Une agréable surprise,

Veuf, à 62 ans, je suis encore en pleine forme mais si, je peux encore rivaliser au lit, avec des jeunes, jai horreur de faire mon ménage.

Les poussières, laspirateur, le lit, la vaisselle sont pour moi, des corvées que, je fais à contre cur. Pensionné depuis deux ans, je décide de mettre une annonce dans une grande surface de mon quartier.

« Pensionné, cherche femme de ménage pour entretenir appartement » Je précise quil, faut se présenter à mon adresse et je ne mets pas de n° de téléphone afin de pouvoir trier à la présentation.

Je sais que je vais avoir, une kyrielle de négresse ou darabe. Je choisirai la plus jolie de façon à avoir une belle femme à regarder faire mon ménage. Il ny a pas de raison de ne pas allier, plaisir et travail !

Le soir venu, je fus cependant étonné car, personne ne sétait présenté. Je me dis, que jirai voir, demain matin si, mon annonce est bien toujours là.

Le lendemain, vers 8 h 30 on sonne. Je réponds et entend une petite voix :

— Bon Bonjour, Monsieur,. Cest pour votre annonce.

— Ok !… Cest au troisième ! Dis-je en pensant, celle-là doit être jeune.

Je suis aussitôt très intéressé de la voir. La porte de lascenseur souvre et ma bouche aussi en voyant une adorable gamine qui en sort.

16, 17 ans les cheveux longs, le visage ovale et fin, les yeux légèrement en amande, le nez absolument bien proportionné au visage, des lèvres parfaites et surtout des yeux bleus brillants et humides de timidité.

— Bon Bonjour Monsieur ! Dit-elle de sa petite voix.

Je suis toujours bouche bée et continue à la détailler. Sa taille ne doit pas être plus dun 1,60 m sa poitrine menue mais, apparente suffisamment pour moi, sa taille fine et ses hanches, comme je les aime, augurant un fessier plus que raisonnable, des petites jambes terminées par une paire de sandale dété.

Elle porte une robe assez légère dont le décolleté descend suffisamment pour voir le haut de ses seins. Mignonne comme pas possible, je vous dis !

— Heu !… Bonjour !…. Vous venez pour lannonce ? Demandais-je assez surpris par sa jeunesse.

— Oui !… Heu !…. Monsieur !

— Mais !… Vous avez quel âge ?

— Je Je vais. Je vais avoir 18 ans le mois prochain ! Mais, Sil vous plait !… Jai vraiment besoin de ce job !

— Tu me sembles bien jeune pour tenir un appartement propre ! . Mais tu es très sympathique !…. Je veux bien te prendre à lessai !

— Je Je commence quand ? Demanda-t-elle en rougissant sous le compliment de sympathie que je venais de lui faire.

— Tu es libre quand ? Demandais-je en la tutoyant définitivement.

— De suite si vous voulez !

— Tu ne me demande même pas combien je vais te payer ?

— Heu !….

— Bon, voilà, je veux que tu viennes trois par semaine, plus ou moins deux heures et je te donne 12,5 de lheure !…. Ok ?

— Oh !… Oui,.Oui Monsieur ! Cest parfait.

— Tu veux voir lappartement avant de commencer ?

— Je Je veux bien. Mais, cela ne vous dérange pas ?

— Non, entre !

— Merci, Monsieur Heu !… Pardon ! Dit-elle en passant devant moi.

Ladmiration de voir la grandeur de mon appartement lui fait faire diverses expression de stupeur. Elle passe du « OOOOOH » au « AAAAAAH » en passant par « Pfffff ! »

Jai une petite fierté de lentendre sexprimer sur mon appartement car, jen suis assez satisfait. Pas trop de meuble, le style est moderne, pas de tapis inutile et un style assez jeune pour un homme de soixante ans passé.

— Je Je Je ne pourrai pas tout faire En seulement deux heures ! Me dit-elle plus honteuse que jamais sur ses capacités.

— Ben, Petite !…. Cest bien pour cela que je te propose trois rendez-vous par semaine. Ce qui te laissera assez de temps pour tout faire !… Non ?

— Ah !…. Vu comme ça. Évidemment.

— Veux-tu commencer de suite ou préfères-tu revenir demain ?

— Je Veux bien commencé maintenant !

