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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 9




Vendredi matin, 6h30, je saute Elise, ma petite actrice de films pour adultes, et je la dépose chez elle en partant au travail. Je retrouve le père de Jessica au café et je me sens toujours aussi mal en sa présence. Quand il me regarde, j’ai toujours l’impression qu’il sait tout pour Jessica et moi. Cette dernière m’écrit un message en toute fin de matinée :

— "salut. passe me chercher chez jennifer à 19h"

A midi, je file chez moi et mets un plat au micro-onde. Walter arrive dix minutes plus tard et nous mangeons tranquillement tandis que je lui raconte comment j’ai connu Elise. Il est estomaqué.

— Putain, j’aimerais bien que ça m’arrive, un truc comme ça ! Tu te rends compte, ça fait huit mois que je n’ai rien fait.

— Je ne m’attendais pas du tout à ça, je t’assure. Ce soir, je sors à nouveau avec Jessica.

— Tu vas la sauter ?

— Je crois qu’elle n’attend que ça !

— Un bon coup ?

— Un sacré bon coup.

— Et Elise ?

Je grimace.

— Elle joue à l’actrice de cul, c’est chiant.

— Moi, ça ne me dérangerait pas du tout !

Nous rions.

— Elle est super bien foutue, un vrai top model. Mais au pieu, y a vraiment mieux.

— Et Vanessa ?

— Elle ? Toute gênée et attendrissante pour sa première fois mercredi et un vrai volcan le jeudi.

— Tu vas la revoir ?

— J’en sais rien. C’est au jour le jour. Je reçois des messages et

Je suis interrompu par la sonnette de la porte. Probablement le facteur, j’attends un colis. J’ouvre.

Vanessa.

— Salut !

— Salut Vanessa ! Qu’est-ce que tu fais par là ?

— J’avais envie de te faire une visite surprise.

— Je suis avec un ami, là.

— Oh ! Mince, c’est juste ! Tu m’avais dis

Son regard. Elle ment. Elle sait très bien ce qu’elle fait.

— On est au café, tu veux entrer le prendre avec nous ?

Un sourire pour toute réponse. Je présente Vanessa à Walter. Elle me donne son manteau. Dessous, une jupe en jeans et un débardeur blanc tout à fait inadapté à la saison.

Tandis que le café brûle dans la cafetière italienne, j’embrasse et caresse Vanessa sans discrétion dans le canapé. En face, sur le fauteuil, Walter n’en manque pas une miette. Vanessa est un peu gênée que je la pelote devant Walter, mais elle s’en accommode à mesure que son excitation monte. Elle proteste mollement lorsque je sors son sein droit pour le lécher. Elle ne dit plus rien lorsque je glisse ma main entre ses jambes pour la doigter : Vanessa est dans un état second, jambes et string écartés face à Walter.

J’invite Vanessa à me sucer. Elle hésite un instant puis elle sort ma verge et commence à me pomper. Je regarde Walter qui est bouche bée. Clin d’il. Je me penche sur Vanessa qui s’occupe avec habileté de mon sexe et lui glisse à l’oreille :

— Mon ami Walter aimerait certainement la même chose.

Vanessa s’interrompt, se redresse et m’interroge du regard. Mince, elle n’est pas contre.

— Walter est mon meilleur ami.

Ce qui est vrai, après tout. Vanessa le regarde et je lui fais signe de s’approcher. Elle déboutonne son pantalon et le suce sans hésiter. Je me lève à côté de Walter et Vanessa nous suce alternativement. Elle parvient même à prendre nos deux glands en bouche. En un regard complice, Walter et moi comprenons que nous allons réaliser alors un vieux fantasme. Et alors que Vanessa continue de sucer mon ami, je passe une capote et viens derrière elle. A genoux sur le canapé, Vanessa gémit la bouche pleine au moment où je glisse dans son vagin après avoir remonté sa jupe en jeans. Je secoue son gros cul tandis qu’elle poursuit sa fellation à Walter.

