Après cette première partie d’après-midi bien remplie, nous nous sommes refaits une santé. Certains se sont précipités sur le gingembre confit, d’autres ont préféré un café ou un petit verre de rhum, certains les trois en même temps ! Autant dire qu’au bout d’une petite heure tout le monde est de nouveau bien excité. Christine s’est rhabillée partiellement mais Marie n’a pas jugé utile de remettre sa jupe et erre en petite culotte devant nous. Elle a un peu abusé du rhum blanc et demande alors à Christine :
. « Alors, es-tu prête pour de nouveaux jeux ? »
. « De quel genre ? » répond-elle prudemment
. « Eh bien, je l’avoue, j’ai très envie depuis un moment . que tu me fasses une langue ! mais pas devant tous ces obsédés, dans la chambre. Je crois d’ailleurs que tu ne peux pas me le refuser ! »
Georges a entendu la conversation privée et saisit la balle au bond.
. « Voilà une super idée ! mais tu ne peux pas l’imposer comme çà à Christine : il faut que tu en gagnes le droit. Je propose de le jouer aux dés. Vous êtes d’accord ? »
. « Ouuuiiii ! » unanime des participants
. « Mais .. » commence Marie
. « Tu dois bien cette revanche à Christine, alors tu vas le faire. » la coupe Georges, péremptoire. « Vous allez jouer ce gage aux dés. Si tu gagnes, ma chérie, Christine te prodiguera du plaisir avec sa langue ; mais si tu perds tu subiras un gage de l’un d’entre nous tiré au sort ; il pourra te faire ce qu’il veut . »
Marie hésite.
. « Je veux connaître le gage avant ! »
. « Tu connaîtras seulement le gagnant ! » dit Georges
. « Ce n’est pas juste : Christine n’a pas grand chose à perdre à ce petit jeu ! Moi je vais devoir me soumettre aux désirs pervers du vicieux qui va gagner ! » argumente Marie
. « Alors disons que nous allons te donner un avantage au jeu : chacune d’entre vous va lancer le dé à tout de rôle, additionner les points de chaque lancer et la première arrivée à 12 aura gagné. Mettons que tu partiras avec un avantage de 6 points. » dit Georges
Marie semble satisfaite.
. « Mais c’est un avantage énorme ! » s’offusque Christine
. « Oui, mais nous allons choisir le gage tous ensemble et il sera gratiné ! »
Marie hésite un moment mais, l’alcool aidant, elle accepte. Nous nous regroupons entre garçons et nous mettons alors au point un gage redoutable. C’est moi qui suis chargé de l’annoncer et de l’exécuter, en tant que cousin de Christine :
. « Le gage sera le suivant : tu devras recevoir une fessée avec la bouche remplie de lait concentré et ce, sans en laisser échapper une goutte. Bien entendu, tu devras subir cette punition . entièrement nue. Si tu le gardes, tu pourras te faire lécher par Christine et tu en seras quitte pour l’humiliation. Si tu avales le lait, tu subiras un autre gage. Et si tu le recraches, tu subiras en plus une fessée générale ! »
Le principe du gage est d’ouvrir la porte à un autre gage qui pourra lui-même déboucher sur des gages de plus en plus osés ! Marie a compris que si elle perd, elle pourra être soumise aux phantasmes lubriques de tous.
. « Connaissant nos convives, attention à l’indigestion de . » dit Georges sans finir sa phrase
. « Soit tranquille, avec l’avance que j’ai, çà n’arrivera pas ! On commence ? » dit Marie rassérénée
Georges sort alors sa dernière carte :
. « C’est parti ! Commence, Christine ! »
Marie se fige légèrement : elle n’a pas pensé à demander qui serait la première. Christine lance le dé qui roule un moment avant de s’immobiliser :
. « 5 ! voilà une bonne partie de mon retard comblé. A toi ! »
Sans se décontenancer, Marie prend le dé et le lance :
. « 2 ! 8-5 pour Marie. On dirait que ta belle avance fond comme neige au soleil. »
Marie ne dit mot. Christine lance à son tour :
. « 4 ! 9-8 : je passe en tête ! » jubile Christine
Marie prend le dé : elle sait qu’elle doit faire plus que 3 pour gagner, soit une chance sur deux. Le dé roule et s’immobilise sur un 2 !
