(… suite… )

Je me retrouvais assis sur mon lit, la tête entre les mains comment ce faisait-il que je succombais aussi vite ? Il mavait juste caressé la cuisse, puis ensuite embrassé dans le cou, et jétais parti à 100 à lheure ! Pourquoi étais-je si vite excité ? Pourquoi faire lamour avec ces hommes était si bon ? Javais joui au moins trois fois, avec des sensations exquises, de plus en plus fortes, dans tous le corps ! Était-ce normal ? Pourquoi Will avait-il souligné mes qualités, étais-je vraiment né pour ça ? Etais-je si doué ? Je sentais que je sombrais de plus en plus dans ce plaisir, dans ces sensations orgasmiques, et que cela ne me déplaisait pas Je mendormis comme ça, sur le lit, lodeur du sperme encore un peu sur mon visage, et fit des rêves érotiques, dans lesquels des hommes usaient et abusaient de moi

Je me réveillais le lendemain matin, encore passablement excité et avec une grosse envie de faire pipi ! Je mis en vitesse une petite culotte en coton, blanche, qui épousait la forme de mon derrière, dévoilant tout de même la moitié de mes fesses, passais le débardeur, et courus dans le couloir jusquau wc, où jarrivais juste à temps pour me soulager ouuuuf Je me sentais plus calme, la tête froide, les sens apaisé, javais pris la décision de ne plus me laisser séduire, cétait trop dangereux, je risquais de sombrer pour de bon ! Je sortis des wc avec cette ferme résolution

Soudain, une main se posa sur mes fesses

— Bien dormi ? Dis, ça tombe bien que je tombe sur toi Will heu aimerait quon prolonge ce quon a fait hier soir il na eu que ta bouche et il aimerait essayer ton petit trou

Vas-y ! Dis-lui non ! Dis-lui que tu ne veux plus !

Sa main passa sous le slip, longeant le sillon de mes fesses puis se retire il sentit que jessayais de méloigner de lui

— Je je

Il se colla alors à moi, je sentis la bosse qui déformait son short frotter doucement entre mes fesses Son poitrail puissant se colla à mon dos, il caressa doucement mon ventre, embrassa mon cou, puis murmura à mon oreille « Cest toi qui la dit hier, tu ne peux nous laisser dans cet état ! »

Dis-lui non ! Tiens-toi à ta décision ! La voix hurlait dans ma tête Mais mes jambes tremblaient déjà, tandis que le rouge me montait aux joues je sentais son membre dur contre mes fesses, ses lèvres chaudes dans mon cou je commençais déjà à bander Il sortit son sexe de son short, et le frotta directement contre mes fesses puis il prit ma main, et la posa sur son membre, si dur, si chaud jen avais déjà tellement envie ! Ma main coulissait le long de la peau douce, suivant la hampe, se perdant dans ses testicules, les caressant doucement, puis remontant le long de la hampe dure, son gland, doux et déjà un peu humide

Je me laissais entraîner vers la chambre toujours ma main sur son sexe bandé, comme hypnotisé par ce pieu de chaire nous entrâmes, seul Will était dans la chambre. Mike lui fit un signe « oui » de la tête, et tout content, Will sapprocha de moi Déjà la bouche de Mike était contre la mienne, nos langues se mélangeant, à une vitesse folle, et Will descendit ma petite culotte de coton sans faire dhistoire il embrassa mes fesses, me lécha le sillon, lanus, Mike sassit sur le lit, je me mis à quatre pattes et commençais à lui lécher le sexe, tandis que Will, derrière-moi, présentait son sexe tendu entre mes fesses, poussant son gland contre mon anus il ne pouvait vraiment pas attendre ! Nous avions la même position que la veille, Mike et Will ayant intervertis les rôles

Le sexe de Will était plus court, mais plus gros que celui de Mike, et sa pénétration réveilla un peu les douleurs de mon dépucelage anal mais je me concentrais pour sucer le sexe de Mike, et après quelques aller et venues en moi, mon anus se fit aux proportions de Will qui vu son sexe plus court, tapait encore mieux sur ce point qui me donnait tant de plaisir je commençais à nouveau à sentir le plaisir se diffuser dans tout mon corps, et je suçais Mike avec encore plus de gourmandise Je nentendis pas la porte claquer, ni ne vis le troisième marin qui était entré Je lentendis bredouiller quelques excuses pour nous avoir dérangés, mais ensuite il ne sortit pas, nous zyeutant du coin de lil, je le vis sortir son sexe, et commencer à se masturber lentement en nous regardant