Ensuite, débarrassée de ses vêtements, Vanessa s’allonge sur le dos et Walter la pénètre. Vanessa me suce un peu, mais la position n’est pas idéale. Je me masturbe devant elle. Alors que Walter accélère, Vanessa en demande encore plus. Walter jouit et quelques secondes plus tard, j’arrose la poitrine de Vanessa.

Les instants suivants sont un peu gênants et j’emmène Vanessa à la salle de bains pour qu’elle prenne une douche. Walter se rhabille.

— C’est fou. Totalement fou. Tu dis que cette fille était vierge il y a deux jours ?

— Elle n’avait jamais vu une bite.

— Tu crois qu’elle me donneras son numéro ?

— Tu verras bien.

Walter attache sa montre. Il y jette un coup d’il.

— Nom de Dieu ! Il faut que j’y aille.

Il me salue à peine et quitte mon domicile en courant.

Quelques instants plus tard, Vanessa sort de la salle de bains complètement nue.

— Walter est parti ?

— A l’instant. En courant.

Vanessa est songeuse.

— Dommage. J’aurais bien aimé le revoir.

— Je suis certain qu’il sera ravi d’avoir un coup de fil ou un message de ta part.

— Tu crois ?

— Ça ne fait aucun doute.

Vanessa sourit. Elle vient m’embrasser et m’attire dans la chambre.

— Viens, j’ai envie que tu me fasses jouir.

Je comble ma jeune partenaire que j’envoie par quatre fois au 7e ciel. Elle n’arrivera pas à l’heure pour son premier cours de l’après-midi. Dans la voiture, elle demande :

— Florent, pourquoi j’ai tellement envie de faire l’amour depuis que nous l’avons fait mercredi ? Je ne contrôle plus rien, c’est plus fort que moi. J’ai tout le temps envie.

— Je n’en sais rien, Vanessa. Peut-être est-ce une période que tu dois vivre ainsi et que cela va se tasser avec le temps. Le problème, c’est si ça dure.

— Tant que ça dure, on pourra se revoir ?

— Tu as mon numéro.

Elle m’embrasse, descend de la voiture et file après un dernier signe de la main.

J’abats ensuite autant de travail que possible durant l’après-midi. Vers 18h, je fais un saut chez moi, prends quelques affaires, je ne sais même pas où nous allons, puis je file chez Jennifer sans réfléchir. A 19h, je suis au rendez-vous et envoie un message à Jessica. Elle arrive, en short moulant en jeans et débardeur. Elle s’assied dans la voiture et m’embrasse tendrement.

— Je crois qu’il s’est passé pas mal de choses depuis le week-end passé.

Je souris.

— Possible, oui.

— Tu me raconteras ça en route. Allons-y.

Ainsi, durant une vingtaine de minutes, je raconte Vanessa, Jennifer et Elise. J’élude tout de même le passage de Vanessa à la maison à midi. Jessica semble ravie que j’ai eu des relations avec ses trois copines. A mi-chemin, elle se fait grave.

— Bon, je ne suis pas fière de ce que j’ai fait ce soir. Je déteste mentir à mes parents mais je n’avais pas le choix. Donc, officiellement, je passe la nuit chez Jennifer. Elle me couvre. Mais ce n’est pas cela qui me ronge le plus. J’ai pris les clefs de notre appartement à la montagne, c’est là que nous allons. S’ils se rendent compte de ça, je suis archi grillée pour l’été.

— Le risque est grand ?

— Non, il est très mince. Mais on ne sait jamais. Florent, il faut vraiment que nous fassions attention. Personne ne doit nous voir. Nous allons prendre à manger sur le chemin et demain matin, il serait bon que nous partions avant 10h.

— Ça me va. Je ne veux pas que cette escapade t’attire des problèmes.

Peu avant la station, Jessica descend de voiture pour acheter des plats cuisinés chez un traiteur. Une dizaine de minutes plus tard, nous arrivons. Jessica me fait garer au milieu du village pour ne pas attirer l’attention à proximité de l’appartement. Elle passe un foulard et attache ses cheveux. Nous marchons cinq bonnes minutes, Jessica est sur le qui-vive car tout le monde la connait. Elle vient dans cette station depuis qu’elle est toute petite.

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