. « Bravo, 10-9 pour toi » dit Georges ironiquement
Christine prend le dé, elle doit faire au moins 3, soit 2 chances sur 3 de gagner.
. « Tu vas voir : à la fin, c’est agréable d’être soumise en public ! »
Le dé roule et s’arrête sur un . 2 : 11-10. Déception dans le public. Marie Jubile ! Seul le 1 la ferait perdre. Elle se précipite sur le dé :
. « Tu vas me lécher pendant une heure ! »
Elle lance fort le dé qui roule, roule . et s’arrête sur . 1 ! Marie incrédule reste muette de stupeur ! Christine ne peut plus perdre puisqu’un 1 lui suffit. Sans jeter le dé, elle ajoute perfidement :
. « Prépare-toi à leurs meilleures idées si tu échoues au premier gage . »
Marie a perdu. Elle est devant nous, en tee-shirt et petite culotte et elle sait qu’elle risque de devoir se soumettre aux désirs inavoués de chacun. Pour ajouter à son trouble, Georges arrive avec le lait concentré :
. « Ouvre la bouche ! »
Marie obéit et Georges déverse un flot de lait concentré. Marie essaye de protester mais Georges lui remplit copieusement la bouche. Nous imaginons tous un autre genre de lait ! Je dis à Marie :
. « Tu sais en quelle tenue tu dois subir ta punition, n’est-ce pas ? »
Marie reste immobile.
. « Alors retire ton tee-shirt. »
Elle tente un regard vers Georges, qui acquiesce en silence. Résignée, elle attrape le bas du tee-shirt puis le fait lentement remonter au dessus de sa tête pour le retirer complètement et faire découvrir un soutien-gorge bleu.
. « Pas mal ! » dis-je ; « Le soutif, maintenant. »
Elle hésite toujours.
. « Allons, dépêchons ! »
Marie passe les bras derrière son dos dégrafe le vêtement et le jette à terre. Elle a de beaux seins lourds et blancs. Çà fait longtemps que je suis en érection, mais leur vue décuple l’effet. Je vais bien me régaler à la fesser.
. « Approche un peu. »
Elle obéit. Je pose alors les mains de part et d’autre de sa taille et j’entreprends de commencer à baisser sa culotte en la regardant dans les yeux. Je me ravise et lui dis :
. « Tourne toi vers l’assistance, que tout le monde en profite. »
Elle le fait et, pour faire durer l’humiliation, je descends alors très lentement le petit vêtement sur ses cuisses, découvrant sa toison blonde à la vue de tous. Je sens Marie frémir légèrement . de plaisir ? La culotte finit par glisser sur ses chevilles. Elle est toute nue. L’assistance la dévore des yeux.
. « C’est vraiment un canon ! çà fait longtemps qu’on voulait te voir nue ! » dit Kevin
. « Tu fais moins la fière qu’hier, hein ? » renchéris-je
Elle ne peut répondre, car elle a la bouche pleine.
. « Maintenant, allonge-toi sur mes genoux. »
Elle s’exécute, sans résistance. J’ai alors à portée de main une superbe paire de fesses et je ne peux m’empêcher d’y passer doucement la main. Marie offre ainsi la vue de son intimité à tous les garçons.
. « Prête ? »
Je commence par une première claque pas trop forte. Marie frémit légèrement en silence. La deuxième est plus forte. Marie se tend et manque d’ouvrir la bouche.
. « Tu auras du mal à tenir comme çà. Réfléchis avant l’irréparable : tu imagines une fessée donnée par chacun des 6 garçons ? Tes superbes fesses vont devenir écarlates ! Je continue ? »
C’est jouissif de claquer son beau popotin. Çà me permet de palper pleinement sa chair fraiche ! Il me tarde de taper plus fort.
. « Comme tu veux, je continue. »
Et j’assène alors une claque beaucoup plus forte qui engendre des ondes de chair jusque sur ses cuisses. Marie gémit sourdement en se raidissant.