Soudain, je sentis le vide dans mon petit derrière : Will sétait retiré je le regardais, interrogateur, dire que jétais sur le point de jouir vu ses coups de boutoir ! Il se coucha sur le sol, le sexe tendu, et minvita à venir my empaler Ainsi, je pourrai moccuper de Mike et de lautre marin, pas de jaloux ! Je souris et hochais la tête jabandonnais quelques instants le beau pénis de Mike et allais masseoir sur le ventre de Will Dabord, je frottais mon petit sexe contre le sien, histoire de jouer un peu, tandis quil me caressais le dos, les fesses Mike et lautre marin sapprochèrent, se branlant lentement Puis je levais mon bassin, positionnais mon anus contre le gland de Will et lentement me rassit, sentant son sexe joufflu me pénétrer centimètre par centimètre cétait tellement bon que jen jouis instantanément ! Tandis que mon sperme coulait le long de mon sexe, Will mattrapa par les hanches, et recommença à aller et venir en moi, tandis que mon bassin accompagnait ses mouvements et que Mike et lautre marin approchèrent Ma main attrapa le sexe de Mike, ma main droite celle du marin, et je les masturbais, ma bouche allant lécher un gland, puis lautre

Submergé de plaisir, je perdis pied mon bassin allait et venait de lui-même le long du sexe de Will, qui ne faisait, plus rien, mon cul faisait tout, tandis que je léchais, suçait, me frappait les joues, avec les sexes de Mike et de lautre marin, lun puis lautre lodeur mâle de nos ébats emplit la pièce, mexcitant encore plus Je jouis une seconde fois, tandis que le sexe de Will commença à battre comme un fou dans mon cul, et quil éjacula une quantité impressionnante de sperme chaud dans mon rectum Je sentais les deux autres près à éjaculer aussi, je le voulais sur moi, je voulais être couvert de leur sperme chaud Je malaxais donc doucement leurs testicules, la bouche ouverte, la langue tirée, suppliant pour leur sperme, tandis quils astiquaient leur superbe manche, de plus en plus vite soudain une giclée matteint sur la joue, une autre sur le front ils éjaculèrent en même temps et je sentis lodeur forte sur mon visage, lodeur du sperme une troisième giclée atterrit sur ma langue, une autre sur mes lèvres je lavalais goulûment, me pourléchant les lèvres, puis ouvrit à nouveau la bouche Mike enfonça son sexe dans ma bouche, je le léchais, surtout le gland, attrapant le peu de sperme qui en coulait encore, puis fis de même pour lautre marin Du sperme coulait de mon cul, doù le sexe de Will était sorti, débandé mais couvert de son propre sperme, qui coulait encore de mon anus ouvert je me tournais donc, et léchais son pénis débandé, lapant tout le sperme qui le couvrait Les deux autres faisait des commentaires grivois, me caressaient ou me frappaient doucement les fesses jétais dans un état second, un état orgasmique A ma plus grande confusion, je sentais que je devenais accroc à ces plaisirs !

Je les quittais et alla prendre une longue douche, bien chaude, pour me remettre les idées en place plus je faisais lamour avec ces hommes, plus jaimais ça, et plus jen avais envie cétait une sorte de cercle vicieux, et je me demandais si javais envie den sortir

En sortant de la douche, je croisais le Capitaine.

— Ecoute, demain nous accosterons au port de Praia, la capitale du Cap Vert. Je préfère quon ne te voie pas, donc reste dans ta cabine. Je ferai descendre ton repas. Tu pourras en sortir dès que nous serons à nouveau en mer, daccord ?

Je hochais de la tête. Avais-je le choix, de toute façon ? Si les autorités me prenaient, ce serait retour à la maison, et mon père se chargerait de me réserver un comité daccueil que je ne risquais pas doublier de sitôt !

