour nous, je suis prête à l’assumer jusqu’au bout. 

La soirée est déjà avancée, j’arrive enfin à mon hôtel, à Montréal, j’ai calculé qu’aujoud’hui je suis à mon summum de fertilité. Je lui ai fait croire que je devais aller à un congrès, dans le cadre de mon travail, j’ai souvent à me déplacer, il ne se doute d’absolument rien. J’avais prévu différentes stratégies pour trouver le géniteur recherché mais peu importe laquelle allait être utilisée, elles reposaient toutes sur le fait qu’il était très facile pour moi de séduire les hommes. La nature m’a fait cadeau d’un très beau corps qui ne laisse aucun mâle indifférent.

Après avoir été rapidement déposer mes affaires à la chambre, je fais un saut au bar de l’hôtel avant de décider où j’allais sortir ce soir. L’utilisation des réseaux sociaux était hors de question, ça laisse beaucoup trop de trace, tout devait se faire dans le monde réel. En commandant un verre, je remarque à une grande table une douzaine de jeunes hommes, début vingtaine, tous plutôt grands et bien bâtis. En écoutant discrètement leurs conversations, je comprends qu’il s’agit d’une équipe sportive, basketball, hockey, je ne sais trop. Ils ont un match tôt demain, ils passeront le début de la soirée au bar de l’hôtel puis iront probablement tous se coucher sagement. La situation est idéale. Mon copain est un grand brun, il est impératif que je sélectionne un type qui a des traits similaires. Quatre ou cinq des hommes ont le profil parfait, dont un qui est particulièrement séduisant. Assise au bar à quelques mètres de lui, je lui lance une série de regards intéressés, m’efforçant d’avoir un petit sourire coquin à chaque fois.

Une heure plus tard, les joueurs se lèvent et quittent la place sauf évidemment le type que je convoitais. Il vient s’asseoir à mes côté accompagné d’un autre, un grand black costaud, également très sexy mais malheureusement pas le choix idéal comme père biologique de mon futur enfant, compte tenu que Stéphane doit croire qu’il s’agira de son enfant légitime! L’autre est parfait, grand sportif, un beau visage carré, masculin. Tout va très vite, je joue le jeu de la séduction au maximum, presque exagérément, mes intentions sont claires, il est très réceptif. Je quitte pour aller à salle de bain, rendue au bout du comptoir du bar, je me retourne vers lui et dépose un bout de papier sur lequel j’avais griffonné mon numéro de chambre ainsi que ma deuxième clé, puis je repars, il me regarde droit dans les yeux, il a très bien compris.

Je monte à ma chambre, nerveuse mais contente de la tournure des événements, confiante de me faire ensemmencer ce soir et d’enfin tomber enceinte. J’éteinds toutes les lumières et ferme les rideaux. Je me couche à plat ventre sur le lit encore fait, toute habillée. Je suis prête à toutes éventualités mais dans un monde idéal, il me prendra rapidement par derrière afin d’avoir le moins de contacts intimes, puis j’imaginerai que c’est mon Stéphane qui me fait l’amour. Je me suis promise de ne pas jouir, par respect pour mon conjoint, mais si le type tarde à venir, je feindrai l’orgasme pour accélérer le sien. J’ai pensé à tout, j’ai même prévu un condom que j’ai délibérément percé au cas où il tiendrait absolument à en mettre un.

Je faufile ma main sous mon ventre et commence à me caresser doucement, mes doigts glissent le long du mince tissu du thong que j’ai acheté pour l’occasion, avec Stéphane je n’ai jamais osé porter ce genre de sous-vêtements. Je suis presque choquée de constater que je suis déjà toute mouillée. J’entends alors le cliquetis d’une carte magnétique et la porte s’ouvrir. Il s’avance lentement vers le lit, je jette un coup d’il par-dessus mon épaule, dans la pénombre je vois la silhouette du grand sportif qui est déjà en train d’enlever son chandail. Je lui dis carrément de venir me baiser puis je m’enfouis la tête dans l’oreiller. J’entends sa ceinture se détacher puis tomber sur le lit, il est probablement nu maintenant. Il grimpe sur le lit et passe ses mains sur mes fines cuisses, relève brusquement ma jupe et agrippe mes petites fesses toutes fermes. Il les pétrit d’une main et de l’autre, il tasse mon thong et enfouit directement deux doigts dans mon vagin. Je sursaute, ses deux gros doigts étirent mes lèvres, il me masturbe sans ménagement. Je ne suis pas habituée à des préliminaires si intenses, Stéphane est de nature beaucoup plus doux. Puis il se place sur moi, il s’asseoit sur mes cuisses, mon cul à la porter de sa verge. Il éloigne davantage mon string et place sa bite entre mes deux fesses pour s’y masturber à son tour. Il pousse son pénis afin de bien l’encastrer puis de ses deux mains, il rapproche mes deux joues de fesses autour de son engin et commence à faire des mouvements de va-et-vient. J’ai presque un moment de panique, sa bite est grosse, énorme. Stéphane est le seul homme avec qui j’ai couché, j’ai toujours pensé qu’il était bien membré, je réalise alors que son pénis est tout petit à côté du colosse qui s’apprête à me traverser.