— OK !… Mais dis-moi comment tu tappelles. Que je connaisse au moins ton nom.

— Car. Caroline, Monsieur.. mais, vous pouvez mappeler « Caro » si vous voulez !

— Top-là ! Caro !…. Je te montre où se trouve le matériel.

Voilà, la jeune Caroline me suivre et écouter religieusement mes instructions de nettoyage. Je la laisse se débattre avec torchons et serviettes, avec brosses et raclettes et vais massoir dans mon divan.

Aussitôt revenue du placard, Caroline sempare de mon petit déjeuner et fait la petite vaisselle du matin. Ensuite, elle prend les poussières de la salle à mangé et du salon.

Je vois parfaitement quelle est déjà bien habituer à faire le ménage et nhésite pas une seconde dans ses gestes.

— Hum !…. Tu me semble compétente Caro !…. Je vais aller retirer mon annonce Jen ai pour cinq minutes !…. Tu sauras te débrouillée un peu seule ?

— Je Je Fit-elle en allant vers son sac à main et en retire un papier chiffonné !

— Mais ?…. Cest Cest mon annonce !

— Heu !… Oui, Monsieur !… Je voulais cette place à tout prix !

— Eh, ben !… Toi alors ! Quand tu veux quelque chose, tu y vas à fond !

— Pardonné-moi, Monsieur ! Dit-elle en baissant la tête comme une petite fille prise en flagrant délit.

Jai alors, devant moi, une gamine bandante à souhait et qui a un comportement de soumise. Mon sexe nen reste pas inerte et me voilà en train de bander devant cette jeunette.

Déjà, quelle est jolie en naturel mais devant sa façon de me regarder tout en baissant la tête et voûtant son dos, me donne des frissons dans tout le corps.

— Aller !… Je te pardonne !… Hahaha !… mais attention la prochaine fois. Cest la fessée !…. Hahaha !

— Heu !… Oui, Monsieur. Merci ! Dit-elle en baissant les yeux et semble attendre mes ordres.

Je la regarde en détail une fois de plus et me semble entendre un léger soupir qui sort de sa bouche.

— Bon !…. Continue ton travaille ! Dis-je dun ton ferme mais pas trop agressif.

— Tout Tout de suite, Monsieur !

Et voilà, ma petite Caro qui reprend son nettoyage là où elle lavait arrêtée. Je vais me rassoir dans le divan, mon sexe toujours aussi raide et la regarde tournoyer autour de moi en rangeant et nettoyant.

Elle passe laspirateur comme une pro et par deux fois passe au-dessus de la soufflerie sortant du grillage de laspirateur-traîneau, ce qui fait soulever sa robe dété et jai pu apercevoir une fesse nue.

Mon érection se renforce et je cherche un moyen den savoir plus sur ce quelle porte sous cette petite robe.

A-t-elle fait exprès de passer au-dessus de laspirateur, juste devant moi ? Ou bien cest un accident ! Lorsque, pour la deuxième fois sa robe se soulève sous la force du la soufflerie, je vois quelle me jette un regard hésitant.

Elle reste une ou deux secondes plus longtemps que nécessaire au-dessus de cette soufflerie et je comprends, cette fois, quelle la fait exprès.

Je vois parfaitement ses petites fesses dénudés mais aussi le tissu dun string bleu. Mon sexe tressaute dans mon pantalon et je suis prêt à lui saute dessus.

Je dois me retenir de toutes mes forces pour ne pas lui arracher sa robe, son string et lui fourrer ma bite dans son vagin.

— Heu !… monsieur ?… Dit elle en se redressant et éteignant laspirateur. Je dois aussi faire la chambre ?

— Ou Oui. Bien sur ! Dis-je en balbutiant.

Elle se rebaisse pour prendre laspirateur et le fait de façon, à bien me montrer ses fesses. Cette fois cen est trop pour mon âge et je file aux toilettes pour me masturber comme un ado.

Soulagé quelque peu, je retrouve Caro de dos dans ma chambre se couchant sur son ventre pour remettre un oreiller convenablement de lautre côté du lit.

Cette petite le fait exprès !… Ce nest pas possible ! Jai une fois de plus la vision de ses fesses dénudées et elle semble savoir parfaitement ce quelle fait.