Après mêtre habillé plus décemment, je passais le reste de la journée à flâner sur le pont, regardant les côtes africaines défiler au loin, puis je donnais un coup de main au Doc, pour la vaisselle, et monter les ingrédients de la réserve en cuisine. Sa main ségara plusieurs fois sur mes fesses, sous ma jupe courte, mais je me laissais faire, le rouge aux joues et mon cur battant à chaque fois la chamade Je dînais seul, et réussis à méclipser juste avant que les autres marins ne viennent prendre leur repas. Le doc mavait prêté deux ou trois livres, je commençais le premier dans ma cabine, et lus jusquà tomber de fatigue.

Le lendemain, après une rapide douche, juste vêtu dun T-shirt aux bords à dentelles, trop long pour moi – il faisait presque mini-chemise de nuit -, je passais juste aux toilettes avant de menfermer dans ma cabine, pour passer la journée à lire. Dans ces toilettes, il y avait quatre cabines-wc, face à la porte, et sur la gauche, des lavabos pour se laver les mains et cinq urinoirs. Je me dirigeais vers les urinoirs, quand une voix marrêta.

— Hep là, tu fais quoi ?

Je sursautais ! Je navais pas vu le second, qui était face au dernier urinoir. Son sexe sorti de son pantalon. Et quel sexe ! Même débandé, il était impressionnant !

— Mais je dois

Je montrais les urinoirs, pour lui faire comprendre mon besoin pressant

— Tsss ici cest les toilettes pour homme ! Toi tu fais assis, comme la garce que tu es, compris !

Il vint vers moi et me poussa vers les cabines jentrais dans la première, et voulus fermer la porte, mais il men empêcha.

— Non, non, je veux voir que tu mobéis, et que tu le fais bien assis

Il était impressionnant, de par sa carrure imposante, sa grande taille, sn crâne tout rasé, sa voix, dure et râpeuse, tellement virile. Je massis donc sur le cabinet, relevant au maximum le T-shirt. Il me regarda. Jétais gêné comme jamais, cest la première fois que quelquun me regardait faire pipi ! Mais cétait urgent, je ne pus me retenir longtemps le jet jaune clair coula dans le wc, avec ce bruit caractéristique, sous les regards du second, qui semblait satisfait

— Bien ! A partir de maintenant, tu ne fais plus que comme ça, compris !

— Oui ! Compris !

Fis-je, le rouge aux joues mais mon humiliation ne sarrêta pas là.

— Maintenant secoue-le, jusquà la dernière goutte ! Puis essuies-toi !

Je le fis, gêné dêtre ainsi observé. Je secouais mon sexe, qui se recroquevillait de honte, puis arrachis une feuille de papier wc, et essuyait le bout de mon sexe, humide durine.

— Et noublie pas daller te laver les mains !

Je mexécutais à nouveau, tandis que lui retournais vers les urinoirs. Tout en me lavant puis messuyant les mains, je narrivais pas à regarder autre chose que son sexe et il sen aperçut !

— Bon, au lieu de mater, tas quà venir maider !

Presque comme un somnambule, ou quelquun dhypnotisé, hypnotisé par ce membre de chaire, je mavançais vers lui

— Tiens-le moi !

Ma main se ferme sur le phallus de chaire bon sang, que jaimais cette sensation ! La peau douce, tiède, ce membre qui prenait doucement une certaine rigidité je tirais doucement, le décalottant soudain, il devint plus vibrant, je compris ce qui arrivait je pointais son membre vers lurinoir un jet puissant sortit, un peu plus jaune que le mien, plus puissant aussi de la chaleur sen dégageait, que ma main pouvait ressentir je tenais fermement son membre, il se vida dans lurinoir, jusquà ce que le jet devint moins puissant, puis intermittent, puis quelques gouttes je secouais doucement son membre, jusquà ce quil ny ait plus de gouttes, pourtant ma main continuait à aller et venir le long du membre, qui doucement prenait plus dampleur, plus de rigidité, plus de grosseur je le masturbais lentement, sensuellement, jusquà ce quil bande au maximum sa main puissante appuya sur mon épaule, pour me faire agenouiller je savais ce quil voulait, et je le voulais aussi je me retrouvais à genoux devant ce membre bandé, et lorsquil attira ma tête vers lui, je me laissais faire son gland, encore un peu humide, vint doucement se frotter à mes lèvres jétais à nouveau dans un état second, excité, et sans penser à rien, sans dégoût, mais avec beaucoup denvie, ma langue sortit, lécha le gland, la hampe, avant denfourner ce sexe dans ma bouche je le laissais dicter le rythme, guidant ma tête de sa main puissante le long de son membre de chair, qui allait et venait, frottant ma langue, mon palais, remplissant ma bouche, me faisant saliver de par sa grosseur et sa grandeur mes mains accrochées à ses cuisses puissantes, je le laissais mutiliser pour se donner du plaisir, et cela mexcitais follement ! Lorsque je le sentis se cabrer dans ma bouche, je lui massais doucement et gentiment les testicules, tandis quil explosait en moi, éjaculant un sperme abondant, que javalais, au fur et à mesure quil se déchargeait en moi

