Premier jour: le réveil sonna, ce qui me tira d’un sommeil bien trop cours pour mes yeux.

5 heures du matin. C’était l’heure à laquelle tout devait commencer, tout ce que j’avais prévu depuis des semaines… Je redressai mon corps douloureux sur ses pieds et me dirigeai vers la salle de bain dans la maison encore endormie. La lumière me fils l’effet d’un projecteur en pleine figure et il me fallut quelques secondes avant de pouvoir me voir dans le miroir.

Ce que j’y vis nétait pas très beau à voir.

— Ma pauvre Nadia, le matin ne te réussit vraiment pas apparemment, me dis-je à moi-même.

Mes cheveux roux étaient en bataille et les cernes naissants sous mes yeux verts montraient à elles seules que j’avais passés une nuit très courte. Une douche s’imposait. En sortant de celle-ci, je me regardai une dernière fois dans la glace: j’aimais beaucoup mes formes, mon "petit" 95B et mes petites fesses fermes qui finissaient une longue paire de jambes élancées. Je me dirigeai ensuite vers ma chambre ou je revêtis là tenu que j’avais préparé la veille: un t-shirt blanc et un jean assez ample pour le grand voyage.

Mes valises ? Déjà dans la voiture. Mon sac ? Dans l’entré avec ma trousse de toilette. Mes adieux ? Déjà fais hier soir pendant la soirée pour me fêter un bon voyage et au téléphone pour ceux qui n’y étais pas. Me voilà donc prête à partir, ce que je mempressai de faire avant de changer d’avis et d’aller me recoucher. Non sans un pincement de cur, je pris ma voiture et roulai vers les nouvelles aventures qui m’attendaient.

Durant le trajet, j’avais prévu des points de chute qui me permettront de me reposer, étant seule à conduire. Le voyage devait durée prête d’une semaine tout au plus et même si je m’étais préparé mentalement à ça, je redoutais ce qui pourrait arriver dans un laps de temps si long. Heureusement pour moi, la météo avait décidé de jouer en ma faveur et c’est par une journée ne dégager et ensoleiller que j’entamai mon premier jour de voyage.

8 heures du soir. Après une journée un peu avare en rebondissement, je continuai ma route, toujours aussi confiante qu’au moment de mon départ. Malheureusement, l’imprévu ne prévient pas et c’est seulement après quelques dizaines de kilomètres qu’un de mes pneus creva, ce qui me força à me ranger en sûr le coter de l’autoroute. Je pestai en voyant que le pneu était bel et bien foutu et que j’allais avoir besoin d’aide pour repartir.

Évidemment, pas de réseau où je me trouvais, ce qui m’obligea à faire du stop pour demander de l’aide aux voitures qui passaient près de moi.

Après près d’une heure de stop, une camionnette se rangea près de moi. De cette camionnette sortirent deux hommes, visiblement en voyage eux aussi, qui s’approchèrent de moi pour me demander quels étais le problème. Les deux hommes devaient avoir dans la trentaine. L’un était blond, de taille moyenne, et barbu. L’autre châtain, plutôt grand, avec une barbe de quelques jours. J’appris par la suite qu’ils se nommaient respectivement Edgar et Martin, et qu’ils étaient en route pour une zone de randonner à quelques centaines de kilomètres de là.

Le contact ce fils rapidement et ils finirent par me proposer un remorquage vers la station-service la plus proche, ce que jacceptai avec grand plaisir car l’idée de rester là, au milieu de l’autoroute cette nuit ne me plaisais pas trop.

Arriver à la station-service, Edgar proposa d’appeler une dépanneuse pour moi depuis le téléphone de la station. Appréciant le geste, jacceptai et le remerciai pour son geste. Pendant que nous l’attendions, je me retrouvai avec martin devant nos voitures en buvant une bière. La conversation s’engagea d’elle-même. Pendant que nous discutions, je remarquai que Matin regardait avec insistance mes courbes généreuses se dessinant sous mes vêtements. Je ne pus mempêcher de rire intérieurement mais aussi dapprécier, quelque part, la façon dont il me regardait : je nétais pas une fille facile, mais Martin était vraiment bel homme.

Et cela faisait si longtemps que je navais pas senti le plaisir quun homme pouvait me donner

Je massis sur le capot de leur camionnette. Cest là que

Martin décida de devenir plus direct avec moi. Il se plaça près de moi, presque entre mes jambes.

— Dis-moi, ça doit être frustrant de voyager seule pendant si longtemps, sans voir personne de familier, ou sans voir d’homme.

— C’est vrai que c’est perturbant, mais ne t’inquiète pas pour moi, je suis une "grande fille". Et pour ce qui est des hommes… ça ne me manque pas tant que ça.