Malgré tout les risque que comporte mes gestes et paroles, je risque le tout pour le tout et lui dit :

— Hé bien, petite Caro !…. Tu semble parfaitement te débrouillé avec le ménage Je crois que tu as réussi ton examen dentrée !

— Oh !…. Cest vrai ?…. Vous me gardez ?

— Oui !… Mais. Je voudrais que tu fasses le ménage en tenue. Heu. Plus. Sexy !

— Ah !….

— Heu !…. mais Si tu ne veux p.

— Comme ça ? Fit-elle en retirant sa petite robe et en se montrant en soutient et string pour tout vêtement.

Jen reste à nouveau bouche bée et les yeux exorbités devant tant daudace. Le pire cest quelle baisse la tête et mes ses mains derrière son dos.

Jai devant moi, une gamine de 18 ans, enfin presque, en petite tenue et prenant une position de soumise et qui semble attendre des ordres de ma part.

— Mets-toi a genoux ! Petite !… Dis-je dun ton ferme mais hésitant un peu.

Et voilà ma Caro se positionnée à genoux devant moi, les mains croisées dans son dos et la tête baissée.

Je nen peu plus et malgré ma masturbation toute récente, mon sexe est à nouveau dur comme de la pierre.

Je sors mon sexe de sa cachette et mapproche de Caroline. Mon gland touche son front et aussitôt elle ouvre la bouche me permettant de mettre mon sexe dedans.

Jai la surprise de sentir la bouche et la langue de la gamine, bouger faisant une fellation du tonnerre de dieu.

— Oh !…. Putain !…. Tu as fait cela toute ta vie !…. Ce nest pas possible ! Dis-je en appréciant inconditionnellement les sucions de mon sexe dans la bouche de Caro.

Le pire, cest quelle garde les mains dans son dos et les yeux baissés. Elle fait seulement bouger sa tête et prend un maximum de longueur de mon sexe au fond de sa bouche.

— Regarde-moi !… Petite !

Tout en continuant de bouger sa tête davant en arrière, elle soulève ses yeux et me regarde comme si, jétais un Dieu !

Je vois dans son regard une sorte dapaisement, de remerciement et de soumission totale. Je nen crois pas mes propres yeux et lorsque, je lui prends les cheveux pour accélérer ses mouvements, elle rabaisse son regard et se force à suivre les mouvements que jimpose à sa tête.

Dix minutes,. Dix minutes de pénétrations profondes avant de sentir mon sexe durcir et éjaculer au fond de sa gorge des quantités insoupçonnées de sperme, alors quun quart dheure avant javais déjà éjaculé une bonne dose dans les toilettes.

Caroline, avala lentièreté de ma jouissance et en ressortant mon sexe de sa bouche, je lentendis entre deux aspirations dair me dire :

— Mer Merci,. Mon. Maître !

— Maître ???

Mon dieu !, ce nétait pas possible, javais surement mal compris. En plus elle me remerciait davoir éjaculé dans sa bouche alors quune heure et demi plus tôt, je ne la connaissais même pas.

Caroline, après avoir repris une respiration normale, pris avec sa bouche, mon sexe mou et le nettoyant sans utiliser ses mains, toujours croisées dans son dos.

— Je Je peux continuer heu !… Le ménage heu !…. Maître ? Demanda-t-elle en se relevant mais évitant mon regard.

— Je Heu !… Oui.Bien sur ! Dis-je encore sous leffet de ma jouissance.

Et voilà ma petite Caro, toujours en petite tenue reprendre lentretien de mon appartement comme si rien ne cétait passé. Je nen revenais pas.

Je restai debout derrière elle à la regarder finir la chambre et se dirigée vers la cuisine afin dy prendre la raclette et un torchon.

Une demi-heure plus tard, Caroline, toujours en soutient et string se présenta devant moi, se mit à genoux et demanda si elle avait fini pour aujourdhui.

— Heu !… Oui,. Oui Bien sur, mais.

— Oui, Maître ?

— Ecoute, je ne suis pas habituer à cette façon de faire mais, je crois que tu me dois une petite explication, . Même si jai énormément apprécié ta façon de faire.

— Mer. Merci, heu !…. Maître !… En fait, je vous connais dil y a cinq ans, Maître !