Après s’être branlé avec mon cul, il écarte aussitôt mes cuisses et sa queue trouve sans difficulté ma chatte humide. Toujours le visage dans l’oreiller, j’essaie de penser à mon conjoint pendant que ma conquête d’un soir est déjà en train de s’insérer en moi. Sans délicatesse, il enfonce d’un coup sa verge au fond de moi, mes mains agrippent les draps, je pousse un cris de surprise. C’est serré, trop serré, sa bite est trop grosse pour moi. Il me pénètre jusqu’au fond, il accélère déjà ses mouvements. Il me défonce, j’ai mal, mais je suis terriblement excitée à la fois. Ses abdominaux claquent sur mes fesses à chaque coup de bassin qu’il m’envoie. J’ai honte d’être excitée à ce point mais je me sens tellement femme d’être empalée ainsi par un vrai homme. Je veux son sperme, je veux qu’il m’engrosse. Je lui demande de venir en moi, de me remplir de son foutre. L’effet est immédiat, il devient animal, il me soulève d’un seul coup pour me placer à quatre pattes et m’empoigne la taille pour mieux me pistonner. Il me copule telle une petite pute, me traite de salope au passage, son épais pénis me traverse à chaque va-et-vient, je sens qu’il est sur le point d’exploser en moi. Je me sens si bien, je m’efforce de me retenir pour ne pas jouir, aucun homme ne m’a fait atteindre l’orgasme par simple pénétration. Je n’aurais qu’à me laisser aller un peu et l’orgasme exploserait en moi. Je le refoule par amour pour Stéphane. L’aboutissement devient de plus en plus évident, il va éjaculer, j’ai tellement espoir qu’il me mette enceinte.

C’est alors que tout bascule, il se penche sur moi pour agripper mes seins d’une de ses mains. Ma vision s’est adaptée à la pénombre, le contraste de sa peau noire sur mon sein pâle me saute alors aux yeux. Il n’est pas celui que je croyais, c’est l’homme à la peau foncée qui est en train de me prendre, l’ami de celui que je convoitais. Je n’en suis pas moins excitée, mais il ne doit pas venir en moi, l’enfant à naître révélerait au grand jour à Stéphane la supercherie. Il referme ses deux mains sur mes seins, ralentit ses coups de bassin, prêt à décharger, il fait durer le plaisir quelques secondes de plus. Je lui demande de finir sur moi, de répandre sa semence sur mon dos et mon petit cul. Il n’est pas intéressé, sa bite massive continue de me labourer. Il me chuchote qu’il va me remplir le ventre de son sperme. Il ne doit pas venir en moi. Trois ou quatre coups encore et il sera trop tard.

Dans un ultime salut, je lui demande de me venir sur le visage. Recevoir le foutre sur moi m’a toujours déplu. Stéphane l’a fait une fois sur mon ventre lors d’une soirée trop arrosée, nous ne l’avons jamais refait. Heureusement ce n’est pas son truc, du moins je crois. L’idée de recevoir un facial me dégoûte, mais je n’ai pas le choix, c’est ma seule porte de sortie. Il est surexcité, il semble hésiter. J’en rajoute; que je veux sentir son foutre chaud sur mon visage, que je suis une salope qui ne mérite que ça, que c’est la seule façon de me faire jouir.