Je lui léchais bien le gland et la hampe, pour le nettoyer, puis me remis debout. Tout en rentrant son membre dans son caleçon, et refermant sa braguette, il vit mon sexe, bandé sous le T-shirt.

— Dis-moi, tu as déjà déjeuné, les tartines quon ta apporté ?

Je fis non de la tête. Doc mavait en effet apporté des tartines et un petit thermos de café au matin, mais javais préféré dabord venir prendre ma douche.

— Bien, alors écoute : je veux que tu retournes dans ta chambre, et que tu te masturbe, en pensant à mon sexe bandé. Et lorsque tu sens que tu vas jouir, je veux que tu éjacule sur tes tartines, puis tu les manges, compris ?

Le rouge me monta à nouveau aux joues. Je fis oui de la tête.

— Bon vas-y ! On va bientôt accoster, vaut mieux que le Capitaine ne te trouve pas dans les couloirs, file !

Je sortis, le goût de son sperme en bouche, la tête qui me tournait dexcitation javais encore cédé, jen avais encore eu envie je devenais de plus en plus accroc au sexe ! En entrant dans ma cabine, je vis les tartines, sur un plateau, sur le bureau. Mon sexe était toujours bandé, et sans même me poser de question, je mapprochais du bureau, enlevais le T-shirt et me masturbais comme un fou je repensais à son membre que je tenais tandis que lurine sne échappait en un jet puissant, je repensais à son sexe bander sous ma main, puis tout dur dans ma bouche, à la façon virile dont il sétait servi de moi pour se faire plaisir, à son sperme qui me remplissait la bouche, tandis que je caressait ses bourses, velues cela ne tarda pas à me faire venir, mon sperme se répandant en taches blanchâtres sur les tartines de pain complet encore excité, je léchais mon sperme sur le pain avant de manger avec gourmandise les tartines

Je me jetais sur le lit, pour me calmer Je métais rendus compte que mon plaisir était moins grand en me masturbant je ressentais beaucoup plus de plaisir quand jéjaculais tout seul, sans me toucher, une verge dans la bouche ou dans le cul Ah que tout cela était confusant

Je passais le reste de la journée à lire, dans ma cabine, tentant de penser à autre chose quau sexe, quà mon excitation sans cesse grandissante. Jentendis les sirènes du bateau, des bruits de voix, des bruits dû au chargement et au déchargement des containers, me je ne vis rien, le hublot de ma cabine donnant sur le large, pas sur le port.

Vers la fin de la journée, jentendis les sirènes du bateau, et sentis les moteurs se remettre en route, nous quittions déjà le port, pour traverser lAtlantique vers le Brésil !

Le soir tomba bien vite, et le Capitaine minvita à nouveau dans sa cabine. Je devinais ce qui allait arriver, pourtant je ne fus pas capable de choisir des vêtements « sages ». A nouveau, lexcitation intérieure prenait le dessus je choisis des bas résilles, un string en dentelle noire et une robe noire très moulante et très courte. Je ramenais mes cheveux en queue de cheval, comme une des filles des magazines pornos, que jaimais beaucoup, la trouvant très jolie. Pour peaufiner le look, je mis le ruban noir ras-du-cou avec la verroterie bleue de ma mère. Et jessayais de tenir dans les escarpins, malgré le mal aux pieds quils moccasionnaient

Lorsque je rentrais dans la cabine du Capitaine, mon premier réflexe fut de regarder mon allure dans le grand miroir, près de son lit. Me voir si jolie rajoutait à ma confusion autant quà mon excitation Le Capitaine sourit, et minvita à masseoir. Nous mangeâmes une salade de riz avec des fruits exotiques et des crevettes, avec ce bon vin blanc, qui me grisa assez rapidement. Jécoutais le Capitaine me parler du chargement des containers qui sétait bien passé, du port de Praia, de lîle du Cap vert je lécoutais, hochant la tête, et au fur et à mesure que le vin me faisait de leffet, le dévorant des yeux et riant à ses plaisanteries, même si elles nétaient pas toujours drôles (ou que je ne les comprenais pas !).