— 5 ans ???

— Oui, Maître, javais treize ans à lépoque et vous avez été mon professeur cette année là.

— Caroline ????…. Mais, ouiiiii !…. Bien sur !…. Je me rappelle maintenant ! Dis-je en me remémorant cette année un peu folle avant de prendre ma pension.

Cétait une de mes dernières années de cours et javais eu une classe assez difficile. Les garçons étant plus nombreux que les filles cette année-là et les filles étant particulièrement jolies ce sont fait chambrer toute lannée par les garçons en pleine période hormonale.

Les garçons de 13, 14 ans se croient déjà des hommes et veulent le prouver aux filles. Cest plus dune fois que jai du intervenir pour éviter un drame et entre-autre, jai défendu cette petite Caroline qui apparemment sétait fait entraînée dans une partie sexuelle ou elle était la seule fille pour 7 garçons mal intentionnés envers elle.

Jai retrouvé Caroline, nue et attachée à une poutre de soutient dans les greniers de lécole. Les garçons avaient tous la quéquette à lair et plusieurs dentre eux, caressaient la fille à leur merci.

Je me rappelais, à ce moment précis que Caroline se laissait faire et ne criait pas. Jai évidemment remis de lordre dans ce grenier et délivrer la fillette.

Je me rappelais aussi, quau moment ou Caroline fut rhabillée, elle me demanda de ne rien dire car cétait de sa faute. Elle avait, soi-disant pariée avec les garçons et quil ne fallait pas les punir.

Étonne par ces propos, je pris chaque garçons à part et tous me racontèrent leur soi-disant pari.

Je ne crus aucun deux mais, comme ils étaient tous présent lorsque Caroline men parla, ils reprirent cette excuse de pari tous en cur.

Je décidai de ne pas faire déclat quelques années avant ma pension et ne dit rien à personne. Cette année-là, je nai eu quun seul élève à échouer son année et il ne faisait pas partie du groupe de sept.

Caroline, fut dans les premières de classe et lors du jour de fin dannée, elle me remercia en me disant :

— Monsieur, Bernard,. Si un jour, je vous rencontre,. Je vous appellerai Maître car, Grâce à vous, je nai pas été violée et les garçons mont laissée tranquille le reste de lannée.

— Oh !… Petite, je ne te demande rien et surtout de ne plus parler de ça !

— Nempêche, Monsieur Bernard, vous être une sorte de Dieu pour moi !

— Allons, nexagérée rien ! Cest normal ce que jai fais !

Elle est partie et je ne lai pas revue lannée suivante dans lécole.

Caroline me regardait et avais sur la figure une petit sourire en voyant que je me rappelais delle et surtout de ce qui sétait passé cette année-là.

— Mais comment Heu !….. Comment mas-tu retrouvée ?

— Cest votre petite annonce, Maître !…. Jétais dans le magasin lorsque vous lavez affichée et de toute façon, je vous vois souvent car, jhabite, pas loin de chez vous.

— Tu, Tu mespionnes ?

— Oh !…. Non, Maître, Jamais !

— Et alors ?….

— Jai attendu davoir 18 ans pour vous abordée à nouveau.

— Mais, tu nas pas encore 18 ans !

— Je sais, Maître mais, en voyant votre annonce, jai risquée le tout pour le tout.

— Et tu es satisfaite ?

— Plus que vous ne pouvez vous imaginer, Maître.

— Si, je comprends bien ta démarche, tu viens faire le ménage chez moi mais en fait, tu voudrais devenir ma petite esclave sexuel !…. Cest ça ?

— Heu !… Ou. Oui, Maître !

— Et tes parents ?…. Ils sont au courant de tes envies ?

— Non,. Mais, jai bientôt 18 ans, ils ne pourront plus rien me dire !

— Comme tu y vas !

— Vous. Vous êtes daccord de me garder comme femme de ménage et autre ?…

— Bien sur !…. Vient ici !…. Mets-toi à genoux entre mes jambes.

Aussitôt dit, aussitôt fait, javais Caroline, à genoux entre mes jambes ouvertes et de sa propre initiative, elle mit ses mains sur la tête.

Je lai regardé comme un joyau et elle baissa les yeux comme une parfaite soumise. Jallai dans ma poche arrière retirer mon portefeuille et en tira un billet de cinquante.