Mes arguments ont raison de lui, il me retourne sur le dos et s’agenouille au-dessus de moi. Mes deux bras sont menottés le long de mon corps entre ses jambes, je suis à sa merci. Il masturbe sa queue juste au-dessus de moi, elle est si grosse, j’ai peine à croire que cet engin m’a pénétré. Il m’aggrippe les cheveux pour maintenir ma tête et il explose aussitôt. Le premier jet vole directement par delà ma tête et frappe le mur derrière moi, j’ai espoir que les autres jets manqueront aussi leur cible ou mieux encore qu’il n’y en aura pas d’autres. Erreur, la deuxième giclée m’atterrit directement sur la joue gauche et tapisse mon visage de haut en bas, puis une autre fait de même de l’autre côté. Puis une troisième , je comprends alors que mon visage sera son déversoir. Je garde les yeux et la bouche bien fermés, encaissant les rafales de liquide visqueux. Chaque gerbe est accompagnée d’un cris rauque, les salves de sperme s’abattent sur moi les unes après les autres, il fait exprès de changer l’angle de son pénis pour en étendre partout. Par réflexe, je veux me tourner la tête, il me ramène à l’ordre instantanément de sa main qui me tient les cheveux, il n’est pas question que j’esquive une goutte!

L’éruption est enfin finie, mon visage est noyé sous son foutre épais. Son gland appuie avec insistance sur mes lèvres pourtant fermées, il pousse pour faire entrer sa queue, je résiste pendant quelques secondes puis j’obéis telle la putain que je suis ce soir. Je le suce doucement, sa queue reste au garde-à-vous. Les yeux fermés, je l’imagine en train de contempler sa grosse bite entrer et sortir de ma bouche, mon faciès jonché de son sperme, fier du résultat obtenu. Je pense à Stéphane, le pauvre, s’il fallait qu’il me voit en ce moment. Je tente de me convaincre qu’il comprendrait que je fais tout ça pour lui, pour notre couple, pour notre avenir. J’ai seulement été malchanceuse ce soir, c’est tout. Au moins, je n’ai pas joui, par respect pour lui j’ai réussi à freiner mes ardeurs. Je n’ai maintenant qu’une idée en tête, me mastuber dès que le type s’en ira, je me ferai jouir en solo. J’en ai terriblement envi, tout ce foutre sur mon visage n’a pas ralenti mon désir, au contraire, je suis mouillée plus que jamais, je me sens complètement désinhibée.

La verge est toujours dans ma bouche toujours aussi dure, comment fait-il pour garder son érection, cela doit bien faire cinq minutes qu’il est venu. Toujours incapable d’ouvrir les yeux, je l’entends et le sens bouger, étirer son bras, manipuler quelque chose atour de moi, tout ça sans sortir de ma bouche. Docilement, je continue à l’astiquer. Il se retire enfin mais garde son emprise. Il me libère un bras, le porte au-dessus de ma tête, et puis l’autre. Je tente d’essuyer le liquide gluant de mes yeux, il m’en empêche, je devrai tout le garder en place. En deux temps trois mouvements, mes mains sont ligotées par sa ceinture aux barreaux de la tête de lit. J’ai peur, en même temps mon excitation est décuplée, je suis son esclave. Il s’agenouille face à moi, je crois qu’ il va me pénétrer à nouveau. Il m’aggrippe par le dessous des fesses et me tire vers lui en me relevant le bassin. Il écarte mon thong si brusquement que celui-ci déchire. Cette fois sa bite monstrueuse entre en moi avec beaucoup plus d’aisance. Il n’a aucunement besoin de bouger, je fais tout le travail, mon bassin oscille vigoureusement. Je suis incontrôlable, tant pis, je veux qu’il me fasse jouir. Il fait exprès de ne pas bouger, il me laisse me débrouiller. Je suis incapable de le faire entrer aussi loin que je le voudrais malgré mes efforts. Il le sait. Ça l’excite. Je me dandine de tous les côtés pour faire avancer son dard davantage en moi. L’excitation monte si rapidemen moi, elle ne s’arrêtera pas cette fois, je veux jouir.

Puis soudainement, il me prend par la taille et me rapproche sèchement de lui. Mes bras toujours attachés au lit se tendent au maximum Il enfonce sa queue jusqu’au fond, il me saute, me pistonne sans relâche. Enfin il me prend comme je le mérite, comme la petite dévergondée que je suis. Je jouis. Je jouis si fort, il me fait crier comme Stéphane n’a jamais pu le faire. Je n’ai jamais connu un tel orgasme. Puis sa volumineuse verge éjacule, pour une deuxième fois, et cette fois-ci en moi. Je n’en ai que faire, je suis au septième ciel. Lentement il se relève, nous n’échangeons pas un seul mot, il se rhabille. En tout dernier lieu, il reprend sa ceinture et me libère. Il quitte la chambre me laissant sur le lit, mon string déchiré accroché à ma cuisse gauche, le visage couvert de sperme. J’espère ne pas être enceinte, j’espère surtout ne pas l’être pour devoir recommencer le mois prochain.

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