— Vraiment ? me lança-t-il avec un sourire en coin. Pourtant j’ai l’impression que je te fais de l’effet, en tout cas c’est ce qu’ont l’air d’affirmer tes seins.

Je devins rouge de honte quand je baissai les yeux pour vérifier ses dires: effectivement, mes tétons étaient devenus durs pendant que je repensais à ce plaisir que je n’avais pas ressenti depuis longtemps. Et le fait de ne pas avoir de soutien-gorge n’aidait pas à cacher mon excitation.

— N-Non, c’est juste le froid, essayais-je de bafouiller tant bien que mal pour cacher ma honte.

— Ne t’en fais pas, me dit-il en rigolant, je sais exactement comment te mettre plus à l’aise…

À ces mots, il se colla debout entre mes jambes et plaqua une main sur mes seins et l’autre sur ma cuisse. D’abord choqué par ce comportement, je tentai de me dégager et de le repousser. Cela ne l’empêcha pas pour autant de continuer à me caresser les seins au travers de mon t-shirt et de remonter la main qu’il avait placée sur ma cuisse vers mon entre jambes.

Pus je me débattais, plus il continuait à me caresser et à m’embrasser dans le coup, et moins j’avais envie de me débattre. Ses mains me procuraient un bien fou, je soupirais de plaisir rien avec ses mains sur mon corps. Il savait que je prenais du plaisir. Il prit l’initiative de retirer mon t-shirt et de déboutonner mon jean pour passer une main à l’intérieur. Je me retrouvais assis sur le capot dune camionnette, à demi nu, en train de prendre du plaisir sur une aire d’autoroute. Et cela ne me choquait pas plus que ça, ma raison quittait mon corps devenant de plus en plus chaud au fur et à mesure que sa bouche léchait et mordillait mes seins et que ses doigts me caressaient les lèvres et le clito.

Je ne me retenais plus du tout, mes soupirs s’étaient transformé en gémissement de plaisir. Il me caressait où bon lui semblait et je n’en avais plus rien à faire.

Au moment où mon plaisir était au plus haut, il stoppa ses caresses, mis ses mains sur mes hanches et m’embrassa.

— Tu as l’air de beaucoup apprécier pour quelqu’un pour qui ce n’est pas un manque, me dit-il, ou alors tu aimes juste te faire baiser par des inconnus.

— Les deux, lui répondis-je dans un état second tout en caressant la bosse déjà bien dur qui se dressait entre ses cuisses.

— Tu es vraiment une cochonne toi, dit-il en rigolant. Viens, je vais te prendre dans ta voiture.

Le reste de mes affaires retirées, je mallongeai sur la baquette arrière de ma voiture, les jambes écartées. Martin ne se priva pas pour pénétrer ma chatte mouillée de quelque doigt pour me faire gémir. Je le vis alors se redresser et enlever son pantalon.

Ce que je vis me fit poussée un petit cri de surprise: un sexe de 20 cm ou plus se dressait maintenant et se dirigeait vers mon entre-jambes. Je n’en avais jamais vu d’aussi gros en vrai. Je sentis le bout de son sexe rentrer en moi. Il n’en fallait pas plus pour qu’une vague de plaisir s’empare de tout mon corps. Je sentais, petit à petit, toute la longueur de sa bite en moi, sons immense morceau de chair frottais de plus en plus profond contre les parois de mon vagin. Quand il fut bien encré au fond de moi, il commença une série de va-et-vient, lente mais profonde.

La sensation était divine: je gémissais et mouillais de plus en plus fort au rythme de ses coups de hanche. Je sentais son souffle chaud sur mon oreille.

Il accéléra les va et viens. De plus en plus vite. De plus en plus fort. Mon gémissement s’était changé en crié, je criais de plaisir de me faire prendre par cet homme que je venais de rencontrer. Lui agrippait souvent mes jambes pour accélérer la cadence et léchais mes tétons, devenu cette fois très dur sous ses coups de langue. Ce petit jeu à deux continua pendant plusieurs minutes. Je n’en pouvais plus, le plaisir était trop grand, j’étais sur le point de jouir, d’avoir l’orgasme que je désirais depuis si longtemps…

— Non mais qu’est-ce que vos faites vous deux ?!

Je n’avais pas entendu l’autre portière de la voiture s’ouvrir. En jetant un coup d’il dans la direction de la voix, Edgar était en train de nous regarder d’un air surpris une bière à la main. En regardant de plus près, lui aussi avait une jolie bosse se dessinant au niveau de son entre jambes.

La nuit promettait d’être mouvementée….

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