— Voilà, petite esclave, tes 25 euros pour le ménage et 25 autres pour cette délicieuse pipe que tu mas faite !

— Oh !…. Non Maître, Je suis daccord pour le ménage, mais le reste je ne veux pas dargent !…. Je veux rester simplement, un jouet sexuel pour vous Maître !

Cen était trop, mon sexe repris du volume en entendant les paroles de cette gamine dont jaurais pu être le grand-père.

— Ok ! petite, je te paie déjà pour la prochaine prestation.

— Je Je reviens quand, Maître.

— Quand tu veux !…. On est mercredi !…. Si tu veux revient Vendredi !…. Ok ?

— Comme vous voulez Maître !… Mais.

— Tu veux venir demain ?

— Cest vous qui décidé, moi, je reste. À votre disposition.Heu !…. à tout point de vue.

— Hum !!!!…. Cest presque une proposition heu !…. Malhonnête.ça ! Hahaha !

— Je. Je suis disponible.Heu !…. Quand vous en avez . Heu !…. Envie.

— Tu veux me faire comprendre que chaque fois que jai les. Heu !… Couilles pleines. Tu es à ma disposition ?…. Cest ça ?

— Oui, Maître !

— Bien alors revient, demain !

— Merci, Maître.. Je peux aller ou vous avez encore.

— Non, vas-y petite !…. deux fois en une matinée,. Cest déjà bien !

— Deux fois ???

Elle se releva étonnée de ce que je venais de dire mais, visiblement elle ne savait pas que jétais allé me masturber aux toilettes, en début de sa prestation.

— Heu !…. Maître ?

— Oui ?

— Pour ma tenue de travail ?….

— Comme aujourdhui !…. Cest parfait !

— Merci, Maître ! Dit-elle en se rhabillant.

Je lai raccompagnée à la porte et lui caressai les fesses, juste avant quelle ne sorte de lappartement.

— Heu !…. Caro ?…. Donne-moi ton GSM. Au cas où.

— Bien sur, Maître !…. Jaurais du y pensée moi-même !… Nhésitez pas à mappeler si vous en avez envie, Maître.

Et me voilà seul au milieu de mon appartement en me demandant si, je navais pas rêver.

La sonnerie de lappartement retentit dans laprès-midi et cest Caroline, qui me demanda à quelle heure devait-elle venir demain.

Je linvitai à monter ce quelle fit immédiatement. En refermant la porte de lappartement derrière elle, je vis avec stupéfaction quelle entra dans mon salon, et ne voyant personne dautre que moi, ôta sa petite robe dété, se positionna à genoux les mains sur la tête et le regard au sol.

— Je Je suis à votre service. Maître ! Dit-elle en bafouillant un peu.

Elle devait avoir lu ou vu des histoires ou films porno pour réagir comme elle le faisait. À son âge, aucune fille ne savait autant sur la soumission et la domination sans avoir lu des bouquins sur le sujet. Apparemment, ma petite Caro savait comme sy prendre et surtout semblait connaitre mes penchants pour la domination.

Je me rappelai alors, que jétais un prof sévère et quen générale mes classes restaient calmes sous mon autorité innée. Faut dire que ma taille, y était pour beaucoup.

Avait-elle décelée, cette tendance dominatrice dans la façon dont, je donnais cours ? Je ne le su jamais mais, appréciait au plus haut point sa conduite envers moi.

Je jouai le jeu et lui ordonna de se déshabillée complètement et de reprendre sa position de soumise. Caroline mobéis aussitôt et se retrouva complètement nue, à genoux bien écartés, les mains sur la tête et le regard vers le sol.

Je pus enfin voir son minou rasé de près et ses petits seins fermes et dont les tétons semblaient bien durs.

Je mapprochai delle me penchai un peu net malaxa un de ses seins. Je passai à lautre et apprécier leur fermetés. Ma main droite descendit, jusqu’à son pubis chauve et mon doigt sinsinua dans sa fente terriblement humide déjà.

Elle mouillait comme pas deux et semblait aimer ce que je lui faisais. Je trouvai rapidement son clitoris et le caressa délicatement.

Les soupirs que fit Caro en dirent long sur son état dexcitation. Mon autre main descendit vers son anus et me voilà en train de la doigtée, des deux côtés à la fois.