Le dîner terminé, il recula sa chaise, et minvita à venir masseoir sur ses genoux, comme le premier soir où javais dîné avec lui Tant de choses cétaient passées depuis ! Ce premier soir jétais encore pucelle, maintenant je commençais à comprendre ce pouvoir de séduction, et jy succombais à cause du plaisir, ce plaisir intense, qui me rendait fou Je me levais donc, et dune démarche chaloupée (tant à cause des escarpins que du vin blanc), je vins jusquà lui Je massis sur ses genoux, entoura son cou de mes bras, et plongeais mes lèvres vers les siennes étonné du changement dattitude dans un premier temps, il se reprit vite, et me rendit le baiser, nos langues dansant passionnément ensemble, ses mains entourant ma taille dune manière si virile

Nos bouches se séparèrent, javais les joues autant que les sens en feu il sourit, et me demanda de ramasser un paquet par terre, près de sa chaise. Je quittais ses genoux, et me penchais pour ramasser le paquet, mais de manière provoquante, mon petit cul bien vers lui je sentis en me penchant la robe remonter jusquà la moitié de mes fesses il devait avoir une vue sur la dentelle noire du string qui passait entre mes fesses pâles fesses quil caressa virilement je bandais déjà comme un fou dans mon string

— Cest ce que mon ami du Brésil ma envoyé pour toi ! Ouvre-le !

Je posais le paquet sur la table, curieux. Je restais toujours un peu penché, pour lui laisser la vue sur mes fesses, tandis quavec son couteau je coupais la corde qui entourait le paquet. Que mavait-il acheté ? Un bijou ? Une concession pour une mine brésilienne ? Des vêtements de là-bas ? Un passeport ou un permis de séjour ?

Jouvris le paquet et fus un peu décontenancé il y avait des médicaments, en cachet et en goutte et une notice, expliquant dans un français très approximatif quoi prendre, dans quel ordre, comment et quand

Le Capitaine se leva. Pendant que javais regardé le colis, il avait sorti son membre raide de son pantalon, membre quil plaça entre mes fesses, se branlant contre la raie de mes fesses tout en me murmurant à loreille « ce sont des hormones. Un traitement complet. Je veux que tu les prennes, comme indiqué sur le papier. Tu vas voir, ça ve te rendre encore plus femme, plus belle, plus en adéquation avec ton corps et ta tête, ce que tu ressens et ce que tu es »

Je voulus répondre, mais il suça le lobe de mon oreille, avant de membrasser dans le coup, me faisant frissonner et son membre, si dur, si tiède, qui se frottait entre mes fesses bon sang, cest fou, mais je le voulais en moi là maintenant je voulais quil me prenne et il en avait bien lintention !

Il déplaça la dentelle du string, libérant laccès à mon anus il trempa un de ses doigts dans son verre de vin blanc puis suspendit son doigt au-dessus de ma rondelle je sentis le vin, frais, couler goutte à goutte sur et autour de ma rondelle son doigt mouillé se fit caressant, puis sintroduisit en moi il recommença son jeu plusieurs fois, puis fit de même avec son pré-sperme il en enduisit ma rondelle avant de me doigter ce petit jeu me mettait un peu sur les nerfs, bon sang, ce nest pas son doigt que je voulais en moi soudain son gland gonflé de désire caressa ma rondelle caressa encore et encore il ne voulait pas sintroduire en moi ! Frustré, emplis de désir, cest moi qui recula mon bassin, appuyant ma rondelle contre son gland jusquà ce quil entre en moi, enfin ! Que cétait bon ! Centimètre par centimètre, le gland, puis la hampe passèrent mon anus, me pénétrèrent jen éjaculais dans le string noir alors ses mains viriles se refermèrent sur mes hanches, et il commença à aller et venir en moi, son désire aussi à son comble que le mien il allait et venait furieusement, me tenant fermement, moi penché, les bras sur la table, je sentais ses testicules frapper le bas de mes fesses à chaque coups de boutoir que cétait bon ! Jétais déjà dans un état orgasmique, ne ressentant que plaisir, de mon sexe coulant sans arrêt un sperme assez liquide Il senfonça bien en moi, au plus profond, tandis que jahanais des sons inarticulés, le sentant éjaculer au plus profond de moi, sa semence chaude me remplissant