. « Tu es proche de la rupture. Tu imagines 6 fessées comme cela ? en plus je vais maintenant taper encore plus fort. »
Je marque un temps d’arrêt en la regardant :
. « A ta place, j’avalerais . ce n’est que du lait concentré ; le gage suivant sera peut-être moins sévère . »
Elle me regarde en hésitant :
. « Allez, avale ! »
Elle déglutit le lait concentré et nous la regardons tous en pensant qu’elle pourrait peut-être bientôt avaler autre chose. Et je décide de m’éclater complètement. Je lève très haut la main et j’assène une série de très fortes claques au joli cul de Marie qui crie de surprise et de douleur.
. « Quatre ! cinq ! six ! sept ! c’est pour avoir soumis Christine à tes caprices ! »
Quel pied ! Marie frémit à chaque coup.
. « Huit ! Neuf ! dix ! »
C’est fini. Marie s’affale sur moi. Je passe alors une main sur le haut de sa cuisse et remonte sur sa chatte que j’effleure d’une douce caresse. Je trouve celle-ci toute humide ! Marie réprime à grand peine un gémissement de plaisir.
. « Mais c’est qu’elle y a pris plaisir, elle est toute mouillée ! »
Georges rappelle alors :
. « Elle doit subir un autre gage ! nous allons jeter le dé pour connaître le gagnant »
Tout le monde jette le dé, à part moi : c’est Georges qui gagne. Marie se fige, inquiète. Elle est restée assise sur le canapé pour cacher ses fesses rougies.
. « Que préfères-tu ? si tu me fais jouir dans ta bouche et que tu avales tout devant tout le monde, tu pourras aller avec Christine. Sinon, tu subiras 2 autres gages »
. « Je préfère les 2 autres gages ! je n’ai pas envie de me noyer ! » rétorque Marie !
. « Tu l’auras voulu ! Puisque tu as peur de te noyer, je vais te fesser à mon tour. 10 claques ! si j’entends un seul son sortir de ta bouche . je te ferai boire mon sperme dans un verre, comme çà tu pourras l’avaler plus doucement ! »
Marie parait faiblir. Georges l’empoigne, la couche sur ses genoux et commence à frapper. Sa main noire s’abat durement sur les fesses déjà rouges. Un coup, puis deux, trois, quatre .Marie se mord les lèvres et résiste désespérément. Cinq, six. Christine dit alors :
. « Je peux t’aider si tu veux »
. « Ouii ! » répond Marie
. « Oh quel dommage, tu as perdu ! » dit Georges « Non seulement tu as reçu une bonne fessée, mais tu vas devoir également boire le verre de sperme ! »
Marie comprend son erreur et reste anéantie. Christine continue cependant :
. « Je t’ai fais perdre, mais pour t’aider, je lècherai ta chatte quand tu boiras le verre. Tu verras, ça te paraîtra bien meilleur !»
Marie se relève. Christine retire son tee-shirt.
. « Tu vas t’installer à califourchon au-dessus de mon visage »
Christine baisse sa petite culotte et s’allonge. Impatiemment, Marie se met à cheval au-dessus de sa bouche. Tout le monde est resté sans mot dire pour profiter du spectacle. Christine darde alors sa petite langue dans la chatte de Marie.
. « Hmmm !» Gémit-elle
Jérémie dit alors :
. « Et le deuxième gage ? »
Christine s’arrête et dit :
. « C’est la contrepartie ! Comme tu as perdu, je vais te lécher mais pendant tout ce temps tu devras avaler le sperme des garçons, par tous les moyens qu’ils choisiront ! Si tu t’arrêtes, je m’arrête aussi. »
. « Salope ! tu m’as bien eu avec ton aide !»
. « J’arrête alors »
. « Non ! D’accord ! tu as gagné ! mais fais-moi jouir avec ta langue ! »
La petite langue de Christine s’agite immédiatement et Marie gémit.
. « Ah, enfin ! que c’est bon ! »
Georges n’en peux plus. Il dit :
. « Allez, cette fois, tu vas tout boire. Je t’avais prévenu que tu risquais l’indigestion »
Marie se fige légèrement en le voyant saisir un verre à liqueur.
. « Oh, non ! pas comme çà ! »
. « Si. Tu as entendu Christine : c’est comme on veut ! »
Georges commence à se branler le verre à la main. Christine a ralenti ses mouvements de langue.