La pauvre, se mordait les lèvres pour ne pas crier son plaisir, dix minutes de caresse suffirent à la faire jouir et au moment de sa jouissance, mon doigt sur son anus senfonça complètement et celui sur son clito rejoint le premier séparer de la mince paroi que sépare anus et vagin. Je restais cependant juste à lentrée de son vagin contrairement à son anus dans lequel mon doigt était totalement enfoncé.

Un véritable jet de cyprine sorti de son vagin, suivit dun deuxième moins abondant mais, tout aussi puissant. Ma main et le sol en fut aspergée et je compris que Caroline était une femme fontaine.

Je retirai mes doigts des deux côtés et lai prise par le dessous des bras. Je lai portée jusqu’à la table de la salle à manger qui se trouva juste derrière nous, lai mise assise dessus et plongé ma tête entre ses cuisses.

Caroline écarta ses jambes au maximum, me permettant davoir un accès total à son vagin mais aussi à son anus.

Je lai léchée comme un fou, jouant avec son clitoris comme si cétait un sexe. Ma langue explora profondément vagin et anus et lorsque ses cuisses se refermèrent sur ma tête, lemprisonnant avec force, je reçu avec plaisir ses deux ou trois jets de cyprine au moment de sa jouissance, confirmant sil le fallait, quelle était bien une femme fontaine.

Javalai ce nectar avec un plaisir certain et lorsque, je me redressai, sorti mon sexe tendu à mort et mintroduisit en elle assez sauvagement, je me rendis compte que je la déflorais.

— Tu Tu es encore vierge ?….

Il était trop tard pour reculer, mon sexe touchant le fond de son vagin détrempé. Je restai un moment sans bouger en elle, le temps quelle shabitue à mon sexe et cest elle qui commença à donner de petits coups de rein avec son bassin.

Empoignant ses cuisses avec mes bras, je commençai à la limer comme un menuisier rabotant une grosse poutre.

Elle criait en essayant de se retenir au maximum à chaque fois que mon sexe touchait le fond de son vagin. Ces cris, firent monter rapidement mon adrénaline à un taux maximum et jéjaculai en elle avec force et abondance.

Trois fois en une journée. Cela devenait un véritable exploit. Cétait sans connaitre mes propres ressources et surtout la libido de ma petite esclave.

Je restai profondément en elle, jusqu’à la sortie naturelle de mon sexe ramolli de son vagin. Je reculai de quelques pas, Caro, descendit de la table, mis ses mains sur la tête et sagenouilla devant moi. Elle prit avec sa bouche mon sexe mou et le nettoya comme si sa vie en dépendait. Ce qui eut comme conséquence de me redonner un début dérection.

— Mon dieu !… Mai, tu es une vraie sorcière !… Cest la quatrième fois que je bande aujourdhui grâce à toi !

— Je suis heureuse de ça Maître ! Dit-elle en relâchant mon sexe net et propre comme un sou neuf

Je reculai et vis sur lintérieur de ses cuisses mon sperme sécouler lentement vers le sol, sur lequel une petite flaque de sperme sy trouvait déjà.

Caroline suivit mon regard et voyant le sperme sur le sol, se recula, se baissa et commença à lécher le sol. En quelques coups de langue mon sperme était passé du sol à son estomac car, elle avalait tout ce quelle récoltait. Le plus beau dans ce tableau cest quelle le faisait les mains sur la tête. À ce demandé comment, faisait-elle pour ne pas tomber en avant.

Encore sous le choc de mon plaisir et de voir ma petite esclave se donner autant de mal pour nettoyer le sol de mon sperme je lui fis la proposition suivante :

— Caro, ma petite esclave !…. Veux-tu venir habiter avec moi ?

— Je Oh Ouiiiiii !…. Cria-t-elle en se redressant et me regardant avec incrédulité.. Cest vrai ?…. Vous voulez que.

— Ben oui, je ne pourrai surement, jamais trouver une autre fille comme toi. Tu es jeune, jolie et soumise comme jaime. Je ne pourrai jamais trouver mieux.

— Je Suis daccord Maître, Cest mon plus grand désir dêtre votre jouet sexuel.