Il resta fiché encore quelques minutes en moi, jusquà ce que son sexe débande tout à fait puis il sortit de moi, me laissant un grand vide, et il se laissa tomber sur sa chaise

Je tombais à genoux au sol, mes jambes tremblantes, qui ne me soutenaient plus je me traînais jusquà lui, pour lécher son sexe mouillé de nous, le nettoyer,

— Je je peux rester dormir avec toi ce soir ?

— Désolé, non, je dois monter au poste de commande dans vingt minutes. Les deux prochains jours, nous allons traverser une

zone de turbulence, avec des risques de tempêtes, je préfère être là-haut, tu comprends.

Je hochais la tête. Il passa tendrement sa main sur ma joue

— Vas maintenant, et sil te plaît, prend bien les hormones comme indiqué, cest important !

Je hochais à nouveau la tête et pris le colis, et retournais à ma cabine Là, je le déposais sur le bureau, et lus la notice, de façon à bien la mémoriser. Je triais les flacons de gouttes et les pilules par nom, par prise, de façon à bien my retrouver. Mais je me sentais encore excité, bon sang, javais encore envie de jouir ! Cela avait été trop court avec le Capitaine ! Je ressortis dans le couloir, malgré le mal au pied que me faisait les escarpins jétais sûr que habillé comme ça, le premier marin que je rencontrerais craquerait Jétais à peine sortis de ma cabine que je tombais sur Will et Mike, qui venaient me voir quelle chance ! Deux pour le prix dun !

— Ah, tu tombes bien, on venait justement te voir !

— On on ta acheté des cadeaux à Praia !

Souriant, je les fis entrer dans ma cabine, sentant leurs regards sur moi, sur les bas résilles, la robe moulante. Deux minutes après, jétais à genoux, leurs sexes contre mes joues je jouais avec, les faisais relouer sur mon visage, les masturbais, les léchais, les suçais aaaah cette odeur virile, ce goût entêtant puis, ny pouvant plus, je magenouillais sur le lit, ma croupe tendue vers eux ils me prirent chacun à leur tour Mike dabord, qui senfonça en moi en un coup « Mais dis donc, je suis pas le premier, tes encore dilaté tu y prends goût hein ! » et il me prit hardiment, senfonçant en moi, allant et venant au rythme de mon bassin qui venait à sa rencontre, au son de mes cris de plaisirs son sexe dur en moi, ses coups de boutoirs, ma prostate stimulée jétais aux anges ! Il se vida en moi, son sperme se mélangeant à celui du Capitaine puis il se retira, me cul connaissant encore ce sentiment de vide qui fut vite comblé par le sexe de Will, qui entra sans problème dans mon cul ouvert et bien huilé par le sperme des deux autres lui aussi me prit sans ménagement, virilement, mon string était trempé de mon propre sperme, jétais déjà dans un état second quand lui aussi se lâcha en moi, éjaculant son sperme, qui déborda, coulant sur mes fesses, mes testicules, mes cuisses

Jétais pantelant, assommé de plaisir, et sans faire plus de façon, roulais pour me mettre dans le bons sens du lit et mendormit, là je ne les entendis pas quitter la cabine, et dormis jusquau lendemain

Le lendemain, je sentais sur mes fesses en dans mon cul le résultat de mes agapes de la veille bon sang le vin blanc ne me réussissait vraiment pas je me levais, péniblement, et vis les cadeaux que mavaient apporté Mike et Will : une peluche, sans doute la mascotte de lîle, et un petit set de maquillage, pour débutante, je souris quils aient pensé à moi puis filais prendre une bonne douche !

(à suivre)

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