. « J’arrête alors ? »
Marie hésite en voyant Georges près de jouir. Christine donne alors 2 longs coups de langue et Marie gémit de bonheur. Voyant cela, Georges se tend et approche le verre de la pointe de son sexe. Dans un long cri, il éjacule dans le verre à liqueur qui se remplit rapidement. Une quinzaine de giclées se succèdent dans le petit verre qui est à demi-plein quand il finit. Un petit verre à liqueur à moitié plein, çà fait quand même beaucoup de sperme ! Georges reprend son souffle et dit :
. « Tiens ma chérie ! bois tout maintenant ! »
Marie, qui n’a pas quitté le verre des yeux, le prend. Elle le regarde un moment, bouche bée. Régulièrement, elle ferme les yeux sous le plaisir procuré par la caresse de Christine.
. « Allez ! » dit-elle
Et elle approche le verre de ses lèvres et boit. Tout. Elle déglutit deux fois pour avaler le contenu du verre. Voyant cela, Christine redouble d’ardeur.
. « Hmmm ! C’est bon ! » dit-elle, sans qu’on sache s’il s’agit du plaisir qu’elle ressent ou du goût de sa boisson.
Les autres ne se posent pas la question et se masturbent près de Christine.
. « Tu vois, ce n’était pas si difficile ! » dit Georges
Jérémie et Kévin n’en peuvent plus et jouissent sur Christine et le dos de Marie. Ce cochon de David part alors à la cuisine et en revient . avec une grande cuillère à soupe !
. « Quel dommage de perdre tout çà ! »
Et il commence à collecter le tout sur le corps des deux amantes.
. « Mais qu’est-ce que tu fais ?! » s’inquiète Marie
. « Je prépare ta prochaine boisson ! »
Les yeux de Marie s’agrandissent. La cuillère contient déjà une bonne dose de foutre. David décide de la compléter et se masturbe jusqu’à gicler dans la cuillère qui se remplit complètement.
. « Tiens Marie ! Une cuillère pleine de foutre ! rien que pour toi ! ouvre grand ta bouche ! »
. « Cochon pervers ! tu vas trop loin ! »
La petite voix de Christine se fait entendre :
. « J’arrête ? »
Pour toute réponse, Marie ouvre la bouche en tirant lubriquement la langue. David enfourne la grande cuillère entièrement et elle en déglutit le contenu gluant.
. « Hmm ! c’est si bon ! continue, Christine ! »
Elle a déjà avalé quatre éjaculations. Il ne reste qu’Anthony Christophe, et moi. Je dis :
. « J’ai une idée : on va jouir tous les trois dans sa bouche ouverte ! »
Marie ne dit plus rien et ouvre docilement la bouche. Nous nous succédons et nos éjaculations respectives lui remplissent bientôt complètement la bouche. Elle l’avale d’un coup. Je collecte les éclaboussures sur son visage avec mon doigt avant de lui faire sucer. C’est à ce moment qu’elle finit par jouir sous la langue de Christine.
Sous l’effet des aphrodisiaques, les autres ont déjà rebandé.
. « Et si on jouissait tous dans un grand verre ? » dit David
. « Bande de petits cochons ! vous n’en avez pas eu assez ? Vous voulez encore me voir boire du sperme ?! »
. « Je crois que tu vas avoir droit à une deuxième tournée, ma chérie ! » renchérit Georges
C’est le bouquet final. Les uns se font sucer. Les autres éjaculent directement dans le verre à pied. Au bout d’une demi-heure, nos sept éjaculations remplissent quasiment la moitié du verre ! On y voit des paquets blanchâtres flotter sur un lac de liquide plus clair. Georges s’approche et le tend à Marie, toujours léchée par Christine :
. « Fais-nous plaisir une dernière fois ! »
Marie le prend ; son corps de blonde plantureuse est agité des ondulations du plaisir que lui procure son amante. Elle a perdu toute retenue. Elle approche le verre de ses lèvres. On voit Christine donner de grand coup de langue sur sa chatte blonde détrempée. Marie gémit, incline le verre et le boit en plusieurs longues gorgées. Quand c’est fini, elle jouit violemment et s’écroule, épuisée, gorgée de nos quatorze éjaculations. C’est sur ce bouquet final que s’achève cette jouissive après-midi !