Je nen revenais pas !…. Tout ce bonheur, cette chance me tombait dessus sans que je ne my attende. Cétait trop beau ! Il y avait surement un piège ou un os qui se cachait dessous !

Mais, voilà. Trois semaine plus tard, je me tordais de plaisir sur le corps de ma petite esclaves dont tous les orifices navaient plus aucun secret pour moi, mon ménage était impeccable et si pour la bouffe elle manquait dexpérience, elle saméliorait de jour en jour.

Je pris sur moi, le jour de ses 18 ans, de lemmenée sur lile Maurice pour une quinzaine de jours. Je ne pu que constater son intelligence et sa servitude envers moi, pendant ces 15 jours de rêves. Elle se comportait en public comme une jeune fille normale mappelant « Monsieur Bernard » mais, se laissant complètement aller, lorsquon était dans le bungalow. Là elle redevenait ma petite soumise totale.

Bien sur, les gens nétait pas dupent et voyaient bien que quelque chose de plus intime nous unissait. Jamais elle ne membrassa en public, seul un baiser chaste sur la joue lorsque, je lui offrais un vêtement, un bijou ou autre chose que les jeunes filles adorent.

Pour le personnel de lhôtel, cétait soit ma fille, soit, une nièce aucun geste équivoque de sa part ou de la mienne ne pouvait leur faire croire à une autre solution.

À la plage elle se faisait draguée par une bande de jeune sans quelle réponde à leurs avances. Cest moi qui un soir, lui proposa de sortir avec eux pour danser et samuser.

— Oh, non, Maître !… Je ne pourrais pas être loin de vous !

— Ecoute, je vais avec toi et te laisse faire pour danser avec eux !… Ok ?

— Si vous rester toujours présent Je veux bien essayer !

— Ok, pour ce soir ?

— Ok Maître !

Je pus admirer ses talents pour la danse et aussi voir combien, elle résista aux avances des garçons. Il faut dire que ma présence au bar les empêchait daller trop loin. Je fais quand même, 1,90m et pèse 120 kilo exempt de graisse superflue.

Caroline dansa, jusqu’à une heure du matin et rentra fatiguée au bungalow en me prenant le bras. Seul geste intime quelle sétait autorisée en publique.

Nous sommes revenus bronzés comme jamais et notre vie repris comme avant sauf que trottait dans ma tête une idée pour lui donner en retour ce quelle me donnait actuellement.

Je nétais pas vraiment riche, mais possédait quand même quelques biens et un peu dargent. Nayant, ni enfant, ni frères et surs, je savais que si, je mourrais, tous ces biens iraient du côté de la famille de mon épouse décédée.

Je lui fis la surprise daller chez un Notaire qui nous conseilla simplement de se marier et de faire de Caroline, ma seule légataire universel.

Elle fut directement daccord et je mempressai de moccuper des papiers et autorisations nécessaires à cette future union.

Il fut décidé de légaliser cette union pas comme les autres et trois mois plus tard et dans une totale discrétion. Seuls les témoins furent présents à la Mairie. Caroline entra dans mon appartement, cette fois, comme épouse. Je ne sus jamais comment ses parents réagirent. Elle nen parlait jamais et jévitai toutes questions sur le sujet, trop heureux de posséder un tel joyau.

Je pouvais lutiliser comme bon me semble, à toute heure du jour et de la nuit. Elle se comportait absolument et totalement soumise et prenait parfois des initiatives toujours agréables et acceptables pour moi.

Elle se comportait parfaitement en épouse modèle lors de nos sorties dans le monde que lorsque, je recevais des amis. Je fus évidemment charrier pour avoir une épouse aussi jeune et serviable mais surtout, aussi jolie. Je perdis cependant toutes mes connaissances féminines qui visiblement ne me pardonnaient pas la jeunesse de ma nouvelle épouse.

Notre relation évolua quelques peu en pratiquant un SM soft, bondage et fessées. Après un an de parfait bonheur pour tous les deux, je décidai daller plus loin avec elle.

Je voulais que dautres types de mon âge, puissent profiter de ma soumise. Je lui en parlai et elle accepta directement.

Caroline, était visiblement prête à tout pour me satisfaire.

Ce fut un crescendo de plaisir et de jouissances sans fin mais,. Cest une autre histoire !

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